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La racine de Pissenlit plus efficace que la Chimiothérapie ?
22/05/2015 14:10
Cette plante est négligée, voire détruite, et tout ce que vous avez à faire est de la ramasser, juste à l’écart des routes.
Les scientifiques ont confirmé que la racine de cette plante est plus efficace que la chimiothérapie car les traitements chimiques détruisent toutes les cellules, alors que la racine de pissenlit ne tue que les cellules cancéreuses.
Elle a par ailleurs des propriétés diurétiques, elle stimule la sécrétion de bile, nettoie le foie, les reins, offre une aide pour les conditions allergiques et réduit le cholestérol. Elle contient des vitamines très importantes comme la vitamine B6, la thiamine, la riboflavine, la vitamine C, et aussi du fer, du calcium, du potassium de l’acide folique et du magnésium.
Elle contient 535% des apports journaliers de vitamine K et environ 110% des apports journaliers de vitamine A. Ces faits sont connus depuis des décennies.

Un groupe de chercheurs du département de chimie et de biochimie à l’Université de Windsor, au Canada, a mené la recherche initiale et les résultats ont suscité un nouvel espoir pour tous ceux qui souffrent d’un cancer. La racine de pissenlit s’est avérée efficace pour tuer les cellules cancéreuses, sans endommager les cellules saines. Siyaram Pandey, biochimiste à l’université de Windsor, était sceptique lorsqu’une oncologue, le Dr Caroline Hamm lui a suggéré d’entreprendre cette recherche. Elle avait remarqué que quelques patients souffrant du cancer qui avaient bu des infusions de pissenlit semblaient aller bien mieux.

Siyaram Pandey a commencé cette recherche depuis plus de deux ans en travaillant avec des échantillons de sang leucémique et les effets d’extraits de racine de pissenlit. Lui et le Docteur Hamm ont eu la surprise de constater que les cellules leucémiques d’une forme très agressive connue sous le nom de leucémie myéloïde chronique monocytaire étaient conduites à l’apoptose, ou suicide de ces cellules. Les cellules cancéreuses, anaérobie, sont conduites à l’apoptose en présence d’une forme d’oxygénation ou d’alcalinisation.
Plus surprenant encore, ils ont constaté que les cellules non cancéreuses restaient intactes. En d’autres mots, l’extrait de racine de pissenlit ne ciblait que les cellules cancéreuses, ce qui n’est pas vrai de la chimiothérapie qui tue tout sur son passage.
Ils ont expérimenté avec d’autres types de cellules cancéreuses in vitro (des cultures de laboratoire) et ont trouvé les mêmes résultats. Aux fonds de 60 000 dollars qui leur avaient été initialement alloués, ont été ajoutés 157 000 dollars, pour atteindre 217 000 dollars.
L’infusion de racines de pissenlit désintègre les cellules atteintes en 48 heures, et selon ce que les chercheurs ont trouvé, pas une seule cellule saine n’a été affectée. Les chercheurs en déduisent qu’un traitement continu avec cette racine peut détruire la plupart des cellules cancéreuses, et au vu de ces résultats, l’équipe de chercheurs a reçu des fonds pour poursuivre la recherche sur cette plante miraculeuse.

John DiCarlo, 72 ans, qui est personnellement convaincu des propriétés curatives du pissenlit, a subi des traitements de chimiothérapie intensifs et agressifs dans sa lutte contre le cancer. Au bout de 3 ans, les médecins lui ont fait quitter l’hôpital pour qu’il passe ses derniers jours avec sa famille.
Les médecins luttaient pour trouver une solution efficace pour lui, mais ils avaient peu d’options. Ils ont conseillé à cet homme de boire des infusions de racine de pissenlit, car c’était pour lui la dernière chance dans son combat contre la leucémie. Au bout de quatre mois, il est retourné à la clinique. Il était en rémission, ce qui signifie que le cancer a commencé à régresser, et a fini par disparaître. Cela fait trois ans qu’il est guéri du cancer. Il a dit que son médecin attribue cette guérison aux racines de pissenlit. DiCarlo a été interviewé par CBC News pour faire connaître ce succès.
