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Des cellules souches pour redonner à la peau sa couleur
25/08/2011 07:35

Vitiligo, quand la peau perd sa couleur : : Bonjour docteur
Des chercheurs français ont obtenu des mélanocytes fonctionnant normalement à partir de cellules souches pluripotentes. une espoir pour soigner des problèmes de pigmentation de la peau.
Sans eux, les vacanciers ne pourraient pas faire valoir leur bronzage au retour des congés : les mélanocytes sont les cellules qui fabriquent les mélanines, pigments qui donnent à la peau sa coloration en même temps qu’ils la protègent des rayons UV. Des chercheurs français ont obtenu des mélanocytes à partir de cellules souches pluripotentes. Ces cellules pourraient permettre de soigner des maladies comme l’albinisme ou le vitiligo, caractérisées par l’absence ou la disparition des mélanocytes.
L’équipe de Christine Baldeschi, qui travaille à l’Institut I-STEM (Inserm/AFM) dirigé par Marc Peschansky, a obtenu ces mélanocytes à partir de cellules souches embryonnaires humaines et de cellules souches induites (des cellules adultes reprogrammées). Dans les deux cas, les chercheurs ont réussi à orienter la différenciation des cellules en mélanocytes fonctionnels, capables de produire des mélanines et de les transférer aux kératinocytes, les cellules de l’épiderme.
La même équipe avait déjà obtenu en 2009 des kératinocytes à partir de cellules souches embryonnaires humaines, recréant ainsi l’ensemble des couches de l’épiderme. Une technique qui pourrait remplacer un jour la culture de peau pour les grands brûlés, en fournissant très rapidement une source illimitée de cellules.
Ces kératinocytes et mélanocytes dérivés de cellules souches doivent encore être testés sur les humains. Un essai se met en place sur des patients atteints de drépanocytose et souffrant d’ulcère cutané, explique Christine Baldeschi, afin de tester dans un premier temps la tolérance des kératinocytes obtenus in vitro, à partir d’une lignée de cellules souches embryonnaires humaines dont les conditions de culture conviennent à une utilisation chez l’humain. Cet essai devrait commencer au second semestre 2012.
Pour les mélanocytes, un essai est prévu sur des patients atteints de vitiligo, dont certaines zones sont dépigmentées. L’association des deux types cellulaires, kératinocytes et mélanocytes, est une troisième étape, précise Christine Baldeschi, une fois qu’ils auront été testés indépendamment. A terme, les chercheurs espèrent pouvoir greffer un épiderme coloré.
Cécile Dumas Sciences et Avenir.fr 23/08/11
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Hénné . Tatouage dangereux
07/08/2011 07:07
Cet art se propage désormais à travers le monde et il devient accessible à toutes et à tous. Contrairement au tatouage traditionnel, celui-ci est temporaire (environ trois semaines) et non douloureux. Mais le choix des motifs n’en reste pas moins aussi varié : tribales, chinois, animaux, fantaisies, symboles, ethniques, œuvres d’art, halloween, polynésiens, dragons etc.
Le henné en lui même est inoffensif. Mais utilisé pur, il est d’une teinte marron ou orange et les tatoueurs choisissent parfois de renforcer sa teinte et sa fixation sur la peau en ajoutant à leur mélange du paraphénylène diamine (PPD). C’est ce que l’on appelle le “henné noir”. Le PPD peut provoquer des allergies retardées avec apparition, 15 jours après le tatouage, d’un eczéma reproduisant le motif du dessin tracé au henné. Plus grave, cette allergie peut conduire à long terme à une hyper sensibilisation à vie, effet gênant car le paraphénylène diamine se trouve dans de nombreux colorants.
Il faut donc se méfier des tatouages au henné paraissant trop noir, et préférer absolument les teintes marron et orangées.

Voici le communiqué officiel de l’afssaps sur les dangers des tatouages à l’hénné :
Les tatouages noirs temporaires sont le plus souvent proposés aux vacanciers sur les plages, dans les centres de vacances ou sur les marchés et rencontrent beaucoup de succès, car leur coloration noire est plus appréciée que la teinte habituelle du henné qui varie du brun à l’orange.
Depuis 3 ans, les dermatologues et allergologues signalent à l’Afssaps des cas d’eczéma de contact (eczéma allergique) qui surviennent dans un délai de quelques jours à quelques semaines après la réalisation de tatouages éphémères pratiqués avec du henné contenant de la paraphénylènediamine (PPD). Cette substance est ajoutée illégalement au henné afin de donner une couleur noire aux tatouages et d’augmenter leur longévité. La PPD est une substance autorisée dans les produits cosmétiques, uniquement dans les teintures capillaires, à une concentration ne pouvant excéder 6%. Cette substance est également utilisée pour colorer les textiles notamment.
