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La technique Hémisync pour le voyage astral
22/06/2011 13:44


Les ondes cérébrales
Dans les différentes zones du cerveau, l'influx nerveux fonctionne en relative cohérence et de façon rythmique : les neurones s'activent ensemble (plus ou moins), comme une pulsation, puis se calment, puis s'activent de nouveau. Grâce à de petites électrodes placées sur le cuir chevelu et reliées à un appareil appelé électroencéphalographe (EEG, inventé en 1929), le rythme de ces pulsations peut se traduire en forme d’ondes.
L'intensité de l'activité cérébrale se manifeste par la fréquence de ces ondes. On les calcule en hertz (Hz) - un hertz égalant une ondulation par seconde. Si le graphique enregistré par l'EEG est plat, c'est qu'il n'y a pas d'activité cérébrale. Quant aux ondes générées par un cerveau actif, on les divise en 4 ou 5 fourchettes, dont les appellations viennent du grec ancien :
- Ondes delta : de 0,5 à 4 Hz, celles du sommeil profond, sans rêves.
- Ondes thêta : de 4 à 7 Hz, celles de la relaxation profonde, en plein éveil, atteinte notamment par les méditants expérimentés.
- Ondes alpha : de 8 à 13 Hz, celles de la relaxation légère et de l'éveil calme.
- Ondes bêta : 14 Hz et plus, celles des activités courantes. Étrangement, les ondes cérébrales passent au bêta pendant les courtes périodes de sommeil avec rêve (sommeil paradoxal), comme si les activités du rêve étaient des activités « courantes ».
- Il arrive aussi qu'on parle d'ondes gamma qui se situeraient au-dessus de 30 ou 35 Hz et qui témoigneraient d'une grande activité cérébrale, comme pendant les processus créatifs ou de résolutions de problèmes. (Ne pas confondre avec les rayons gamma, émis par le noyau des atomes.)
Mentionnons par ailleurs que le cerveau est divisé en deux hémisphères, puis en plusieurs aires, chacune ayant une fonction importante : aires du langage, de la sensibilité corporelle, de l'émotion, etc. En ce qui concerne les hémisphères, on sait qu'ils fonctionnent le plus souvent dans une relative indépendance, et que le gauche, généralement dominant, est le siège de la logique et du rationnel, tandis que le droit est celui de la créativité.
La fréquence des ondes cérébrales varie donc selon le type d'activités dans lequel on est engagé, mais les individus non entraînés ont relativement peu de contrôle sur celles-ci. Trop de stress, par exemple, et le système nerveux n'accepte pas de se détendre : les ondes cérébrales continuent alors de se maintenir dans la fourchette bêta et il est impossible de trouver le sommeil...
D'autre part, on avance que les meilleures ressources mentales pour la créativité et la résolution de problèmes se situeraient dans la fourchette des ondes thêta, auxquelles, malheureusement, on n'accède pas facilement.
Quand le cerveau prend le rythme
Plusieurs phénomènes extérieurs peuvent influencer le rythme des ondes cérébrales. La science a découvert que c'est généralement un effet de résonance qui est en cause, comme lorsqu’une note jouée au piano fait vibrer à l'unisson une corde de guitare. Le battement régulier des tambours de même que le chant grégorien ou des activités physiques rythmées comme la marche procurent, à la longue, cet effet. Désormais, la technologie moderne permet d'atteindre ces résultats en un rien de temps.
En effet, certains types de pulsations sonores émises directement dans les oreilles peuvent induire, accélérer ou ralentir la fréquence des ondes en fonction du résultat recherché. Pour améliorer la qualité de détente et favoriser le sommeil, par exemple, on « invite » le cerveau à ralentir le rythme de ses ondes, qui pourraient graduellement passer de 14 à 4 Hz. On peut aussi améliorer la cohérence de l'influx nerveux des neurones, ce qui se traduit sur l'EEG par des ondes d’une plus grande amplitude.
