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Science Futuriste

VIP-Blog de bm7
bnj.777@hotmail.fr

  • 115 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 11/12/2010 11:43
    Modifié : 18/12/2021 17:29

    Garçon (50 ans)
    Origine : PARIS
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    Des nanorobots apprennent à nager dans le sang

    21/06/2015 13:52



    https://youtu.be/3o8vsU0Dw-4

     

    L’idée d’envoyer des robots microscopiques dans le corps humain pour le soigner n’appartient plus à la science-fiction… Une équipe de chercheurs de l'École polytechnique fédérale de Zurich et du Technion a testé avec succès un nanorobot-nageur guidé à l’aide d’un champ magnétique. Injecté dans le circuit sanguin, il pourrait aller diffuser un traitement médical de façon très ciblée.


    Faire naviguer des nanorobots dans les fluides corporels et notamment le sang est un défi technique aussi immense que crucial. La médecine d’après-demain pourrait s’appuyer sur ces alliés microscopiques pour délivrer des traitements médicaux de façon très ciblée et ainsi éviter de recourir à la chirurgie ou d’autres traitements plus invasifs. © zhouxuan12345678, Flickr, CC BY-SA 2.0 Faire naviguer des nanorobots dans les fluides corporels et notamment le sang est un défi technique aussi immense que crucial. La médecine d’après-demain pourrait s’appuyer sur ces alliés microscopiques pour délivrer des traitements médicaux de façon très ciblée et ainsi éviter de recourir à la chirurgie ou d’autres traitements plus invasifs. 

     
     

    On entend de plus en plus souvent parler de microrobots ou de nanorobots qui pourraient servir à la pharmacopée dans un avenir pas si lointain. Il y a quelques années déjà, nous parlions des expériences de l’université d’Harvard qui avait réalisé des nanorobots composés de brins d’ADN pour diffuser des médicaments de façon très ciblée à des cellules cancéreuses qui furent détruites à 50 %. L’année dernière, nous avons consacré un article à un microrobot à l’échelle du micron doté d’un système de propulsion inspiré du pétoncle.

    Plus récemment, des chercheurs de l’université de Californie à San Diego (États-Unis) ont réussi une grande première en envoyant un nanorobot délivrer des médicaments dans un organisme vivant, en l’occurrence une souris. L’engin, qui mesure 20 micromètres de long et 5 micromètres de diamètre, était propulsé par des bulles de gaz produites par le contenu de l’estomac du rongeur.

    La miniaturisation extrême n’est plus un obstacle technique mais il reste une importante difficulté : le contrôle du déplacement. Une fois injectés dans un organisme, ces petits soldats doivent être guidés pour aller diffuser un traitement médical exactement là où il faut, ce qui implique notamment de passer par le circuit sanguin. L’une des pistes techniques les plus prometteuses consiste à utiliser un champ magnétique externe. C’est l’option choisie par une équipe réunissant des scientifiques de l'École polytechnique fédérale de Zurich et du Technion, l’Institut israélien de technologie





     
     


     

    La pilule contraceptive est en train de tuer les femmes, mais personne ne dit mot

    16/06/2015 21:39



     

    the-pill.JPG

     

    La nouvelle mariée risquait un évanouissement, un AVC (accident vasculaire cérébral), une crise cardiaque et la mort chaque jour quand elle prenait sa pilule contraceptive. Tragiquement, elle n’avait aucune idée qu'il pouvait y avoir un danger. Même le personnel médical pensait que ses symptômes ne représentaient pas une menace, et à plus d’une reprise, ceux-ci ont mis ses symptômes sur le compte de la déshydratation. Ils ne lui ont jamais dit que ce pouvait être son mode de contraception qui lui causait des caillots sanguins.

    Son nom était Kate, une femme d’affaires âgée de 28 ans, dont l’histoire est racontée dans « What Every Woman Needs to Know about Blood Clots », («Ce que toute femme devrait savoir sur les caillots sanguins») publiée sur le site web National Blood Clot Alliance “Stop the Clot”. Les symptômes de Kate commencèrent lors de sa lune de miel à Hawaï. Elle ressentait tellement de douleur au niveau de son mollet, qu’elle se réveillait la nuit. Elle alla voir un chirurgien orthopédiste qui lui fit passer des scans, ne trouva aucun problème et la renvoya chez elle. Elle oublia cela. Sept mois après, elle s’évanouit dans un aéroport après un vol. Le personnel médical dit qu’elle était déshydratée.

