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Ecran et Hologramme
07/07/2015 21:11
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=-S95h432kac
la vidéo ci dessous validerait le futur de nos ecrans .
La technologie avance à grand pas pour concrétiser la vidéo ci - dessus .
https://youtu.be/96fpHVMVtxE
Très présents dans les récits de science-fiction, les hologrammes en 3D sont désormais techniquement réalisables et pourraient même prochainement arriver dans nos smartphones et tablettes tactiles. Parmi les solutions techniques figure l’accélération laser-plasma qui a l’avantage de créer des hologrammes visibles sous tous les angles. L’année dernière, nous avions déjà parlé du système d’hologrammes par laser de la société japonaise Burton, capable de produire des objets en 3D flottant dans l’air. Chaque voxel (pixel en trois dimensions) composant l’image est un plasma lumineux produit par un laser qui, focalisé par une lentille, surchauffe les molécules d’oxygène et d’azote dans un volume très petit. Ces lasers pulsés travaillent à l’échelle de la nanoseconde.
Or, à cette fréquence, l’énergie du plasma est si élevée qu’elle peut brûler la peau si l’on touche l’hologramme. Mais au Japon, le Digital Nature Group (DNG), une équipe composée de chercheurs des universités de Tokyo, Tsukuba, Utsunomiya et de l’institut de technologie de Nagoya, a trouvé le moyen de produire des hologrammes en 3D que l’on peut toucher et même ressentir. Selon les spécialistes qui s'expliquent dans leur article scientifique à lire sur arXiv, pour que la pulsation laser ne soit pas dangereuse pour la peau, il faut que sa durée soit inférieure à deux secondes. Pour cela, ils ont donc accéléré la vitesse de la projection en passant à des lasers dits femtoseconde (une femtoseconde valant 10-15 seconde).
Si les chercheurs du Digital Nature Group ont su concevoir des hologrammes tangibles, leur taille minuscule exclut pour le moment toute application concrète. La démonstration n’en demeure pas moins impressionnante... © Yoichi Ochiai, University of Tsukuba, YouTube
La sensation de toucher du papier de verre
Le système se compose d’un modulateur spatial de lumière qui dirige les rayons laser à travers une série de lentilles, d’un miroir et d’un scanner galvanométrique pour contrôler avec précision la projection. Une caméra placée à hauteur de l’hologramme détecte les mouvements afin que l’image réagisse au toucher. Les pulsations laser, comprises entre cinquante millisecondes et une seconde, ne provoquent pas de brûlure. Et, lorsqu’un doigt entre en contact avec l’hologramme, le plasma génère des ondes de choc qui produisent une sensation de toucher. Selon le professeur Yoichi Ochiai, qui dirige ce projet, l’effet ressenti serait proche de celui d’un contact avec du papier de verre.
Ces hologrammes 3D ont une résolution de 200.000 points par seconde. Pour le moment, ils sont minuscules puisque leur volume ne dépasse pas les huit millimètres cubes. À l’heure actuelle, il s’agit avant tout de ce que les chercheurs appellent une preuve de concept, illustrant la faisabilité. Pour qu’une telle technologie puisse déboucher sur des applications concrètes, il va falloir augmenter la taille d’affichage — et par conséquent celle du dispositif de projection — avec un travail spécifique sur le modulateur spatial de lumière. C’est ce à quoi les chercheurs du DNG disent vouloir s’atteler, sans livrer de feuille de route précise.
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Bientôt un test de grossesse via un smartphone ?
07/07/2015 21:03
Détecter une grossesse ou surveiller un diabète avec un smartphone : c’est ce qu’envisage une équipe de chercheurs de l’université d’Hanovre grâce au capteur optique autonome qu’ils ont développé. Ce dispositif peu onéreux et mobile peut servir à réaliser divers tests chimiques à partir d’échantillons biologiques tels que le sang, la salive ou l’urine.
Les smartphones actuels sont aussi puissants que certains ordinateurs et sont dotés de capteurs très élaborés susceptibles de servir à de nombreuses applications autres que celles pour lesquelles ils sont conçus. C’est pourquoi ils intéressent beaucoup les chercheurs et les scientifiques qui veulent les transformer en outils d’analyse nomades.