Toutes sortes de compagnies produisent des disques de musique jouant sur ce principe de résonance, généralement avec des fréquences de 3 à 8 Hz, pour favoriser l'apprentissage et surtout la détente. On y combine parfois des injonctions parlées capables d'induction hypnotique — pour arrêter de fumer, par exemple. Une compagnie a même donné le nom « d'audiocaments » (marque déposée) à des produits de ce genre1.
S'agit-il de messages subliminaux? En principe, non. D'ailleurs, les entreprises inscrivent généralement une note sur leurs produits pour déclarer que ceux-ci ne contiennent aucun message subliminal pouvant représenter un viol psychologique. Certaines personnes s'inquiètent quand même2.
Une technologie au service des deux hémisphères
Modifier le rythme des ondes cérébrales, c'est une chose, mais faire adopter le même rythme par les 2 hémisphères du cerveau, c'est un pas de plus, semble-t-il. La théorie veut que plus les hémisphères fonctionnent au même rythme, plus grand est le bien-être. On croit même qu’un fonctionnement « intégré » des 2 hémisphères favorise de meilleures performances mentales et intellectuelles, puisque la logique (cerveau gauche) et la créativité (cerveau droit) agissent alors en synergie.
Un moyen d'y arriver a été découvert en 1973 par le Dr Gerald Oster, à l'École de médecine du Mont Sinaï, à New York : cela s'appelle les « battements binauraux » (qui concernent les deux oreilles). Lorsque, avec des écouteurs, on fait entendre une fréquence différente à chaque oreille, le cerveau adopte le rythme de la différence entre les 2 fréquences : si l'oreille gauche reçoit une fréquence de 210 Hz et la droite, de 200 Hz, les neurones des 2 hémisphères du cerveau adopteront une activité de 10 Hz, la fréquence différentielle. On appelle ce mécanisme la « réponse d'adoption de la fréquence ».
Apparemment, on ne peut pas jouer ainsi avec n'importe quelles fréquences, mais les chercheurs de l'Institut Monroe3, l'entreprise la plus active dans le domaine de la technologie de la synchronisation cérébrale, disent avoir découvert une cinquantaine de combinaisons dont les effets sur le cerveau seraient particulièrement bénéfiques. Robert Monroe, aujourd'hui décédé, a fait breveter ce procédé en 1975 et a conçu une série d'outils connus sous le nom de Hemi-Sync. Les plus simples sont des enregistrements sonores dans lesquels les signaux hertziens sont camouflés sous divers sons plus ou moins musicaux. On retrouve également des appareils plus complexes combinant ondes sonores et impulsions visuelles.
Pour faciliter le sommeil, par exemple, la fréquence différentielle des battements binauraux évolue lentement de 8 Hz à 2 Hz, favorisant donc le passage, en 40 minutes, d'un état de relaxation léger (8 Hz) à un état de transe profonde (2 Hz).
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Effacer la mémoire avec un flash lumineux
22/06/2011 12:43

http://www.dailymotion.com/video/x8y0rc_effacer-sa-memoire-possible_news
http://www.neotrouve.com/?p=101
Une équipe de chercheurs américains et chinois viennent d’annoncer que pour la première fois au monde, il est possible d’effacer de manière sélective (et non dangeureuse) la mémoire ! Pour le moment, ils ont réussi l’exploit chez des souris en utilisant une molécule baptisée αCaMKII.
Cette découverte est assez capitale pour la médecine afin de guérir les troubles post traumatiques après un attentat ou une guerre mais cela intéresse également les militaires qui pourront alors se lancer dans la manipulation de la mémoire chez certaines personnes non-coopératives ou qui en savent trop…
Pour accentuer l' effacement de la mémoire , il faut coupler l' absorption de la molécule aCaMKII
avec un jeu de flash lumineux . Voir lien suivant .
