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Science Futuriste

VIP-Blog de bm7
bnj.777@hotmail.fr

  • 786 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 11/12/2010 11:43
    Modifié : 18/12/2021 17:29

    Garçon (50 ans)
    Origine : PARIS
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    L' Avenir de la Photographie . Du 3 D

    03/09/2011 07:52



    Photos 3D| Appareil Photo 3D |Photographie 3D avec Cyber-shot ...

    Appareils Photos 3D

    L'  Avenir  de  la  Photographie  sera   en  3 D  .  Des  photos  qui  sortent  de  leurs  cadres  .

    Et  comme  le  précise  le  lien  ci - dessous  ,  certaines  découvertes  se  combineront  pour  apporter  un  semblant  de  réalité  à  la  révolution  de  la  photographie  3  D  . 

    La révolution photographique est en marche... - LiberT : le blog !

    Depuis 1839, la photographie fait son bout de chemin, du daguerréotype au numérique, de la photo en noir et blanc à la photo en couleurs, elle permet chaque fois de figer un instant. Malgré les évolutions technologiques, le procédé est toujours resté plus ou moins le même en projetant l’image d’un monde en 3 dimensions sur un support en 2D. Mais contre toute attente, la nature de la photographie est peut être sur le point de changer…

    En effet, un concept vieux de quelques centaines d’années et remis au goût du jour vient désormais changer la donne : le concept de champ lumineux ("light field" en anglais). Ce champ permet, en grossissant les traits, de définir la dynamique de la lumière sur une scène donnée, c’est à dire comment cette dernière se propage (absorptions, réflexions, etc). Les images ainsi capturées ne se contentent plus de caractériser un unique plan, mais les données enrichies qu’elles contiennent permettent d’effectuer des manipulations un peu plus complexes.





     
     


     

    Fabriquer du Sang à partir des cellules souches

    03/09/2011 07:16



    Cellules souches hématopoïétiques

    Les cellules souches embryonnaires proviennent d’embryons humains, dans les tout premiers jours de leur développement. Elles peuvent potentiellement être transformées en n’importe quelles cellules du corps, cardiaques, pancréatiques ou cérébrales par exemple. Le but des scientifiques: pouvoir remplacer des cellules endommagées ou malades à l’aide de ces cellules et permettre la reconstitution de tissus ou d’organes.

    DU  SANG  FABRIQUER  A  PARTIR  DES  CELLULES  SOUCHES

    Des chercheurs français de l’INSERM et de l’AP-HP sont parvenus à injecter à un patient des globules rouges créés à partir de ses propres cellules souches. Il s'agit de la première autotransfusion humaine jamais réalisée.

    Si les chercheurs ont échoué jusqu'à présent, à concevoir du sang artificiel, c'est une première mondiale que viennent de réaliser des chercheurs français. Ceux-ci sont parvenus à pratiquer une autotransfusion humaine de globules rouges. Autrement dit, ils ont injecté à un patient des cellules sanguines créées à partir de ses propres cellules souches. Un exploit qui permet d'espérer qu'un jour les malades ayant besoin d'une transfusion sanguine deviennent leurs propres donneurs.

    A l'origine de cette percée, une équipe dirigée par Luc Douay de l’Université Pierre et Marie Curie (UPMC) à Paris qui a conduit ses travaux en deux temps. Ils ont tout d'abord prélevés chez le patient des cellules souches hématopoïétiques humaines (CSH) qu'ils ont ensuite mises en culture pour produire des milliards de globules rouges. Pour ce faire, ils ont alors notamment appliqué des facteurs de croissances spécifiques "qui régulent la prolifération et la maturation des cellules souches en globules rouges", rapporte Destinationsanté.com.

