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Descriptif d' une arme Thermobarique
30/06/2011 10:22

http://youtu.be/EpGQ-2hMjN4
Une nouvelle « super arme » a été fournie aux soldats britanniques déployés en Afghanistan qui utilise une technologie basée sur le principe « thermobarique » qui se sert de la chaleur et de la pression pour tuer des personnes ciblées dans un spécifique champ d'air, aspirant l'air des poumons et provoquant la rupture d'organes interne.
La soi disante arme à « explosion améliorée » utilise une technologie identique à celle des bombes « bunker buster » des US et des bombes dévastatrices utilisées par les russes pour détruire la capitale tchétchène de Grozny.
De telles armes ont une efficacité brutale car elles dispersent d'abord un gaz ou un produit chimique qui est enflammé lors de la deuxième étape, permettant à l'explosion de remplir les espaces d'un immeuble ou les crevasses d'une cave. Quand l'armée US a déployé une version de ces armes en 2005, Defense Tech a écrit un article intitulé « les Marines restent silencieux sur une nouvelle arme brutale ».(article)
Selon l'agence de renseignements de la défense US, qui a publié une étude sur les armes thermobariques en 1993, « le mécanisme pour tuer de l'explosion employé contre des cibles vivantes est unique – et désagréable… Ce qui tue c'est l'onde de pression, et plus important, la raréfaction de l'air qui suit, qui provoque un éclatement des poumons… Si le combustible provoque une déflagration sans explosion, les victimes sont sévèrement brûlées et vont probablement inhaler le combustible brûlant. Comme les combustibles pour les FAE (Fuel Air Explosives) les plus utilisés, l'oxyde d'éthylène et l'oxyde de propylène, sont hautement toxiques, les FAE qui n'ont pas explosé se montreront tout aussi mortels pour les personnes prises à l'intérieur du nuage comme dans le cas de la plupart des agents chimiques. »
Une deuxième étude de DIA a dit : « les ondes de choc et de pression causent des dommages minimes au tissu cérébral… C'est possible que les victimes des FAE ne sombrent pas dans l'inconscience du à l'explosion, mais au contraire, souffrent pendant plusieurs secondes ou minutes tandis qu'elles suffoquent. »
« L'effet d'une explosion FAE à l'intérieur d'espaces confinés est immense », a dit l'étude de la CIA sur les armes. « Ce qui sont prêts du point de contact sont désintégrés. Ceux à la périphérie souffriront probablement de nombreuses blessures internes et par conséquent invisibles, dont l'éclatement des tympans et des organes de l'oreille interne, de commotions cérébrales sévères, d'éclatement des poumons de d'organes internes, et c'est aussi possible de cécité. »
Les conséquences physiques sur les personnes décrites ici rappellent celles qui ont pu être constatées sur certains civils libanais l'été dernier lors de la deuxième guerre du Liban menée par Israël, ainsi que dans la Bande de Gaza lors de bombardements répétés et ou d'assassinats ciblés qui ont fait de nombreuses victimes civiles. A l'époque la question a été posée de savoir si l'armée israélienne n'utilisait pas des armes de ce type dites thermobariques et ou des bunker busters.
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La Grille informatique . L' intelligence artificielle planétaire
30/06/2011 06:33
GridCafé - Qu'est-ce que la Grille? - La réalité
La puissance de calcul des grilles informatiques va révolutionner ...
Dans le futur , de puissants ordinateurs relayés entre - eux gèreront l' organisation de l' activité humaine dans les villes . L' avènement des grilles informatiques et la conception de calculateurs de plus en plus puissants apporteront les bases mêmes d' une tel intelligence artificiel .
Comment traiter et stocker les 15 Millions de Milliards de données produites chaque année par le LHC avec un ordinateur qui ne soit pas de la taille d' un gratte - ciel ?
Les informaticiens ont trouvés l' astuce : la grille qui associe la puissance de dizaines de milliers d' ordinateurs dans le monde , en les mettant en reseau et en les faisant fonctionner comme un seul ordinateur . On appelle cela la grille informatique ( GRID Computing en Anglais ) .
Le système du Grid Computing, ou en français la «grille informatique», est une mise en commun d'une partie de la capacité des ordinateurs (mémoire vive (RAM), processeur, espace disque...). Cette technique permet la réalisation rapides de calculs avec des moyens qui ne sont pas accessibles autrement. En effet, le Grid Computing permet d'obtenir une puissance de calcul (autant théorique que pratique) que même le plus puissant ordinateur ne permet d'obtenir, et à un moindre coût.
