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VIP-Blog de bm7
bnj.777@hotmail.fr

  • 115 articles publiés dans cette catégorie
  • 398 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 11/12/2010 11:43
    Modifié : 18/12/2021 17:29

    Garçon (50 ans)
    Origine : PARIS
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    Indonésie . Une femme prétend avoir 157 Ans

    30/05/2011 00:13





    DR

    Clous de girofle - Remède naturel mal de dent - Douleur dent clous ...

    Clous de girofle pour assainir la peau - Atelier naturel

    clou de girofle

    Le clou de girofle (Eugenia caryophyllata), famille des myrtacées, originaire des îles de l' océan  Indien  La Réunion   la Chine....
    Cet arbre peut vivre plus de 100 ans; c'est à partir de la septième année qu'il commence à porter des fruits. Les fleurs du giroflier sont très odorantes; les boutons sont cueillis avant la floraison. Ils sont séchés après la cueillette.

    INSOLITE - Lors d'un recensement, elle a prétendu être née en 1853...

    Elle s’appelle Turinah, elle est indonésienne et prétend avoir 157 ans. Ce sont des agents recenseurs qui l’auraient «découvert» ce lundi, dans un petit village de l’île de Sumatra.

    «Il n'y a pas de documents authentiques pour prouver son âge mais, sur la base de ses déclarations et en prenant en compte l'âge de sa fille adoptive, qui a 108 ans, il est difficile d'en douter» a déclaré Jhonny Sardjono, un responsable des services du recensement. De plus, Turinah parle presque couramment le néerlandais. Or, ce sont les Pays-Bas qui ont occupé l’Indonésie avant son indépendance en 1945.

    Sardjono a indiqué que Turinah avait brûlé tous ses papiers d'identité en 1965 afin d'éviter d'être liée aux communistes, dont un grand nombre ont été massacrés après avoir été accusés d'avoir fomenté un coup d'État.

    «Bonne vue et pas de problème d'audition»

     

    Si elle dit vrai, elle serait née en 1853. Elle affirme avoir toujours fumé des cigarettes aux clous de girofles et continue de pratiquer un peu de marche à pied dans son jardin. Le responsable du Bureau des statistiques indonésiens ajoute même: «Elle conserve une excellente mémoire, une bonne vue et n'a pas de problème d'audition».




     
     


     

    Détecter un cancer par une simple analyse de sang ou d' urine

    24/05/2011 12:45



    Picture of Albert Abrams

    Dr. Albert Abrams, M.A., M.D., LL.D.
    Heidelberg University.

    Albert Abrams . Maladies et Longueurs d' ondes (BM7)

    la  technique  qui  permettait  de  diagnostiqué differentes  maladies  à  partir  de l' analyse  d' une goutte  de  sang   avait  déjà  été  développé  par  le  Dr  Albert  Abrams  . 

    Certe  elle  diffère  de  celle  découverte  par  le  CNRS  ,  mais  elle  était  tout aussi  efficace  .

     

    Des biologistes du CNRS, de l’Inserm et des universités Paris Descartes et de Strasbourg viennent de mettre au point une technique capable de déceler les infimes traces d’ADN tumoral présentes dans les fluides biologiques de patients atteints d’un cancer. Une technique qui pourrait devenir une aide majeure pour les oncologues dans l’établissement du diagnostic comme dans l’élaboration du traitement.

    La méthode consiste à réaliser des analyses moléculaires ultra-sensibles dans des gouttelettes microscopiques. Testée avec succès sur des gènes impliqués dans différents cancers dont le cancer du côlon ou la leucémie, Lorsque les cellules tumorales meurent, elles déversent leur contenu dans le milieu extracellulaire. Ce contenu, en particulier l’ADN des cellules, se retrouve ensuite dans les liquides biologiques du patient : le sang, la lymphe, l’urine… Comme le développement de la plupart des cancers fait intervenir des facteurs génétiques, une simple analyse de sang ou d’urine pourrait en théorie révéler la présence d’ADN tumoral et donc d’un cancer. Et ce, dès la mort des premières cellules cancéreuses, donc à un stade très précoce.

