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Puce RFID . Des policiers tracés
27/09/2011 09:15
Après les PV qui passeront bientôt à l’électronique, la police nationale met ses fonctionnaires à la page. Dans les prochaines semaines, leur célèbre carte professionnelle va changer de format et sera dotée de trois innovations techniques. Selon nos informations, cette carte sera testée en septembre dans plusieurs sites pilotes : à Lille, Nanterre, Troyes et pour 600 fonctionnaires de la préfecture de police (Paris). Puis elle sera généralisée en novembre pour que les 140 000 agents de la police la reçoivent avant juin 2012.
Deux puces intégrées
A l’instar d’une carte de crédit, elle contiendra trois éléments techniques : une puce avec contact (utilisable avec un code) qui sera utile pour identifier l’agent et lui permettre ainsi de remplir les PV électroniques. Une puce sans contact sera également intégrée pour servir dans un premier temps de badge d’accès dans les bâtiments publics. Enfin, la bande magnétique, qui ne sera pas utilisée dans l’immédiat, pourra à terme servir de badge dans les restaurants pour les fonctionnaires de police. Quant à son aspect visuel, il sera décliné de trois manières. Certains éléments figureront sur toutes les cartes : l’identité, le matricule, le grade ou les mentions «République française», «ministère de l’Intérieur». En revanche, le mot «police» inscrit en rouge sera réservé aux policiers dits «actifs», qui ont un pouvoir de réquisition.
Ces nouvelles cartes sont équipées de deux puces dont une RFID (radio), et d’une piste magnétique. Ce qui inquiète un peu les syndicats, comme UNSA-Police :

Bienvenue au club, doivent penser les salariés du privé qui, sous prétexte de sécurité, connaissent pour beaucoup le retour de la pointeuse et de la surveillance en continue.
En fait, cette carte, c’est un peu le couteau suisse. Elle va servir de sésame pour l’accès aux locaux protégés, la consultation des fichiers, comme le STIC ; ou pour la signature électronique des procès-verbaux. Ou encore de passe Navigo, ou pour régler son repas au mess de la police, etc. Pour l’instant, il n’est pas question qu’elle soit acceptée au café du coin.

Elle pourra être utilisée depuis n’importe quel poste de travail du ministère, à condition qu’il soit équipé d’un lecteur – dont l’acquisition reste cependant à la charge de chaque service. L’Imprimerie nationale est en charge de la fabrication. Son coût est de 18 €. Pour la police, c’est 180 000 cartes qui seront mises en circulation entre 2011 et 2012 (les retraités devront attendre un peu). Quant à la gendarmerie, elle a pris une certaine avance avec un projet initié en 2008, légèrement différent, plus sobre, à mon avis un peu moins réussi, mais semble-t-il compatible. L’ensemble des personnels devrait être doté cette année.
Il est prévu de pouvoir la glisser dans un porte-cartes qui comprendrait la médaille et l’insigne de poitrine, c’est-à-dire le grade. Ce qui donne quelque chose de plutôt rationnel et élégant. Mais peut-être pas très pratique lorsqu’il faudra la retirer pour la passer dans un lecteur…
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Une réaction chimique responsable de l' écroulement des Twins Towers
24/09/2011 22:56
http://www.dailymotion.com/video/x3trak_demolition-du-11-septembre-2001_tech
SCIENCES - La combinaison d'aluminium en fusion et d'eau produit des explosions phénoménales...
C'est la rencontre explosive entre l'aluminium en fusion provenant des Boeing 767 détournés par les terroristes et l'eau du système anti-incendie qui a provoqué l'effondrement des tours du World Trade Center le 11 septembre 2001, estime un expert en matériaux norvégien.
Selon un expert norvégien en matériaux, c'est la rencontre explosive entre l'aluminium provenant des Boeing 767 détournés et l'eau du système anti-incendie des tours jumelles qui aurait provoqué l'effondrement des tours le 11 septembre 2001, rapporte Libération.fr.
