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Science Futuriste

VIP-Blog de bm7
bnj.777@hotmail.fr

  • 786 articles publiés dans cette catégorie
  • 398 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 11/12/2010 11:43
    Modifié : 18/12/2021 17:29

    Garçon (50 ans)
    Origine : PARIS
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    Les Skates électriques

    01/06/2015 20:35



    rocket skates

     

    https://youtu.be/MqoGB6TTcGk

    A peine plus gros qu’une chaussure de ski, ces patins de 3 kilogrammes chacun affichent des performances tout à fait honorables : une vitesse de pointe de près de 20 km/h pour une autonomie de 13 km. Mais sont ils faciles à manoeuvrer ? Peut on s’en servir au quotidien ?

    Pour nous faire notre propre opinion, nous avons rencontré la semaine dernière Antoine Sébis d’Eco-Riders, une société spécialisée dans la mobilité électrique, et qui assure l’importation exclusive du produit d’Acton en France.

    Deux fois plus légère qu’un solowheel ou qu’une trottinette électrique, la paire de rollers est effectivement facile à prendre en main et se fixe aux pieds, sous les chaussures, en quelques instants.

    Nous craignions que ces rollers fonctionnent comme les Heelys, ces chaussures à roulettes très populaires dans les cours d’école… et les infirmeries. Mais les Rocket Skates disposent d’une troisième roue,  en plus des 2 roues latérales, assurant leur équilibre même à l’arrêt. Le patineur garde toutefois la liberté de se déplacer sur la pointe des pieds, pour monter des escaliers ou s’arrêter brutalement par exemple.

    Une fois paramétrés depuis une application sur smartphones (mode normal ou intensif, pied conducteur, etc…), les patins sont prêts  à l’emploi mais le patineur doit donner un petit coup de talon pour activer la propulsion. Il suffit alors de se pencher légèrement en avant pour avancer.

    Les premiers instants sont perturbants et il faut impérativement décaler ses jambes, pied droit avant et pied gauche arrière dans notre cas, pour garder son équilibre. L’autre difficulté est de doser la vitesse des rollers. « C’est comme une pédale d’accélération. Plus on appuie plus on accélère.  » nous explique notre guide. Et c’est effectivement l’angle du pied conducteur qui permet d’accélérer ou de freiner.

    Techniquement, ce n’est donc pas du « patinage » et la sensation de glisse se rapproche de celle de rollers en ligne, dans une descente, ou plus précisément quand on passe sur un revêtement difficile, qu’on abaisse son centre de gravité et qu’on décale ses pieds pour faire face à toute aspérité de la route.

    Selon Antoine Sébis, trois ou quatre sessions de 30 minutes suffisent pour maitriser ces rollers électriques et envisager de silloner la ville à une vitesse de l’ordre de 10 km/h mais pouvant atteindre près de 20 km/h.

    Facturés près de 1000 euros, ces patins ambitionnent de révolutionner les déplacement en  villes en constituant une alternative aux vélos et aux transports en commun. Mais leur silence, leur compacité et leur vitesse modérée, pourraient aussi leur ouvrir les portes des centres commerciaux, universités et autres grands bâtiments sous réserve que la législation et les mentalités évoluent.





     
     


     

    La voiture aeroglisseur qui va sur l eau et la neige

    01/06/2015 14:01



    La Chine –  et plus particulièrement Monsieur Yuhan Zhang – innove en proposant le concept d’un aéroglisseur afin d’apporter une solution à la mobilité.

    Le prototype co-signé Volkswagen et appelé AQUA … comprend deux moteurs, dont le principal est alimenté par une pile à combustible qui fonctionne à l’hydrogène.

    Quelques images… Hop :)

    Les deux ventilateurs que vous voyez à l’arrière fonctionnent grâce à l’électricité. Ce sont ces ventilateurs/monteurs qui permettent de changer de direction.

    L’idée est d’autant plus géniale que cette voiture glisse – non seulement – sur l’eau, mais sur la neige!
    Les roues se relèvent puis se rabaissent afin de pouvoir conduire sur route :)





     
     


     

    L' Oréal veut recourir à l' impression 3D de peau pour tester ses produits

    30/05/2015 13:05



    Capture d’écran 2015-05-25 à 15.45.21

    https://youtu.be/-HS3k3AV2WU

    Ci - dessus  L’impulsion laser (en bleue) est dirigée à l’aide d’un miroir sur une cartouche d’encre cellulaire. Celle-ci est composée d’une plaque de verre sur laquelle est étalée un amalgame de cellules. En frappant la surface de la cartouche, le laser provoque la formation de gouttelettes comprenant chacune entre 1 et 50 cellules.

    L’Oréal vient de nouer un partenariat avec une société américaine pour imprimer de la peau synthétique et ainsi pallier ses énormes besoins en tests dermatologiques.

    En 2013, la Commission Européenne avait promulgué une loi interdisant les expérimentations animales pour l’industrie cosmétique. Depuis, les entreprises comme L’Oréal doivent recourir à des solutions alternatives. Pour tester les produits, le groupe français emploie dans son laboratoire à Lyon 60 scientifiques produisant 100 000 échantillons de peau par an, issus de la chirurgie esthétique. Cependant, cette option est à priori trop lente pour un groupe de cette envergure. La société vient donc de nouer un partenariat avec la start-up américaine Organovo afin de recourir à l’impression 3D de peau et de remédier à ce problème.