Il s'agit d'un partage du calcul entre plusieurs (petits) ordinateurs au travers d'un réseau, le calcul n'utilisant que le temps de calcul non utilisé par l'utilisateur. L'avantage du Grid Computing est que le calcul prend beaucoup moins de temps, même en utilisant un seul ordinateur très puissant, au lieu de prendre des années (plusieurs centaines) le calcul dure quelques semaines...
La puissance de la grille informatique est d'autant plus importante que nombre d'ordinateurs y participent. de nombreux projets ont utilisés cette technique pour effectuer des calculs complexes ou comprennant beaucoup de données à traiter
L' avènement de calculateurs informatique de plus en plus puissants ouvrirait de réèl perspectives concernant la conception d' une intelligence artificielle qui régirait l' activité humaine à travers toute un reseau d' ordinateur centraux relais .
"K", l'ordinateur le plus puissant
 Le classement mondial des ordinateurs les plus puissants a récemment consacré un super-calculateur japonais. Les constructeurs de microprocesseurs imaginent déjà des moyens d’améliorer encore leurs performances.
Le super-calculateur japonais "K" a été classé premier au classement biannuel TOP500, une compétition mondiale qui départage les ordinateurs les plus rapides. Elle a lieu depuis 1993 à l'initiative de Hans Meuer, professeur d'informatique de l'université de Mannheim en Allemagne.
K a été conçu et développé au Japon par la firme Fujitsu. Il est équipé de 68 544 microprocesseurs cadencés à 2 gigahertz, un arsenal qui lui permet d’effectuer plus de 8 millions de milliards d’opérations par seconde (8,162 petaflops).
Il bat ainsi largement le record précédent de 2,57 petaflops, établi en novembre 2010 par le super-ordinateur chinois Tianhe, et laisse les précédentes meilleures machines loin derrière (voir la carte avec l’emplacement et les caractéristiques des dix premiers super-calculateurs).
Toujours en phase de configuration, le super-calculateur K devrait entrer en service fin 2012 dans un centre de recherche de l'université de Tokyo pour des tâches de simulation climatique, des travaux de recherche médicale ou des modélisations liées aux risques naturels.
Exainformatique
Les constructeurs de microprocesseurs ne comptent pas en rester là, et espèrent bientôt franchir la barre de l’exaflops (1000 petaflops), soit un milliard de milliards d’opérations par seconde, grâce à une nouvelle génération de microprocesseurs.
Intel développe ainsi une nouvelle architecture destinée à diminuer la puissance électrique requise par ses composants. Nommée MIC pour Many Integrated Cores, elle devrait permettre d’atteindre l’exaflops avec une consommation raisonnable, selon le fondeur.
Il faut dire que ces ordinateurs sont très gourmands en énergie. Pour fonctionner à une vitesse d’un exaflops avec ses composants actuels, le super-calculateur Tianhe nécessiterait une puissance de 1,6 milliard de watts, soit un peu plus que la puissance de la centrale nucléaire de Belleville (Cher) ! La mise au point de composants moins voraces est donc indispensable pour rentrer dans ce que les spécialistes nomment l’ère de l’ « exainformatique ». Une ère qui devrait commencer en 2019, au vu de la progression des performances au cours des dix dernières années.
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Un alliage qui converti la chaleur en électricité
29/06/2011 13:55
http://youtu.be/pWCz2lP7WcU
La chaleur dégagée par l'électronique, les moteurs d'automobiles, les usines et autres origines est une source potentiellement énorme d'énergie, et différentes technologies sont développées afin de capter cette chaleur pour la convertir ensuite en électricité.
Grâce à un alliage qui a été récemment développé à l'Université du Minnesota, une étape dans ce processus pourrait être éviter - le nouveau matériau est capable de convertir directement la chaleur en électricité.
L'alliage multiferroïque, dont le nom officiel est Ni45Co5Mn40Sn10, a été créé en combinant ses divers éléments à l'échelle atomique. Les matériaux multiferroïques sont connus pour avoir propriétés uniques élastiques, magnétiques et électriques, et dans le cas de cet alliage, qui prend la forme d'un changement de phase habituel Lorsqu'il est chauffé, le matériau solide non magnétique devient soudainement un solide fortement magnétique.
