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Science Futuriste

VIP-Blog de bm7
bnj.777@hotmail.fr

  • 786 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 11/12/2010 11:43
    Modifié : 18/12/2021 17:29

    Garçon (50 ans)
    Origine : PARIS
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    Electroménager et Hi -Fi . La fin des prises electriques

    27/07/2011 08:48



    Les  recherches  indiqués  ci - dessous  sont  les  bases  mêmes  de  la  transmission   du  courant  électrique  sans  fil  .  Dans   le  cas  cité  ci - dessous  ,  nos  scientifiques  essaient  de  capter  les  multiples  frequences  electromagnétiques  qui  nous  environnent  (  ondes radios - portables  )   pour  ensuite  les  capturer  afin  de  les  emmagasinner  dans  des condensateurs  et  batteries  . 

    Bien  que  l'  energie  captée  soit  pour  l'  instant  minime  ,  ses  recherches  aboutiront  à  l'  elaboration  d'  une  technologie   qui  permettra  dans  un  futur  proche  de  transmettre  du  courant  electrique  sans  besoin  de  fil  .

    Tous  nos  appareils  electroménager  et  hi - fi  n'  auront  plus  besoin  de  fil  ,  car  ils  seront  équipé  de  composants  electronique  qui  capteront   l'  electricité  sous  formes  d'  ondes  électromagnetique 

     

     

    Peux-t-on récupérer l'énergie électromagnétique ambiante ?Et si l'on pouvait capter l'énergie électromagnétique de notre environnement immédiat dégagé par des émetteurs radios / télévisions, des systèmes de communication par satellite, des réseaux cellulaires, et cela dans l'unique but de fournir de l'énergie à de petits appareils électroniques ?

    Jusqu'à présent, personne n'a été en mesure de capter l'énergie électromagnétique qui nous entoure. Tout cela pourrait bientôt devenir réalité grâce à une technologie qui la récupère et l'exploite. Cette découverte est par ailleurs soutenue par un certain nombre de sponsors**.

    Les chercheurs de l'Institut de génie électrique et informatique du Georgia Tech ont utilisé des fréquences à bande large pour exploiter une variété de signaux et en capter l'énergie. Par ailleurs, ils se sont servis d'une imprimante à jet d'encre pour combiner sur un même support papier (ou un polymère flexible), plusieurs matériaux.

    L'équipe a imprimé non seulement des composants Radio-Fréquences (RF) et des circuits, mais également de nouveaux dispositifs de détection à base de nanomatériaux (ex. nanotubes de carbone). Le résultat ressemble à un "capteur sans fil auto-alimenté" qui peut être utilisé pour surveiller les produits chimiques, thermiques, biologiques, ainsi que les niveaux de vibrations.

    Les périphériques de communication implantés tout autour de nous, émettent beaucoup d'énergie dans différentes gammes de fréquences. Des appareils dédiés dits "récupérateurs" sont capables eux de capter cette énergie et de la convertir en courant continu. Cette énergie est finalement stockée dans des condensateurs ou des batteries. Ces dispositifs qui sont basés sur des circuits souples peuvent exploiter aussi bien des fréquences radios de type FM que radars, dans une fourchette allant de 100 MHz à 15 GHz.

    Peux-t-on récupérer l'énergie électromagnétique ambiante ?

    Le groupe de recherche a commencé ses travaux dans les années 2006, où les circuits ne fonctionnaient qu'à des fréquences de 100 ou 200 MHz. "Nous pouvons maintenant imprimer des circuits qui sont capables de fonctionner jusqu'à 15 GHz - voire 60 GHz si nous imprimons sur un polymère", a déclaré Rushi Vyas, étudiant diplômé.

    Des centaines de microwatts d'électricité ont déjà été générés rien qu'en utilisant des fréquences de télévision, ce qui reste suffisant pour faire fonctionner de petits appareils électroniques tels que des capteurs et des microprocesseurs. L'équipe du Georgia Tech veut maintenant combiner des super-condensateurs et des fréquences élevées avec sa technologie de balayage pour alimenter des appareils qui nécessitent 50 milliwatts de puissance. Dans cette approche, l'énergie s'accumule dans un super-condensateur avant d'être utilisée lorsque le niveau de puissance requis est atteint.