L’idée est, par exemple, de permettre à des personnes souffrant de maladies chroniques de pratiquer elles-mêmes certaines analyses récurrentes puis de les transmettre à leur médecin sans avoir à se déplacer. Il pourrait aussi s’agir de faire des tests de dépistage de maladies infectieuses, de détecter des tumeurs cancéreuses ou même de prévoir les risques d’accident vasculaire cérébral. Les smartphones pourraient aussi servir à établir des diagnostics médicaux rapides et à bas coûts dans des pays en voie de développement.
C’est dans cet esprit qu’une équipe du HOT (Hanover Centre for Optical Technologies) de l’université d’Hanovre (Allemagne) a développé un capteur optique autonome pour smartphone qui pourrait servir à de multiples tests biochimiques. Il peut recevoir différents fluides corporels (sang, urine, salive, sueur ou haleine) et livrer des résultats en temps réel via une application mobile. Selon les chercheurs du HOT qui ont présenté leurs travaux dans la revue Optics Express, leur laboratoire miniature pourrait, entre autres, servir à détecter une grossesse ou à surveiller un diabète.
 Le prototype du capteur optique à résonance plasmonique de surface développé par l’université d’Hanovre. Un câble de fibre optique est relié par ses deux extrémités au capteur photo et au flash Led du smartphone. Une section de 10 millimètres dénudée et recouverte d’une couche argentée traverse le récipient dans lequel sont déposés les échantillons biologiques (sang, salive, urine…). L’analyse s'effectue ensuite en temps réel via une application mobile. © Kort Bremer, Hanover Centre for Optical Technologies
Le secret : la résonance plasmonique de surface
Pour réaliser ces analyses sur la composition d’un fluide, la présence de biomolécules ou de gaz spécifiques, le capteur optique exploite le phénomène de résonance plasmonique de surface (SPR). Celui-ci se produit lorsque la lumière fait, en quelque sorte, vibrer des électrons à la surface d’un film. Pour cela, un rayon de lumière fixe est dirigé sur un film métallique. Si la plus grande part de cette lumière est réfléchie, une petite bande de fréquences est absorbée par les électrons à la surface du film qui se mettent alors en résonance. Lorsque le film métallique est mis en contact avec un fluide, l’indice de réfraction du liquide modifie la largeur de la bande qui est absorbée ainsi que son emplacement dans le spectre lumineux. Les chercheurs ajoutent sur le film des marqueurs qui induisent une variation de l’indice de réfraction spécifique de la molécule à détecter. Pour déterminer la composition d’un échantillon biologique, il faut ensuite observer quelle lumière est absorbée et laquelle est réfléchie.
Si l’utilisation de la résonance plasmonique de surface n’est pas une nouveauté, les scientifiques du HOT ont trouvé le moyen d’intégrer sur un smartphone un équipement de laboratoire en principe beaucoup plus volumineux. Pour cela, ils ont utilisé un câble de fibre optique de 400 micromètres de diamètre dont une section de 10 millimètres de long a été débarrassée de son revêtement polymère puis recouverte d’une couche argentée. Cette section traverse un récipient dans lequel sont déposés les échantillons biologiques. Les deux extrémités de la fibre optique ont été polies à un angle de 45° pour dévier les rayons lumineux, puis positionnées entre le flash Led et le capteur photo, préalablement équipé d’un réseau de diffraction.
Le dispositif a été testé avec plusieurs concentrations de glycérol et, d’après ses concepteurs, sa sensibilité serait similaire à un équipement dédié tout en étant à la fois beaucoup moins cher et moins encombrant . Le prototype est certes rudimentaire, mais les chercheurs soulignent qu’il pourrait facilement être intégré dans une coque pour smartphone.
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Un film projeté sur un nuage !
07/07/2015 07:52
https://youtu.be/FspFOdR9vjE
Une première mondiale. Une équipe de scientifique est parvenu à projeter à partir d'un avion l'image d'un cheval au galop directement sur un nuage.