C’est également ce qui s’est produit pour le fermier George Cairns des USA. Il a guéri son cancer de la prostate très douloureux avec de la poudre de racine de pissenlit. Il a ensuite rédigé les instructions dans un journal local. Il a pris cette infusion pendant 3 ans et ses douleurs avaient commencé à disparaître quelques jours après le début de sa cure. Maintenant, il a 80 ans et il est complètement guéri.
Il indique qu’il a broyé les racines mécaniquement, pas avec un appareil électrique, et qu’il a pris une tasse par jour du mélange, avec de l’eau ou un jus fait maison – jamais avec un soda ou des boissons chaudes.
Il est possible également de simplement réduire la racine en petits morceaux et d’en faire une décoction: porter à ébullition; dès ce moment, baisser le feu et laisser mijoter pendant 15 ou 20 min.
Le nombre de tasses à prendre chaque jour dépend des réactions individuelles. George Cairns n’en prenait qu’une tasse par jour.
La fraîcheur et la qualité de tout remède botanique est d’une importance vitale. George Cairns indique qu’il est important de laisser un tout petit peu de terre sur la racine car celle-ci contient également des bactéries bénéfiques.
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En utilisant le test de grossesse de sa copine il se découvre un cancer des testicules
21/05/2015 22:43

Byron, un jeune homme d’une vingtaine d’années, est passé à côté d’une tragédie grâce à une simple blague. Un jour, il trouve un test de grossesse chez lui, appartenant à sa copine, et pour rigoler, il décide de l’utiliser.
Il fait alors pipi dessus, mais à son grand étonnement, deux barres apparaissent sur le test, ce qui veut normalement dire qu’il est enceinte . Bien sûr, il était impossible qu’il le soit réellement, mais la bizarrerie de la chose le pousse à poster une photo du test sur Reddit.
Dans les commentaires, quelqu’un lui dit : « Si c’est vrai, tu devrais te faire dépister pour le cancer des testicules ». Par chance, il avait son rendez-vous annuel chez le médecin peu de temps après, et lui en parle alors. Après une série de tests, il s’est en effet confirmé que Byron était atteint du cancer des testicules.
L’ayant détecté à temps, il a pu être traité rapidement et est aujourd’hui complètement guéri ! Une succession d’événements incroyables qui a sauvé la vie de ce jeune homme.
L’explication est en fait que les tests de grossesse recherchent la présence de la chronique gonadotrope humaine, une hormone produite dans le placenta de la femme. Il se trouve que cette hormone se trouve aussi chez les hommes atteints du cancer des testicules. Une heureuse coïncidence !
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L' impression 3D d' une prothèse trachée à permit de sauver 3 bébés
16/05/2015 10:26

3 ans après leur opération, les trois bébés atteints de trachéomalacie se portent bien. Leur prothèse imprimée en 3D, qui leur a permis de soutenir leur trachée, a fini par se résorber naturellement. Les médecins avaient eu l’autorisation de les opérer en urgence.
Âgés à l’époque de 3, 5 et 16 mois, leurs bronches et leur trachée avaient été scannées en 3D afin d’imprimer une prothèse qui colle parfaitement à leur système respiratoire. Atteints de trachéomalacie, une maladie des voies respiratoires qui touche près d’un nouveau-né sur 2000 dans le monde, ils n’auraient pas pu survivre si cette chance ne leur avait pas été donnée. Aujourd’hui, le premier sauvé, Kaiba, « est actif, va à l’école maternelle et a un bel avenir », d’après le Docteur Glenn Green, professeur de pédiatrie à l’Hôpital pour enfants de l’Université du Michigan et qui était chargée de l’opération.
« Nous avons pu pour la première fois utiliser l’impression en trois dimensions pour concevoir et fabriquer sur mesure une attelle qui a été cousue autour de la trachée défaillante et qui a permis de restaurer la respiration normale des patients », déclare le Dr Green.
