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Cécité de la vue . Nouvelle therapie
08/02/2011 10:22
- Après avoir découvert le rôle d’une enzyme dans la perte de vision chez des personnes atteintes de DMLA, des chercheurs sont sur la piste de nouveaux traitements contre cette maladie.
La DMLA est une maladie dégénérative de la rétine, évolutive, qui débute après 50 ans.
Les personnes atteintes de DMLA sèche pâtissent en effet d’une perte de la vision centrale : une tache sombre se développe au cœur du champ visuel, gênant les déplacements et la reconnaissance des visages, empêchant la lecture, la conduite. etc…
La perte de vision centrale, ou atrophie géographique, est la conséquence de la destruction de cellules de la rétine. L’équipe de Jayakrishna Ambati, de l’université du Kentucky (États-Unis), a découvert que dans le cas de la DLMA cette atrophie était liée à l’absence d’une enzyme, DICER-1, dans la rétine. Cette enzyme joue en effet un rôle de contrôle : elle évite qu’une autre molécule s’accumule dans l’œil.
Cette seconde molécule est un ARN, dit ARN Alu, qui est toxique pour les cellules rétiniennes, ont découvert Ambati et ses collègues, qui publient leurs résultats aujourd’hui dans la revue Nature (AOP). Quand le niveau de l’enzyme DICER-1 diminue, trop d’ARN Alu s’accumule, conduisant à la mort des cellules de la rétine. 
En haut à droite, les flèches bleues pointent l'atrophie liée à une baisse de l'enzyme DICER-1. La dégénerescence des cellules rétiniennes est visible (en bas à droite). A gauche cette destruction est évitée en bloquant l'ARN Alu. (Ambati Laboratory/University of Kentucky)
Les chercheurs ont aussitôt mis sur pied des stratégies pour lutter contre l’atrophie, soit en stimulant l’expression de l’enzyme DICER-1, soit en bloquant l’ARN Alu à l’aide d’une molécule dite «antisens» qui se lie à l’ARN et le dégrade.
Les premiers essais en laboratoire ont montré que les deux approches étaient efficaces. Les chercheurs espèrent pouvoir tester ce nouvel espoir thérapeutique sur des patients d’ici la fin de l’année dans le cadre d’un essai clinique.
La DLMLA est la principale cause de cécité chez les plus de 50 ans dans les pays riches.
Cécile Dumas Sciences et Avenir.fr 07/02/11
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Un pîstolet à peau qui va révolutionner les greffes de peau
03/02/2011 12:16
Ce pistolet à peau va révolutionner les greffes [Edit] - 20minutes.fr
Ce pistolet à peau humaine n’est plus une affaire de Science-Fiction, il s’agit d’un dispositif médical encore à l’état de Prototype qui produit néanmoins déjà des miracles.
Capable de pulvériser des cellules de peau sur les brûlures de patients pour provoquer la repousse du derme, le dispositif pourrait révolutionner les techniques de greffe.
Révolutionner les techniques, mais également changer la vie des patients, puisque là où une greffe de peau nécessite des prélèvements, une mise en culture et une application pour des délais s’étalant sur plusieurs semaines, ce Spray ne nécessite qu’une heure.
Déjà présenté en 2008, ce pistolet avait laissé sceptique une grande partie de la presse et du monde médical quant à son efficacité et sa rapidité.
Bien qu’à l’état de prototype, le pistolet à déjà traité et soigné avec succès plus d’une douzaine de patients brûlés.
Le système de greffe par vaporisation fonctionne ainsi : des chirurgiens prélèvent un peu de peau du patient pour en extraire les cellules souches. Ces cellules souches sont ensuite isolées et mélangées avec une solution permettant le développement de celles-ci.
Puis la solution obtenue est directement vaporisée sur les brûlures du patient, à la manière d’une peinture en spray.
Là où les techniques habituelles prennent en moyenne 21 jours pour de culture, le Spray permet de réaliser une culture directement sur la peau du patient, ce qui réduirait à 5 jours la cicatrisation et la reconstitution de la peau.
Des études faites en laboratoire montrent également qu’en cas de brûlure sérieuse, les risques de cicatrices et de complications liées à la greffe augmentaient à partir de 10 jours.
