Schéma d'un moteur Vasimr. Sources : NASA

Le moteur Plasma VASIMR, repose sur l’énergie électrique collectée par des panneaux solaires ou produite par un réacteur nucléaire embarqué. Cette électricité est ensuite utilisée pour ioniser un mélange d’hydrogène et d’hélium. Une fois chauffée à très haute température, cette solution va se transformer en plasma. Des champs magnétiques vont ensuite diriger et accélérer le plasma dans les tuyères du moteur VASIMR qui va propulser en continu le vaisseau à très grande vitesse – 198 000 Km/heure soit 55 Km/seconde.

En 1970, Franklin Chang-Diaz, astronaute et physicien des plasmas, développe le concept d’un nouveau type de propulsion basé sur les propriétés des plasmas. Contrairement aux moteurs conventionnels de fusée qui brûlent de la poudre ou des mélanges de carburant liquide, le moteur Vasimr utilise une source électrique – solaire ou nucléaire – pour ioniser de l’hydrogène, de l’hélium ou du deutérium, ainsi portés à l’état de plasma chauffé à de très hautes températures (11 millions de degrés Celsius). Ce plasma est ensuite accéléré par un champ magnétique induit et expulsé dans des tuyères pour créer une propulsion ionique. Ce moteur a la caractéristique d’accélérer en continu. Ainsi, après une première étape de voyage vers une planète, il faudrait inverser la position des turbines afin de décélérer et de permettre au vaisseau d’être capturé par la force gravitationnelle de la planète.

Chang-Diaz a quitté la NASA en 2005 pour fonder sa propre société, Ad Astra Rocket Company (AARC), afin de développer la technologie Vasimr grâce à des financements mixtes privés et publics. Récemment, ses ingénieurs ont pu développer un prototype d’une puissance de 200 kWatts, le VX-200, testé avec succès en septembre 2009. La NASA s’est déjà montrée intéressée par ce modèle expérimental, et travaille actuellement avec l’AARC sur un modèle de moteur spatial, le VF-200, qui devrait être testé sur la station spatiale ISS en 2014. L’objectif, outre le fait de démontrer l’efficacité de la technologie Vasimr en aérospatiale, serait de donner la poussée nécessaire pour corriger l’orbite de l’ISS et éviter sa lente chute vers la Terre.

Mais l’objectif de Chang-Diaz va plus loin. Selon l’ancien astronaute, un moteur Vasimr de 200 mégawatts de puissance permettrait d’effectuer le trajet de la Terre à Mars en 39 jours, soit près de 5 fois plus vite qu’un moteur conventionnel d’engin spatial. Mis à part le gain de temps, réduire la durée du trajet permettrait de minimiser le temps d’exposition des astronautes aux radiations spatiales, dont les effets sur l’organisme sont encore mal connus en médecine.

http://youtu.be/gtuGSWDVdQU

Dans  le  Futur  ,  ceux  qui  porteront  se  genre  de  lunettes  auront  accés  a  la  pièce  d' identité  électronique  (RFID) du  sujet  pointé   .  Grace  à  une  base  de  donnée  ,  certains  fonctionnaires  de  police  pourront  identifier  ,  grace  à  leur  lunettes  le  contenu  du  casier  judiciaire  de  l' individu  ciblé  .

Ses  lunettes  seront  en  quelque sortes  , l' equivalent  d' un  IPHONE  mais  qui  restituera  les  données  personnelles  des  individus  ciblé  par  les  lunettes  .