Le matériau bio-polymère avec lequel la prothèse a été fabriquée avait la capacité de s’adapter à la croissance de l’enfant, avant de se résorber au bout de quelques années. Ayant constaté un meilleur fonctionnement des voies respiratoires chez les trois petits, les chercheurs envisageraient aujourd’hui d’étendre le procédé à d’autres enfants atteints de trachéomalacites moins graves.
Un an et demi après ces opérations, une réplique de cœur avait permis de sauver la vie de Roland, âgé de 1 an en février 2014. En septembre dernier, une copie du cerveau de Gabriel, un jeune garçon américain atteint d’épilepsie grave, avait permis de séparer ses deux hémisphères cérébraux et ainsi de stopper ses crises, sans commettre de dégâts. À l’instar de ces exemples, l’impression d’organes en 3D est vouée à sauver encore un grand nombre de vies.
Source : Science et Avenir
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Imprimante 3D et don d' organe
11/05/2015 16:26
https://youtu.be/AvQQAGRGhSk
Chaque année, de nombreux patients décèdent faute de ne pouvoir recourir à une transplantation d’organes vitaux. Les dons d’organe restent en effet bien en deça de la demande. Mais voici un outil, l’imprimante 3D, qui pourrait bien redonner espoir. Imprimer en trois dimensions un rein, un coeur, ou un foie… L’idée semble relever de la science-fiction, et pourtant, ce procédé permet de produire des tissus des muscles et des poumons, à partir de l’impression d’une fine pâte comtenant des cellules humaines. Cette technique, aussi prometteuse pour les tranplantations que pour les tests de nouveaux médicaments, a été mise au point par une équipe de chercheurs de San Diego, en Californie. Leur start-up, baptisée Organovo, dispose de l’une des premières bio-imprimantes au monde. Les voilà donc aptes à reproduire des tissus musculaires humains, qu’on distingue à peine de ceux qu’on prélève sur le corps humain. « En fait elle imprime du matériel grâce à ces deux têtes, explique le directeur d’Organovo Keith Murphy. On a d’un côté les cellules… et de l’autre du gel…on a une précision de 20 microns…… Ainsi vous imprimez des cellules, elles se joignent alors en 3 dimensions pour créer un morceau de tissu. » La synthèse de tissus humains a lieu derrièredans un espace stérile où travaillent une trentaine d’ingénieurs et de biologistes. L’encre est extraite de cellules souches, prélevées sur des tissus adipeux ou de la moelle osseuse. Elles sont ensuite éises en culture, car il en faut des millions pour créer ne serait-ce qu’un millimètre de tissu. Les cellules sont assemblées en différentes couches, elle vont ensuite grandir et d’interagir de manière à former un tissu musculaire fonctionnel, vivant, et semblable à celui du corps humain. L’impression se limite pour l’instant aux muscles cardiaques, poumons et vaisseaux sanguins. Le coeur et le le fois n’ont pas encore fait l’objet d’expérimentations. « Si vous n’avez pas la capacité de créer des vaisseaux sanguins alors vous êtes limités dans ce que vous pouvez faire, reprend Keith Murphy. Pour l’instant on ne peut travailler que sur des surfaces millimétriques. Mais le jour où on pourra imprimer un réseau sanguin sur une surface plus large alors on pourra travailler des tissus plus grands. » Le point fort de cette médecine régénérative, c’est que le risque de rejet par le patient est nul, puisque les cellules sont prélevées sur son corps. Cette technologie ambitionne, à terme, de répondre à la pénurie d’organes vitaux, « C’est très difficile de dire combien de temps cela prendra, évidemment il y encore d’énormes recherches à faire, mais aussi des expérimentations, et des études cliniques, et tout cela prendra du temps », avance le vice-président d’Organovo Michael Renard. Cette technologie intéresse vivement l’industrie pharmaceutique. De nombreux tests de nouveaux médicaments, effectués sur les animaux, ne produisent pas du tout les mêmes effets une fois testés sur des cobayes humains. Les animaux diffèrent en effet du tissu humain. Mais la perspective de remédier au déficit d’rganes vitaux en vue des tranplantatin est également très prometteuse. Reste à la start up de pouvoir aboutir à la synthèse d’organes complets.