Le système de cosmétovigilance de l’Afssaps rapporte 8 déclarations d’effets indésirables survenus avec des tatouages éphémères à base de henné en 2004, 9 en 2005 et 16 en 2006. Compte tenu du caractère récent de ce dispositif, ces chiffres sont vraisemblablement en dessous du nombre réel de cas d’eczémas constatés. Ces derniers peuvent entraîner des réactions violentes, nécessitant parfois une intervention médicale urgente voire une hospitalisation. Ils peuvent être limités à la zone tatouée ou s’étendre à la zone avoisinante voire à tout le corps. Ces réactions peuvent également conduire à une polysensibilisation, notamment à des caoutchoucs, des colorants vestimentaires et à des teintures capillaires et empêcher la pratique de certaines professions comme celle de coiffeur par exemple. Ces sensibilisations sont de plus en plus préoccupantes, parce qu’elles affectent principalement des enfants ou des adolescents et sont susceptibles d’avoir des incidences dans leur vie quotidienne et/ou professionnelle. En dernier lieu, il est utile de rappeler que l’induction de sensibilisation a un caractère irréversible.
Compte tenu des cas d’eczéma allergique signalés, des difficultés de contrôle du circuit de distribution des produits et des lieux de réalisation des tatouages, l’Afssaps met en garde contre les risques et déconseille la réalisation de tatouage noir temporaire au henné.
L’Afssaps va s’adresser aux professionnels de santé, afin qu’ils informent leurs patients sur les risques liés à ces tatouages et qu’ils puissent identifier une éventuelle allergie à une substance colorante autre que la PPD liée à la réalisation d’un tatouage éphémère noir. Par ailleurs, une affichette illustrant les risques inhérents à la réalisation de ce type de tatouages va être diffusée pour informer le public.
L’Afssaps rappelle que toute réaction cutanée faisant suite à l’utilisation d’un produit cosmétique doit être signalée à un professionnel de santé.
La Belgique met également en garde ses concitoyens contre les tatouages temporaires au henné noir. Car certains ajoutent à la poudre végétale, très utilisée en Afrique du Nord, du para-phénylènediamine. Une fois exposée à cette substance très allergisante, la peau peut développer, là où elle a été tatouée, des réactions telles que des « démangeaisons et autres rougeurs ». Une hypersensibilité irréversible.
C’est quoi la paraphénylène diamine (PPD) ?
C’est un produit chimique toxique très puissant qui peut avoir des conséquences très graves », poursuit Martine Mostin, qui note que son ajout au henné n’est pas systématique. « Les premiers symptômes apparaissent en général lorsque le motif initial du henné s’est pratiquement estompé, quelque deux semaines après son application. Les premières plaintes sont des démangeaisons, une douleur minime ou une sensation de brûlure, une rougeur, une tuméfaction, éventuellement la formation de cloques. Le relief suit souvent exactement le dessin initial. Si l’éruption n’est pas soignée à ce stade, des infections supplémentaires peuvent survenir », précise dans un article Karen Neyens, du service de dermatologie de l’Université de Louvain. (Source : Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé française Afssaps)
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Cellules souches reprogrammées
27/06/2011 03:33

sciencetonnante.wordpress.com/.../
www.sante-decouverte.com/cellulesouche/
Etats - Unis .
Des chercheurs américains sont parvenus à créer des cellules souches pluripotentes, ressemblant aux cellules embryonnaires, en reprogrammant des cellules ordinaires de la peau sans utiliser de virus et ce pour la première fois, selon des travaux publiés jeudi.
Cette avancée permet d'éliminer un problème clé de sûreté quant à l'utilisation potentielle à des fins thérapeutiques de ces cellules, quasi-similaires aux cellules souches embryonnaires.
Elles peuvent potentiellement devenir 220 types de cellules du corps, cardiaques, pulmonaires ou nerveuses, et présentent la possibilité d'avoir le même potentiel thérapeutique que les cellules souches embryonnaires sans la controverse éthique et religieuse puisque pouvant être créées sans détruire un embryon humain .
Japon .
Une équipe japonaise de l’université du Tohoku a découvert un nouveau type de cellules souches pluripotentes, présentes dans la peau et la moelle osseuse des adultes. Baptisées MUSE (pour Multilineage-differentiating Stress Enduring Cells), ces cellules semblent avoir des propriétés particulièrement intéressantes pour de futures applications thérapeutiques. Les travaux sont publiés dans la revue PNAS.
Les cellules souches pluripotentes sont capables de générer la plupart ou tous les tissus du corps adulte. Jusqu’à présent, on connaissait deux types majeurs de cellules souches pluripotentes : les cellules souches embryonnaires (ES, Embryo Stem cells), dont l’utilisation fait l’objet de controverses éthiques, et les cellules souches pluripotentes induites (iPS), découvertes en 2007 par le professeur Shinya Yamanaka de l’université de Kyoto et reprogrammées à partir de cellules somatiques adultes.