Comment booster son cerveau grâce à la lumière
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Etats - Unis . Un interrupteur de mémoire
22/06/2011 12:26
AMESSI® - Mémoire , Les dernières révélations de la science ...
Hippocampe (cerveau) - Wikipédia
Une équipe de chercheurs américains a testé avec succès un procédé qui permet d'activer et de désactiver la mémoire chez des rats, et qui pourrait, à long terme, aider les humains atteints de démence ou autres traumatismes cérébraux.
Les chercheurs ont implanté une prothèse dans le cerveau des animaux, permettant de réactiver des souvenirs éliminés de leur mémoire grâce à des médicaments. «Allumez l'interrupteur et les rats se souviennent. Eteignez-le et les rats oublient», résume Theodore Berger du département de génie biomédical de l'Université de Californie du Sud.
Expériences menées sur l'hippocampe des rats
Theodore Berger et ses collègues se sont alliés à des chercheurs du département de physiologie et de pharmacologie de l'Université de Wake Forest en Caroline du Nord pour réaliser ces tests. Les chercheurs ont axé leurs expériences sur l'hippocampe des rats, la partie qui, comme chez les humains, concentre la mémoire dans le cerveau.
La communication entre deux régions de l'hippocampe permet la conversion de la mémoire à court terme en mémoire à long terme. Les chercheurs américains ont étudié les signaux transmis entre ces deux régions, nommées CA3 et CA1, pendant une expérience où les rats recevaient une récompense dès qu'ils actionnaient un levier. Au fur et à mesure, les rats ont assimilé ce comportement et l'ont converti en mémoire à long terme.
Test sur des singes
Les chercheurs ont alors administré une substance aux animaux permettant d'interrompre la communication entre les deux régions et donc de leur faire «oublier» la mémoire à long terme. C'est à ce moment que les scientifiques ont implanté aux animaux un appareil électronique qui reproduit les signaux transmis entre les deux régions, CA3 et CA1. Du coup, la mémoire des rats a été réactivée.
Mieux encore, expliquent les chercheurs dans leur étude publiée dans le Journal of Neural Engineering, lorsqu'ils ont testé l'appareil sur des rats «normaux», «l'appareil a permis d'améliorer la capacité mémorielle» des animaux.
L'équipe souhaite maintenant tester son procédé sur des singes et espère pouvoir un jour aider les humains souffrant de troubles de la mémoire dus à la démence, une attaque cérébrale ou un traumatisme.
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John Lilly . Le caisson d' isolation sensoriel
21/06/2011 12:43


Dans le film " Minority Report " , on voit trois être qui plongés dans l' eau permettent de faire apparaitre le futur sur un écran qu' anime " Tom Cruise " . Voir lien suivant .
http://youtu.be/kHx_qWuOi10
Jusque là , nous sommes plongés dans une vision de science fiction . Mais avec l' invention du caisson d' isolation sensoriel , la réalité rejoint parfois la fiction .
John Lilly qui en avait été l' inventeur passé des heures entières plongés dans l' eau .
Dans certaines conditions , il expliquait qu' il se dédoublait astralement parlant et se permettait de voyager en survolant son quartier . Par la suite ses voyages allaient beaucoup plus loin .
Dans un état de dedoublement astral , on peut même visiter certaines sphères temporelles ou seraient enregistrés le futur . Du moin certains scenarios de notre avenir . Voir lien suivant .
Mondes Parallèles . La terre possèderait ses doubles (BM7)
Dans le film " Minority Report " , les êtres qui voyaient le futur étaient plongés dans un bassin d' eau . C' était l' equivalent du caisson d' isolation sensoriel .
CLES : La vertigineuse glissade de John Lilly sur l'échelle du Soi ...
l' integralité du texte ci - dessous se trouve sur le lien ci - dessus .
