Voir la pensée des criminels . Est - ce vraiment de la Science Fiction ???
Voir lien suivant . Dans le film " Minority Report " , on ferait allusion à une vision à distance dans le temps . Dans l' article suivant , les chercheurs interprètent des impulsions électriques . La technologie ne serait pas la même .
" Minority Report " ferait probablement allusion à une section spécialisé qui exploiterait les voyages astraux controlés de l' âme de ses sujets . Car la découverte d' un système électronique permettra d' orienter ses voyages astraux vers le futur et de se fait anticiper certains épisodes de notre avenir . Cette section étrange ne sera pas connue du public et officiera dans le plus grand secret .
Mais restons sur notre article qui n' a rien à voir avec la voyance controlé .
Va-t-on bientôt réaliser des électro-encéphalogrames dans les commissariats? Une expérience stupéfiante, menée par des chercheurs américains de la Northwestern university (Illinois), suggère qu'il serait possible d'utiliser la lecture des ondes cérébrales pour détecter les intentions de criminels ou de terroristes... avant qu'ils ne passent à l'acte! Comme dans le film Minority Report, où les forces de l'ordre arrêtent préventivement les délinquants en lisant dans leurs pensées, cette technique pourrait donner de nouvelles armes aux enquêteurs. Elle porte aussi en germe la perspective plus effrayante d'une "police mentale".
Sur un plan architecturale . il y aura deux sortes de villes .
Les unes garderont un aspect ordinaire avec des constructions futuristes mais toujours poser sur le sol Alors que d' autres villes seront dites flottantes .
Le principe technologique de ces cités reposeraient sur l' Antigravitation .
Comme nous le voyons dans certains film de Science Fiction , certains grattes - ciel qui composeront ses cités flottantes pourraient atteindre des hauteurs de 3000 M avec 2000 étages .
Comment pourrait se faire un tel prodige ???
Dans le futur , on maitrisera totalement l' Anti gravitation . Donc toute les constructions de grattes - ciel reposeront sur se principe . Les architectes feront construire des plateformes comprenant 200 Etages par section de telle manière , qu' il n' y aura aucunes pressions entre le sections , ni dessus ni dessous . Chaque secton n' aura donc qu' à supporter son propre poids seulement , et on pourra alors superposer 2000 étages les uns au - dessus des autres .
Bien entendu la technologie Antigravitationnel qui permettra la construction d' un tel gigantisme sera intégré aux automobiles qui comme nous le voyons dans certains films de science fictions flotteront dans les airs .
Sur se point , je pense que vous aviez tous remarqué que les designers de voitures futuristes dessinent toujours des modèles a l' allure Aérodynamique . Et bien cette forme arrondies repondraient en fait à un critère Antigravitationnel , car comme nous le savons dans le futur , les voitures voleront donc elles ne devront plus avoir de formes qui les frèines a l' air .
Et toute ses voitures possèderont un pilotage manuel et automatique avec l' integration d' un système anti - collision .
Quand aux parking de stationnement , ils seront en hauteur et integré aux structures des enormes gratte - ciel .
Voilà un peu a quoi cela pourrait ressembler . Un interieur complètement automatisé avec probablement un guidage avec une interface electronique neuro - cérébrale
Exploiter la lumière , pour devenir plus intelligents n' est pas de la science fiction . Comme nous l' explique le lien ci - dessus la lumière jouerait un rôle important dans le monde végétal (la lumière transformant le gaz carbonique en sucre (mécanisme connu sous le nom de photosynthèse) pour nourrir la plante). Ce que nous savons moins, c'est qu'il en va de même pour nous, non pas en ce qui concerne la nourriture nécessaire au bon fonctionnement de notre corps mais plutôt pour celle concernant notre cerveau.
En 1959 le DR Francis Lefebure fera une etrange decouverte qui portera plus tard le nom de Phosphénisme . De quoi s' agit - il ??
Pour la définition, un phosphène, est une tâche lumineuse qui reste dans notre champ de vision après avoir fixé une source lumineuse trop intense.
C'est en s'intéressant à ce phénomène qu'il découvrit que le mélange d'une pensée au phosphène transforme l'énergie lumineuse en énergie mentale .
Et c' est ainsi qu' il explique qu' en visialisant une forte lumière pendant quelques secondes , vous absorber une importante quantité lumineuse qui renforcera l' activité de certains neuronnes qui vous aideront a apprendre plus rapidement .
C' est une sorte de phase d' hypnose lumineuse qui stimule certaines régions du cerveau .
Dans le futur , nous pourrions inserer des programmes dans l' esprit des gens grace à un jeu lumineux et l' emploi de sons binauraux . Voir lien suivant
Depuis quelques années , les chercheurs étudient les effets de la lumière sur le cerveau . Certains d' entre eux exploitent la lumière pour accroitre l' intelligence d' autre par contre prèferent l' utiliser pour activer le jeu des neuronnes . Et comme le montre le lien suivant , on arrive a téleguider des souris en stimulant les hémipshères .
