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Utopia . L' Hôtel flottant
09/10/2011 10:25
« Utopia n’est pas un moyen de transport, c’est un lieu à habiter. » C’est ainsi que commence la description de ce yacht signé Yacht Island Design, la société à l’origine de concepts aussi farfelus que le yacht île tropicale, ou le yacht Monaco. Utopia mesure 100 mètres de long et s’élève sur 11 niveaux. Il y a assez de place à l’intérieur pour accueillir une véritable micronation.
Chacun des pieds intègre des propulseurs pour déplacer Utopia où l’on veut. 4 héliports permettent d’accéder à Utopia et des cales permettent d’accueillir des petits bateaux et des jets skis. Bien sûr, il y a des bars, restaurants, casinos, boîtes de nuit. En haut, il y a un pont d’observation situé à 65mètres de haut. Il est recouvert d’une coupole en verre qui est escamotable si le temps le permet. Évidemment, c’est un concept. A l’instar du livre de Thomas More, Utopia restera encore longtemps le meilleur des lieux… qui n’existe pas.





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KDDI . Un télephone sans haut parleurs
07/10/2011 07:58
Si nous nous projetons dans le futur , les gens équipé d' une mini puce dans le corps pourront repondre automatiquement à un appel entrant .
Mais derrière le système présenté ci - dessous se cacherait en fait une arme . Cibler le corp humain par des ondes mortels . attention , Si les militaires s' emparent de se procédé . Cela deviendra une arme .
Au Ceatec, KDDI surprend avec un prototype de téléphone bien audible, alors qu'il est purement et simplement dépourvu de haut-parleur. Le son émis par l'appareil n'emprunte pas la voie des airs, mais votre corps, pour aller directement s'adresser à votre oreille interne, selon le principe de la transmission osseuse.
La démonstration a quelque chose de surréaliste : une jolie opératrice place sur ses oreilles un casque anti-bruit tel qu'on en trouve sur les chantiers, avant de s'emparer de son téléphone et de tranquillement faire la conversation à son correspondant. Pour ce faire, elle utilise un étonnant prototype sorti des laboratoires de recherche et de développement de l'opérateur KDDI. Nulle sorcellerie ici : le son sort bien du terminal, mais il ne passe pas par la voie des airs. Il emprunte en réalité le corps de l'utilisateur, via le mécanisme déjà bien connu de la conduction osseuse du son.

Pour en comprendre le fonctionnement, il convient de rappeler que le son est avant tout une vibration. Si vous pincez les cordes d'une guitare, c'est le déplacement de l'air généré par son mouvement qui portera les notes jusqu'à votre oreille. Le téléphone mis au point par KDDI émet également des vibrations, mais celles-ci ne sont pas conçues pour passer par les airs. Elles sont en réalité situées à une fréquence qui leur permet de se propager directement par le corps qui tient l'appareil. Quand elles parviennent à l'intérieur du crâne, elles font vibrer la partie de l'oreille située derrière le tympan, et le cerveau perçoit le son.
On trouve depuis plusieurs années sur le marché (notamment au Japon) des boitiers permettant de convertir le son normalement émis par un téléphone en vibrations susceptibles d'emprunter le corps pour circuler jusqu'à l'oreille interne. Certains se présentent par exemple sous la forme d'un bracelet qu'on porte au poignet. Plusieurs fabricants, comme le coréen Pantech, ont également entrepris de mettre au point des téléphones compatibles. Ici, KDDI intègre directement cette technologie au sein d'un smartphone Android, laissant entendre qu'elle pourrait aisément se démocratiser. Celui-ci permet alors d'entendre son interlocuteur quelle que soit la façon dont il est tenu, dès lors qu'un contact physique entre la tête et le téléphone est maintenu.