    Les chercheurs pensent que les capteurs souples auto-alimentés, sans fils, seront bientôt largement disponibles à un coût très faible.





     
     


     

    Les armes scalaires . Voir à travers les objets

    19/07/2011 08:12



    http://youtu.be/ma4sG1Yf0-M

    http://youtu.be/SHGA4IqNrLw

    [PDF] les ondes scalaires

    La  masse d’un objet résulte   d’une énergie du vide faisant pression sur l’atome. Une partie de cette énergie du vide nommée « ondes stationnaires » est, par reflet, renvoyée en partie par l’atome tandis que la partie absorbée par l’atome crée sa masse.

    Si, par une technologie, l’on parvient à modifier cet équilibre, on modifie directement la masse de l’atome. On ouvre ainsi la voie à l’antigravitation, l’atome tombe alors vers le haut. On peut également, par voie de conséquence, augmenter sa masse, créant ce que l’on pourrait nommer une « surgravitation ».

    Les ondes nommées ici ondes électromagnétiques scalaires peuvent donc, à gré, soit augmenter, soit diminuer la masse d’un objet. L’émetteur de ces ondes agit donc soit comme un émetteur d’énergie soit comme un extracteur d’énergie. Selon cette théorie, il existerait une empreinte ou modèle scalaire spécifique à chaque objet (courbures spatiales, fréquences, résonance, débit d’écoulement du temps)

    Du point de vue scalaire, chaque objet a son « modèle scalaire » individuel lequel est une empreinte digitale et une empreinte spatio-temporelle unique. Si ce modèle est connu avec précision, il peut être « irradié » et mis en résonance par des ondes scalaires. On peut ainsi, à distance, générer de l’énergie à l’intérieur de l’objet ciblé ou en extraire, tout comme un diapason stimulé peut en exciter un autre à distance par résonance sympathique. Cependant, par ce processus, les effets sur l’objet ne traversent pas l’espace, ils émergent dans la masse de l’objet par syntonie non spatiale (phénomène non local de l’espace quantique du vide). L’espace est ainsi aboli.

    Le « grand oeil » de Tesla pour la vision à distance


    Nikola Tesla a conçu une utilisation très spéciale pour son interféromètre scalaire endothermique, il l’a conçue pour produire son « grand œil pour voir à distance ». Le système utilisé pour réaliser cela est juste légèrement endothermique, de manière que seule une petite quantité d’énergie est extraite de la cible distante, au fur et à mesure un receveur ouvert « scanne » les rayons, temporellement, d’un côté à l’autre et de haut en bas. En scannant un autre rayon traversant la zone d’intersection, ayant des pulsations en phases, une représentation encore meilleure peut être obtenue. Finalement le receveur génère une représentation de l’énergie qui a été extraite de différents endroits de la zone endothermique distante, en affichant les signaux reçus sur un écran de scanner approprié, une représentation de la scène distante peut être créée. C’est un genre particulier « d’interféromètre micro-ondes », et - avec les techniques modernes - les images obtenues peuvent être étonnamment bonnes. Avec le développement, cela pourrait même devenir aussi bon que les images obtenues par les radars d’acquisitions en vue de côté. Il est assez intéressant de noter que, puisque les rayons scalaires pénètreront assez facilement sous la surface de la terre et des océans, on peut aussi regarder sous la surface de la terre et des océans avec ce type de scanner par interférométrie scalaire.


    L’importance de cette capacité de reconnaissance stratégique et tactique est évidente. Camouflage, couverture et dissimulation n’ont plus aucun effet face à un tel système. On peut facilement observer l’intérieur des bâtiments et dans les équipements souterrains. Avec un petit système comme celui-là, les fusiliers marins américains à Khe Sahn n’auraient pas eu de grandes difficultés à situer les tunnels qui étaient creusés en permanence sous le périmètre par le Viet Cong, et les cibles sous les cahutes de la jungle sont directement visibles.