Une lumière bleue « allume » les neuronnes. Une lumière jaune « éteint » les neurones. Un câble en fibre optique est connecté sur une souris ou un rat vivant avec les gènes épissés permettant aux scientifiques d’exposer différents neurones à différentes lumières. Le résultat est étonnant. Stimuler l’hémisphère droit d’une souris la fait tourner en rond vers la gauche.
Une nouvelle piste a été ouverte en 2009 sur les études supposées de débris provenant du crash d’un ovni près de Roswell en 1947. Il s’agit des fameuses feuilles à mémoire de forme, dont l’étude, menée secrètement dans un important centre de recherche, le Battelle Memorial Institute vers la fin des années 40, aurait conduit à la création d’un alliage spécial de titane et de nickel possédant des propriétés analogues.
Dans leur livre « Witness to Roswell », plus précisément dans la seconde édition, parue en juin 2009 (5), Tom Carey et Donald Schmitt ont donné la parole à un collègue enquêteur, Anthony Bragalia, qui dit avoir découvert des documents indiquant que des études auraient été menées secrètement, à partir de 1948, sur les fameuses feuilles métalliques à « mémoire de forme » que l’on aurait trouvées parmi les débris du crash de Roswell. Rappelons que, parmi les différents matériaux que plusieurs témoins disent avoir eu en main lors de l’incident de Roswell en 1947, l’un des plus remarquables consistait en des feuilles métalliques très minces, légères et lisses, que l’on ne pouvait ni couper ni percer, et qui reprenaient leur forme après avoir été froissées.
Selon Anthony Bragalia des études auraient été menées secrètement au Battelle Memorial Institute dès la fin des années 40, qui auraient joué un rôle important dans la création d’un alliage aujourd’hui bien connu, le nitinol, composé de titane et de nickel et possédant des propriétés analogues à ces feuilles à mémoire de forme. Le Battelle Institute est un centre réputé de recherches techniques, notamment dans le domaine de la métallurgie, situé à Columbus dans l’Ohio, non loin de la fameuse base de Wright-Patterson où se trouvent les services techniques de l’armée de l’Air, et où il est à peu près certain qu’ont été menées des études secrètes sur les ovnis.
Anthony Bragalia raconte qu’il a trouvé les premières pièces du puzzle sous la forme de références, citées dans des documents militaires déclassifiés, à deux études métallurgiques faites au Battelle Institute dès la fin des années 40, qui semblent bien être à l’origines des études faites ensuite pour créer le nitinol. Or, selon l’histoire « officielle », les études sur cet alliage n’auraient commencé qu’au début des années 60. Citons Bragalia :
« Mes propres recherches ont confirmé que les études sur le nitinol avaient en réalité commencé chez Battelle juste après le crash de Roswell - et non au début des années 60. Et c'est la base de Wright-Patterson (où les débris du crash avaient été transférés) qui attribua le contrat de cette recherche secrète. Ce point est confirmé par une annotation que l'on trouve dans une étude réalisée par l'un des inventeurs "officiels" du nitinol à l'U. S. Naval Lab. Dans ce rapport militaire sur le nitinol, l'auteur se réfère à une étude de Battelle datée de 1949 où il est clairement question de la purification du titane et du nickel. La citation mentionne un "diagramme de phase" qui détaille le processus et explique comment réussir l'alliage des deux métaux. En suivant précisément ces directives on peut réaliser le nitinol à mémoire de forme. Il est possible mais pas certain que les co-inventeurs "officiels" du nitinol aient ignoré que les propriétés de l'alliage avaient été découvertes dans l'étude des débris de Roswell. On n'a trouvé que trois autres références sur cet alliage de titane et de nickel dans les rapports de Battelle. A chaque fois ce ne sont que des notes en bas de page - et seulement dans les études sur les métaux conduites sous les auspices de l'armée américaine ».
Anthony Bragalia donne quelques précisions sur la création du nitinol. On considère habituellement qu’il a été découvert "par hasard" au début des années 60 dans les labos de l'U. S. Naval Ordonance, situés dans le Maryland, et que ses co-inventeurs sont les Drs. Wang et Buehler. Mais la véritable histoire du nitinol a été volontairement dénaturée et elle ne tient pas la route, soutient Bragalia. Dès la fin des années 40 c’est le Dr. Howard Cross, expert métallurgiste de l'Institut Battelle, qui avait fourni l'information nécessaire sur le titane à l'US Naval Lab. Et c'est ce laboratoire qui a officiellement mis au point le nitinol dix ans plus tard. L'un des problèmes qui apparaît tout de suite dans l'histoire "officielle" du nitinol est l'année précise de sa découverte qui est variable selon les sources, de 1959 à 1963. Même les co-inventeurs officiels, William Buehler et Frederick Wang, avaient évoqué différentes années alors qu'ils travaillaient au Naval Lab. Les revues scientifiques et les articles de la grande presse indiquent des années différentes. Bragalia raconte que, lorsqu’il a posé la question à Wang, celui-ci a ri de manière bizarre et a reconnu qu'il n'était pas très sûr de l'année, en ajoutant qu'il lui faudrait y réfléchir.