En voyant le résultat sur la patiente de la vidéo, autant dire que nous sommes convaincus … les cicatrices sont quasi inexistantes.
La généralisation de cette technique pourrait permettre de limiter la souffrance des patients, tout en limitant l’impact psychologique d’avoir à supporter des traces de brulures ou de greffes le restant de leur vie.
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Un espoir pour les diabétique Type 1
31/01/2011 14:49
La neutralisation d’une hormone impliquée dans la régulation du sucre permet de supprimer les symptômes du diabète chez des souris.
Les liens ci - dessous vous expliquent ce qu' est le diabète .
http://www.youtube.com/watch?v=W0wAx6bp1HA
http://www.youtube.com/watch?v=JkvNjMkv2GI
INSULINE ET GLUCAGON EN REGLE GENERALE
Les îlots de Langerhans, cellules du pancréas qui sécrètent l'insuline. (Inserm)
En neutralisant l’action du glucagon -une hormone produite par le pancréas- chez des souris, des chercheurs de l’Université du Texas (Etats-Unis) ont montré que l’insuline devenait superflue et que son absence ne provoquait pas le diabète.
Nous avons tous été élevés dans l'idée que l'insuline est l'hormone toute-puissante, sans laquelle la vie est impossible, mais ce n'est pas le cas", a déclaré le Dr Roger Unger, professeur de médecine interne et auteur principal de l'étude publiée en ligne et dans le numéro de février du journal Diabète.
Le traitement par l'insuline a permis d’améliorer grandement la prise en charge des diabétiques de type 1 (insulino-dépendant) mais il ne permet de guérir la maladie ni de restaurer une tolérance au sucre normale. Ces nouveaux résultats montrent que l'élimination de l'action du glucagon restaure la tolérance au glucose.
Normalement, le glucagon est libéré lorsque la glycémie, le niveau de sucre dans le sang, est faible. Chez les diabétiques n’étant plus compensée par l’insuline, l’hormone entraine une production trop importante de glucose par le foie. Dans cette étude, les scientifiques montrent que des souris génétiquement modifiées pour ne pas posséder de récepteur au glucagon ni de cellules productrices d’insuline n'ont pas développé de diabète.
"Ces résultats suggèrent que si vous n'avez pas de glucagon, alors vous n'avez pas besoin d'insuline" a déclaré le Dr Unger, également médecin au Centre de Dallas. Selon les scientifiques, en parvenant à bloquer l’action du glucagon chez l’Homme on parviendrait à réduire les injections d’insuline et même peut-être les supprimer totalement.
Qu' est -ce que le glucagon?
Le glucagon est aussi une hormone, il est donc fabriqué par des cellules spécialisées, qui dans ce cas-ci appartiennent aussi aux ilots de langerhans du pancréas, mais sont différentes de celles qui produisent l'insuline: ce sont les cellules alpha, ensuite le glucagon est déversé dans le sang et transporté par lui pour agir sur des cellules situées a distance.
A quoi sert-il?
Le glucagon exerce essentiellement les effets inverses de ceux de l'insuline lorsque l'organisme a besoin de glucose, c'est le glucagon qui le détache du glycogene du foie et le fait sortir de cet organe le glucose arrive ainsi dans la circulation: le taux du glucose dans le sang, ou glycémie, s'éleve, on dit que le glucagon est une hormone hyperglycémiante.
INSULINE ET GLUCAGON
Deux hormones antagonistes, l'insuline et le glucagon, jouent un rôle essentiel pour maintenir la glycémie entre 0,8 et 1,2 g/L
En cas d'hyperglycémie , lorsque le taux de glucose est supérieur à 1g/litre de sang, les cellules endocrines du pancréas (situées au niveaux des îlots de Langerhans) libèrent des molécules d' 'insuline dans le sang . Lorsque ces molécules arrivent au foie , elles sont reconnues par des recepteurs spécifiques situés sur la membrane des hépatocytes et vont déclencher: - la transformation du glucose en glycogène en provoquant l'activation d'une enzyme, la glycogène synthétase. - l'accroissement des entrées de glucose dans les adipocytes du foie où il sera mis en réserve ( notamment sous forme de tryglycéride ) .