Un petit film (avec commentaires en anglais mais aux images suffisamment démonstratives) présentant l’utilisation d’un tel appareil (les lunettes viennent du Nokia Research Center). La première fonction est la reconnaissance des visages, qui permet d’afficher les renseignements sur la personne. Une autre est le suivi du regard, qui permet de choisir dans un menu. S’il se fait insistant sur le visage, l'appareil affichera des renseignements supplémentaires s’il y en a. On remarque aussi la reconnaissance de codes à barres 2D pour identifier des objets étiquetés (ce qui pourrait aussi fonctionner pour des portes ou des panneaux de directions). L’histoire ne dit pas quelle est la quantité d’informatique embarquée dans ces lunettes et celle installée dans un ordinateur communiquant avec elles par radio. © Multidisciplinary Institute of Digitalisation and Energy/Université Aalto/HIITTV, Youtube

Pour reconnaître les lieux et les gens

Le projet UI-Art va bien plus loin. Les lunettes, nécessairement volumineuses et qui, comme le montre la vidéo, devraient plutôt s’approcher d’un masque de ski, comportent une – ou deux ? – caméras et un système de suivi du regard. Elles voient donc devant la personne ainsi équipée mais aussi ce qu’elle regarde. La reconnaissance de visage s’active automatiquement dès que quelqu’un apparaît dans le champ de vision. Après consultation d’une base de données, les lunettes affichent une série de renseignements, ceux que la personne ainsi repérée aura bien voulu mettre à disposition de tous. Mieux, le suivi du regard sert de pointeur et le porteur de lunettes peut ainsi choisir l’un des items, comme un clic dans un menu.

Les chercheurs finlandais veulent en faire un assistant permanent, qui afficherait toutes sortes de renseignements : « un plan du bâtiment regardé par un architecte », cite comme exemple le communiqué de l’université. La vidéo de démonstration montre aussi une reconnaissance de codes à barres à deux dimensions (composés de petits carrés), ce qui permettrait de multiples possibilités, comme le repérage dans un grand bâtiment (comme un hôpital ou une université). L’un des exemples cités est d’ailleurs l’aide que pourraient procurer ces lunettes pour trouver le bureau d’un professeur. Les étudiants à l’origine du projet UI-Art ont peut-être du mal à se repérer dans leur université toute neuve, créée en 2010…

Par Jean-Luc Goudet, Futura-Sciences

Georges Lakhovsky - Terre d'Energies

En  nous  basant  sur  le  principe  de  fonctionnement  de  l' appareil  inventé  par  Georges  Lakhovsky  , nous  pourrions  l' utiliser  uniquement  pour  retrouver  la  frequence  de  resonance  de  certaines  mauvaises  herbes  et  les  detruire  en  baignant  le  terrain  sous  les  champs  de  l' Oscillateur  multi - ondes  .  On  peut  même  se  projeter  dans  le  Futur   en  imaginant  un  faisceau  laser  qui  ne  detruirait  que  les  mauvaises  herbes  car  leurs  frequences  de  resonnances  seraient  enregistré  dans  la  mémoire  de  l'  appareil  qui  projeterait  le  faisceau  laser  .

Mais  il  existe  aussi  , les  desherbants  ou  insecticides  radioniques  ,  mais  cela  est  un  autre  sujet  .

La thérapie par résonance a été conçue par les scientifiques George Lakhovsky, Nikola Tesla et Royal Rife. Le scientifique d’origine russe, George Lakhovsky partait de l’hypothèse que chaque cellule a sa propre fréquence de résonance. Si un organe ou une partie du corps est atteint, infecté ou malade, la résonance des cellules en question baisse. Son idée était de construire un appareil pour générer un champ de fréquences dans un spectre très large. En plaçant la personne malade ou les parties du corps atteintes dans ce spectre de fréquence, les cellules atteintes reconnaissent leur propre fréquence et résonnent dans leur propre fréquence de résonance et la maladie disparaît. On parle ici de régénération du corps, ce qui va plus loin que la guérison. La régénération est le remplacement des cellules irrémédiablement détruites ou perdues par des cellules semblables. Cette régénération se fait de façon parfaitement naturelle ; puisque nos cellules se composent de fréquences de résonance (vibrations) et sont régénérées, car remises dans la bonne fréquence, ce qui résulte en un meilleur fonctionnement du corps sur tous les plans.