    Il est aisé d’imaginer que ce système est facilement adaptable à l’utilisation sous-marine. Un type de radar « sous-marin ». Avec un tel dispositif, le problème posé par les sous-marins nucléaires en plongée est résolu. Par exemple, une zone entière peut être continuellement fouillée, exactement comme des systèmes de radars d’acquisitions le font maintenant. Un sous-marin peut être détecté et suivi à la trace alors qu’aucun de ses détecteurs ordinaires ne détectera quelque chose de particulier. En utilisant une paire séparée de rayons dans le mode exothermique, de puissantes pulsations scalaires peuvent être envoyées au sous-marin, s’inter-croisant au niveau du sous-marin dans un violent effet EMP partout dans le sous-marin et son armement. Ainsi le sous-marin et tous ses missiles sont détruits instantanément.





     
     


     

    La Chitine . Des ondes scalaires pour creuser des tunnels

    17/07/2011 20:04



    Comme  je  le  disais    dans  les  précedent  sujets   ,  un  chercheur  russe  autodidacte 

    " Grebennikov "  aurait  découvert  bien  malgre  lui  ,  le mystère  de l' Antigravitation  .

    Tout avait  commencé  un  jour  d' été  1988  ,  alors  qu'  il   manipulait  deux enveloppes de chitine

    prélevées au bas du logement de l'aile d'un « gros » insecte sibérien, dont l'identité est gardée secrète ,

    Grebennikov  aurait  remarqué  qu'  en  empilant  deux  morceaux  ,  l' un  des  deux  se  mettait  à

    léviter  .

     Les enveloppes de chitine observées - caractérisées par l'auteur de microstructures spongieuses,

     extrêmement bien ordonnées et tridimensionnelles aux formes étoilées – semblent donc avoir opposé

    une force répulsive, générant un phénomène naturel d'antigravité. En liant solidement entre-elles

    plusieurs couches de cette mystérieuse chitine, Grebennikov dit obtenir un agglomérat capable, non

    seulement de faire léviter une punaise, mais en plus de la rendre quelques instants invisible.

    Grâce à ces étonnantes observations, il explique avoir mis au point une plateforme volante capable

    d'atteindre une altitude maximale de 300 mètres et de se déplacer à une vitesse moyenne de

    25km/min. Le dispositif est décrit comme invisible, sans ombre projetée et silencieux, ne provocant

    presque pas de friction d'air. Il est mut par la génération d'un champ qui est supposé l'englober. Celui-ci

    est qualifié de « colonne invisible s’évasant vers le haut et qui annule l’attraction de la gravité

    terrestre ».

    Bien  qu'  elle  vole  dans  les  airs  la  plateforme  antigravitationnel  de  Grebennikov  possèderait

    d'  autres  caractèristiques  tel  que  l'  invisibilité   et  le  creusement  de  puits  .

    A  se  sujet  ,  à l'occasion d'une chute libre accidentelle, la plateforme ne se  serait   pas écrasée au

     sol.

    Elle se  serait   contentée de creuser un puits profond dans la terre ; d’abord à la verticale puis à

     l’horizontale. La particularité du tunnel ainsi créé est qu'il ne présente pas de déblais à l'entrée.

    Grebennikov explique ainsi l'observation de trous similaires le 24 Octobre 1989 dans les champs du

    district de Khvorostyansk dans la région de Samara. Ce fait divers est rapporté par le journal

     Komsomol'skaya Pravda du 6 décembre 1989.

    Donc  les  ondes  de  formes  géneré  par  les  motifs  géométriques  de  la  Chitine  favoriserait

    la  création  d' ondes  scalaires  qui  contracterait  le  tissu  spatio - temporelle  en  fabriquant  de

    l' energie  antigravitationnel  .

    C'  est  cette  energie  qui  permettrait  de  creuser  des  puits  dans  la  terre  sans laisser  de 

    déblais  .  Cette  science  pourrait  être  assez  efficace  pour  le  creusement  de  tunnel  dans  les

    montagnes  .  Mais  l' appareillage  devra  être  breaucoup  plus  grand  .

