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Electroménager et Hi -Fi . La fin des prises electriques
27/07/2011 08:48
Les recherches indiqués ci - dessous sont les bases mêmes de la transmission du courant électrique sans fil . Dans le cas cité ci - dessous , nos scientifiques essaient de capter les multiples frequences electromagnétiques qui nous environnent ( ondes radios - portables ) pour ensuite les capturer afin de les emmagasinner dans des condensateurs et batteries .
Bien que l' energie captée soit pour l' instant minime , ses recherches aboutiront à l' elaboration d' une technologie qui permettra dans un futur proche de transmettre du courant electrique sans besoin de fil .
Tous nos appareils electroménager et hi - fi n' auront plus besoin de fil , car ils seront équipé de composants electronique qui capteront l' electricité sous formes d' ondes électromagnetique
Et si l'on pouvait capter l'énergie électromagnétique de notre environnement immédiat dégagé par des émetteurs radios / télévisions, des systèmes de communication par satellite, des réseaux cellulaires, et cela dans l'unique but de fournir de l'énergie à de petits appareils électroniques ?
Jusqu'à présent, personne n'a été en mesure de capter l'énergie électromagnétique qui nous entoure. Tout cela pourrait bientôt devenir réalité grâce à une technologie qui la récupère et l'exploite. Cette découverte est par ailleurs soutenue par un certain nombre de sponsors**.
Les chercheurs de l'Institut de génie électrique et informatique du Georgia Tech ont utilisé des fréquences à bande large pour exploiter une variété de signaux et en capter l'énergie. Par ailleurs, ils se sont servis d'une imprimante à jet d'encre pour combiner sur un même support papier (ou un polymère flexible), plusieurs matériaux.
L'équipe a imprimé non seulement des composants Radio-Fréquences (RF) et des circuits, mais également de nouveaux dispositifs de détection à base de nanomatériaux (ex. nanotubes de carbone). Le résultat ressemble à un "capteur sans fil auto-alimenté" qui peut être utilisé pour surveiller les produits chimiques, thermiques, biologiques, ainsi que les niveaux de vibrations.
Les périphériques de communication implantés tout autour de nous, émettent beaucoup d'énergie dans différentes gammes de fréquences. Des appareils dédiés dits "récupérateurs" sont capables eux de capter cette énergie et de la convertir en courant continu. Cette énergie est finalement stockée dans des condensateurs ou des batteries. Ces dispositifs qui sont basés sur des circuits souples peuvent exploiter aussi bien des fréquences radios de type FM que radars, dans une fourchette allant de 100 MHz à 15 GHz.

Le groupe de recherche a commencé ses travaux dans les années 2006, où les circuits ne fonctionnaient qu'à des fréquences de 100 ou 200 MHz. "Nous pouvons maintenant imprimer des circuits qui sont capables de fonctionner jusqu'à 15 GHz - voire 60 GHz si nous imprimons sur un polymère", a déclaré Rushi Vyas, étudiant diplômé.
Des centaines de microwatts d'électricité ont déjà été générés rien qu'en utilisant des fréquences de télévision, ce qui reste suffisant pour faire fonctionner de petits appareils électroniques tels que des capteurs et des microprocesseurs. L'équipe du Georgia Tech veut maintenant combiner des super-condensateurs et des fréquences élevées avec sa technologie de balayage pour alimenter des appareils qui nécessitent 50 milliwatts de puissance. Dans cette approche, l'énergie s'accumule dans un super-condensateur avant d'être utilisée lorsque le niveau de puissance requis est atteint.
Les chercheurs pensent que les capteurs souples auto-alimentés, sans fils, seront bientôt largement disponibles à un coût très faible.
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Les armes scalaires . Voir à travers les objets
19/07/2011 08:12

http://youtu.be/ma4sG1Yf0-M
http://youtu.be/SHGA4IqNrLw
[PDF] les ondes scalaires
La masse d’un objet résulte d’une énergie du vide faisant pression sur l’atome. Une partie de cette énergie du vide nommée « ondes stationnaires » est, par reflet, renvoyée en partie par l’atome tandis que la partie absorbée par l’atome crée sa masse.
Si, par une technologie, l’on parvient à modifier cet équilibre, on modifie directement la masse de l’atome. On ouvre ainsi la voie à l’antigravitation, l’atome tombe alors vers le haut. On peut également, par voie de conséquence, augmenter sa masse, créant ce que l’on pourrait nommer une « surgravitation ».