Photo ci - dessus  . L' oscillateur  multi - ondes  de Georges  Lakhovosky  .

A  la  place  de  la  femme  vous  placer  un  Arbre  et  vous  suivez  la croissance  en  accélerer  ?

En  nous  basant sur  le  principe  de  resonance  décrit  ci - dessous  ,  nous  pourrions  accélerer  la  croissance  des  plantes  et  des  Arbres  .  Il  faudra  pour  cela  rechercher   la  frequence  de  resonance  de la  plante  ou  de  l'  arbre  . Ensuite  les  placés sous  le  champ  de  frequence  resonante  de l' appareil  inventé  par  Lakhovsky  .

Pour  en  augmenter  le  Gigantisme  ,  nous  pouvons  tout  aussi  utiliser  l' induction  electromagnétique  . Le  phénomène de resonance  jouant le rôle  de stimulateur  de croissance  .Voir  lien  suivant  .

L'électricité sans fil, une banalité dans cinq ...

GEORGES  LAKHOVSKY  .

L ' Oscillateur de Georges Lakhovsky . Des guérisons miraculeuses ...

La thérapie par résonance

La thérapie par résonance a été conçue par les scientifiques George Lakhovsky, Nikola Tesla et Royal Rife. Le scientifique d’origine russe, George Lakhovsky partait de l’hypothèse que chaque cellule a sa propre fréquence de résonance. Si un organe ou une partie du corps est atteint, infecté ou malade, la résonance des cellules en question baisse. Son idée était de construire un appareil pour générer un champ de fréquences dans un spectre très large. En plaçant la personne malade ou les parties du corps atteintes dans ce spectre de fréquence, les cellules atteintes reconnaissent leur propre fréquence et résonnent dans leur propre fréquence de résonance et la maladie disparaît. On parle ici de régénération du corps, ce qui va plus loin que la guérison. La régénération est le remplacement des cellules irrémédiablement détruites ou perdues par des cellules semblables. Cette régénération se fait de façon parfaitement naturelle ; puisque nos cellules se composent de fréquences de résonance (vibrations) et sont régénérées, car remises dans la bonne fréquence, ce qui résulte en un meilleur fonctionnement du corps sur tous les plans.

http://www.dailymotion.com/swf/video/xi6bcy

Bien   entendu  dans  le  futur  se  genre  de  technologie  sera  appliquée  dès  la  conception  du  portable  . 

Une start-up française Wysips vient de décrocher le prix du concours de l'innovation mobile CTIA d'Orlando dans la catégorie applications vertes et gestion de l'énergie. «Une visibilité maximale», se félicite Ludovic Deblois, fondateur de Wysips.

Rechargé en six heures

Avec son associé Joël Gilbert et une dizaine de développeurs, Ludovic Deblois a inventé un film photovoltaïque transparent. Intégré à l'écran d'un mobile ou d'un smartphone, il peut alimenter les appareils en énergie. «Il faut six heures d'ensoleillement pour recharger intégralement une batterie et une heure pour 30 minutes de conversation», précise Ludovic Deblois. D'une épaisseur de 0,1 mm, le film transforme en électricité la lumière du soleil ou d'une lampe. En intérieur, une journée de recharge est nécessaire pour faire le plein d'une batterie. Bons points: le film Wysips n'opacifie pas l'écran et n'en altère nullement l'aspect tactile.

Autre avantage: à l'heure où les applications mobiles requièrent toujours plus de puissance, le film permettrait de stopper la course à l'autonomie des batteries. Dans les pays émergents à fort ensoleillement, il se substituerait même complètement à la batterie. Déjà en contact avec des fabricants et des opérateurs, Ludovic Deblois est optimiste: «Les premiers mobiles intégrant Wysips arriveront au premier semestre 2012.» Le prix de son film solaire, vendu moins de 1 € aux constructeurs, devrait être transparent pour les consommateurs.