Le témoignage de l’ingénieur Elroy John Center : Toujours selon Anthony Bragalia, un ingénieur du Battelle Institute, Elroy John Center, a reconnu qu'il avait analysé un métal provenant d'une épave d'ovni alors qu'il était employé par Battelle. Center avait travaillé comme expert chimiste pour Battelle pendant près de vingt ans, de 1939 à 1957. Ceci nous a été confirmé, dit Bragalia, à la fois par les registres de l'Université du Michigan et par les articles scientifiques qu'il avait publié du temps où il travaillait pour Battelle. Ingénieur chimiste diplômé, Center avait rédigé des articles publiés dans des revues de haut niveau. Il avait fait des analyses chimiques de métaux, des études sur la « micro-identification » des métaux dans des alliages, et sur l'analyse spectroscopique de matériaux particuliers. Center avait le profil idéal pour être impliqué dans les premières études sur les débris de Roswell. Il avait mis au point une technique d'analyse des métaux très innovante qui est signalée dans plusieurs études concernant "l'identification polygraphique du titane" dans des alliages. Or il faut du titane spécialement préparé pour fabriquer du nitinol semblable au "métal à mémoire" de Roswell.
Notes :
(1) Gildas Bourdais, « Le crash de Roswell. Enquête inédite » (JMG - éditions Le Temps Présent, 2009), et « Roswell. Enquêtes, secret et désinformation » (JMG, 2004). Voir également mon article dans la revue « Lumières dans la Nuit » (LDLN, numéro 348, avril 1998).
(2) Les « révélations » de Jack Shulman ont été présentées notamment dans la revue américaine « UFO Magazine », Volume 13, No 2, de mars-avril 1998. Elles ont été démenties dès le mois de juillet de la même année.
(3) Article « La pierre de Roswell », dans la revue « Monde Inconnu », février-mars 2009.
(4) Kevin Randle, “The Truth about the UFO Crash at Roswell” (Evans and Company, New York, 1994), chapitre 9 : “The Wright Field Connection”. Voir aussi “The Roswell Encyclopedia”, Harper Collins, 2000.
(5) Tom Carey et Donald Schmitt, “Witness to Roswell. Unmasking the Government Biggest Coverup”. Deuxième édition, 2009, Newpage Books, The Career Press, New Jersey.
(6) Anthony Bragalia, article « Roswell debris inspired memory metal Nitinol ; lab located, scientists named », in “Mufon UFO Journal”, No 495, juillet 2009.
Nanotechnologie . Invention d' un Caoutchouc qui résisterait aux temperatures extrèmes
16/12/2010 09:17
Grace à l' avènement des Nanotechnologies ( Nanotube de Carbones ) , les chercheurs mettront aux points de nouveaux materiaux beaucoup plus resistant que nos actuels materiaux ( Fer - Alluminium - plastique ect etc ) . La science des Nanotechnologies approchera la dimension atomique du materiau .
Et dans le futur , nous fabriquerons des materiaux plus souple mais d' une resistance impressionnante .
Tous le monde doit connaitre le crash d' Ovni qui avait eu lieu à ROSWELL . Les témoins qui avaient approché le lieu disent avoir découvert sur place , des pièces metalliques ultra souple mais d' une resistance incroyable . Et bien ces materiaux devaient integrer dans leurs structures atomiques la science des Nanotechnologies .
l' exemple du Caoutchouc qui resiste au fortes temperatures n' est qu' un exemple parmi tant d' autre .
Le caoutchouc a la particularité de reprendre sa forme initiale après avoir subi une déformation. C'est également le cas des boules Quiès par exemple qui s'adaptent à la forme des oreilles, et retrouvent leur forme quand on les enlève. Ces substances sont dites "visco-élastiques". Seulement ces matériaux ont un défaut: ils cassent lorsqu'ils sont exposés à une très basse température, et se décomposent lorsqu'ils sont exposés à une très haute température.
Ce problème vient d'être résolu par des chercheurs japonais en science des matériaux. Ils viennent en effet de mettre au point un caoutchouc capable de résister à des températures extrèmes (entre -196 et 1 000°C) sans subir de modification. Cette découverte a été publiée dans la revue Science.
Pour arriver à ce résultat, les chercheurs ont créé des nanotubes de carbone en déposant des catalyseurs (En chimie, un catalyseur est une substance qui augmente la vitesse d'une réaction chimique ; il participe à la...) métalliques sur du silicium. En règle générale, de tels nanotubes prennent une forme droite, mais la densité des tubes a ici été réduite afin de générer un enchevêtrement de tubes. Ces nanotubes à double et à triple parois sont ainsi interconnectés entre eux, de manière totalement aléatoire. Le réseau de nanotubes obtenu compose le matériau résultant, baptisé CNT.
L'utilité d'un tel matériau peut être imaginé dans divers domaines, comme le textile ou l'aéronautique.