Dans les années 50, le Dr John Lilly avait dirigé la Section d’intégration corticale du Laboratoire de neurophysiologie de l’Institut national de la santé mentale des Etats-Unis, avant de partir dans une maison amphibie, créée par la Navy dans les îles Vierges, pour tenter d’enseigner l’anglais à de jeunes dauphins ! Cela servit de canevas à “ Un Animal doué de raison ”, le roman de Robert Merle. Mais les vrais dauphins ne parlèrent jamais une langue humaine. Du coup, John Lilly abandonna cette recherche pendant quinze ans et se tourna vers l’étude de la conscience humaine... Il se trouve que John était aussi l’inventeur du caisson à isolation sensorielle au début des années 50. Il décida alors d’utiliser cet étrange véhicule sous LSD - pour effectuer des "voyages intérieurs" faramineux...
Au début de l’exploration, il s’agit encore d’un neurologue hyperrationnel et froid, habité par l’ambition démesurée de comprendre l’interface cerveau/esprit. En bon cartésien, il ne fait confiance à aucun a priori théorique et veut tout ré-expérimenter lui-même.
Est-ce possible ?
"Essayons, propose-t-il en 1953, de nous libérer un instant de tout contexte, de toute pression sociale. Imaginons une période de vacances où tout souci d’intendance serait pris en charge et tout besoin physique immédiatement satisfait. Imaginons-nous immergés dans le silence et l’obscurité, libérés même de la pesanteur. Qu’adviendrait-il de nous et de notre conscience ?" La thèse qui prévaut à l’époque est que la vigilance d’un individu se nourrit en permanence d’in-puts sensoriels arrivant du dehors. Privé de toutes sensations, vous tomberiez illico dans le sommeil. Expérimentalement, le "Je pense donc je suis" de Descartes serait donc impossible à vérifier à l’état pur. "Expérimentons cette impossibilité", se dit John.
Ayant entendu parler de caissons remplis d’eau, dans lesquels on testait pendant la seconde Guerre Mondiale la résistance des plongeurs de combat, il s’en procure un et y passe immédiatement plusieurs heures, flottant tout nu dans le noir total.
Il s’agit d’une sorte de citerne de deux mètres de haut et d’un mètre cinquante de diamètre, fermée comme une cocotte-minute, où le cobaye respire grâce à un masque relié à une pompe à air. Ce masque est assez inconfortable. Après en avoir testé des dizaines de modèles, notre Descartes américain finit par mettre au point un système moins contraignant, le fameux caisson Samadhi, où le corps flotte horizontalement, sans masque, dans une solution d’eau à 34°C, saturée de chlorure de magnésium, ou sel d’Epsom.
Quelle que soit la forme du caisson, l’essentiel émerge dés les premières minutes de la première séance : mise en état d’isolation sensorielle, la conscience humaine, loin de s’éteindre dans le sommeil comme le prévoit la théorie comportementaliste, redouble d’intensité et d’acuité. On dirait qu’elle profite de l’économie réalisée par l’organisme - qui n’a plus à se soucier de conserver chaleur et équilibre, ni de trier les milliards de données enregistrées à chaque seconde par tous ses sens - pour déballer de ses tiroirs inconscients un énorme matériel. Jamais John n’a connu pareille concentration, pareille attention, pareille présence au monde. Face à lui il n’y a d’abord que l’écran noir de son esprit curieux. Evidemment, très vite, l’écran se couvre d’images. Mieux, l’écran disparait, laissant place à des paysages imaginaires que John s’en va explorer à tire d’aile. Exactement le même genre de cinéma surréaliste que l’on se joue parfois, involontairement, le soir avant de s’endormir.
Mais là, pas de sommeil. Et le "cinéma surréaliste" est une netteté impressionnante.
Parfois, John a littéralement l’impression de sortir de son corps et de survoler, tantôt le quartier où il habite, tantôt le monde de son enfance, tantôt la mise en scène de ses fantasmes névrotiques, tantôt des planètes fantastiques dont il ne parvient pas à s’expliquer l’origine.