Les ondes nommées ici ondes électromagnétiques scalaires peuvent donc, à gré, soit augmenter, soit diminuer la masse d’un objet. L’émetteur de ces ondes agit donc soit comme un émetteur d’énergie soit comme un extracteur d’énergie. Selon cette théorie, il existerait une empreinte ou modèle scalaire spécifique à chaque objet (courbures spatiales, fréquences, résonance, débit d’écoulement du temps)
Du point de vue scalaire, chaque objet a son « modèle scalaire » individuel lequel est une empreinte digitale et une empreinte spatio-temporelle unique. Si ce modèle est connu avec précision, il peut être « irradié » et mis en résonance par des ondes scalaires. On peut ainsi, à distance, générer de l’énergie à l’intérieur de l’objet ciblé ou en extraire, tout comme un diapason stimulé peut en exciter un autre à distance par résonance sympathique. Cependant, par ce processus, les effets sur l’objet ne traversent pas l’espace, ils émergent dans la masse de l’objet par syntonie non spatiale (phénomène non local de l’espace quantique du vide). L’espace est ainsi aboli.
Le « grand oeil » de Tesla pour la vision à distance
Nikola Tesla a conçu une utilisation très spéciale pour son interféromètre scalaire endothermique, il l’a conçue pour produire son « grand œil pour voir à distance ». Le système utilisé pour réaliser cela est juste légèrement endothermique, de manière que seule une petite quantité d’énergie est extraite de la cible distante, au fur et à mesure un receveur ouvert « scanne » les rayons, temporellement, d’un côté à l’autre et de haut en bas. En scannant un autre rayon traversant la zone d’intersection, ayant des pulsations en phases, une représentation encore meilleure peut être obtenue. Finalement le receveur génère une représentation de l’énergie qui a été extraite de différents endroits de la zone endothermique distante, en affichant les signaux reçus sur un écran de scanner approprié, une représentation de la scène distante peut être créée. C’est un genre particulier « d’interféromètre micro-ondes », et - avec les techniques modernes - les images obtenues peuvent être étonnamment bonnes. Avec le développement, cela pourrait même devenir aussi bon que les images obtenues par les radars d’acquisitions en vue de côté. Il est assez intéressant de noter que, puisque les rayons scalaires pénètreront assez facilement sous la surface de la terre et des océans, on peut aussi regarder sous la surface de la terre et des océans avec ce type de scanner par interférométrie scalaire.
L’importance de cette capacité de reconnaissance stratégique et tactique est évidente. Camouflage, couverture et dissimulation n’ont plus aucun effet face à un tel système. On peut facilement observer l’intérieur des bâtiments et dans les équipements souterrains. Avec un petit système comme celui-là, les fusiliers marins américains à Khe Sahn n’auraient pas eu de grandes difficultés à situer les tunnels qui étaient creusés en permanence sous le périmètre par le Viet Cong, et les cibles sous les cahutes de la jungle sont directement visibles.
Il est aisé d’imaginer que ce système est facilement adaptable à l’utilisation sous-marine. Un type de radar « sous-marin ». Avec un tel dispositif, le problème posé par les sous-marins nucléaires en plongée est résolu. Par exemple, une zone entière peut être continuellement fouillée, exactement comme des systèmes de radars d’acquisitions le font maintenant. Un sous-marin peut être détecté et suivi à la trace alors qu’aucun de ses détecteurs ordinaires ne détectera quelque chose de particulier. En utilisant une paire séparée de rayons dans le mode exothermique, de puissantes pulsations scalaires peuvent être envoyées au sous-marin, s’inter-croisant au niveau du sous-marin dans un violent effet EMP partout dans le sous-marin et son armement. Ainsi le sous-marin et tous ses missiles sont détruits instantanément.
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La Chitine . Des ondes scalaires pour creuser des tunnels
17/07/2011 20:04

Comme je le disais dans les précedent sujets , un chercheur russe autodidacte
" Grebennikov " aurait découvert bien malgre lui , le mystère de l' Antigravitation .
Tout avait commencé un jour d' été 1988 , alors qu' il manipulait deux enveloppes de chitine
prélevées au bas du logement de l'aile d'un « gros » insecte sibérien, dont l'identité est gardée secrète ,
Grebennikov aurait remarqué qu' en empilant deux morceaux , l' un des deux se mettait à
léviter .
Les enveloppes de chitine observées - caractérisées par l'auteur de microstructures spongieuses,
extrêmement bien ordonnées et tridimensionnelles aux formes étoilées – semblent donc avoir opposé
une force répulsive, générant un phénomène naturel d'antigravité. En liant solidement entre-elles
plusieurs couches de cette mystérieuse chitine, Grebennikov dit obtenir un agglomérat capable, non
seulement de faire léviter une punaise, mais en plus de la rendre quelques instants invisible.