    Malgré ces belles promesses, il y a un hic qui explique pourquoi les médecins ne peuvent encore traquer les cancers dans les fluides biologiques : l’ADN tumoral n’y est présent qu’à l’état de traces. Dans le sang, par exemple, il représente moins de 0,01% de tout l’ADN qui s’y trouve sous forme diluée. Or les méthodes d’analyse classiques d’ADN ne sont pas assez sensibles pour détecter de si faibles quantités. C’est tout l’intérêt de la technique qu’ont développée des chercheurs du CNRS, de l’Inserm, de l’université de Strasbourg et de l’université Paris Descartes, en collaboration avec une équipe allemande du Max Planck institute (Göttingen) et une société américaine (Raindance Technologies). Déceler des seuils d’ADN 20 000 fois inférieurs à ce qui se faisait avant en clinique, telle est la prouesse réalisée par cette technique.

    Comment fonctionne-t-elle ? Une première étape consiste à répartir l’ADN extrait d’un échantillon biologique dans des millions de gouttelettes suffisamment petites pour que chacune ne contienne qu’un seul gène cible. Puis, cet ADN est amplifié grâce à des méthodes de multiplication moléculaires modernes. Simultanément, des molécules fluorescentes spécifiques à chaque gène viennent interagir avec l’ADN. Cette phase importante fournira une sorte de code couleur des gènes. Les gouttelettes sont ensuite guidées, une par une, à l’intérieur de sillons de taille microscopique où elles sont analysées par laser : la couleur des molécules fluorescentes révèle alors quel gène se trouve dans la gouttelette. Si cette dernière émet du rouge, par exemple, l’ADN est sain. Si elle est verte, il est tumoral. Si la gouttelette n’émet pas de fluorescence, elle ne contient pas le gène ciblé. Un simple comptage des taches colorées permet alors de connaître la concentration en ADN tumoral.

    Les chercheurs ont appliqué avec succès leur méthode sur un oncogène (gène ayant le potentiel de provoquer un cancer) appelé KRAS (associé à des leucémies et à divers cancers, comme ceux du côlon, du pancréas ou du poumon). L’ADN qui portait ce gène était issu de lignées cellulaires de laboratoire. Reste maintenant à tester le nouvel outil d’analyse dans un cadre thérapeutique. Une étude clinique est d’ores et déjà prévue. Si elle réussit, les médecins disposeront d’une « arme anticancer » efficace, non seulement pour détecter la présence de tumeurs mais également pour proposer des traitements. L’agressivité du cancer, sa sensibilité aux traitements existants et son risque de récidive après un traitement local : toutes ces informations sont en partie écrites dans l’ADN tumoral. En les lisant avec la technique des microgouttelettes, l’oncologue pourrait bénéficier d’un outil d’aide au diagnostic efficace, pour prévoir l’évolution de la maladie comme pour élaborer une stratégie thérapeutique.





     
     


     

    Rejet de greffes . Un mystère élucidé

    17/05/2011 10:47



    Avant  de  lire  le  sujet  suivant  ,  il  serait  interressant  que  vous  jetiez  un  oeil  sur  se  bref  passage  d' un texte  parlant  des  implants  extraterrestres  .

