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Science Futuriste

VIP-Blog de bm7
bnj.777@hotmail.fr

  • 115 articles publiés dans cette catégorie
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  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 11/12/2010 11:43
    Modifié : 18/12/2021 17:29

    Garçon (50 ans)
    Origine : PARIS
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    Un oeil embryonnaire conçu à partir de cellules souches

    21/06/2012 05:45



    Des chercheurs ont réussi à recréer en laboratoire des cupules optiques, des yeux à l’état embryonnaire, à partir de cellules souches. La performance a été réalisée sans influence extérieure, laissant supposer que les cellules possèdent les capacités intrinsèques pour former l’organe. Disposant d’un tel tissu, les scientifiques espèrent réparer les yeux endommagés

    Peut-on envisager la médecine du futur sans les cellules souches ? Difficilement, tant elles nous promettent des avancées considérables dans la régénération d’organes et de tissus défaillants ou lésés. Dernière découverte en date : l’annonce dans un quotidien japonais de la conception in vitro d’un foie humain miniature mais fonctionnel.

    Le Pays du Soleil Levant est d’ailleurs à la pointe dans ce domaine. Les chercheurs nippons du Riken Center for Developmental Biology (CDB, à Kobé) se sont une nouvelle fois illustrés en devenant la première équipe au monde à faire croître un œil embryonnaire depuis des cellules souches. Les détails sont décrits dans la revue Cell Stem Cell.

    Ces scientifiques avaient déjà travaillé à l’élaboration d’organes depuis les cellules souches embryonnaires chez la souris. Parmi leur tableau de chasse, le cortex cérébral, l’hypophyse ou des cupules optiques, une structure embryonnaire à l’origine de l’œil. Cette fois, ils ont tenté leur chance chez l’Homme et sont parvenus à un résultat encore plus impressionnant que chez le rongeur.

    Une cupule optique qui prend forme toute seule

    Le protocole utilisé pour les cellules souches embryonnaires humaines est, à peu de choses près, le même que celui chez la souris. Il a juste fallu adapter la méthode à la taille plus importante des tissus humains. En tout, 9.000 cellules ont été injectées. Dans les premiers temps, les différentes couches s’agencent de manière à former une boule de tissu épithélial. L’intérieur se creuse et les cellules forment finalement une cupule optique, avec une paroi externe qui correspond typiquement à l’épithélium rétinien, quand la paroi interne s’apparente aux photorécepteurs et l’ensemble des cellules qui relient l’œil au cerveau par le nerf optique (cellules ganglionnaires, cellules bipolaires).

    Les cellules souches embryonnaires sont des cellules dites totipotentes. Elles ont la possibilité de se différencier en n’importe quelle cellule de l’organisme : rein, poumon, cerveau… mais aussi l’œil bien sûr. © National Science Foudnation, Wikipédia, DP
    Le diamètre de cet œil embryonnaire atteint seulement les 550 µm, mais est malgré tout deux fois plus grand que chez la souris, avec un volume dix fois plus important. Autre différence : la présence de cellules photoréceptrices dites en cône, celles qui nous permettent de voir le monde en couleur.

    Cependant, il existe un certain nombre de similitudes avec ce qui avait été observé chez les rongeurs, notamment le fait qu’à aucun moment, les cellules souches n’ont eu besoin d’un tuteur ou d’un guide pour prendre leur forme. Ainsi, les chercheurs montrent que la capacité d’un tissu à s’organiser dans l’espace est intrinsèque aux cellules.

    Réparer les yeux abîmés avec des cellules souches embryonnaires

    Cette performance permet d’espérer des applications cliniques dans les années qui viennent. L’idée de redonner la vue n’est pas nouvelle, que ce soit à base de cellules souches ou d’implants électroniques. Mais cela fonctionne avec un succès relatif et de sérieux dangers.

    L’un des inconvénients des cellules souches concerne leur faculté à se diviser. Si les processus ne sont pas maîtrisés, elles peuvent former une tumeur, ce que l’on cherche à éviter à tout prix. Yoshiki Sasai, l’un des auteurs de ce travail, l’assure : ces cupules optiques sont pures et ne contiennent plus de cellules souches. Il serait donc possible d’implanter ces cellules sans risque de tumeur. Autre intérêt : il n’y a pas de risque que des cellules souches de l’œil se différencient de manière un peu isolée en un tissu complètement différent. Le scientifique japonais s’explique : « C’est comme lorsqu’on plante une pomme récupérée depuis un arbre. On ne s’attend pas à voir croître du fer. Il n’y a pas plus de raison de voir émerger un os depuis ces yeux ».

