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Découverte de l' interrupteur immunitaire
14/10/2011 22:04
En révélant comment les cellules répondent à de nombreux virus, dont ceux de la grippe, de la rage et des hépatites, l’étude publiée aujourd’hui dans la revue scientifique Cell, fait la lumière sur une étape clé du fonctionnement du système immunitaire inné.
Dès qu’un germe étranger pénètre dans le cytoplasme, la cellule le reconnaît puis déclenche en effet une alarme immunitaire ultrarapide qui alerte les cellules voisines de la présence du danger. Jusqu’à présent les chercheurs ignoraient comment la connexion entre la reconnaissance et la signalisation se passait.
C’est désormais chose faite et c’est une petite protéine, RIG-I, qui est au centre de ce système d’alarme. Lors d’une infection, RIG-I reconnait le matériel génétique des virus - en particulier l’ARN - et commande alors la production d’interférons, messagers défensifs clés de la lutte contre les virus, à la cellule. Les interférons sont ensuite détectés par les cellules voisines, où des centaines de gènes impliqués dans la lutte contre l’infection sont alors activés.
Comment RIG-1 commande-t-elle cette production d’interféron. Tout est question de configuration spatiale. En l’absence de pathogène, seule la partie dédiée à la reconnaissance d’ARN étranger est accessible, lorsque RIG-I détecte la présence d’ARN viral, elle change de forme pour dévoiler ses domaines de signalisation qui déclenchent la chaîne de réaction aboutissant à la production d’interféron.
A droite, en l'absence de l'ARN viral, la partie de RIG-I qui reconnaît l'ARN viral est exposée (orange), tandis que les domaines responsables pour la signalisation (bleu et rose) sont inaccessibles. Quand RIG-I détecte l'ARN viral, il change de forme, et les domaines de signalisation (bleu et rose) deviennent accessibles pour déclencher l'alarme. LEBM.
Cette découverte révèle des détails sur le fonctionnement du système immunitaire inné qui constitue la première ligne de défense de l’organisme.
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Des Rats Diabétiques soignés avec leurs propres cellules souches
09/10/2011 10:17
Des chercheurs japonais ont annoncé être parvenus à traiter le diabète de rats à l'aide de cellules souches neurales prélevées par le museau des animaux et transformées en cellules pancréatiques.
C'est une nouvelle piste dans la recherche de traitements pour soigner le diabète. Une maladie qui touche aujourd'hui plus de 200 millions de personnes à travers le monde et qui se manifeste par un dysfonctionnement du système de régulation de la glycémie. En vérité, il existe deux types de diabète : le type 1 et le type 2. Le premier découle d'une maladie auto-immune et survient lorsque l'organisme se met à détruire les cellules bêta du pancréas, celles qui produisent l'insuline. Le second, par contre, se manifeste lorsque ces mêmes cellules ne peuvent produire suffisamment de cette hormone pour réguler correctement le taux de sucre dans le sang. Si de multiples recherches ont été menées pour mettre au point un traitement permettant de guérir de cette maladie, à ce jour, aucune n'a réellement abouti.
Mais des chercheurs japonais viennent de faire une nouvelle tentative et ont obtenu des résultats prometteurs. Selon leurs travaux, la clé de ce traitement se trouverait en fait dans le cerveau même du malade. En effet, Tomoko Kuwabara du National Institute of Advanced Industrial Science and Technology de Tsukuba et ses collègues sont parvenus à guérir des rats diabétiques en utilisant des cellules souches neurales transformées en cellules pancréatiques fonctionnelles.