Découverte fortuite
Les chercheurs ont par erreur mis en contact des cellules de peau humaine avec un enzyme capable de les dissoudre, mais ils ont constaté que certaines de ces cellules ont survécu. En les examinant, ils se sont aperçus que les cellules survivantes possédaient des marqueurs caractéristiques des cellules souches pluripotentes connues. Lorsque ces cellules ont été implantées à des souris, elles se sont différenciées selon l’endroit de la greffe en cellules nerveuses, en cellules musculaires, en cellules hépatiques…
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Des cellules souches du nez qui redonnent la mémoire
25/06/2011 13:12
La greffe de cellules souches nasales a permis à des souris rendues amnésiques de retrouver la mémoire.
La couleur Rouge . Une longueur d' onde cicatrisante . (BM7)
Cellules souches olfactives humaines après migration du liquide céphalo -rachidien dans l'hippocampe lésé de souris. Les cellules humaines fluorescent en vert et les neurones en rouge. On observe qu'une partie des cellules humaines tendent vers le jaune-vert, ce qui signifie qu'elles se sont différenciées en neurones (le bleu marque le noyau des cellules). NICN, CNRS
Quatre équipes de recherche basées à Marseille et Montpellier (en association avec le CNRS) ont mené une étude préclinique originale : elles ont analysé les effets d'une transplantation de cellules souches olfactives humaines dans le cerveau ou le liquide céphalo-rachidien de souris rendues amnésiques. Quatre semaines après la greffe, des tests comportementaux ont montré que les souris transplantées avaient retrouvé leurs capacités à apprendre et à mémoriser l'emplacement d'un objet ou l'association d'une récompense avec une odeur.
Les animaux greffés ont réalisé des scores similaires à ceux observés chez les animaux non lésés tandis que les souris lésées et non greffées demeuraient incapables de réaliser ces tâches d'apprentissage et de mémorisation. Par ailleurs, ces résultats, publiés dans The Journal of Clinical Investigation, ont été confirmés par l'analyse des tissus : les cellules souches nasales humaines se sont implantées dans les zones lésées et se sont différenciées en neurones.
L'utilisation de cellules souches nasales présente de nombreux avantages : elles sont faciles à prélever et à cultiver. De plus, chaque individu peut être son propre donneur, ce qui élimine tout risque de rejet immunitaire tout en garantissant un accès immédiat à ces cellules.
A plus long terme, cette étude pourrait ouvrir la voie à un essai clinique basé sur la greffe de cellules souches nasales chez des patients souffrant d'une amnésie consécutives à un accident ou à une interruption de la circulation cérébrale. D’autres recherches sont également consacrées à l’utilisation des cellules souches nasales. Ainsi, récemment une équipe australienne avait réussi à rétablir l’audition de souris par une greffe similaire.
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SOIGNER AVEC DES BAINS DE COULEURS
25/06/2011 12:49
Des chercheurs ont découvert un moyen d'utiliser la lumière pour activer des gènes individuellement dans les cellules.
Souris sous une lumière bleue pour activer les gènes modifiés. Science/AAAS
Cette nouvelle méthode consiste à adapter la machinerie moléculaire qui permet à l'œil d'être sensible à la lumière sur un système d'expression génétique de la cellule. Elle pourrait servir à produire des quantités précises de protéines utilisées sous forme de médicament ou pour contrôler les dosages de l'activité de gènes ou de thérapies cellulaires.
La mélanopsine est un photopigment présent à la surface de certaines cellules de la rétine qui y déclenche une entrée d'ion calcium en réponse à la lumière bleue. Ces ions entraînent à leur tour une cascade de signalisation qui active un facteur de transcription appelé NFAT. En couplant ces deux processus, une équipe franco-suisse a introduit le gène de la mélanopsine dans des cellules en culture avec un autre gène cible, inséré de manière à pouvoir être activé par NFAT. Dans ces cellules, la lumière bleue activait la mélanopsine, ce qui déclenchait l'expression du gène cible.
En utilisant cette méthode, les auteurs ont réussi à faire produire aux cellules en culture la quantité exacte de protéine désirée, en l'occurrence la glycoprotéine SEAP. Les chercheurs ont aussi fait des expériences en implantant dans des souris de minuscules paquets de cellules conçues pour exprimer soit SEAP soit une autre protéine appelée shGLP1 qui permet de contrôler la glycémie.
Les cellules exprimant SEAP ont été injectées dans l'abdomen de souris avec une fibre optique donnant une lumière bleue tandis que les cellules exprimant shGLP-1 insérées sous la peau étaient éclairées par une lumière bleue proche.
Les chercheurs annoncent que l'éclairage répété des souris avec la lumière bleue pendant 48h a fait augmenter les taux d'expression des deux gènes.
En un mot les scientifiques viennent de redecouvrir , les vertus de ce que certains appellent la Chromotherapie . Chaque couleurs se composent en fait d' une vibration qui associé à la lumière favoriserait certains stimulis au niveau cellulaires et hormonales .
Certaines couleurs peuvent activer la fabrication d’hormones suffisante à l’harmonie du corps humain.
Voir les trois liens suivants pour mieux comprendre .
Luminothérapie - Wikipédia
Chromothérapie, symbolique des couleurs
La couleur Rouge . Une longueur d' onde cicatrisante . (BM7)

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