Dans un test de laboratoire, dès qu'il est devenu magnétique, le matériel a absorbé la chaleur de son environnement et l'a traité pour produire de l'électricité dans une bobine attachée. Bien qu'une partie de cette l'énergie thermique soit perdue en vertu d'un processus connu sous le nom d'hystérésis, les chercheurs de l'Université du Minnesota ont développé une méthode afin de minimiser cette perte d'énergie.
Source de l' article en anglais : ICI
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Jurrassic Parc
29/06/2011 13:36
http://youtu.be/Bim7RtKXv90
Depuis quelques années , des chercheurs à travers le monde auraient réussi à extraire des protéines sur les os d' espèces animales disparu depuis plusieurs milliers d' années voir des millions d' années . Cela ouvrirait de réèl perpectives sur de probables clonages comme le montrait si bien le film " Jurrassic Parc " .
Des chercheurs de l'Université de York et de l'Université de Manchester ont réussi à extraire des protéines à partir des os d'un mammouth vieux de 600 000 ans, ouvrant ainsi la voie à l'identification des anciens fossiles.
Vue d'artiste du mammouth des steppes
En utilisant un spectromètre de masse à ultra-haute résolution, les bio-archéologues ont réussi à reproduire une séquence presque complète de collagène de l'éléphant West Runton, un squelette fossilisé d'un mammouth des steppes qui a été découvert dans les falaises de Norfolk en 1990. Les 85 pour cent du squelette sont remarquablement complet (l'exemple le plus complet de son espèce jamais trouvé dans le monde) et est préservé par les musées de Norfolk et le Service d'archéologie à Norwich.
Le professeur Bio-archéologue Matthew Collins, du Département d'archéologie de l'Université de York, a déclaré: "Jusqu'à il y a quelques années nous ne pensions pas trouver de collagène dans un squelette de cet âge, même s'il était aussi bien préservé que celui de l'éléphant West Runton. Nous pensons que la protéine dure sous une forme utile dix fois plus longtemps que l'ADN qui est utile en tant normal dans des découvertes remontant jusqu'à 100.000 ans en Europe du Nord. Les conséquences sont que nous pouvons utiliser le séquençage du collagène afin de s'intéresser à d'anciens animaux éteints. Cela signifie également que nous pouvons récolter dans les anciens sites les restes de petits fragments d'os. "
Le Dr Mike Buckley, de la Faculté des Sciences de la Vie à l'Université de Manchester, ajoute: "Ce qui est vraiment fascinant, c'est que cette protéine fondamentalement importante, est l'une des protéines les plus abondantes dans la plupart des animaux vertébrés; elle est une cible idéale pour récupérer des informations génétiques perdues."
Le séquençage du collagène a été réalisé au Centre for Excellence in Mass Spectrometry à l'Université de York et est sans doute la plus ancienne des protéines jamais séquencée.
Par conséquent, cette recherche a des implications importantes pour les os et fragments d'os dans toutes les collections archéologiques et paléontologiques à travers le monde.
Des protéines extraitent dans les os d' un Mosasaure vieux de 70 Millions d' années .
"Des chercheurs suédois ont réussi à isoler des composants protéiques à partir d'os de mosasaure fossilisés datant du crétacé, prouvant que cette matière organique était bien ancienne, et non due à une contamination récente. Johan Lindgren, Per Uvdal, Anders Engdahl et leurs collègues de l'Université de Lund, en Suède, sont parvenus à observer des molécules de collagène - une protéine de structure - dans des tissus fibreux issus de fragments d'os fossilisés de mosasaure - un reptile marin géant vivant il y a 100 à 65 millions d'années. Les scientifiques ont utilisé notamment la microspectroscopie à infrarouge, la spectrométrie de masse, et procédé à l'analyse des acides aminés constitutifs de ces protéines, fournissant des preuves convaincantes suggérant que ces biomolécules sont bien endogènes, issues de l'animal disparu, et non pas d'une récente contamination, bactérienne ou autre. En outre, la découverte démontre que la préservation des tissus mous et des biomolécules n'est pas limitée aux os de grande taille enterrés dans des environnements de grès fluviaux, mais se produit également dans des éléments de squelette de petite taille, déposés dans des sédiments marins."
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Spintronique . L' art de la miniaturisation
23/06/2011 11:28

Actualité > Une première en spintronique : un signal transféré par ...