Grâce à ces étonnantes observations, il explique avoir mis au point une plateforme volante capable
d'atteindre une altitude maximale de 300 mètres et de se déplacer à une vitesse moyenne de
25km/min. Le dispositif est décrit comme invisible, sans ombre projetée et silencieux, ne provocant
presque pas de friction d'air. Il est mut par la génération d'un champ qui est supposé l'englober. Celui-ci
est qualifié de « colonne invisible s’évasant vers le haut et qui annule l’attraction de la gravité
terrestre ».
Bien qu' elle vole dans les airs la plateforme antigravitationnel de Grebennikov possèderait
d' autres caractèristiques tel que l' invisibilité et le creusement de puits .
A se sujet , à l'occasion d'une chute libre accidentelle, la plateforme ne se serait pas écrasée au
sol.
Elle se serait contentée de creuser un puits profond dans la terre ; d’abord à la verticale puis à
l’horizontale. La particularité du tunnel ainsi créé est qu'il ne présente pas de déblais à l'entrée.
Grebennikov explique ainsi l'observation de trous similaires le 24 Octobre 1989 dans les champs du
district de Khvorostyansk dans la région de Samara. Ce fait divers est rapporté par le journal
Komsomol'skaya Pravda du 6 décembre 1989.
Donc les ondes de formes géneré par les motifs géométriques de la Chitine favoriserait
la création d' ondes scalaires qui contracterait le tissu spatio - temporelle en fabriquant de
l' energie antigravitationnel .
C' est cette energie qui permettrait de creuser des puits dans la terre sans laisser de
déblais . Cette science pourrait être assez efficace pour le creusement de tunnel dans les
montagnes . Mais l' appareillage devra être breaucoup plus grand .

- Lors de ses vols, Grebennikov affirme avoir observé un fonctionnement anormal de sa montre. Ce qui lui fait dire que l’appareil ne voyage peut-être pas uniquement dans l’espace. Il appuie ses dires en expliquant qu'il n'est jamais parvenu à ramener de ses escapades un seul insecte. Soit le tube à essai dans lequel il les capturait s'écrasait, soit il était troué, soit l'insecte était redevenu chrysalide.
- Les trous relevés sur les tubes à essai, de 3 à 5mm, ressembleraient à ceux présents dans les vitres d'habitations sibériennes. Les bords de ces trous semblent avoir fondus et sont colorés de brun. L'explication avancée officiellement fait référence à des microplasmoïdes à vie courte. Grebennikov affirme quant à lui qu'il s'agit là de petits grains tombés par inadvertance de machines volantes similaires à la sienne.
- En outre, Grebennikov ajoute que les ruptures temporelles engendrées par son système peuvent provoquer un effet « poltergeist ».
[...] avec des mouvements inexpliqués d’objets domestiques, des commutateurs d’appareils électriques qui s’allument et s’éteignent et même mettent le feu.
''Viktor Stepanovich Grebennikov, « Mon monde », chapitre cinq « Vol »''
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Adenovirus . Des singes contaminent des humains
17/07/2011 18:08

Ce virus serait responsable de la mort de 19 singes et aurait affecté deux humains dans un centre de recherche sur les primates en Californie.
Saut d’espèce surprenant
Pour la première fois, un virus à ADN qui se propage dans une colonie de singes du Nouveau Monde Titi, Callicebu Cupreus, a également infecté deux humains : un chercheur et un membre de sa famille. C’est le seul exemple documenté d’un adénovirus ayant franchi la barrière d’espèce et qui reste contagieux après.
Les adénovirus sont connus pour causer un large éventail de maladies cliniques chez les humains, du simple « coup de froid » à la pneumonie. Contrairement à la grippe (myxovirus) ou aux coronavirus, les adénovirus qui sont composés d’une capside et d’ADN, ne sont pas connus pour être capables de sauter d’une espèce à l’autre. « Maintenant, les adénovirus peuvent être ajoutés à la liste des agents pathogènes qui ont la capacité de traverser les espèces », a déclaré Charles Chiu, directeur du centre de diagnostic viral de l’Université de Californie.
Le virus, que les chercheurs ont nommé adénovirus du singe Titi (TMAdV), a été responsable d’une épidémie chez des singes titi du California National Primate Research Center (CNPRC) en 2009. Durant cette épidémie, un chercheur qui soignait les singes a contracté une infection respiratoire fébrile ainsi qu’un des membres de sa famille qui n’était pas en contact avec les animaux. Les analyses ont confirmé que le virus était le même chez les singes et les humains, et qu’il est très inhabituel dans les deux populations. Les résultats sont publiés dans la revue PLoS Pathogens.