    La seconde étape, décisive, a donc consisté à réinjecter ces globules rouges cultivés à partir de cellules souches chez le patient. Résultats : "Au bout de cinq jours, le taux de survie de ces globules rouges dans la circulation sanguine était compris entre 94 et 100%. Et au bout de 26 jours, entre 41 et 63%", explique Luc Douay. Des résultats qui se sont montrés extrêmement positifs puisque "ce taux est comparable à la demi-vie moyenne de 28 jours des globules rouges natifs normaux. Nous démontrons donc que la durée de vie et le taux de survie des cellules cultivées sont similaires à ceux des globules rouges ’classiques’, ce qui étaye leur validité en tant que source possible de transfusion", a rajouté le chercheur. 

    Un espoir réalisable si la technologie suit

    Parus jeudi dans la revue Blood, ces travaux sont les premiers à démontrer la possibilité pour ces cellules de survivre dans le corps humain. Selon Luc Douay, il s’agit ainsi d’une "percée majeure pour la médecine transfusionnelle. Nous avons cruellement besoin de nouvelles sources de produits sanguins pouvant être transfusés, en particulier pour faire face à la pénurie de donneurs de sang et pour réduire le risque d’infection lié aux nouveaux virus émergents, associé à la transfusion classique".

    Mais, envisager pour le futur une production à grande échelle de ces cellules est une toute autre histoire qui relève du défi, comme le souligne Luc Douay : "Cela nécessite des progrès technologiques supplémentaires dans le domaine de l’ingénierie cellulaire. Mais nous sommes convaincus que les globules rouges cultivés pourraient constituer une réserve illimitée de cellules sanguines et une alternative aux produits de transfusion classiques ".





     
     


     

    Notre Système Solaire est entré dans un nuage de Gaz éléctrifié

    03/09/2011 06:58



    LA NASA VOUS CACHE L'APPROCHE D'UN ÉVÈNEMENT SPATIAL CATASTROPHIQUE!!!

     
    La NASA et l’Agence Spatiale Européenne ont mis en garde le monde depuis deux ans au sujet de catastrophes en approche qui pourraient se produire durant la fin de 2011 et jusqu’en 2012. Mais peu de gens ont été à l’écoute.

    Appelant tout ça « un événement de super-tempêtes solaires d’une seule fois dans une vie », la NASA avertit que les éruptions solaires meurtrières peuvent frapper la Terre en détruisant les infrastructures technologiques de l’hémisphère nord.

    La Russie a également exprimé son inquiétude. Et maintenant, l’astrophysicien éminent Alexey Demetriev affirme que ce qui se passe est pire, bien pire, que ce que la NASA et l’ESA ont admis.

    Le monde est sans défense contre les manifestations extraterrestres inconnues.

    Les scientifiques de la NASA, terrifiés, ont découvert le 14 juillet 2010 que notre système est en train de passer dans un nuage d’énergie interstellaire. Ce nuage de gaz électrifié, très énergisé, est troublant et perturbe le soleil. En conjonction avec le champ magnétique affaibli et mouvant de la Terre, le monde devient sans défense contre les éruptions solaires massives et les radiations intenses.

    La NASA, l’ESA et la "National Academy of Science" ont émis un avertissement de tempête solaire sans précédent pour 2012. Mais ce que la NASA et le gouvernement fédéral nous cachent, selon Demetriev, c’est que le soleil et tout dans notre système solaire est plongé dans un nuage extraterrestre inconnu de photons… une ceinture dangereuse qui pourrait précipiter de gigantesques explosions solaires, des anomalies magnétiques, le carénage des masses cométaires et la déstabilisation des orbites de certains astéroïdes.

    Tout le système solaire est en danger...

    Le Dr Demetriev a révélé que les deux sondes Voyager 1 et Voyager 2 rapportent que le système solaire en entier est en danger. Pire encore, Merav Opher, un chercheur-invité en héliophysique de la NASA de l’Université George Mason, a dit que ce nuage d’énergie interstellaire est instable et turbulent.

    Le scientifique russe prétend en outre que ce nuage d’énergie excite les atmosphères de nos planètes et surtout notre Soleil. Comme ce nuage d’énergie interstellaire continue à exciter/charger le soleil, il fait que le soleil devient de plus en plus actif, résultant en une plus grande production du soleil.

    Des explosions mortelles super-massives affectent la température...