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Imprimante 3D . Fabriquer des organes biologiques ?
11/05/2015 16:17
https://youtu.be/h9OBbsLYGOE
Il y a plus de 15 ans Luc Besson met en scène un 23e siècle futuriste. Voitures volantes, navettes spatiales… réplicateur biologique. A partir d’un fragment de son corps, l’héroïne Leelo est entièrement synthétisée. Fantasme d’adolescent amoureux de science-fiction nous étions-nous exclamés. Et pourtant… La bio-impression est déjà parmi nous.
Utiliser des cellules pour imprimer en 3D, c’est possible
Vers la fin des années 1990 la bio-impression pointe déjà le bout de son nez. Des scientifiques de l’institut de médecine regénérative de Wake Forest parviennent ainsi à synthétiser les blocs de construction nécessaires à la culture d’une vessie humaine. Puis, vers le début des années 2000 Thomas Boland, bioingénieur à l’université de Clemson, réussit à modifier les imprimantes à jet d’encre pour fabriquer des objets en 3D à base d’encre biologique. En 2007 est fondée une des premières entreprises spécialisée dans la bio-impression : Organovo. Grâce à son imprimante biologique NovoGen MMX, l’entreprise est maintenant en mesure de fabriquer un tissu organique en 3D. Cette PME de 30 personnes est aujourd’hui valorisée sur la bourse à “seulement” 700 millions de dollars. Prothèses de membres, de crânes, organes… les expérimentations se multiplient à toute vitesse flirtant avec les limites toujours plus grandes d’une imagination dont les frontières sont constamment repoussées. La conquête de l’impression biologique a bien débutée, menée par des pionniers que sont les entreprises comme Organova qui se concentrent sur l’impression biologique et les chercheurs universitaires comme Dr. Anthony Atala.
Passer de l’impression 3D d’un objet à un organe fonctionnel semble constituer un pas de géant. Les procédés en jeu sont pourtant quasiment similaires : les imprimantes 3D utilisent des cartouches et des têtes d’impression qui projettent de l’encre couche par couche sur un support. A quelques détails clés près…
1. Un organe est spécifique à chaque individu
Dans un processus “classique” d’impression 3D l’objet est modélisé via un logiciel . Ce processus est-il transposable à des organes dont il faut appréhender la complexité et les spécificités propres à chaque individu? Pour contourner cette contrainte des chercheurs de l’université de Louisville ont réussi à exploiter le scan du coeur d’un jeune garçon. Des sites webs comme Instructables proposent d’ailleurs des tutoriaux décrivant la méthode à utiliser pour convertir un scan en modèle 3D imprimable. Chercheurs et ingénieurs sont donc désormais en mesure d’exploiter un scan ou une IRM pour le traduire en modèle utilisable par l’imprimante 3D. Comment l’organe est-il alors fabriquer couche par couche ?
2. Il existe différentes techniques d’impression
Les expérimentations menées à l’université de Wake Forest se sont inspirées de l’imprimante à jet d’encre classique pour concevoir un dispositif utilisant une bio-encre. Lors des premiers essais, les cellules étaient placées dans de véritables cartouches d’imprimante, puis l’imprimante était programmée pour disposer les cellules dans un ordre prédéfini. Aujourd’hui, l’université a optimisé sa technologie et expérimente l’impression de cellules de peau directement sur des blessures. Cartilage, os, cornée… les applications sont nombreuses.