En cas d'hypoglycémie , lorque la concentration de glucose est inférieure à 1g/ litre de sang , c'est une autre hormone , le glucagon" qui est sécrétée par le pancréas . Le glucagon agit de manière symétrique pour augmenter la glycémie. La libération de glucagon, par les cellules endocrines du pancréas provoquera dans les cellules hépatiques, la transformation inverse glycogène => n molécules de glucose (qui passeront dans le sang ) et aussi elle bloquera l'entrée de glucose au niveau de la membrane des adipocytes du foie.
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L' Horloge Biologique
01/01/2011 10:07
La chronobiologie
Les secrets de la chronobiologie - Conseils Santé et Nutrition ...
La chronobiologie est une branche de la biologie, née aux USA dans les années 60, à la suite des travaux réalisés par Van Halberg pour les vols spatiaux de la NASA. Elle s’intéresse aux fluctuations dans le temps des divers paramètres physiologiques.
France 5 : Le magazine de la santé - L'horloge biologique (Dossier ...
Les deux liens suivant nous expliquent l' importance du cycle circadien ( horloge biologique ) dans les traitement anti - cancereux et autres maladies .
horloge biologique : au rythme de l'adn
Chronothérapie: Horloge biologique et traitement anti-cancer - Doc
Quand la lumière rythme notre horloge biologique
Voilà quatres liens vidéo qui vous parlent de l' Horloge Biologique et son influence sur notre organisme . Des chercheurs ont entre - autre découvert que la prise de certains médicament devaient se faire à certaines heures de la journée . Des heures qui correspondraient à des cycles cellulaire que l' horloge biologique prédeterminerait . Voir les vidéo suivantes pour plus de comprehension .
http://www.dailymotion.com/swf/video/xc9q9u_1x4-les-secrets-de-l-horloge-biolog_tech?additionalInfos=0
http://www.dailymotion.com/swf/video/xc9pyu_2x4-les-secrets-de-l-horloge-biolog_tech?additionalInfos=0
http://www.dailymotion.com/swf/video/xc9pq8_3x4-les-secrets-de-l-horloge-biolog_tech?additionalInfos=0
http://www.dailymotion.com/swf/video/xc9pjr_4x4-les-secrets-de-l-horloge-biolog_tech?additionalInfos=0"
Nous avons tous en nous une "horloge biologique". Son rythme est influencé par de nombreux facteurs, dont le principal est la lumière. Mais comment marche cette pendule ? De quelle manière est-elle influencée par la luminosité ambiante ?
A l’instar de presque tous les animaux terrestres, nous vivons selon un rythme. Cela signifie que certains phénomènes biologiques, comme l’alternance veille/sommeil, se répètent à intervalles réguliers dans le temps. Ce rythme, dont la période est d’environ 24 h, est dit "circadien". Défini génétiquement, le rythme circadien est synchronisé par différents facteurs de notre environnement, le plus important d’entre eux étant la lumière.
Influence de la lumière sur notre organisme
Arrivant directement sur la rétine de l’oeil, la lumière emprunte une voie jusqu’à une partie du cerveau, l’hypothalamus, où se trouve l’horloge biologique. Cette dernière est reliée à de nombreuses autres horloges- situées dans divers tissus périphériques- et coordonne leur activité. Ainsi, en agissant sur notre organisme via l’hypothalamus, la diminution, l’absence ou la survenance de lumière a une influence sur divers phénomènes tels que la synthèse d’enzymes et d’hormones, notre rythme d’éveil et de sommeil, notre température centrale ou encore notre production d’urine (pour ne pas avoir à se lever la nuit pour aller aux toilettes…). Ainsi notre exposition à la lumière nous fait produire de la sérotonine, qui est un neurotransmetteur énergétique. Cela a donc pour conséquence d’interrompre les phénomènes liés au cycle du sommeil et de nous éveiller.
Quand le jet-lag dérègle l’horloge biologique
La lumière aide notre organisme à être en synchronisation sur l’heure de la journée. Lorsque nous voyageons, surtout dans des pays lointains, le fuseau horaire change et notre horloge biologique s’en trouve bouleversée. Ainsi, apparaissent des troubles du rythme circadien et des symptômes physiques et psychologiques surviennent. Les plus courants sont la fatigue, les problèmes de sommeil, les troubles de l’humeur, une baisse des facultés cognitives ou encore les malaises gastro-intestinaux.