    Sans le savoir, Kate développa une thrombose veineuse profonde dans son mollet. De là, des caillots sanguins commencèrent à se détacher pour se diriger vers ses poumons. Ces caillots dans les poumons, appelés embolie pulmonaire, « peuvent mettre la vie en danger et dans 10 à 15 pour cent des cas, causer une mort instantanée », d’après le docteur Jack Ansell. Ce dernier est un hématologue et un membre du “National Blood Clot Alliance’s Medical & Scientific Advisory Board”. Le site web de l’Alliance cite le docteur Ansell: « Le premier signe d’une embolie pulmonaire peut être la mort ».

    Grâce à la mère de Kate, qui est infirmière et qui fit la suggestion que sa fille pourrait peut-être souffrir d’embolie pulmonaire, Kate reçut un traitement et échappa à la mort. On découvrit l’embolie avant qu’elle ne tue Kate. Plusieurs autres femmes ne sont pas aussi chanceuses. Elles n’apprennent la vérité que lorsqu’il est trop tard.

    La vérité est que le « risque d’une thrombose chez les patientes qui prennent des COC (contraceptifs oraux combinés) est de trois à cinq fois plus élevé par rapport à des personnes qui n’en consomment pas. » Une thrombose signifie des caillots sanguins qui peuvent causer un AVC, une crise cardiaque, la cécité, un dommage au cerveau, et la mort. Pourtant, les femmes ne sont pas prévenues du risque des caillots sanguins suite à la prise quotidienne de la pilule contraceptive. C'est grave et c'est une malhonnêteté et une négligence insensées.

    D’après un rapport de « Canadian Broadcasting Company (CBC) » datant de juin 2013, le fabricant de pilules contraceptives Bayer a payé plus d'un milliard de dollars en guise de compensation pour des milliers de poursuites judiciaires sur ces pilules contraceptives aux États-Unis. Ces paiements étaient tous reliés à deux pilules contraceptives à faible dose, Yaz et Yasmin. Au même moment, une enquête de CBC a révélé que des pharmaciens ont soupçonné que la mort de 23 Canadiennes était attribuable à ces mêmes pilules.

    Miranda Scott, âgée de 18 ans, s’entraînait au gymnase de l’Université de Colombie-Britannique lorsqu’elle est tombée à la renverse et est décédée. L’autopsie a montré qu’elle était morte à cause de caillots sanguins présents dans son corps. Elle prenait du Yasmin au temps de sa mort. Sa mère fait maintenant partie d’une poursuite canadienne en recours collectif contre le fabricant de médicaments, avec des centaines de membres de familles et de femmes qui ont été blessées ou tuées par la pilule.

    Pourtant, alors que Bayer paie d'énormes dédommagements, la compagnie dit que ses produits contraceptifs sont recommandables. Même Elizabeth Kissling, qui écrit pour le magazine féministe radical Ms, se dit troublée par ce camouflage de la vérité, le manque d’éducation et l'insuffisance de tests que les femmes reçoivent avant de se faire prescrire la pilule.

    Kissling dit en citant des cas de jeunes femmes ayant subi ces conséquences :« Aujourd’hui… de jeunes femmes meurent encore de quelque chose censé les aider, quelque chose qui touche surtout les femmes. Des milliers d’autres souffrent d’effets secondaires pouvant mettre la vie en danger ou détruire la santé comme la cécité, la dépression, et l’embolie pulmonaire. »

    Elle fait référence au témoignage d’une utilisatrice, publié sur xojane.com, et met en évidence la citation frappante venant d’une jeune femme ayant presque succombé d’une embolie pulmonaire causée par la pilule contraceptive. « N’est-ce pas bizarre? », demanda la jeune femme aux docteurs de l’hôpital.  Ils hochèrent la tête puis m’informèrent qu’ils rencontraient régulièrement de jeunes femmes en santé avec des caillots sanguins, presque tous issus du contrôle des naissances ».