A l’institut d’innovation cardiovasculaire de l’université de Louisville, le docteur Stuart Williams s’inspire du processus de fabrication… d’un avion. Le cœur n’est pas synthétisé from scratch mais assemblé. Chaque “pièce” maîtresse : les valves, les vaisseaux sanguins, le système nerveux… est construite puis déposée à sa place. Plutôt que de construire un tissu par couches successives comme dans un processus lambda d’impression 3D, un robot à 6 axes d’impression synthétise en parallèle plusieurs fragments du muscle cardiaque.
Enfin, l’imprimeur biologique NovoGen MMX utilise deux têtes d’impression. La première agence des couches cellulaires. La seconde sépare les couches via un hydrogel pour homogénéiser le tissu. Les cellules sont ensuite fusionnées dans un incubateur grâce à du collagène, à la suite de quoi elles commencent à “travailler” ensemble comme un vrai organe. Le tissu humain est donc fabriqué par impression d’un matériau à base de gel, qui crée une structure dans laquelle sont injectées les cellules, qui peuvent alors se développer. Cette technologie permet de concevoir des tissus organiques d’une grande stabilité cellulaire. Ces derniers s’avèrent plus performants que ceux d’origine animale utilisés habituellement. Toutefois, cette technique pose quelques difficultés car les tissus doivent être continuellement alimentés en sang pour rester vivants, ce que ne permet pas par défaut l’imprimante.
3. Le recours à des bio-encres et des cellules souches
Et si l’utilisation de cellules souches comme matière première constituait un autre pas de géant? Ces dernières sont pluripotentes. Autrement dit, elles sont en mesure de se différencier pour se spécialiser en cellules osseuses, cardiaques…
Alan Faulkner-Jones et son équipe ont exploité cette aptitude et développé une imprimante alimentée par de la bio-encre constituée de cellules souches immergées dans un milieu cellulaire. En superposant deux couches de minuscules gouttelettes contenant des cellules souches et le milieu cellulaire, les chercheurs se sont aperçus, 24 heures après l’impression, que 95% des cellules étaient encore vivantes. Trois jours plus tard 89% des cellules étaient vivantes et toujours pluripotentes. D’autre part elles ouvrent la voie vers une médecine régénérative. Les chercheurs de l’université de Nottingham au Royaume-Uni ont ainsi expérimenté le remplacement d’os en pleine croissance. Ces derniers sont enduits de cellules souches qui se transforment en tissu avec le temps.
Et si dans 10 ou 20 ans l’articulation de votre genou était usée et que vous souffriez d’arthrose ? Et si dans ce futur, les docteurs étaient en mesure de scanner votre jambe et de bioimprimer une articulation en titane parfaitement identique à l’originale ? S’ils pouvaient bioimprimer et remplacer vos ligaments en utilisant un échantillon de vos propres cellules ? Un futur qui se rapproche et semble atteignable mais dont le chemin est encore pavé d’embûches.
Un scénario prospectif de disruption de la santé
La plupart des organes imprimés jusqu’ici ne sont pas fonctionnels ou survivent quelques jours. Une équipe de bioingénieurs de l’université de Cornell est parvenue à créer une oreille à partir de cellules vivantes en 2013. Le rein d’Organovo a fonctionné pendant 40 jours. Des chercheurs chinois développent également des reins mais la durée de vie est pour l’instant limitée à 4 mois.
Les avancées sont prometteuses et les recherches nombreuses car les enjeux sont énormes. La technologie a le potentiel de révolutionner le marché de la santé et particulièrement le secteur pharmaceutique en résolvant un enjeu clé : disrupter le long et dispendieux processus de recherche et développement de nouveaux traitements. Les coûts de recherche et développement de nouvelles thérapies évoluent sur une courbe ascendante depuis plusieurs années, faisant parallèlement diminuer constamment les ROI. A tel point que certaines compagnies réduisent voire suppriment leurs départements de recherche pour les outsourcer. Les champions de la bioimpression tels qu’Organovo ou le Docteur Atala travaillent à développer des plateformes en mesure de bioproduire des tissus humains fonctionnels qui trouveraient leur application dans les tests médicaux. Quels sont les scénarios envisagés ?
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