Testé par nos soins, le dispositif se révèle parfaitement fonctionnel. La voix de notre correspondant nous est parvenu claire et parfaitement audible, même si le volume de la transmission aurait gagné à être intensifié. Outre son casque anti-bruit, KDDI proposait d'expérimenter la conduction osseuse avec dans les oreilles un banal casque de baladeur. On entend alors aussi bien la musique de l'appareil que la voix émanant du téléphone, effet d'ailleurs un brin troublant.
Selon KDDI, l'intégration de la conduction osseuse au sein d'un téléphone permettrait donc d'utiliser celui-ci de façon confortable dans un environnement bruyant où le casque anti-bruit est requis. Le procédé pourrait également servir à tous ceux qui souffrent de problèmes d'audition. L'opérateur dit toutefois ne pas chercher à commercialiser cette technologie dans l'immédiat.
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Une interface cerveau - machine pour ressentir ce que l' on touche
07/10/2011 07:31
Des chercheurs ont réussi à ajouter au contrôle d'une main virtuelle par la pensée un retour tactile, créant ainsi chez des singes un sens du toucher artificiel! Une étape importante pour améliorer les prothèses.
Les singes ont pu artificiellement sentir la surface des objets touchés par leur main virtuelle. (Katie Zhuang)
Pour qu’une prothèse de main permette vraiment à une personne amputée de retrouver l’usage de ses cinq doigts, deux conditions majeures doivent être remplies : que la personne puisse transmettre ses ‘ordres’ au membre artificiel, et qu’elle puisse en retour sentir ce que font les doigts. Impossible, sans la sensation du toucher, de prendre un verre sans risquer de le lâcher ou à l’inverse de l’écraser ! Mais redonner cette sensation est difficile : il faut une matière sensible pour la prothèse (lire Un toucher artificiel ultrasensible) et un circuit pour transmettre l’information !
C’est ce circuit que l’équipe de Miguel Nicolelis (Duke University, Durham, Etats-Unis), spécialiste des interfaces cerveau-machine, a réussi à faire fonctionner avec des singes. Les résultats sont publiés aujourd’hui dans la revue Nature.
Nicolelis et ses collègues avaient déjà habitué des singes macaques à contrôler par la seule pensée un jeu sur un ordinateur (lire Directement du cerveau à la machine). Ils les ont ensuite entraînés à utiliser un bras virtuel sur l’écran. Pour cela, les signaux nerveux envoyés par les neurones moteurs sont enregistrés par des électrodes placées dans le cortex moteur et relayé à l’ordinateur.
Cette main virtuelle touche des objets dont la surface est rugueuse ou lisse. Pour indiquer au singe la nature de l’objet, des signaux électriques sont envoyés dans une autre partie de son cortex, celle qui traite l’information sensorielle. En envoyant des signaux avec des fréquences différentes selon la surface touchée, les chercheurs ont réussi à apprendre aux singes à distinguer les deux. Quatre sessions d’entraînements ont suffi pour habituer les macaques et créer ainsi un ‘toucher virtuel’.
En Europe, le projet SmartHand s’attache à créer une prothèse de main sensible (lire L’illusion du toucher). L’équipe de Nicolelis participe elle à un vaste projet international, le Walk Again Project, qui veut redonner de la mobilité aux personnes paralysées, notamment à l’aide d’un exosquelette contrôlable par la pensée.
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Mirage et invisibilité
06/10/2011 07:39
http://youtu.be/3YO4TTpYg7g
Des chercheurs de l’université de Dallas, au Texas, ont présenté dans la revue Nanotechnology une nouvelle technique permettant de rendre invisible des objets. Ils utilisent pour cela un « effet mirage ». le mirage est un phénomène optique dans lequel les rayons lumineux sont courbés pour produire une image déplacée d’un objet ou du ciel, ce sont par exemple les « flaques d’eau » que l’on peut voir sur les routes l’été.
Le dispositif mis au point utilise ce principe de courbure des rayons lumineux, ici engendrée par la chaleur. Il se compose d’une feuille de nanotubes de carbone plongée dans l’eau. Par stimulation électrique, les chercheurs peuvent la chauffer. La chaleur se transmet instantanément à l’eau autour de la feuille ce qui crée un fort gradient de température, comme dans un mirage se gradient provoque une modification de l’indice de réfraction de l’eau chauffée et rend invisible la feuille de nanotubes.
Il suffit de couper l’alimentation électrique pour que l’eau se refroidisse et ne courbe plus rayons lumineux. La feuille de nanotubes redevient visible.
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Les Nettoyeurs de l' espace
01/10/2011 10:01

Dans le futur , des vaisseaux se serviront de faisceaux gravitationnel pour attirer les debrits et ensuite les entreposer dans une salle spéciale .
Mais pour l' instant , les scientifiques imaginent des nettoyeurs un peu Archaique comme le montre le sujet suivant .
Si on essait de se projeter encore plus loin dans l' avenir , les appareils seront dotés de lasers desintegrants . Un peu comme ceux que l' on voit dans la serie " les Envahisseurs " .
Les débris présents dans notre orbite représentent une menace pour la planète, les véhicules spatiaux et satellites. Conscient de cette situation, le designer Vaughan Ling a imaginé un concept de vaisseau dont la mission est de nettoyer l’espace.
Dénommé Space Debris Collector, cet engin a pour principale fonction de débarrasser l’espace de ces déchets spatiaux. Ces débris ont été laissés par l’homme après les diverses missions spatiales. Actuellement, l’espace renferme environ 135 millions d’objets centimétriques. Aussi petits soient-ils, ces débris peuvent provoquer des conséquences désastreuses lorsqu’ils entrent en collision avec un satellite. Tournant en orbite, ils se baladent autour de notre planète à des vitesses élevées et pourraient perforer la paroi de ces engins spatiaux. Cet appareil est équipé d’un système de propulsion électromagnétique à plasma VASIMR ainsi que d’un voile solaire.
Sachant que le tourisme spatial ainsi que l’hôtellerie spatiale sont parmi les plus grands projets de l’homme pour le futur, un tel concept prend donc toute son importance.


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