    Le résultat est des tempêtes solaires plus grandes et plus fréquentes, et les éjections coronaires massives résultant en l’effet Carrington, nommé d’après le scientifique du 19ième siècle Richard Carrington. L’effet Carrington prédit la génération d’explosions solaires super-massives qui affectent la Terre d’une façon qui est très désagréable.

    Ce nuage interstellaire d’énergie électrique est également absorbé par la Terre, et les scientifiques ont constaté qu’il en résulte plus de tremblements de terre, tout en affectant d’une façon spectaculaire la température.

    Catastrophe mondiale

    Demetriev nous avertit de se préparer au pire. « Une catastrophe mondiale! Pas dans des dizaines d’années à partir de maintenant, mais dans un an ou deux. »

    À quoi faut-il s’attendre? À la forte possibilité de la perte de toute notre haute technologie, à une augmentation des super-tempêtes, à l’arrivée d’une nouvelle ère glaciaire, à des tremblements de terre plus fréquents et plus massifs, à de l’activité volcanique, des tsunamis et à la Terre exposée mortellement à des bains radioactifs.

    En bref, les alarmistes de 2012 peuvent ne pas avoir été loin de la vérité après tout. Si Alexey Demetriev est correct, les événements qui surviendront en 2012 seront très près de la fin du monde tel qu’on le connaît…

    Source : RealNewsReporter
    Traduit par : Oscar Blais





     
     


     

    Les miroirs à retournement temporel

    01/09/2011 07:37



    ReverSys

    Allumer une lampe parmi plusieurs dans un
    magasin fermé en touchant la vitrine.
    Photo D.R.

    Longtemps confinée dans l’ombre des labos, l’innovation étonnante des miroirs à retournement temporel fait son chemin jusqu’à la lumière des médias en nous promettant une véritable révolution dans des domaines aussi variés que la médecine, l’informatique, la domotique ou les télécoms. Cette technologie française très prometteuse des miroirs à retournement temporel a été mise au point au début des années 90 par l’équipe du professeur Mathias Fink, directeur du laboratoire Ondes et acoustiques, à l’ESPCI (École supérieure de physique et de chimie industrielle) à Paris ; et a été présentée avec succès à l’Académie des sciences en 2004.

    Le résultat : une technologie acoustique du nom de ReverSys, développée par Sensitive Object, une petite entreprise d’une quinzaine de personnes créée en 2003. Le principe de ces miroirs à retournement temporel consiste à faire rebrousser chemin à une onde, qu’elle soit acoustique ou électromagnétique. Lorsqu’elle entre en contact avec le “miroir”, en fait un réseau de capteurs piézo-électriques couplé à des mémoires, ces mêmes capteurs l’enregistrent au format numérique. Ainsi, le moindre impact digital sur la surface de n’importe quel objet possède une signature acoustique propre au point d’impact. D’où l’idée des fondateurs de Sensitive Object d’associer cette signature à une action et de créer un tableau de commande virtuel. Et tout objet peut devenir ipso facto interactif.

    Sans entrer dans les détails, les applications seraient nombreuses : en domotique, il sera très facile d’utiliser le mur de notre salon pour fermer la porte d’entrée, déclencher une lumière, régler le chauffage ou mettre en marche notre téléviseur ; toucher du doigt un pays sur une mappemonde et voir instantanément les principales informations touristiques, économiques, politiques ou sociales de ce pays s’afficher sur l’écran de votre ordinateur ; dessiner sur la surface d’un plan de travail quelques pictogrammes ou un clavier, taper sur chaque touche pour que l’ordinateur enregistre le son émis et l’associe avec une fonction donnée ; dans les télécommunications avec la mise au point d’une sorte de fibre optique virtuelle, de point à point, inviolable ; en médecine pour détruire les calculs rénaux avec une grande précision ou réaliser des diagnostics très fins grâce à la prise de 5 000 images par seconde du corps humain.