Une origine encore inconnue
« Il s'agit clairement d'une nouvelle espèce d'adénovirus et il est assez différent de tout ce que nous avons vu précédemment », a déclaré Charles Chiu. «Étant donné le taux de mortalité anormalement élevé de TMAdV chez les singes titi, ils ne sont pas susceptibles d'être l'espèce hôte native pour ce virus. Nous ne savons toujours pas quelle espèce est l'hôte naturel. » Il ne s’agit pas non plus du chercheur, car le virus est également inconnu chez l’Homme.
En testant d'autres singes au centre des primates, l'équipe a trouvé un singe rhésus avec des anticorps à TMAdV, ce qui indiquerait que le virus provient des singes de l’Ancien Monde (originaires d’Asie et d’Afrique), et qu’il s’est propagé chez les singes du Nouveau Monde dépourvus d’anticorps dirigés contre lui. Les chercheurs sont en train de mener des tests sur des singes sauvages au Brésil afin de savoir si ces animaux (ainsi que les populations voisines) ont déjà été en contact avec TMAdV.
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La Chitine . Antigravitation et invisibilité
16/07/2011 16:16

 
Chitine - Wikipédia
la chitine est l' exosquelette des insectes . Sa forme generait d' etranges ondes scalaires .
criticalbelievers.proboards.com/index.cgi?boa...
Comme je l' expliquais dans le précédent sujet , suite à une observation détaillé de certains insectes un chercheur autodidacte russe " Grebennikov " mettra au point un dispositif calqué sur la disposition de la chitine des insectes .
Il obtiendra une antigravitation prononcé . Mais les effets ne s' arreteraient pas qu' à cette lévitation . Un phénomène d' invisibilité envelopperait tous les objets soumis au champs de la chitine .
Autre point la Chitine emettrait des ondes scalaires qui pourraient favoriser l' ouverture de veritable trou de ver menant vers d' autre dimensions .

C’est en 1988 qu’il a découvert les effets antigravitationnels de l’enveloppe de chitine de certains insectes. Mais le phénomène le plus impressionnant découvert à cette occasion a été celui de l’invisibilité complète ou partielle ou la perception déformée des objets matériels entrant dans la zone de gravité compensée. En se basant sur cette découverte, l’auteur a utilisé des principes bioniques pour concevoir et fabriquer une plateforme antigravitationnelle destinée à des vols dirigés à la vitesse de 25 km/min. Depuis les années 1991, 1992, il a utilisé cet appareil pour des déplacements rapides.
Voilà comment Grebennikov fit sa découverte .
Au cours de l’été 1988, alors que j’étais en train d’examiner au microscope les enveloppes de chitine d’insectes avec leurs antennes en forme de plumes et la plus fine structure d’ailes de papillons. Mon intérêt se porta sur une microstructure au rythme surprenant d’un détail de gros insecte.
C’était une composition extrêmement bien ordonnée, comme si elle avait été imprimée sur une machine complexe selon des calculs et des plans détaillés spéciaux. Comme je le voyais, la structure spongieuse compliquée n’était manifestement pas nécessaire que ce soit pour la résistance du détail ou sa décoration. Je n’avais jamais observé quoi que ce soit dans la nature, dans la technologie ou dans l’art, qui ressemble à cet ornement microscopique.. Cette structure étant tridimensionnelle, je n’ai pas pu, jusqu’ici, la saisir ni en dessin, ni en photo.
Pourquoi un insecte a besoin de ça ? De plus, à part au moment du vol cette structure au bas du logement de l’aile n’est jamais visible. Etait-ce peut-être la balise d’onde avec « mon » effet de structures à cavité multiples ? Cet été où j’ai eu vraiment de la chance (je n’ai pas pu observer ces insectes, ni auparavant, ni plus tard), il y avait beaucoup d’insectes de cette espèce que je capturais la nuit.
J’ai placé le petit morceau de chitine concave sur la lame du microscope pour pouvoir encore examiner ses cellules aux étranges formes étoilées sous un grossissement supérieur. J’ai à nouveau admiré ce chef d’oeuvre de la nature. J’allais placer sur le premier morceau et à l’envers (sans y avoir vraiment réfléchi) un second morceau possédant la même structure cellulaire étrange. Et alors là ! Le petit morceau s’est dégagé de mes brucelles et est resté suspendu au dessus de l’autre morceau sur la lame du microscope pendant quelques secondes, puis il a fait une rotation vers la droite de quelques degrés, a glissé à droite, a tourné ensuite dans le sens antihoraire, s’est balancé et c’est seulement à ce moment là qu’il est tombé d’un seul coup sur le bureau.
