3 ans après leur opération, les trois bébés atteints de trachéomalacie se portent bien. Leur prothèse imprimée en 3D, qui leur a permis de soutenir leur trachée, a fini par se résorber naturellement. Les médecins avaient eu l’autorisation de les opérer en urgence. 

Âgés à l’époque de 3, 5 et 16 mois, leurs bronches et leur trachée avaient été scannées en 3D afin d’imprimer une prothèse qui colle parfaitement à leur système respiratoire. Atteints de trachéomalacie, une maladie des voies respiratoires qui touche près d’un nouveau-né sur 2000 dans le monde, ils n’auraient pas pu survivre si cette chance ne leur avait pas été donnée. Aujourd’hui, le premier sauvé, Kaiba, « est actif, va à l’école maternelle et a un bel avenir », d’après le Docteur Glenn Green, professeur de pédiatrie à l’Hôpital pour enfants de l’Université du Michigan et qui était chargée de l’opération.

« Nous avons pu pour la première fois utiliser l’impression en trois dimensions pour concevoir et fabriquer sur mesure une attelle qui a été cousue autour de la trachée défaillante et qui a permis de restaurer la respiration normale des patients », déclare le Dr Green.

Le matériau bio-polymère avec lequel la prothèse a été fabriquée avait la capacité de s’adapter à la croissance de l’enfant, avant de se résorber au bout de quelques années. Ayant constaté un meilleur fonctionnement des voies respiratoires chez les trois petits, les chercheurs envisageraient aujourd’hui d’étendre le procédé à d’autres enfants atteints de trachéomalacites moins graves.

Un an et demi après ces opérations, une réplique de cœur avait permis de sauver la vie de Roland, âgé de 1 an en février 2014. En septembre dernier, une copie du cerveau de Gabriel, un jeune garçon américain atteint d’épilepsie grave, avait permis de séparer ses deux hémisphères cérébraux et ainsi de stopper ses crises, sans commettre de dégâts. À l’instar de ces exemples, l’impression d’organes en 3D est vouée à sauver encore un grand nombre de vies.

Source : Science et Avenir

Ce  genre  de  technologie  nous  oriente  progressivement  vers  la   technologie  de  l'  electricité  sans  fil  .  Des  pylones  d' une  nouvelle  generation  emettront  sous  formes d'  ondes  une  source   electricique  .  Et  de  mini  recepteurs  intégré  dans  certains  de  nos  appareils  ( Smartphone  par  exemple  )  capteront  cette  fameuse  onde  qu' ils  transformeront  en  électricité  .  D'  autres  recherches  dans  le  même  domaine  ont  déjà  été  réalisé  .  Comme  je  le  dis  souvent  le  travail  de  plusieurs  equipes  de  recherches  disséminés  à  travers  le  monde  se  combineront  dans  le  futur  pour  mettre  au  point  cette  nouvelle  technologie  de  la   transmission  de  l'  electricité  sous  forme  d' ondes  ?

Les projets pour améliorer les performances de nos smartphones et autres appareils mobiles se multiplient, et concernent souvent leur autonomie. Présentation de l’ingénieux projet de Nikola Labs, une coque de smartphone qui récupère l’énergie dans l’air pour le recharger.

Devant la multiplication des utilisations possibles de nos smartphones, nous faisant passer de plus en plus de temps sur leurs écrans, l’autonomie de ceux-ci est au centre des préoccupations et des concepts innovants en tous genres. Ainsi, recharger son portable est, ou sera, possible grâce à un bracelet, un tatouage, la chaleur humaine, ou encore en chantant, entre autres.

Cible des innovations de demain, les coques de smartphones. Si leur fonction était jusque là exclusivement protectrice, de nouveaux projets désirant exploiter les coques de smartphones fleurissent. Nous vous parlions récemment du Nexpaq, la coque modulaire qui ajoute des composants à son smartphone, c’est désormais au projet de Nikola Labs de faire parler de lui.