"Bienvenue à bord de l'appareil, attachez votre ceinture et regardez par le hublot pour profiter du film." Un jour, peut-être, les compagnies aériennes diffuseront ces messages à bord de leurs avions. Une équipe de scientifique est parvenu à projeter à partir d'un avion des images animées directement sur un nuage, une première mondiale, indique le 3 juillet l'hebdomadaire New scientist.
Trois années de travail
Il a fallu trois années de travail à l'artiste Dave Lynch, au chercheur Mike Nix et au concepteur Aaron Nielsen pour faire aboutir ce "projet Nimbus" et repousser les limites de l'art et de la science. Les trois hommes ont utilisé un laser avec la technique du zoopraxiscope, l'un des premiers dispositifs permettant la visualisation de courtes séquences animées, inventé par le pionnier de la photographie Eadweard Muybridge.
Ils ont décidé de rendre hommage à Muybridge en utilisant sa fameuse séquence du cheval au galop. Dans les années 1870, le Britannique a reçu une commande d'un propriétaire de chevaux de course pour étudier le mouvement des animaux. Il a capturé des images de chevaux de course sur une piste à l'aide de multiples caméras. Les images qui ont abouti ont clairement démontré que le cheval au galop lève les quatre sabots au-dessus du sol en même temps.
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voiture doté de Drone
04/07/2015 06:45
https://youtu.be/mTdmlh9nmug

Et si Toyota s’alliait avec Yamaha pour un concept-car atypique ? C’est ce qu’a imaginé un designer industriel à travers le concept de Ground WakeBoard. Fruit de la collaboration entre les deux constructeurs nippons, il s’agit d’une berline doublée d’un hoverboard .
Pensé pour 2030, ce concept avant-gardiste est censé offrir de nouvelles expériences à ses utilisateurs. Plus qu’une solution de mobilité urbaine, c’est également un moyen de se divertir autrement. Le concept-car lui-même est composé de deux éléments interactifs : un crossover à pile combustible baptisé Toyota Cross Cruiser et un hoverboard ailé Yamaha. Les deux étant reliés par un câble métallique. Le principe est simple : le crossover est en mesure de tirer et d’alimenter l’hoverboard grâce à sa technologie de pile à combustible. Cette dernière produit assez d’électricité pour propulser la planche flottante. D’ailleurs, l’hoverboard ne requiert pas de moteur ou de batterie et il est suffisamment léger pour léviter. Enfin, la face avant du crossover arbore des lignes avec une forme trapézoïdale. La lunette arrière est amovible de sorte que les passagers puissent s’y prélasser comme s’ils y étaient sur un yacht.
Loin de devenir réalité, ce concept-car est sorti de l’imagination de Ken Nagasaka.



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L' Avenir de la Tablette numerique
04/07/2015 06:37

Samsung Flexible Roll est un concept imaginé pour le géant coréen. En se basant sur une technologie d’affichage flexible, il s’agit d’une tablette ultraportable dont l’écran peut être déroulé à l’image d’un rouleau de papyrus.
L’appareil ressemble à un bâton cylindrique au design épuré mais c’est en réalité une tablette à écran tactile enroulable. Ce dernier est à la fois souple et pliable et utilise la technologie OLED pour être enroulé/ déroulé en fonction du besoin. D’ailleurs, le concept tire son inspiration des anciens manuscrits. Il suffit ainsi de déployer l’écran pour accéder à son contenu. Munie de deux ports USB, la tablette intègre des haut-parleurs et un clavier tactile. Quant à son système d’exploitation, elle pourrait fonctionner sous Windows 10 ou Windows 8. Enfin, sa taille compacte a été pensée pour faciliter son rangement et privilégier sa portabilité. Comme l’écran est enroulé, il ne risque pas d’être cassé.
On doit le projet au designer Sungmin Lee. Si l’idée préfigure l’avenir des gadgets nomades, cette tablette est malheureusement réduite à son stade de concept.



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