La lumière et le rythme des saisons
La lumière aide aussi notre organisme à être en adéquation avec les saisons. Ainsi, le passage à l'hiver perturbe notre rythme biologique puisque le niveau de luminosité, pendant cette saison, est bien inférieur au niveau nécessaire pour maintenir notre équilibre biologique. Cela peut se traduire, chez certaines personnes, par un changement d'humeur et conduire à ce que l'on appelle la dépression saisonnière .
La luminothérapie pour régler l’horloge biologique
Lorsque la lumière est présente ou absente à des horaires anormaux, elle entraîne la production de mauvaises hormones à la mauvaise heure et, par conséquent, dérègle l’horloge biologique. La luminothérapie consiste à s’exposer à une source de lumière spécifique, semblable à la lumière naturelle, directement au niveau des yeux. Elle a pour effet de recaler cette horloge biologique sur une phase normale et de lui permettre de déclencher à nouveau la production des hormones adéquates au bon moment. Une petite cure de lumière pour remettre les pendules à l’heure en quelque sorte...
Capucine Junguenet Mis à jour le 30 avril 2010
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Sida . Une guerison grace à la greffe de cellules souches
20/12/2010 09:09
Le virus du sida.
gettyimages/Michael Freeman
Pour la première fois, un patient américain a guéri du sida, trois ans après avoir reçu une greffe de cellules-souches
C'est ce qu'ont révélé des chercheurs de l'université de médecine de Berlin, dont les recherches ont été publiées mercredi dans la revue professionnelle Blood.
Modérant les espoirs, ces scientifiques ont prévenu que ces résultats ne pouvaient pas être généralisés à la totalité des 33 millions de personnes infectées par le sida dans le monde.
Le patient guéri, âgé d'une quarantaine d'années et porteur du virus depuis dix ans, a en été traité en 2007 pour une leucémie grâce à une greffe de cellules-souches prélevées dans la moelle épinière d'un donneur aux caractéristiques génétiques rares l'empêchant de contracter le sida.
Ce type de caractéristiques génétiques ne se rencontrent que chez 1% de la population blanche et avant de trouver le bon, son médecin allemand Gero Hutter, a rejeté des dizaines de donneurs potentiels.
Dès la fin 2008, une première étude avait montré que le sida n'était pas réapparu chez ce patient, malgré l'arrêt de son traitement par anti-rétro viraux. Trois ans plus tard, les médecins n'ont pas retrouvé trace du virus dans son corps.
Les spécialistes du sida circonspects Mais, dans la mesure où 30% des patients en moyenne ne survivent à une greffe de la moelle épinière, les spécialistes du sida se montrent néanmoins très prudents.
La greffe de moelle réclame la destruction préalable des cellule immunitaires défaillantes du patient - processus en soi très délicat - avant la greffe provenant d'un donneur présentant des caractéristiques sanguines et immunitaires pratiquement identiques à celles du malade.
De longs mois de convalescence sont nécessaires, le temps que la greffe prenne et que le système immunitaire du patient se reconstitue. "C'est peu commode et cela peut provoquer la mort", observe le Dr Robert Gallo de l'Institut de virologie humaine de l'université du Maryland.
Un espoir mais de nouvelles recherches devront être menées "Il faut beaucoup plus de recherches pour essayer de reproduire ce résultat sans mettre des vies en danger", a estimé Karen Tashima, directrice du programme d'essais cliniques VIH au Miriam Hospital dans le Rhode Island (nord-est).
"Les anti-rétro viraux sont efficaces pour contrôler le virus, il ne serait pas déontologique de soumettre des malades à un traitement aussi extrême", a-t-elle ajouté.
La directrice de l'étude, Kristina Allers, reconnaît d'ailleurs que la procédure ne peut être répétée sur la plupart des patients. "Néanmoins, un traitement contre le sida est possible et cela donne de nouveaux espoirs aux scientifiques", estime-t-elle, jugeant que "le prochain défi sera de transposer notre découverte dans des formes de traitement moins dangereuses".
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