Pour réussir une telle prouesse, les scientifiques ont prélevé une petite quantité de tissus dans le bulbe olfactif des rats, la région cérébrale en charge des odeurs, ou dans l'hippocampe impliqué dans la mémoire. Deux aires accessibles par le nez chez ces animaux comme chez l'homme. Ensuite, les chercheurs ont extrait les cellules souches neurales des tissus et les ont exposées à de la Wnt3a, une protéine qui active la production d'insuline et à un anticorps qui bloque les inhibiteurs naturels de la cette production. Après avoir fait multiplier les cellules pendant deux semaines, ils les ont placées sur de fines feuilles de collagène servant d'échafaudage. Ceci a permis à l'équipe d'incorporer ces structures sur le pancréas des rats malades sans blesser l'organe lui-même.
Une glycémie revenue à la normale
Une semaine après, les scientifiques ont alors constaté que les concentrations d'insuline chez les animaux atteints de diabète de type 1 ou de type 2 qui avaient reçu le traitement, étaient similaires à celles observées chez les rats non diabétiques. De même, les taux de sucre dans le sang étaient également revenus à la normale. Des résultats maintenus durant 19 semaines avant que l'équipe de Tomoko Kuwabara ne retire les feuilles des pancréas des rats et que le diabète réapparaisse.
Si les conclusions se sont donc avérées prometteuses, la technique présente surtout plusieurs avantages. Comme le précise l'étude, l'utilisation des cellules n'a nécessité aucune manipulation génétique en dehors de l'organisme, contrairement aux procédés utilisant des cellules souches d'autres organes. De plus, parce que les cellules viennent ici du maladie lui-même, la technique supprime également le risque de rejet et le besoin d'immunosuppresseurs. Sans oublier qu'il est, selon les chercheurs, tout sauf exclu que le procédé puisse être utilisé chez l'humain.
Une technique à tester sur des cellules humaines
"Il serait possible d'extraire les cellules souches adultes neurales du bulbe olfactif de manière chirurgicale en utilisant un endoscope", soulignent-ils. Mais "l'amélioration la plus importante offerte par cette étude est la genèse de cellules exprimant de l'insuline sans avoir recours à une manipulation génétique", confirme Onur Basak et Hans Clevers de l'Hubrecht Institute for Development Biology and Stem Cell Research de Utrecht aux Pays-Bas, dans un communiqué publié à côté de l'étude et cité par le New Scientist.
Néanmoins, "il sera essentiel de valider ces résultats sur des lignées disponibles de cellules souches neuronales humaines, tout comme sur des cellules souches neurales dérivées de bulbe olfactif de patients", rajoutent ces deux chercheurs.
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Dr André Gernez . Le scandale du siècle
10/09/2011 12:28
http://youtu.be/nx3Md1Y890s
Documentaire sur le lien ci - dessus .
23 décembre 1971 : les américains lancent le plan anti-cancer. Le conseiller du Président Nixon, John Rooney, annonce à toute la presse qu'en 1976, date du bicentenaire de l'indépendance, la victoire sur le cancer serait totale. Fanfaronnade électorale ? Non. Cette déclaration s'appuie sur les découvertes du Docteur André Gernez, médecin français cancérologue et physiopathologiste. Une étude INSERM démontre dès 1971 que le cancer peut être évité dans 93% des cas.
Fin des années 60 le Docteur André Gernez crée son groupe de Biologie: UBI (Union Biologique Internationale). Ses collaborateurs sont : Pr Gellé, Docteur Delahousse, Pr Nihous, Docteur J.Lacaze, Docteur J.P Willem, Docteur M. Dumont, Docteur Deston.
À partir de 1967, André Gernez révolutionne les principes fondamentaux de la biologie. Le Docteur Gernez est en mesure aujourd’hui de contrôler diverses pathologies (le cancer, l’Athéromatose, la sclérose en plaques, la schizophrénie, la myopathie de Duchenne, l’Asthme et l’allergie, le Psoriasis, le Parkinson, l’Alzheimer…). Plus de quarante ans plus tard, la plupart de ses théories sont reconnues au niveau mondial, sans jamais que son nom ne soit cité.
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Le Voyage Fantastique .L' Avènement Des Nano - Robots .
07/09/2011 06:33
Le voyage fantastique . Un film précurseur . (BM7)