Dix ans après la catastrophe, les scientifiques ont peut-être élucidé l'énigme de l'effondrement des tours du World Trade Center le 11 septembre 2001. Ce serait une réaction chimique entre l’aluminium en fusion provenant des Boeing 767 détournés par les terroristes et l’eau du système anti-incendie qui serait à l'origine de la chute des Twin Towers. Du moins si l'on en croit la théorie avancée par un expert en matériaux norvégien qui contredit ainsi le scénario jusqu'ici établi. En effet, la commission d’enquête officielle sur ces attentats a conclu que les poutres métalliques formant la structure interne des Twin Towers avaient été chauffées à blanc dans l’incendie des tours et avaient fini par céder.
Mais cette explication a été jugée erronée par Christian Simensen, chercheur au département Matériaux et Chimie du Sintef le plus important organisme indépendant de recherches en Scandinavie. D’après sa théorie, l’aluminium composant la carlingue des deux avions est entré en fusion sous l’effet de l’incendie avant de couler vers les étages inférieurs où il est entré en contact avec l’eau projetée par le système anti-incendie. C’est ainsi la rencontre des deux éléments qui a provoqué une explosion dévastatrice, résume Libération.fr.
Aluminium en fusion
"La combinaison d’aluminium en fusion et d’eau produit des explosions phénoménales, comme le démontrent à la fois les expériences scientifiques et 250 accidents recensés par les industriels de l’aluminium depuis 1980", précise Christian Simensen dans son étude, publiée dans la revue spécialisée Aluminium International Today et présentée récemment dans une conférence à San Diego (USA).
L'une des expériences évoquées a mis en présence 20 kilos d’aluminium fondu et 20 litres d’eau, auxquels a été ajoutée de la rouille pour faire office de catalyseur. Il s’en est alors suivi une déflagration qui a détruit tout le laboratoire et laissé un cratère de 30 mètres de diamètre, affirme le chercheur.
Or, chaque Boeing qui s’est écrasé sur les tours du World Trade Center contenait trente tonnes d’aluminium. Et ces avions qui ont percuté les tours "devaient être couverts de fragments des parois internes, des plafonds et des planchers, des débris qu’ils ont entraînés avec eux en s’encastrant à l’intérieur des bâtiments", exactement comme une météorite qui s’abat sur la Terre en entraînant à sa suite les sédiments du sol, relève Libération.fr.
"Ces débris étaient essentiellement constitués de plâtre, un matériau qui conduit très mal la chaleur, et ils ont probablement formé un bouclier qui a maintenu la chaleur près de la carlingue et protégé le reste du bâtiment", poursuit M. Simensen. C’est donc cette sorte de bouclier thermique qui aurait permis à l’incendie provoqué par le carburant des avions de porter les carlingues prisonnières à des températures intenses.
Libération d'un gaz explosif, l'hydrogène
"L’alliage d’aluminium des carlingues, qui contient aussi du magnésium, fond à partir de 660°C. Et si l’aluminium est porté à 750°C, il devient aussi liquide que de l’eau", explique Christian Simensen, qui pense que ce phénomène s’est produit au sein des Twin Towers. C’est en coulant ensuite vers les étages inférieurs, que plusieurs tonnes d’aluminium seraient entrées en contact avec l’eau du système anti-incendie. Comme au sein de l’expérience menée en laboratoire, la rencontre de ces deux éléments a provoqué une réaction immédiate : une augmentation de la température de plusieurs centaines de degrés et la libération d’hydrogène, un gaz très explosif. Le tout a produit une déflagration assez puissante pour souffler toute une section de la tour.
Au final, comme un château de carte, les étages supérieurs se sont effondrés, emportant ceux d’en-dessous dans leur chute. Un scénario qui semble concorder avec les témoignages de plusieurs personnes qui affirment avoir entendu des explosions juste avant que les bâtiments ne s’effondrent.
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World Trade Center . Pas de presence d' explosif dans les tours Jumelles
15/09/2011 08:32
Certaines personnes parlent de conspiration concernant le 11 SEPT 2011 .