    Rencontres du 4ème type - Implant extraterrestre - Paranormal

    Ce que les analyses ont montré

    Le Dr Leir a déclaré qu’il était étrange que son équipe n’ait pu trouver aucune plaie d’entrée et que la structure moléculaire de la peau des sujets et d’autres tissus n’ait pas été endommagée.
    La découverte intéressante est que la membrane autour des objets était composée de matériel du propre corps des patients avant qu’ils n’aient été insérés. En fait, si la médecine pouvait reproduire cela, nous pourrions réaliser des procédures d’implant sans risque de rejet, a-t-il indiqué.
    les cas exposés par le Dr Leir soulèvent de vraies questions : « Il n’y a pas de réaction inflammatoire autour du corps étranger, ni de rejet, ni d’enkystement. La présence de neurones dans le tissu cellulaire sous-cutané est aberrante. La combinaison de protéines constituant la membrane qui entoure les
    objets est unique en biologie. […] La membrane est dure et insécable, mais se transforme en gelée dans un liquide et devient parfois transparente. On ne trouve pas de cicatrice, de « porte d’entrée » de l’objet sur la peau des hôtes. Les objets sont faits dans des alliages très particuliers de métaux et métalloïdes ; certains sont magnétiques ou magnéto-conducteurs, et virent au vert fluorescent à la lumière
    noire ».

    ET  MAINTENANT  REVENONS  A  NOTRE  SUJET  .

    http://www.dailymotion.com/swf/video/xiq8q6

     

     

    Un mécanisme expliquant en grande partie le rejet de greffe a été démontré en direct et in vivo par des chercheurs français, grâce à des vidéos en 3D réalisées à l’échelle de la cellule.

    Les patients qui reçoivent une greffe –de rein, de foie, de main etc..- doivent prendre des traitements à vie pour éviter que le greffon soit rejeté par leur organisme. Un organe ou un membre issu d’un donneur est en effet considéré par le système immunitaire comme un intrus. Il faut donc réduire la réponse immunitaire pour qu’elle ne fourbisse pas ses armes contre le greffon, au prix d’une moindre défense générale de l’organisme du greffé.

    Pour mieux comprendre les mécanismes du rejet de greffe, et améliorer à terme la prise en charge de ce risque, des chercheurs de l’Institut Pasteur et de l’Inserm, à Paris, ont filmé cette réaction naturelle de défense de l’organisme. A partir d’un modèle animal (une greffe de peau au niveau de l’oreille d’une souris), Philippe Bousso, Susanna Celli et Matthew Albert ont obtenu un film en 3D du mécanisme de rejet de la greffe.

    Grâce à la microscopie à fluorescence à deux photons, qui tire profit de l’absorption de la lumière par les cellules pour les visualiser, ces chercheurs ont observé en direct le ballet des cellules dans les tissus.

    Ils ont ainsi pu prouver l’existence d’un mécanisme important impliqué dans le rejet de greffe. Au niveau du greffon, des signaux d’alerte sont envoyés et déclenchent une réponse inflammatoire, comme en cas d’infection. A ce moment-là, certaines cellules du receveur sont capables de retourner vers les ganglions lymphatiques où elles apportent aux lymphocytes une information clef sur la nature de l’intrus (un antigène). Les lymphocytes, ‘soldats’ du système immunitaire, peuvent alors agir de façon ciblée contre le greffon. Les cellules faisant de constants allers-et-retours, les lymphocytes sont activés en permanence.

    Les cellules du greffon (autrement dit celles du donneur) ne sont donc pas les seules à pouvoir déclencher l’attaque ciblée des lymphocytes. Leur durée de vie est d’ailleurs assez réduite au sein de l’organisme du greffé, puisqu’elles sont rapidement détruites. Le relais effectué par des cellules du receveur explique que le rejet de greffe puisse se manifester des mois après l’opération.
     
    Bousso et ses collègues espèrent que ces travaux, publiés cette semaine dans la revue Nature Medicine, permettront de concevoir des traitements anti-rejets bloquant ces allers-et-retours vers les nœuds lymphatiques.





     
     


     

    Voilà pourquoi certains microbes resisteraient aux antibiotiques

    08/05/2011 20:21



    Ces bactéries Bacillus subtilis, cultivées sur un milieu solide, sont connectées les unes aux autres par des nanotubes membranaires. Ceux-ci, permettent le passage de grosses molécules. Les bactéries sont ici observées par microscopie électronique. © Gyanendra Dubey & Sigal Ben-Yehuda / Hebrew University of Israel
    Des bactéries d’espèces différentes échangent des protéines et de l’ADN via des nanotubes. La découverte pourrait bouleverser l’approche des interactions bactériennes.