Prochainement en campagne de financement participatif sur la plateforme Kickstarter, il s’agit d’une technologie exploitée à l’Université d’État de l’Ohio (États Unis), qui permet de récupérer l’énergie présente dans l’air afin d’améliorer l’autonomie de nos smartphones. Une coque, qui devrait être vendue autour de 99 $ (environ 88 €), capable donc de capter l’énergie des technologies sans fil présente dans l’air (wifi, Bluetooth, réseaux télécoms…) et de la restituer dans le smartphone grâce à un convertisseur. Selon ses concepteurs, cette coque pourrait offrir jusqu’à 30 % d’autonomie supplémentaire au smartphone équipé.

Une première coque destinée à l’iPhone 6 vient d’être présentée, d’autres devraient suivre, et Nikola Labs espère que cette coque sera commercialisée dans l’année.

Cette technologie avait été découverte au XIXe siècle par Nikola Tesla qui a fortement inspiré les concepteurs de cette coque, notamment pour le nom de la société, ainsi que pour le lieu choisi pour la présentation de la première coque, à savoir l’immeuble où vivait Nikola Tesla.

https://youtu.be/aThCr0PsyuA

Quasiment un an après leur dévoilement au grand public, les lunettes à réalité augmentée HoloLens de Microsoft ont été présentées au cours de la Build 2015, qui s’est déroulée à San Francisco du 29 avril au 1er mai. Une prouesse technologique qui n’a rien à envier à ses concurrents Google Glass et Occulus Rift. Au cours de cet événement, certains ont eu le privilège de les tester. 

On peut ainsi commander la réalité virtuelle de l’HoloLens de trois manières différentes : par des mouvements de tête, par des gestes et par la voix. Et contrairement à l’Occulus, l’ensemble du champ de vision de l’utilisateur d’HoloLens n’est pas accaparé par un écran. L’utilisateur voit la pièce dans laquelle il se trouve de façon bien réelle, mais des hologrammes peuvent s’y superposer à sa guise, ce qui en fait toute sa singularité et tout son charme. De plus, il intègre un véritable ordinateur, ce qui lui donne une autonomie et un champ d’applications infinis.

Avec ces lunettes, on peut par exemple allumer Skype, s’allonger dans son canapé et discuter avec ses interlocuteurs qui apparaissent en hologramme. Mais la stratégie de Microsoft est aujourd’hui de viser un public professionnel. Ainsi, pas de tests de jeux en vue, mais des simulations d’architecture. L’utilisateur peut alors faire glisser un bâtiment virtuel issu d’un logiciel 3D de son PC dans une maquette réelle en résine. Il se retrouve ainsi devant une maquette virtuelle d’un bâtiment, avec laquelle il peut interagir. La maquette virtuelle peut aussi changer de taille pour prendre une dimension réelle. Le testeur peut alors modifier le bâtiment à sa guise (faire pivoter les murs, par exemple) afin de l’adapter au mieux à son environnement. Une autre simulation permet d’afficher un hologramme des canalisations du mur se trouvant devant nous (qui lui est bien réel). Ainsi, lorsqu’on décide de le percer, on éviter de faire des dégâts.

C’est une invention qui va faire grand bruit dans l’univers des geeks. Kinbardin Design, un studio de design basé à Prague développe la souris du futur, la « Bat », une souris sans fil qui lévite jusqu’à 40 cm de haut grâce à un anneau magnétique.

Parmi les avantages que l’on compte à cette innovation, bien plus que son avant-gardisme esthétique, elle devrait limiter considérablement les risques de se voir développer le syndrome du canal carpien, caractéristique commune à tout véritable geek qui se respecte. Le contact prolongé de la main avec le bureau provoque un engourdissement des mains, de fortes douleurs et dans le pire des cas de paralysies. Grâce à la Bat, il n’y a plus de contact entre la main et le bureau, celle ci adapte sa lévitation en fonction du poids de votre main. Le dispositif sans fil (de 2 kg tout de même) aux allures de soucoupe volante fraîchement débarquée de Gotham City ayant désormais triomphé de la phase test devrait arriver prochainement sur le marché dans une double déclinaison colorée, noir et blanc.

https://youtu.be/XP2m2lDpDiM

https://youtu.be/KipG98hCCsc

Sur  le  lien  vidéo  ,  on  peut  une  demonstration  de  la  loupe  electronique  .

Très  pratique  pour  agrandir  les  tous  petits  textes .

Il  en  existe  plusieurs  modèles  .