    La pilule détruit la vérité. Elle existe et est prescrite aux femmes au milieu d'un tourbillon de chaos, au milieu de contradictions et de mensonges, avec des cas de femmes mortes, aveugles et profondément blessées. Les médecins prescripteurs disent aux femmes que le contrôle des naissances est sans danger pour leur santé, à condition qu’elles ne fument pas. Les médecins présents dans les salles d’urgence racontent aux femmes qu’ils « rencontrent fréquemment de jeunes femmes en santé avec des caillots sanguins, presque tous issus du contrôle des naissances ». Des milliards de dollars sont payés par les compagnies pharmaceutiques pour régler des poursuites légales, alors qu’ils disent toujours approuver leurs pilules contraceptives. 

    Les femmes ont besoin de savoir. 

    Pour plus d’information, visitez le site web, thepillkills.org.

     





     
     


     

    Guérir par le son .

    16/06/2015 08:49



    https://youtu.be/VpYJRHq8TC0

    https://youtu.be/vvmaYml9zgE

    https://youtu.be/1ILLsA6gqHE

    La plupart des anciennes cultures ont utilisé le pouvoir apparemment magique du son pour guérir. La guérison par le son avait presque disparu en Occident jusqu’aux années 1930, lorsque des chercheurs en acoustique découvrirent les ultrasons et leurs propriétés médicales. Grâce à cette découverte, la recherche se développa et aujourd’hui cet ancien art de guérison par le son se transforme en une nouvelle science. Il y a maintenant énormément de recherches dans le domaine des aspects bénéfiques des ultrasons, y compris son usage pour pulvériser les calculs rénaux et même pour réduire les tumeurs. De plus, les infrasons et les sons audibles sont maintenant reconnus comme ayant d’énormes capacités de guérison.
     
    Aborigène soufflant dans un yidaki
    Les Aborigènes d’Australie sont la première culture connue à guérir par le son. 

    Leur instrument, le yidaki (du nom moderne de didgeridoo) a été utilisé pour la guérison depuis au moins 40 000 ans. Les Aborigènes guérissaient des os fracturés, des déchirures musculaires et des maladies de toute sorte en utilisant leur instrument de musique énigmatique. Il est intéressant de noter que les sons émis par le yidaki sont en phase avec la technologie moderne de guérison par le son. Il devient évident que la sagesse des anciens était fondée sur des principes «sains »

     

    Evolution de la guérison par le son dans les temps modernes
    Les premiers appareils de guérison par le son sont apparus en 1928 lorsque le scientifique allemand Erwin Schliephake découvrit que le son accélérait la guérison. Il créa un appareil acoustique baptisé Novasonic qui est toujours disponible de nos jours.
     
    En 1938, un autre scientifique allemand, Raimar Pohlmann, fit la démonstration des propriétés thérapeutiques des ultrasons dans une clinique de physiothérapie à Berlin. Dans les années 1950, les ultrasons étaient largement utilisés dans les méthodes de guérison par le son. Même à ce jour les mécanismes de guérison sous-jacents ne sont pas pleinement compris.
     
    L’ostéopathe britannique Peter Guy Manners, développa dans les années 1950 une méthode de guérison par le son qui s’appelle de nos jours la Cymatherapy 
     
     Le Dr. Peter Manners
    Cymatherapy international acheta les droits de la technologie à Manners et construit maintenant la machine Cymatherapy aux Etats-Unis. Leur version utilise des ordinateurs pour créer des sons absolument purs, en général par groupes de cinq. Elle dispose de 700 codes pour traiter une grande variété de blessures et d’affections. Il y a de nombreuses autres méthodes de guérison par le son qui envahissent le marché, y compris des unités personnelles de thérapie par les ultrasons produites en Extrême-Orient, dont beaucoup trouvent leur place chez les particuliers.
     
    Appareils NovaSonic et CymaSco  

     

    Le Dr. Grimzewsky, lui-même Prix Nobel, est un des nombreux esprits innovants de notre monde qui partagent la vision de créer des méthodes pour aider le corps à se guérir. La thérapie des sons audibles offre sans doute le plus grand potentiel de guérison non invasive. Dans les années à venir, il se pourrait bien que vous voyiez apparaître des lits de diagnostic et de guérison qui semblent sortir de la série de science-fiction Star Trek. Nous allons certainement assister à une prolifération de méthodes dans lesquelles le son sera le principe moteur. Le son guérit la vie de façon naturelle.
     