    • foreuse pour consolidation de tunnel 1 700 - 4 696 mm | ST-20 SOILMEC S.P.A.
    • Lors de ses vols, Grebennikov affirme avoir observé un fonctionnement anormal de sa montre. Ce qui lui fait dire que l’appareil ne voyage peut-être pas uniquement dans l’espace. Il appuie ses dires en expliquant qu'il n'est jamais parvenu à ramener de ses escapades un seul insecte. Soit le tube à essai dans lequel il les capturait s'écrasait, soit il était troué, soit l'insecte était redevenu chrysalide.

     

    • Les trous relevés sur les tubes à essai, de 3 à 5mm, ressembleraient à ceux présents dans les vitres d'habitations sibériennes. Les bords de ces trous semblent avoir fondus et sont colorés de brun. L'explication avancée officiellement fait référence à des microplasmoïdes à vie courte. Grebennikov affirme quant à lui qu'il s'agit là de petits grains tombés par inadvertance de machines volantes similaires à la sienne.

     

     



     

    • En outre, Grebennikov ajoute que les ruptures temporelles engendrées par son système peuvent provoquer un effet « poltergeist ».

     

    [...] avec des mouvements inexpliqués d’objets domestiques, des commutateurs d’appareils électriques qui s’allument et s’éteignent et même mettent le feu.

     

    ''Viktor Stepanovich Grebennikov, « Mon monde », chapitre cinq « Vol »''





     
     


     

    Adenovirus . Des singes contaminent des humains

    17/07/2011 18:08



    Ce virus serait responsable de la mort de 19 singes et aurait affecté deux humains dans un centre de recherche sur les primates en Californie.

    Saut d’espèce surprenant

    Pour la première fois, un virus à ADN qui se propage dans une colonie de singes du Nouveau Monde Titi, Callicebu Cupreus, a également infecté deux humains : un chercheur et un membre de sa famille. C’est le seul exemple documenté d’un adénovirus ayant franchi la barrière d’espèce et qui reste contagieux après.

    Les adénovirus sont connus pour causer un large éventail de maladies cliniques chez les humains, du simple « coup de froid » à la pneumonie. Contrairement à la grippe (myxovirus) ou aux coronavirus, les adénovirus qui sont composés d’une capside et d’ADN, ne sont pas connus pour être capables de sauter d’une espèce à l’autre. « Maintenant, les adénovirus peuvent être ajoutés à la liste des agents pathogènes qui ont la capacité de traverser les espèces », a déclaré Charles Chiu, directeur du centre de diagnostic viral de l’Université de Californie.

    Le virus, que les chercheurs ont nommé adénovirus du singe Titi (TMAdV), a été responsable d’une épidémie chez des singes titi du California National Primate Research Center (CNPRC) en 2009. Durant cette épidémie, un chercheur qui soignait les singes a contracté une infection respiratoire fébrile ainsi qu’un des membres de sa famille qui n’était pas en contact avec les animaux. Les analyses ont confirmé que le virus était le même chez les singes et les humains, et qu’il est très inhabituel dans les deux populations. Les résultats sont publiés dans la revue PLoS Pathogens.

    Une origine encore inconnue

    « Il s'agit clairement d'une nouvelle espèce d'adénovirus et il est assez différent de tout ce que nous avons vu précédemment », a déclaré Charles Chiu. «Étant donné le taux de mortalité anormalement élevé de TMAdV chez les singes titi, ils ne sont pas susceptibles d'être l'espèce hôte native pour ce virus. Nous ne savons toujours pas quelle espèce est l'hôte naturel. » Il ne s’agit pas non plus du chercheur, car le virus est également inconnu chez l’Homme.

    En testant d'autres singes au centre des primates, l'équipe a trouvé un singe rhésus avec des anticorps à TMAdV, ce qui indiquerait que le virus provient des singes de l’Ancien Monde (originaires d’Asie et d’Afrique), et qu’il s’est propagé chez les singes du Nouveau Monde dépourvus d’anticorps dirigés contre lui. Les chercheurs sont en train de mener des tests sur des singes sauvages au Brésil afin de savoir si ces animaux (ainsi que les populations voisines) ont déjà été en contact avec TMAdV.