Caisson d' isolation sensoriel

En 1954, John Cunningham Lilly (né le 6 janvier 1915 est un médecin, psychothérapeute et écrivain étasunien, mort le 30 septembre 2001), chercheur au National Institute of Mental Health, a créé le caisson d’isolation sensorielle tel qu’il est connu aujourd’hui et dans lequel un individu peut s’allonger dans une solution saline à la température du corps. Aucun stimulus extérieur ne vient solliciter les sens : pas de lumière, pas de son, et une diminution de la sensation de pesanteur.
Alors que les premières recherches à l’ Université McGill avaient conclu à la nécessité de l’organisme d’être soumis à des stimulations (puisque la plupart des sujets n’avaient pas pu tenir dans des conditions d’isolation sensorielle plus de 3 ou 4 jours), Lilly concluait au contraire que le caisson accroissait l’expérience sensorielle sans intervention extérieure.
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L' invisibilité utilisé à l' interieur des avions
19/06/2011 22:46

http://www.youtube.com/v/peUFS-uoBf8&hl=en_US&feature=player_embedded&version=3
Dans un précedent sujet , je vous parlais de l' Airbus du futur . Dans la vidéo , on nous expliquait que certains endroit de l' avion serait transparent . Les voyageurs pourront voir à travers la carlingue de l' appareil .
Personnellement , je n' imagine pas des surfaces en verres mais plutôt des surfaces métalliques recouverts de métamateraux . C' est un materiau dont les dispositions déforme la lumière .
Vue du sol , l' avion nous apparaitra recouvert d' une surface métallique . Mais pour les passagers à l' interieur l' habitacle deviendra transparent grace à l' utilisation des métamateraux .
Dans le futur , le développement de la technologie des métamateriaux sera tel , qu' il donnera l' illusion de voir à travers du verre . Alors que la surface sera bien en materiaux composites ou alliages métalliques .
Voir lien suivant pour mieux comprendre .
http://www.dailymotion.com/video/xcx29t_decouverte-de-l-invisibilite-par-de_tech
Basé sur le même principe , ci - dessous une autre vidéo montrant l' application de cette nouvelle technologie .
http://www.dailymotion.com/video/x9qjkc_camouflage-optique-combinaison-furt_tech
La vidéo suivante semblerait indiquer que l' armée americaine utiliserait déjà cette technologie pour rendre invisible ses soldats . Maintenant regarder la vidéo en question et imaginer que la combinaison qui camoufle le soldat recouvre l' interieur d' un avion . Et bien les murs de l' appareils deviendront invisibles et les passagers pourront voir à travers .
http://www.dailymotion.com/video/xd5s4a_irak-camouflage-optique_tech
http://youtu.be/pc7c-K5xHQ0
Ci - dessous un lien qui vous explique la nature des métamateriaux .
Méta-matériaux : L'invisibilité est en vue !
Déviation de la lumière

C'est en Grande-Bretagne que des scientifiques ont indiqué avoir mis au point un nouveau matériau, dont la capacité à déformer la lumière serait exceptionnelle. Alors que ce qu'on appelle des métamatériaux ont déjà vu le jour, permettant de rendre des objets invisibles, la longueur d'onde de la lumière obligeait ses créateurs à se limiter à des surfaces plus ou moins planes. Utiliser le même type de matériau pour fabriquer un vêtement paraissait donc impensable.
Mais c'était sans compter sur les scientifiques d'une université écossaise, à St Andrews, qui sont parvenus à mettre au point un métamatériau qui serait assez flexible pour constituer un tissu. Fonctionnant sur une longueur d'onde de 620nm, il pourrait donc permettre de rendre un vêtement invisible à l'œil nu, en empilant plusieurs couches de ce métamatériau baptisé Metaflex. L'une des applications les plus passionnantes du Metaflex est sans doute la fabrication d'un tissu tridimensionnel en métamatériau, indique ses créateurs.
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