    Masayo Takahashi, une ophtalmologiste du CDB, tente de transplanter ces cellules à des souris vivantes pour voir si la greffe arrive à prendre in vivo. Pour le moment, l’expérience n’a pas livré ses résultats. Elle espère pouvoir en faire de même avec des singes d’ici la fin de l’année.

    Malgré tout, ce travail présente un défaut important. D’autres chercheurs ont tenté de reproduire l’expérience de Sasai chez la souris mais sans succès. Ainsi cette étude sur l’animal est difficilement reproductible et on peut se douter qu’il en va de même chez l’Homme. Où est-ce que ça coince ? Pas facile de répondre. Mais pour utiliser une telle découverte à grande échelle, nul doute qu’il faudra la capacité de générer suffisamment de tissu oculaire et inéluctablement impliquer plusieurs laboratoires.

    source





     
     


     

    Un algorithme pour prédire votre avenir médicale

    04/06/2012 12:08



    Une équipe de mathématiciens, dirigée par Monsieur McCormick… annonce la création d’un modèle mathématique, un algorithme, capable de prédire à partir d’un dossier médical… quels autres problèmes le patient pourrait rencontrer.

    C’est la première fois qu’un algorithme prédictif est utilisé dans le domaine médical.

    Et alors? En gros, le modèle mathématique permet de comparer une somme de symptômes décrits par un patient avec d’autres dossiers contenant des symptômes similaires… et de prédire ainsi une suite possible. Et savoir… permet au médecin d’être plus efficace auquel cas un problème se déclencherait

    En savoir plus >>> Clic CLic Clic





     
     


     

    Reprogrammé l' ADN .

    03/06/2012 19:21



    http://www.youtube.com/watch?v=6iQ-mzYRl3s&feature=player_detailpage

    L’ADN, on le sait, est une sorte de mémoire géante, en lecture seule, permettant de nous décrire complètement. Des chercheurs semblent avoir trouvé un moyen d’écrire dans l’ADN-même et de répéter l’opération autant de fois que souhaité.

    Des scientifiques étaient déjà parvenus à inscrire des informations dans des protéines, mais l’équipe de Drew Endy de l’Université de Stanford est allée plus loin en écrivant directement dans l’ADN, ce qui pourrait ouvrir la voie à des cellules synthétiques dédiées au stockage d’informations.

    Pour réaliser un tel exploit, les chercheurs ont collé des éléments génétiques d’une bactérie dans l’ADN d’Escherichia coli, une bactérie présente dans nos intestins. Résultat de l’expérience: un brin d’ADN avec des zones indiquant aux enzymes qu’ils pouvaient “couper” et “coller” à ces endroits et inversement.

    Et c’est précisément là ce qui fait l’intérêt de cette découverte. L’équipe est parvenue à réinjecter de l’information 16 fois de suite. Il leur a tout de même fallu trois ans et 750 tentatives pour y parvenir. Alors… à quand un stockage d’informations directement dans l’ADN ?





     
     


     

    Des rats paralysés qui se remettent à courir

    02/06/2012 05:13



    http://www.youtube.com/watch?v=ejwEqpV8ak4&feature=player_embedded

    Une équipe de scientifiques de l’EPFL et de l’Université de Zurich … annonce avoir réussi à rétablir la mobilité des membres inférieurs des rats en réveillant la partie lésée de la moelle épinière. Ces derniers peuvent se mettre à courir, à monter des marches ou à éviter des obstacles .





     
     


     

    Ostéoporose . Implantation d' une Micro - puce ??

    27/05/2012 06:59



    Une micropuce implantable délivre un médicament aux femmes atteintes d'ostéoporose.

    Certaines personnes traitées pour leur ostéoporose pourraient bientôt échanger leur stylo à injection quotidienne contre une micropuce implantable qui libère son médicament sur commande  à distance rapporte une nouvelle étude paraissant le 16 février 2012 dans la revue Science Translational Medicine.