Ils disent entre autre que des explosifs auraient été utilisé pour faire ecrouler les deux tours .
Voyez la photo ci - dessous . Le lieu de l' impact de l' avion aurait detruit plusieurs piliers porteur .
Sur le documentaire suivant , on voit très bien le batiment s' affaisser à cette endroit avant de s' ecrouler .
Donc pas d' explosifs .
http://www.dailymotion.com/video/x3trak_demolition-du-11-septembre-2001_tech
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Assurances . Les dérives d' une politique spéculatrice
11/09/2011 22:14
Vous le savez sans doute, une compagnie d’assurance dispose de fortes sommes d’argent. Plus la compagnie d’assurance est grosse et plus elle signe des contrats d’assurances avec des assurés et donc plus elle collecte de l’argent qui provient des primes d’assurances.
Mais l’argent collecté ne peut pas être pris en compte dans le bénéfice net d’une compagnie d’assurance car il doit être redistribué pour rembourser les assurés qui ont été victime d’un sinistre. Tout au plus cela rentre dans le chiffre d’affaire des assurances mais en termes de bénéfice c’est l’utilisation et le placement des sommes collectés qui sera déterminant. En gros, plus une compagnie d’assurance fera fructifier au mieux l’argent de ses assurés plus elle pourra espérer faire des bénéfices.
Et c' est ainsi que certaines assurances investissent dans l' immobilier en achetant certains complexe hoteliers ou complexe residentiels . Dans d' autres cas , ils contribuent au financements de certaines constructions ( routes - ponts - gratte - ciel - complexe hotelier touristiques etc etc ) .
Mais le plus inquiétant , c' est qu' ils spéculeraient votre argent en bourse .
Donc si les cours chutent , ils perdront d' importantes sommes . Si un sinistre vous arrivaient pendant une crise , je ne sais pas si votre assureurs pourrait couvrir le remboursement de vos dégats .
Avec les importantes sommes qu' ils engrengeraient les assurances agissent exactement comme le ferait une banque .
Ce qui arrive aux pays emergent ( Russie - Chine - Dubai ) , se passerait déjà en europe .
C’est dans les pays émergents que l’on retrouve le plus de dérive de l’assurance. Le contrôle de l’Etat presque absent et la faible législation favorisent des pratiques frauduleuses de l’assurance. A cause de ce manque de contrôle évident, les compagnies d’assurances des pays émergents utilisent parfois le montant des cotisations des assurés mais aussi les provisions pour se lancer dans les affaires. Le problème c’est qu’ils ont pris des engagements auprès des assurés et que si les affaires ne marchent pas comment vont-il faire pour rembourser les sommes que certains de leur assurés vont leur réclamer un jour ou l’autre ?
Dans les pays en développement pas mal d’entrepreneurs se lance dans l’assurance dans le seul but de récolter des fonds pour se lancer dans un business plus ou moins douteux. Coté face, l’assureur se fait passer pour une société d’assurance tout ce qu’il y a de plus légale et récolte à ce titre des masses d’argent en proposant des bonnes garanties à ses clients. Coté pile, l’assurer est aussi un promoteur immobilier qui va utiliser l’argent de ses assurés pour financer la construction d’un complexe immobilier. Dans le cas ou le projet se déroule bien et que notre promoteur en tire des bénéfices l’assuré n’a pas de quoi se faire de soucis. Mais en cas de faillite, si le promoteur perd une bonne part de son investissement, il ne pourra plus respecter ses engagements auprès de ses assurés. En cas de sinistre, les assurés ne pourront pas être remboursés et si on se met à la place d’un de ses assurés, on peut comprendre que cela peut-être dramatique. L’assuré, pensant être couvert, ne paniquera pas si par exemple il a assuré sa maison et que celle-ci est brulée par un incendie. Le jour où il contactera son assureur pour un remboursera et qu’on lui dira que son assureur a fait faillite et qu’il s’est évaporer dans la nature vers qui va-t-il se retourner ? Ces pratiques quasi criminelles sont notamment présentes dans des pays comme la Russie ou des réseaux mafieux se font passer pour des assureurs dans le seul but de financer des activités souvent crapuleuses.