Imaginez un peu ce que j’ai ressenti à ce moment-là ! Quand j’ai repris mes esprits, j’ai lié quelques parties ensemble avec un fil – chose pas facile à faire et que je n’ai pu réussir qu’en les mettant en position verticale. J’obtins alors un bloc de chitine à plusieurs couches et je le plaçai sur le bureau. Même un objet relativement plus gros comme une punaise ne pouvait pas tomber dessus. Quelque chose l’a poussé vers le haut et de côté. C’est quand j’ai fixé la punaise sur le dessus du bloc, observant, des choses tellement impossibles et incroyables (la punaise devenant pendant quelques instants invisible) que j’ai réalisé que ce n’était pas une balise, mais quelque chose d’entièrement différent. Je devins encore plus excité lorsque tous les objets autour de moi devinrent flous et tremblants. Je fis en sorte de reprendre mes esprits, avec grand effort, en deux heures et je continuais à travailler. C’est ainsi que tout a commencé.
Certes, il reste encore beaucoup de choses à comprendre, vérifier, tester. Je parlerai certainement à mes lecteurs des plus petits détails de ma machine, des principes de sa propulsion, des distances, des hauteurs, des vitesses, de l’équipement et de tout le reste mais dans mon prochain livre.
J’ai fait mon premier essai de vol, plutôt raté et très dangereux, dans la nuit du 17 mars 1990. Je n’avais pas eu la patience d’attendre l’été, et j’ai négligé d’aller dans un endroit désert. Je savais déjà que cette nuit était le moment le plus dangereux pour ce genre de travail. Et j’avais eu de la malchance depuis le tout début. Les blocs du panneau du côté droit de la plateforme d’ascension se collaient sans cesse. J’aurais pu régler le problème convenablement et tout de suite, cependant, j’ai négligé de le faire. J’ai décollé tout juste au milieu du campus de l’Académie d’Agriculture, en supposant, à tort, que personne ne serait éveillé à une heure du matin et ne me verrait. Le décollage s’est bien passé, mais j’ai été pris de vertige en quelques secondes quand les fenêtres éclairées des bâtiments du campus se sont comme enfoncées en dessous de moi. J’aurais dû atterrir juste à ce moment là, cependant je suis resté en l’air ce qui était une erreur parce qu’une force puissante m’a arraché le contrôle de mon mouvement et de mon poids et m’a entraîné en direction de la ville…
Tiré par cette énergie incontrôlable, inattendue, je passais sur le second cercle des immeubles de neuf étages de la zone résidentielle de la ville (ils couvrent deux grands cercles avec des immeubles de cinq étages, dont les nôtres) ensuite je passais sur un champ voisin enneigé et la grande route de la citée académique …l’immensité sombre de Novosibirsk me cernait, très rapidement. J’approchais déjà d’un groupe de hautes cheminées d’usines.
Il fallait faire quelque chose et le faire vite. Et j’ai dominé la situation mais avec de grands efforts. Finalement, j’ai réussi à opérer un réglage d’urgence des blocs du panneau et mon mouvement horizontal s’est ralenti, mais alors je devins rapidement nauséeux. J’ai réussi à stopper ce mouvement horizontal au 4ème essai au moment où ma plateforme survolait Zatulinka, zone industrielle de la ville.
Ma vitesse de vol est assez élevée, mais je ne sens pas de vent sur les oreilles – le champ de force de la plateforme a « taillé » à partir de l’espace une colonne invisible s’évasant vers le haut et qui annule l’attraction de la gravité terrestre. Mais elle nous laisse, l’air à l’intérieur de la colonne et moi-même, intacts. Je pense que cet ensemble fend l’espace en vol et ensuite le referme derrière moi. C’est ce qui doit expliquer mon invisibilité, ou l’aspect visible mais déformé de l’appareil et de son conducteur – comme ça a été le cas dans mon vol au-dessus de la banlieue Zatulinka de Novosibirsk's. Comme je l’ai vu plus tard, les gens voient parfois quelque chose là où je suis dans le ciel.
Mais la protection vis-à-vis de la gravité est régulée, même si elle est incomplète : si vous portez la tête vers l’avant, vous sentez déjà la turbulence du vent et les odeurs nettes qu’il porte, soit de trèfle sucré, de sarrasin, ou d’ herbes colorées des prairies sibériennes.
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