Des chimistes de l’université Tufts ont réussi à fabriquer un moteur unimoléculaire électrique. Une prouesse qui pourrait trouver des applications en médecine aussi bien que dans nos téléphones portables.

Ce moteur moléculaire mesure à peine 1 nanomètre, contre 200 nm pour le précédent plus petit, qui plus est il fonctionne à l’électricité. Ce qui à cette échelle n’a rien de banal.
« Il y a eu des progrès significatifs dans la construction des moteurs moléculaires alimentés par la lumière ou l’énergie chimique mais c’est la première démonstration que la propulsion électrique est possible » explique Charles Sykes, auteur principal de l’étude publiée par Nature Nanotechnology.
Avec son équipe, le chercheur a té en mesure de contrôler la rotation de ce moteur nanomoléculaire à l’aide d’un microscope à balayage qui utilise les électrons au lieu de la lumière pour « voir » les molécules.
L'équipe a utilisé la pointe métallique du microscope pour fournir une charge électrique à une molécule de butyle sulfure de méthyle qui avait été placé sur une surface conductrice en cuivre. A très basse température (5K) cela leur permet de faire tourner la molécule dans le sens choisi.
Bien qu'il existe des applications prévisibles avec ce moteur électrique (dispositifs médicaux, engrenages miniatures), il faudra être en mesure de reproduire cette expérience à une température plus élevée autorisant un fonctionnement courant. Le moteur tourne beaucoup plus vite à température ambiante, ce qui rend difficile les mesures et le contrôle de la rotation.
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Une Bague pour prévenir la Déshydratation
05/09/2011 06:35

Deux designers ont imaginé un système facile à appliquer pour surveiller son hydratation : utiliser une bague comme détecteur. Après avoir été paramétré, l'anneau devient capable en fonction de l'utilisateur, de détecter un taux d'hydratation insuffisant.

Personnes âgées, enfants, femmes enceintes, pour certaines catégories de la population, le risque de déshydratation peut parfois s'accroitre considérablement, en particulier pendant les périodes de fortes chaleurs. Si ces personnes ne sont pas assez attentives à leurs besoins, elles s'exposent alors à de sérieux problèmes de santé : fluctuation de la glycémie, de la pression artérielle, irrégularité du rythme cardiaque, infection du foie, à l'estomac, du système digestif ou encore une diminution des fonctions rénales. Pourtant, il est simple d'éviter ces soucis en s'abreuvant dès que possible, mais encore faut-il y penser.

C’est pour cette raison que deux jeunes étudiants en design Yao Liangliang et You Wu ont inventé un dispositif capable de prévenir la déshydratation bien avant que le déficit en eau ne devienne critique. Un système simple et original baptisé W+PLUS et composé de deux modules, rapporte Tomsguide.fr. Le premier, un anneau qui contrôle en temps réel l’hydratation de celui qui le porte et qui détecte une baisse de son niveau. Lorsque le taux atteint un niveau trop faible, un signal est alors émis afin de prévenir qu’il est temps de boire un verre d’eau. Quant au second module, il s'agit d'un Cube qui sert à charger l'anneau et qui rappelle également à l'utilisateur de boire à des intervalles réguliers.
Cependant, pour que le dispositif fonctionne, il faut au préalable paramétrer l'invention en fonction du profil de l'utilisateur. Pour cela, il suffit d'entrer les informations dans le Cube et de fixer la minuterie selon l'état de santé de la personne à suivre. Le système lancera alors automatiquement des signaux à l'anneau tous les 1,5 à 3 heures pour rappeler au porteur qu'il est temps de siroter quelque chose. Si l'utilisateur ne s'abreuve pas ou boit moins que ce dont il a besoin, l'anneau peut également afficher un message pour alerter du faible niveau d'hydratation. Ainsi, grâce à cet anneau W+PLUS, impossible de ne pas écouter son corps et d'ignorer qu'il a grand soif.
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