     
     


     

    La Chitine . Antigravitation et invisibilité

    16/07/2011 16:16



    Chitine - Wikipédia

    la  chitine  est  l'  exosquelette  des  insectes  .  Sa  forme  generait  d'  etranges  ondes  scalaires  .

    criticalbelievers.proboards.com/index.cgi?boa...

    Comme  je  l'  expliquais dans  le  précédent  sujet  ,  suite  à  une  observation  détaillé  de  certains  insectes  un  chercheur  autodidacte  russe  " Grebennikov  "  mettra  au  point  un  dispositif  calqué  sur  la  disposition  de  la  chitine  des  insectes  .

    Il  obtiendra  une  antigravitation  prononcé  .  Mais  les  effets  ne  s'  arreteraient  pas  qu'  à  cette  lévitation  .  Un  phénomène  d'  invisibilité  envelopperait  tous  les  objets  soumis  au  champs de  la  chitine  .

    Autre  point  la  Chitine  emettrait  des  ondes  scalaires  qui  pourraient   favoriser  l'  ouverture  de  veritable  trou  de  ver  menant  vers  d'  autre  dimensions  .

    C’est en 1988 qu’il a découvert les effets antigravitationnels de l’enveloppe de chitine de certains insectes. Mais le phénomène le plus impressionnant découvert à cette occasion a été celui de l’invisibilité complète ou partielle ou la perception déformée des objets matériels entrant dans la zone de gravité compensée. En se basant sur cette découverte, l’auteur a utilisé des principes bioniques pour concevoir et fabriquer une plateforme antigravitationnelle destinée à des vols dirigés à la vitesse de 25 km/min. Depuis les années 1991, 1992, il a utilisé cet appareil pour des déplacements rapides.

    Voilà  comment  Grebennikov  fit  sa  découverte  .

    Au cours de l’été 1988, alors que j’étais en train d’examiner au microscope les enveloppes de chitine d’insectes avec leurs antennes en forme de plumes et la plus fine structure d’ailes de papillons. Mon intérêt se porta sur une microstructure au  rythme surprenant d’un détail de gros insecte.

    C’était une composition extrêmement bien ordonnée, comme si elle avait été imprimée sur une machine complexe selon des calculs et des plans détaillés spéciaux. Comme je le voyais, la structure spongieuse compliquée n’était manifestement pas nécessaire que ce soit pour la résistance du détail ou sa décoration. Je n’avais jamais observé quoi que ce soit dans la nature, dans la technologie ou dans l’art, qui ressemble à cet ornement microscopique.. Cette structure étant tridimensionnelle, je n’ai pas pu, jusqu’ici, la saisir ni en dessin, ni en photo.

    Pourquoi un insecte a besoin de ça ? De plus, à part au moment du vol cette structure au bas du logement de l’aile n’est jamais visible. Etait-ce peut-être la balise d’onde avec « mon » effet de structures à cavité multiples ? Cet été où j’ai eu vraiment de la chance (je n’ai pas pu observer ces insectes, ni auparavant, ni plus tard), il y avait beaucoup d’insectes de cette espèce que je capturais la nuit.

    J’ai placé le petit morceau de chitine concave sur la lame du microscope pour pouvoir encore examiner ses cellules aux étranges formes étoilées sous un grossissement supérieur. J’ai à nouveau admiré ce chef d’oeuvre de la nature. J’allais placer sur le premier morceau et à l’envers (sans y avoir vraiment réfléchi) un second morceau possédant la même structure cellulaire étrange. Et alors là ! Le petit morceau  s’est dégagé de mes brucelles et est resté suspendu au dessus de l’autre morceau sur la lame du microscope pendant quelques secondes, puis il a fait une rotation vers la droite de quelques degrés, a glissé à droite, a tourné ensuite dans le sens antihoraire, s’est balancé et c’est seulement à ce moment là qu’il est tombé d’un seul coup sur le bureau.