Ci dessous , vous trouverez sur les deux liens une vidéo conference sur la spintronique présenté par Albert Fert membre de l’Académie des sciences, et prix Nobel de physique 2007
http://www.dailymotion.com/video/x4jpmp_la-spintronique-des-spins-dans-nos_tech
Canal-U - Le monde de la spintronique, électrons, spins ...
Découverte en 1988, la spintronique, ou spin des électrons, permet aux disques durs des ordinateurs de stocker plus d’informations tout en démultipliant leur rapidité de lecture. Cette technologie a permis la mise sur le marché des ordinateurs portables, des clés mp3 et des téléphones mobiles dernier cri. Albert Fert, membre de l’Académie des sciences, développe dans cette séance, les applications de cette technologie, qui lui ont valu avec Peter Grünberg, le prix Nobel de physique 2007.
NEC et l'Université du Tohoku ont annoncé avoir développé la première mémoire adressable par contenu (CAM) ne nécessitant pas d'électricité pour enregistrer des données , ce qui ouvre une porte importante vers la suppression totale du gaspillage d'électricité de nombreux appareils.
De nombreux appareils actuels reçoivent, en étant simplement branchés au circuit électrique, un flux désigne en général un ensemble d'éléments (informations / données, énergie, matière, ...) évoluant dans un sens commun....) constant d'électricité pour conserver des données ou des paramétrages. L'électricité utilisée par cette activité est estimée à environ 6% de l'électricité totale consommée dans les foyers. La mémoire développée par le professeur Ohno de l'Université de Tohoku et NEC est une mémoire adressable par contenu c'est-à-dire que, contrairement aux mémoires de types RAM, son contenu n'est pas accessible par une adresse C'est une mémoire extrêmement rapide.
La non-volatilité (la capacité à ne pas perdre d'information sans apport d'électricité) est directement due au système physique d'enregistrement des informations. En effet, la mémoire utilise ce qu'on appelle la spintronique: les spins des électrons sont capables de se comporter comme des petits aimants et, selon leur orientation . Ce type de mémoire pourrait être utilisé dans de nombreux appareils électroniques, notamment pour développer des appareils démarrant instantanément et ne consommant aucune eléctricité en veille.
Du nouveau en spintronique, la discipline initiée par Albert Fert, Prix Nobel 2007 de Physique : à Grenoble des chercheurs du CNRS et de l'Université Joseph Fourier, de l'Institut Néel (CNRS) ont réussi pour la première fois à faire passer une molécule unique de fullerène(1) (C60) d'un état magnétique à un état non magnétique par l'application d'une tension électrique. Ces résultats, publiés le 29 mai 2008 sur le site de la revue Nature, pourraient permettre de concevoir une mémoire pour l'information quantique(2) et donner des capacités démultipliées (notamment aux disques durs) dans la course à la miniaturisation.
La spintronique(3), vise à réaliser une électronique utilisant les propriétés magnétiques des électrons. Ceux-ci se comportent comme de petits aimants élémentaires qui se déplacent selon un mouvement de rotation, comme une toupie autour d’un axe définissant ainsi leur spin(4). Les électrons peuvent par conséquent transporter de l’information par l’intermédiaire de leur orientation. Mais lors de leur déplacement, comme ils ne conservent l’orientation de leur spin que sur des distances très courtes, les composants utilisés pour la spintronique doivent être structurés à l’échelle nanométrique (de l’ordre du milliardième de mètre).
Ici, les physiciens ont réalisé un transistor(5) en insérant une molécule unique de fullerène entre deux électrodes de taille nanométrique. Deux électrons sont ensuite apportés à cette molécule. En fonction du champ électrique appliqué, les directions des aimants portés par ces électrons sont soit tête bêche (la molécule n’est alors pas magnétique), soit orientés dans la même direction (la molécule de fullerène devient alors magnétique).
Ce travail ouvre la voie à un nouveau domaine de recherche : la spintronique moléculaire, un domaine émergent et novateur combinant la spintronique à l’électronique moléculaire. Il pourrait permettre de réaliser une mémoire pour l’information quantique grâce à l’introduction d’un atome magnétique dans la molécule de fullerène, la lecture et l’écriture de la mémoire se faisant par exemple à l’aide des électrodes du transistor.
© Institut Néel, CNRS, UJF, N. Roch (cette image est disponible auprès de la photothèque du CNRS, phototheque@cnrs-bellevue.fr).
Photographie du transistor moléculaire
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