     
     


     

    Une solution savonneuse qui mousse pendant 6 MOIS

    31/08/2011 08:28



    Des solutions savonneuses qui moussent, cela n'est pas extraordinaire ; une mousse de savon stable pendant plusieurs mois, même à 60°C, cela l'est davantage. D'autant plus si cette mousse est produite à partir d'une substance naturelle et peut être rapidement détruite en modifiant seulement son environnement thermique, et ceci de façon réversible. C'est en résumé le travail réalisé par des équipes de l'INRA, du CEA et du CNRS, qui ouvre de nouvelles applications susceptibles d'intéresser les fabricants de cosmétiques ou de détergents.
    Les résultats de ces recherches sont publiés dans la revue Angewandte Chemie du 29 août.

    Du fait de leur texture particulière et des molécules qui les constituent, les mousses ont souvent des vertus détergentes. En physico-chimie, les molécules, qu'il faut absolument disperser dans l'eau pour faire une mousse, sont dites « tensioactives ». Elles se placent spontanément entre l'eau et l'air, ce qui permet de stabiliser des films d'eau très fins autour des bulles d'air de la mousse, selon une architecture particulière. De par leurs propriétés, les mousses ont de nombreuses applications dans des secteurs comme le nettoyage, la décontamination, la cosmétique, la lutte contre la pollution ou les incendies, l'agroalimentaire, ou l'extraction de ressources naturelles.

    Les chercheurs de l'INRA, du CEA et du CNRS ont étudié ici une molécule tensioactive particulière, l'acide gras 12-hydroxy stéarique, issue de l'huile de ricin. Pour disperser cette molécule initialement insoluble dans l'eau, ils lui ont ajouté un sel. Ils ont ensuite démontré les propriétés très avantageuses de ce tensioactif : même en faible quantité, il produit une mousse abondante et, surtout, stable pendant plus de 6 mois, contrairement aux tensioactifs classiques qui ne stabilisent les mousses que quelques heures. Les chercheurs ont observé et expliqué ce phénomène par microscopie et diffusion de neutrons, permettant de suivre in situ l'évolution de la structure à l'échelle nanométrique.

     

    Mousse_INRA/CEA

    © INRA, UR1268 BIA



     

    Ainsi, ils ont montré que dans une gamme de températures moyennes, entre 20 et 60°C, l'acide gras 12-hydroxy stéarique, mélangé avec le « bon » sel, se disperse dans l'eau sous forme de tubes de quelques microns. Ces tubes forment alors une structure parfaitement stable et rigide dans les films d'eau très minces placés entre les bulles d'air, ce qui explique la tenue de la mousse.

    Au-delà de 60°C, ces tubes fusionnent sous la forme d'assemblages sphériques mille fois plus petits (quelques nanomètres), que les chercheurs appellent des « micelles ». La mousse auparavant stable s'effondre alors car la structure rigide disparait. Les chercheurs ont montré que cette transition d'un assemblage de tubes à un assemblage de micelles est « réversible ». En effet, si on augmente la température d'une mousse, son volume va diminuer dès la formation de micelles, et si on rabaisse la température entre 20 et 60°C, les tubes se reforment et la mousse se stabilise à nouveau (pour retrouver le volume de mousse initial, il faudrait tout de même réinjecter de l'air).

    La constitution d'une mousse aussi stable avec une molécule tensioactive aussi simple et d'origine naturelle est une première. La température de transition entre l'état où la mousse contient des tubes, et l'état « micelles », dépend du sel choisi pour disperser la molécule dans l'eau, ce qui accroît son potentiel d'utilisation.

    Cette chimie verte, puisqu'elle est issue d'une bio-molécule, ouvre des perspectives intéressantes car les mousses sont amplement utilisées dans l'industrie. Il serait par exemple possible de produire des détergents ou des shampoings dont on peut contrôler la quantité de mousse par simple effet de la température et ainsi en faciliter l'évacuation. Certains produits cosmétiques nécessitent de nombreux élements chimiques afin d'obtenir une mousse stable ; l'utilisation de l'acide gras 12-hydroxy stéarique permettrait de limiter la quantité d'éléments synthétiques tout en conservant les propriétés « moussantes »  plus longtemps.





     
     

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