    Imaginez un peu ce que j’ai ressenti à ce moment-là ! Quand j’ai repris mes esprits, j’ai lié quelques parties ensemble avec un fil – chose pas facile à faire et que je n’ai pu réussir qu’en les mettant en position verticale. J’obtins alors un bloc de chitine à plusieurs couches et je le plaçai sur le bureau. Même un objet relativement plus gros  comme une punaise ne pouvait pas tomber dessus. Quelque chose l’a poussé vers le haut et de côté. C’est quand j’ai fixé la punaise sur le dessus du bloc, observant, des choses tellement impossibles et incroyables (la punaise devenant pendant quelques instants invisible) que j’ai réalisé que ce n’était pas une balise, mais quelque chose d’entièrement différent. Je devins encore plus excité lorsque tous  les objets autour de moi devinrent flous et tremblants. Je fis en sorte de reprendre mes esprits, avec grand effort, en deux heures et je continuais à travailler. C’est ainsi que tout a commencé.

    Certes, il reste encore beaucoup de choses à comprendre, vérifier, tester. Je parlerai certainement à mes lecteurs des plus petits détails de ma machine, des principes de sa propulsion, des distances, des hauteurs, des vitesses, de l’équipement et de tout le reste mais dans mon prochain livre.

    J’ai fait mon premier essai de vol, plutôt raté et très dangereux, dans la nuit  du 17 mars 1990. Je n’avais pas eu la patience d’attendre l’été, et j’ai négligé d’aller dans un endroit désert. Je savais déjà que cette nuit était le moment le plus dangereux pour ce genre de travail. Et j’avais eu de la malchance depuis le tout début. Les blocs du panneau du côté droit de la plateforme d’ascension se collaient sans cesse. J’aurais pu régler le problème convenablement et tout de suite, cependant, j’ai négligé de le faire. J’ai décollé tout juste au milieu du campus de l’Académie d’Agriculture, en supposant, à tort, que personne ne serait éveillé à une heure du matin et ne me verrait. Le décollage s’est bien passé, mais j’ai été pris de vertige en quelques secondes quand les fenêtres éclairées des bâtiments du campus se sont comme enfoncées en dessous de moi. J’aurais dû atterrir juste à ce moment là, cependant je suis resté en l’air ce qui était une erreur parce qu’une force puissante  m’a arraché le contrôle de mon mouvement et de mon poids et m’a entraîné en direction de la ville…

    Tiré par cette énergie incontrôlable, inattendue, je passais sur le second cercle des immeubles de neuf étages de la zone résidentielle de la ville (ils couvrent deux grands cercles avec des immeubles de cinq étages, dont les nôtres) ensuite je passais sur un champ voisin enneigé et la grande route de la citée académique …l’immensité sombre de Novosibirsk me cernait, très rapidement. J’approchais déjà d’un groupe de hautes cheminées d’usines.

     Il fallait faire quelque chose et le faire vite. Et j’ai dominé la situation mais avec de grands efforts. Finalement, j’ai réussi à opérer un réglage d’urgence des blocs du panneau et mon mouvement horizontal s’est ralenti, mais alors je devins rapidement nauséeux. J’ai réussi à stopper ce mouvement horizontal au 4ème essai au moment où ma plateforme survolait Zatulinka, zone industrielle de la ville.

    Ma vitesse de vol est assez élevée, mais je ne sens pas de vent  sur les oreilles – le champ de force de la plateforme a « taillé » à partir de l’espace une colonne invisible s’évasant vers le haut et qui annule l’attraction de la gravité terrestre. Mais elle nous laisse, l’air à l’intérieur de la colonne et moi-même, intacts. Je pense que cet ensemble fend l’espace en vol et ensuite le referme derrière moi. C’est ce qui doit expliquer mon invisibilité, ou l’aspect visible mais déformé de l’appareil  et de son conducteur – comme ça a été le cas dans mon vol au-dessus de la banlieue Zatulinka de Novosibirsk's. Comme je l’ai vu plus tard, les gens voient parfois quelque chose là où je suis dans le ciel.

    Mais la protection vis-à-vis de la gravité est régulée, même si elle est incomplète :  si vous portez la tête vers l’avant, vous sentez déjà la turbulence du vent et les odeurs nettes qu’il porte, soit de trèfle sucré, de sarrasin, ou d’ herbes colorées des prairies sibériennes.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     





     
     

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