    Les bactéries ne cessent d’interagir les unes avec les autres. Par exemple, en libérant des molécules qui agissent comme des signaux sur les bactéries voisines. Ou encore, en entrant en contact grâce à un pilus, un tube protéique très fin qui permet le passage d’ADN.

    Mais le mode de communication que viennent de découvrir Sigal Ben-Yehuda et Gyanendra Dubey, de l’université hébraïque de Jérusalem, est très différent : il s’agit de larges tubes membranaires capables de véhiculer non seulement de l’ADN, mais aussi de grosses protéines [1] . Une découverte qui, si elle est confirmée par d’autres équipes, constituerait une forme de communication totalement nouvelle.

    « C’était accidentel », raconte Sigal Ben-Yehuda. En scrutant des bactéries Bacillus subtilis placées sur son microscope à fluorescence, la chercheuse fait une observation surprenante : certaines bactéries, modifiées génétiquement pour exprimer une protéine fluorescente nommée GFP, semblent transmettre leur brillance à leurs voisines, qui, elles, ne possèdent pas le gène de la GFP.

    Intriguée, elle met au point une série d’expériences destinées à comprendre ce phénomène. Elle constate que des bactéries fixées sur des supports solides construisent entre elles des nanotubes capables de transférer de grosses protéines comme la GFP, ainsi que de l’ADN. Qui plus est, ce type d’échange a lieu même entre bactéries d’espèces différentes, par exemple Bacillus subtilis et Staphylococcus aureus. Les images en microscopie électronique montrent de multiples connexions tubulaires entre bactéries voisines, de 30 à 130 nanomètres de large et d’environ un micromètre de long. Des connexions à l’intérieur desquelles on peut même détecter des molécules de GFP préalablement marquées.

    La chercheuse s’interroge : ces tunnels peuvent-ils véhiculer des protéines de résistance aux antibiotiques ? Avec Gyanendra Dubey, elle cultive deux lignées bactériennes, l’une résistante à l’antibiotique chloramphenicol, l’autre à la lyncomycine. Mises en présence des deux antibiotiques, les deux lignées survivent si elles sont cultivées ensemble, alors que séparément, elles s’éteignent.

    Molécules de résistance

    C’est la preuve qu’elles se transmettent l’une l’autre des molécules leur permettant de résister de façon transitoire. Pour Philippe Noirot, spécialiste de génétique microbienne à l’Institut national de la recherche agronomique : « Si ce phénomène est aussi général que les auteurs le suggèrent, il expliquerait des résistances aux antibiotiques observées chez des bactéries qui n’ont pourtant pas le matériel génétique nécessaire. C’est une découverte stimulante. »

    La publication, accueillie avec un enthousiasme teinté de prudence, suscite de nombreuses questions. Le transport de protéine est-il passif ou actif ? Unidirectionnel ou bidirectionnel ? Les bactéries choisissent-elles leur partenaire ? Quelles substances sont véhiculées ? À Jérusalem, Sigal Ben-Yehuda tente désormais de déterminer les bases génétiques des nanotubes et de visualiser en temps réel le transfert de protéines d’une bactérie à l’autre.





     
     


     

    Albert Abrams . Maladies et longueurs d' ondes

    16/04/2011 20:44



    Albert Abrams : Génie ou charlatan?

     

     

    Albert Abrams ( 1863 - 1924 ) , serait l'un des fondateurs de la radionique. Fils d' un grand propriétaire de San - Francisco , Abrams décidera de se rendre à l' université de Heidelberg pour y étudier les préceptes d'une science vibratoire , qui portera plus tard le nom de Radionique . Ici , il fera la rencontre d'un professeur « De Sauer » , qui un jours lui racontera le fait suivant :

    - alors qu'il s' occupait à transplanter des pousses d' oignons , il avait oublié

    quelques bulbes déracinés à côté d'un autre plant encore en terre dans un

    carré voisin . Deux jours plus tard , les oignons plantés sur le côté du carré

    jouxtant les bulbes déracinés développèrent une pousse différente de celles qui

    se trouvaient à l'extrémité opposé . C' était inexplicable .