    L'essai clinique, portant sur un groupe de femmes ayant de l'ostéoporose au Danemark, est le premier à tester une micropuce à commande sans fil capable de libérer à tout moment un médicament dans l'organisme. "Les patientes n'auront plus à se demander si elles ont pris leur traitement et à subir la pénible expérience des multiples injections" précise Robert Farra, Président et cadre directeur des opérations de MicroCHIPS, Inc., la société du Massachusetts à l'origine de l'appareil. Farra est un des auteurs de l'étude, avec des collègues du MIT, de l'Ecole de Médecine  de Harvard, de OnDemand Therapeutics Inc. et de l'Université  Case Western Reserve.

    Contrairement à la plupart des appareils administrant des médicaments, où de faibles quantités sont lentement libérées au cours du temps , la micropuce libère le traitement à la demande faite par un système sans fil externe. Cela permet une introduction rapide de médicaments dans le sang, comme dans le cas d'une injectionLes médecins pourront moduler souplement la thérapie de leur patient en utilisant un ordinateur ou un téléphone mobileajoute Farra.

    Les auteurs estiment que la micropuce sera une option plus séduisante et moins chère que l'utilisation à long terme de stylos injecteurs préremplis chaque jourLes patientes avec une ostéoporose sévère doivent souvent s'injecter chaque jour un médicament qui est maintenu réfrigéré. Outre le poidspsychologique des injections quotidiennes, les personnes âgées peuvent avoir de l'arthrite ou d'autres problèmes qui rendent ces injections physiquement plus délicates.

    De plus, l'ostéoporose étant une maladie "silencieuse", les personnes affectées ne se sentent pas mieux ou moins bien lorsque la densité de leurs os diminue aussi beaucoup de patients cessent-ils simplement de prendre leur traitement pour éviter le désagrément des injections quotidiennes à faire.

    L'implant pourrait aider à éviter le fort taux d'abandon de l'observance et à élever de manière spectaculaire la qualité de vie de millions de personnes atteintes d'ostéoporose. L'appareil pourrait aussi être utile dans le traitement d'autres maladies chroniques comme la sclérose en plaques, la maladie cardiaque ou même le cancer.

    De la taille d'un pacemaker, l'appareil garde les doses quotidiennes de médicament dans de minuscules puits qui s'ouvrent selon un protocole pré-programmé ou via un signal à distance. "Les médicaments sont dans différents puits. Chacun des puits est recouvert d'une couche d'or de quelques nanomètres d'épaisseur qui peut protéger les produits pendant des années si nécessaire et empêche leur libération" précise Robert Langer, professeur au MIT et l'un des auteurs de l'article dans Science Translational Medicine.

    L'envoi d'un signal à distance au puits déclenche la dissolution de l'or et la libération du médicament dans le sang. L'adaptation de la technologie des micropuces à une utilisation humaine n'a pas été une mince affaire. L'équipe a d'abord dû concevoir un moyen à températureambiante de mettre à l'abri de l'air chaque réservoir. Les chercheurs ont mis au point un processus particulier de soudure par compression pour assurer une étanchéité à long terme. Puis ils ont aussi développé la pellicule d'or assez solide pour protéger le contenu de chaque réservoir mais aussi assez fine pour se dissoudre à la demande.

    Malgré la capacité démontrée en laboratoire de la micropuce à libérer le médicament, lorsqu'elle fut implantée dans le corps une membrane avec du collagène a eu tendance à se développer autour d'elle. Les chercheurs se sont inquiétés du fait que ce phénomène pouvait potentiellement ralentir l'absorptiondu médicament et l'un des objectifs de leur étude était justement de déterminer si la membrane formée altérait l'efficacité du système. Les chercheurs ont implanté la micropuce juste sous la taille chez sept femmes entre 65 et 70 ans. Cela a pu être fait sous anesthésie locale au cabinet du médecin.

    Le suivi des femmes pendant 12 mois a permis aux chercheurs de montre que l'implant libérait le médicament, le tériparatide, aussi efficacement que les injections quotidiennes. De plus, la membrane qui enveloppait la micropuce n'a pas interféré avec le système. Le traitement a amélioré la formation de tissu osseux et réduit les risques de fracture comme l'a attesté la mesure des marqueurs biochimiques de formation, de masse et de résorption osseuse. "Et il y a beaucoup moins de variations d'une dose à l'autre qu'avec les injections, c'est donc un procédé plus sûr et plus efficace" ajoute Langer. Au terme de l'annéede traitement, la puce a été retirée chez les participantes de l'étude.

    La société espère pouvoir rendre l'appareil disponible pour le grand public dans les cinq prochaines années.





     
     

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