    L’entreprise américaine, créée en 2007, intéresse de plus en plus de laboratoires cosmétiques, mais aussi pharmaceutiques comme Pfizer. En effet, Organovo est capable de produire différents tissus organiques via l’impression 3D : ceux du foie, des poumons, des vaisseaux sanguins, des os, etc.

    À noter que l’Inserm avait également réussi à développer cette technologie il y a un peu plus de 6 mois, en partenariat avec l’entreprise Poietis, près de Bordeaux.





     
     


     

    Ces robots qui s' adaptent à leurs blessures

    30/05/2015 12:55



    Capture d’écran 2015-05-29 à 17.18.26

    https://youtu.be/zABv126MuSg

    Ci - dessus  extrait  de  Stargate  "  les  réplicateurs  "  .

    Ci  - dessous  ce  que  les  laboratoires  préparent  ??

    https://youtu.be/T-c17RKh3uE

    Une équipe de scientifiques français et américains ont élaboré un algorithme d’apprentissage évolutionniste inspiré des êtres vivants, qui permet aux robots d’adapter leur comportement en fonction de leurs « blessures », afin qu’ils poursuivent la tâche qui leur est assignée. 

    L’automatisation et l’indépendance des machines se développant rapidement, les comportements des robots se rapprochent de plus en plus de ceux des humains. Trois chercheurs français en intelligence artificielle ainsi qu’un Américain ont mis au point, ensemble, un algorithme d’apprentissage évolutionniste qui permet au robot qui l’utilise de surmonter tout seul ses blessures en un clin d’œil. Leurs travaux ont fait l’objet d’une publication dans la revue Nature ce mercredi 27 mai.

    Jusque là, ce sont des méthodes de diagnostic utiles qui étaient programmées dans les robots en cas de dommages, ce qui leur permettait d’appliquer un plan d’urgence. Ici, l’idée est de leur permettre de s’adapter aux dommages et de gérer les changements seuls. « En créant notre logiciel, nous avions en tête des robots qui devraient survivre en milieux hostiles, comme lors d’une catastrophe nucléaire du type Fukushima. Si on envoie des robots, il faut qu’ils puissent poursuivre leur mission même s’ils sont cassés et non pas s’arrêter au milieu de la centrale, désactivés » déclare Jean-Baptiste Mouret, coauteur de l’étude.

    La validité de l’invention de cette équipe de chercheurs a été démontrée sur deux types d’automates, un robot à six pattes de 50 cm de large ayant subi cinq détériorations différentes (dont des pattes cassées ou manquantes), et un bras robotisé dont les articulations ont été brisées de 14 manières différentes. « La machine va alors lancer son algorithme non pour repérer l’avarie, mais pour tenter d’adopter, malgré les dommages, des comportements qu’elle savait fonctionner lorsqu’elle était intacte, en puisant dans ses connaissances acquises lors de la phase précédente. De même qu’un homme, même s’il a deux jambes, sait qu’il peut marcher à cloche-pied ou à quatre pattes… », explique Antoine Cully, principal auteur des travaux.

    « Chaque solution possible est expérimentée par le robot. Si elle ne fonctionne pas, il est assez intelligent pour l’exclure et en essayer une autre » poursuit-il, soulignant qu’il est très étonnant de voir un robot infirme et boiteux fonctionner efficacement deux minutes plus tard. Ces capacités d’adaptation pour les robots sont directement inspirées des hommes et des animaux, qui s’adaptent constamment en fonction des douleurs et blessures.





     
     


     

    Cette paille pourrait sauver des millions de vies ?

    30/05/2015 12:47



    12571_545112822165899_106217155_n

    https://youtu.be/9e99c4z0zkE

    L’accès à l’eau potable pour tous et partout dans le monde sera bientôt possible. L’entreprise internationale Vestergaard qui agit dans le sens de l’amélioration de la santé dans les pays en voie de développement a lancé une Paille de vie baptisée « Lifestraw ». Celle ci permet d’absorber de l’eau non potable sans risque majeur pour la santé et pourrait sauver des millions de vies.

    Environ 780 millions de personnes dans le monde n’ont pas accès à l’eau potable. Toutes les 21 secondes un enfant meurt de diarrhées dues à l’empoisonnement. Imaginez donc le nombre de vies humaines épargnées grâce à un outil qui assainit l’eau non potable! Le Lifestraw est un puissant filtre de la taille d’un cigare (25 centimètres de longueur et 2.9 centimètres de diamètre), fait de plastique (il est très léger: 56 grammes) et peut donc être facilement transporté et distribué. 

    La paille de vie va simplement filtrer les micro-organismes par un procédé de fibres creuses qui ne laisse passer que de l’eau purifiée.  Elle va donc supprimer le potentiel pathogène (la typhoïde, le choléra, la dysenterie) mais aussi les parasites. Le Lifestraw est capable de filtrer 700 litres d’eau, soit l’équivalent de la consommation en eau d’une personne sur une année.





     
     

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