    D' après Abrams les racines des oignons émettaient probablement des radiations jusqu' alors inconnue et celles - ci affectaient par leurs taux vibratoires les oignons restés dans le carré de pousse .

    Inspiré par cette expérience insolite , Abrams décida de rentrer aux états - unis pour y enseigner à l' université de Stanford , une médecine hors norme ou il apprendra à ausculter les patients en assenant simplement de petits coups secs sur le corps, pour en obtenir des résonances qui selon ses dires devait refléter l' état de santé du sujet .

    Lors d' une expérience Abrams ,demandera à l'un de ses sujets Ivor de monter sur une estrade et de se mettre torse nu face à l'ouest . Il tapotera légèrement le jeune homme au - dessus du nombril et demandera à ses élèves d' enregistrer la sonorité . Par la suite et pour mieux argumenter sa théorie , il chargera un médecin de prélever un tissus cancéreux , de le fixer sur le front d' Ivor et de le retirer avant de le refixer. Pendant cet opération , Abrams continuait de tapoter l' abdomen d' Ivor.

    La note passait d'une sonorité claire à un son mat , chaque fois que l' échantillon cancéreux était fixée sur le front d' Ivor .

    Un constat qui fera dire à Mr Abrams , que certaines ondes inconnues émises par des tissus malades pourraient être absorbées et enregistrées par des corps humains sains . Une série de réactions électroniques produites par le cancer , la tuberculose , la malaria , les streptocoques , se répercuteraient et s' enregistrerait sur différentes régions du torse d' une personne en bonne santé comme Ivor .

    Le résultat de toute ses expériences inciteront Mr Abrams a fabriquer un appareil qu'il baptisera Réfléxophone . Celui - ci , qui pouvait émettre des sons de tonalités différentes était capable d' interpréter les ondes produite par les tissus malades . Plusieurs maladies furent ainsi détecter

    par une simple lecture de cadran .

    Avec cet instrument , on pouvait diagnostiquer une maladie par l' examen d' une seul goutte de sang . Ce qui devenait invraisemblable pour l' époque .

    Pour confirmer ses dires , Abrams effectuera une expérience particulière .

    Devant une quarantaine de ses élèves ( futurs médecins ) , il éssaiera de démontrer la réaction que déclencherait le sang d' une personne atteinte de malaria .

    Messieurs leurs dit - il , si vous étiez en présence d'une personne atteinte de paludisme , vous lui donnerez tous comme remède de la quinine .

    Et pourquoi cela . Devant le mutisme général , Abrams décida de placer quelques grains de sulfate de quinine là où le sang s' était trouvé dans l' appareil . Il obtiendra une sonorité correspondant à celle de la malaria .

    Par la suite , il décida de placé le sang affecté par le paludisme dans le récipient avec un grain de quinine enveloppé dans de la soie .

    Cette fois la sonorité qui avait donné le ton mat de la malaria , produisit une tonalité des plus claire .

    Les radiations émises par la quinine auraient annulé celles qui provenaient du sang paludéen .

    Un émetteur d' ondes pourrait annihiler les radiations émises par toute sortes de maladies .

    Abrams finira par fabriquer un oscilloclaste , avec l' aide d'un ingénieur électronicien « Samuel O . Hoffman . Cette appareil émettait des ondes spécifiques capable de guérir les maladies humaines . Ils annulaient les radiations émises par les différentes affections .

    The Original Abrams Oscilloclast (image courtesy of Duncan Laurie)



    Dés 1919 , Abrams en enseignant l' usage à des médecins qui s' émerveillaient devant une tel technologie miraculeuse .







     
     

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