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Assurances . Les dérives de la finance spéculatrice
11/09/2011 22:10
Vous le savez sans doute, une compagnie d’assurance dispose de fortes sommes d’argent. Plus la compagnie d’assurance est grosse et plus elle signe des contrats d’assurances avec des assurés et donc plus elle collecte de l’argent qui provient des primes d’assurances.
Mais l’argent collecté ne peut pas être pris en compte dans le bénéfice net d’une compagnie d’assurance car il doit être redistribué pour rembourser les assurés qui ont été victime d’un sinistre. Tout au plus cela rentre dans le chiffre d’affaire des assurances mais en termes de bénéfice c’est l’utilisation et le placement des sommes collectés qui sera déterminant. En gros, plus une compagnie d’assurance fera fructifier au mieux l’argent de ses assurés plus elle pourra espérer faire des bénéfices.
Et c' est ainsi que certaines assurances investissent dans l' immobilier en achetant certains complexe hoteliers ou complexe residentiels . Dans d' autres cas , ils contribuent au financements de certaines constructions ( routes - ponts - gratte - ciel - complexe hotelier touristiques etc etc ) .
Mais le plus inquiétant , c' est qu' ils spéculeraient votre argent en bourse .
Donc si les cours chutent , ils perdront d' importantes sommes . Si un sinistre vous arrivaient pendant une crise , je ne sais pas si votre assureurs pourrait couvrir le remboursement de vos dégats .
Avec les importantes sommes qu' ils engrengeraient les assurances agissent exactement comme le ferait une banque .
Ce qui arrive aux pays emergent ( Russie - Chine - Dubai ) , se passerait déjà en europe .
C’est dans les pays émergents que l’on retrouve le plus de dérive de l’assurance. Le contrôle de l’Etat presque absent et la faible législation favorisent des pratiques frauduleuses de l’assurance. A cause de ce manque de contrôle évident, les compagnies d’assurances des pays émergents utilisent parfois le montant des cotisations des assurés mais aussi les provisions pour se lancer dans les affaires. Le problème c’est qu’ils ont pris des engagements auprès des assurés et que si les affaires ne marchent pas comment vont-il faire pour rembourser les sommes que certains de leur assurés vont leur réclamer un jour ou l’autre ?
Dans les pays en développement pas mal d’entrepreneurs se lance dans l’assurance dans le seul but de récolter des fonds pour se lancer dans un business plus ou moins douteux. Coté face, l’assureur se fait passer pour une société d’assurance tout ce qu’il y a de plus légale et récolte à ce titre des masses d’argent en proposant des bonnes garanties à ses clients. Coté pile, l’assurer est aussi un promoteur immobilier qui va utiliser l’argent de ses assurés pour financer la construction d’un complexe immobilier. Dans le cas ou le projet se déroule bien et que notre promoteur en tire des bénéfices l’assuré n’a pas de quoi se faire de soucis. Mais en cas de faillite, si le promoteur perd une bonne part de son investissement, il ne pourra plus respecter ses engagements auprès de ses assurés. En cas de sinistre, les assurés ne pourront pas être remboursés et si on se met à la place d’un de ses assurés, on peut comprendre que cela peut-être dramatique. L’assuré, pensant être couvert, ne paniquera pas si par exemple il a assuré sa maison et que celle-ci est brulée par un incendie. Le jour où il contactera son assureur pour un remboursera et qu’on lui dira que son assureur a fait faillite et qu’il s’est évaporer dans la nature vers qui va-t-il se retourner ? Ces pratiques quasi criminelles sont notamment présentes dans des pays comme la Russie ou des réseaux mafieux se font passer pour des assureurs dans le seul but de financer des activités souvent crapuleuses.
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