     
     


     

    Un vaccin contre la cocaïne

    15/06/2015 13:37



    La compagnie de recherche pharmaceutique Xenova a annoncé les résultats des essais d'un nouveau traitement de la dépendance à la cocaïne. Le traitement TA-CD fonctionne comme un vaccin. En se liant aux petites molécules de cocaïne, il permet au système immunitaire de développer des anticorps qui reconnaissent la drogue. Si le cocaïnomane reprend de la drogue, elle sera détruite par le système immunitaire avant de faire effet. Le but est de supprimer l'euphorie que la cocaïne procure, ainsi que la dépendance.

    Contrairement aux drogues comme l'héroïne, il n'y a pas de drogue de substitution pour aider les cocaïnomanes à vaincre leur dépendance. Une fois commercialisé, ce traitement pourra aider les millions de personnes dépendantes de la cocaïne ou de ses dérivés comme le crack.

    Les résultats des tests de Xenova sont encourageants. 58% des participants ont été capable d'arrêter leur consommation de cocaïne pendant toute la durée de l'étude, soit douze semaines. 42% n'ont pas repris de drogue après 6 mois. Les chercheurs précisent que ce traitement aide les patients à vaincre la dépendance, mais qu'ils auront aussi besoin de support psychologique pour s'en sortir.





     
     


     

    Première patte bio - artificielle

    08/06/2015 19:57



    La patte de rat a été reconstruite selon une technique de "décellurisation-recellularisation". ©Bernhard Jank, Ott Laboratory

    On ne parle pas de prothèse mécanique mais bien d’un membre biologique ! L’équipe de Harald Ott du Centre de médecine régénérative du General Massachusetts Hospital de Boston (Etats-Unis) a construit une patte de rat bio-artificielle selon un article publié dans la revue Biomaterials. Cet exploit a été accompli grâce à la technique de "décellularisation - recellularisation". Elle consiste à débarrasser l’organe - ou ici le membre - de toutes ses cellules, en le perfusant par des détergents et une succession de lavages. Afin de n’en garder que l’architecture, la matrice extracellulaire, constituée de collagène, d’élastine, de fibronectine, de laminine et de calcium. Puis de réinjecter des cellules dans cette sorte de moulage inerte, pour aller recoloniser l’organe. Mais pas n’importe quelles cellules ! Des cellules cultivées en laboratoire à partir de cellules souches sélectionnées. 

    Un membre de remplacement 

    L’idée futuriste est de pouvoir créer un membre de remplacement à partir des propres cellules d’un patient, évitant ainsi le risque de rejet du transplant. Pour le moment, toute greffe de mains ou de pieds doit en effet s’accompagner d’un traitement immunosuppresseur lourd pour éviter le rejet du greffon. Cette technique a déjà été testée pour le coeur et récemment les poumons. Là, Harald Ott s’attaque à un membre fait de tissus composites, c'est-à-dire de différents types cellulaires. "Nous avons injecté dans la patte antérieure, décellularisée, des myoblastes pour reformer de futures cellules musculaires, détaille-t-il, mais aussi des fibroblastes ou encore des cellules endothéliales pour reconstituer les vaisseaux sanguins." Et ça a fonctionné !

    Pour montrer que leur méthode peut être adaptée à un organisme d’une plus grande taille, l'équipe a déjà "décellularisé" une patte de primate.

    Les cellules ont recolonisé la patte

    Compartiment par compartiment, les cellules ont recolonisé la patte qui, petit à petit, s’est reconstituée. Les chercheurs ont poussé l’expérience plus loin. En appliquant un courant électrique, ils ont constaté que le membre avait retrouvé ses capacités de contraction. Enfin, ils ont greffé cette bio-patte sur un rat adulte amputé et le sang s’est remis à circuler.

    "Cette étude a un grand potentiel, confirme Ignacio Anegon, directeur de l'unité Inserm - Centre pour la recherche en transplantation et immuno-intervention de Nantes, comme pour les organes (cœur, foie, etc.) générés avec la même technique. Le procédé est très prometteur si on envisage la possibilité d’utiliser à l’avenir des cellules souches pluripotentes induites ( IPs) du même patient." Selon le spécialiste, l'obstacle le plus important reste l’incorporation du tissu nerveux dans le greffon qui doit se connecter avec celui du receveur. "Je ne vois pas d’application d’ici à cinq voire dix ans."





     
     

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