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Le moteur magnétique de Muammer Yildiz
13/11/2011 10:04

http://youtu.be/epLOEaoPMFU
http://youtu.be/-DkDXvPpa6Q
Les deux liens ci - dessus vous présentent , l' invention par le Turk Muammer Yildiz d' un moteur à energie libre . Sa caractéristique première , c' est qu' il n' utilise aucune source d' energie exterieur ( Essence - Gaz - electricité ) , pour se mettre en route .
Il fonctionne grace à un assemblage d' aimant dont l' agencement crée une fluctuation magnétique qui le fait tourné .
Mais comme se genre de moteur magnétique n' a jamais été étudier réèllement en laboratoire , nous ne pouvons pas savoir si l' aimantation perdure avec le temps . Car si vous deviez intégré un tel moteur dans une voiture légère , au bout de plusieurs milliers de KM , les aimants auront - ils la même force ou auront - ils perdu de leurs puissances avec l' usure .


Bien entendu , il existe beaucoup d' autres modèles de moteurs magnétiques qui exploite la même technique . Grace à l' agencement et l' orientation des aimants on arriverait à faire tourner des moteurs sans aucuns apports energétiques exterieurs . Le moteur magnétique PERENDEV n' est qu' un exemple parmi tant d' autre . Des inventeurs autodidacte travaillent actuellement sur differents types de moteurs magnétiques .
Le moteur PERENDEV - Muammer YILDIZ et Minato seraient les plus prometteurs .
Ci - dessous , plusieurs liens montrant le principe de fonctionnement du moteur magnétique PERENDEV .
http://youtu.be/VN1xeMlBDvU
http://youtu.be/bsBTjgLbnps
http://youtu.be/PFGiWiXMHn0
http://youtu.be/FxReArGbE_s
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On aurait rajeuni des souris en laboratoire
10/11/2011 06:09

- "Comme si les cellules vieillissantes venaient contaminer les autres, contribuant à les vieillir à leur tour" .
Mon ami Lakhovski (suite)
Que vient faire ici l' Oscillateur multi - ondes inventé par Georges Lakhovski .
Les cellules malades emettent des vibrations qui perturbent les cellules saines .
Donc les cellules saines finissent par tomber à leur tour malades .
L' oscillateur multi - ondes corrige ses vibrations ce qui vitalise les cellules saines .
Combiné cette technologie de l' oscillateur multi - ondes avec la découverte qui suit .
On aurait réussi à rajeunir des Souris .
Par des manipulations, des scientifiques américains ont réussi à prévenir le processus de vieillissement. Dans quelques années peut-être, ces technologies seront monnaie courante.
Les travaux de recherche sur le vieillissement explosent dans les laboratoires de recherche du monde entier. Pour cette seule semaine, trois ou quatre publications de haut niveau dans la presse scientifique internationale fournissent des arguments solides pour montrer qu'expérimentalement il est possible de renverser les effets du vieillissement, au niveau de la cellule certes, mais aussi au niveau d'un individu complet. Ces recherches sont pour l'instant expérimentales et complexes, mais elles visent à prouver que lutter contre le vieillissement n'est pas une chimère.
Dans quelques années, peut-être, des technologies ou des médicaments antivieillissement qui nous semblent impossibles ou futuristes aujourd'hui, comme l'étaient la greffe d'organes et la fécondation in vitro au début du siècle dernier, seront monnaie courante. En début de semaine, des chercheurs français ont réussi à rajeunir jusqu'au stade embryonnaire des cellules de centenaires .
Jeudi, des scientifiques américains de la clinique Mayo (Minnesota, États-Unis), dirigés par Jan van Deursen, révèlent qu'ils ont réussi à débarrasser l'organisme de souris de vieilles cellules qui s'accumulent avec l'âge. Ils estiment que cela permet de retarder ou de prévenir l'arrivée de maux liés au vieillissement et de prolonger les années de vie en bonne santé. «Ces travaux sont très intéressants, affirme Hugo Aguilaniu, un des meilleurs chercheurs français en biologie sur la problématique du vieillissement (École normale supérieure de Lyon/CRNS). Ils ouvrent vraiment des nouvelles perspectives, à long terme, bien sûr.»
Leurs travaux, publiés dans la revue britannique scientifique Nature, portent sur un modèle de souris modifiée génétiquement. Ils démontrent pour la première fois que si l'on parvient à éliminer les cellules sénescentes de l'organisme, celui-ci reste en bien meilleur état général. Comme si les cellules vieillissantes venaient contaminer les autres, contribuant à les vieillir à leur tour. Les cellules ayant atteint l'état de sénescence cessent de se diviser en nouvelles cellules, mais produisent en effet des substances qui détériorent les cellules voisines et provoquent une inflammation des tissus. Les cellules sénescentes représentent au plus 10 à 15 % de l'ensemble des cellules des sujets très âgés. Le système immunitaire élimine régulièrement ces cellules mais se trouve débordé au fil du temps. Du coup, elles ne cessent de s'accumuler.
Modifiées génétiquement
Les chercheurs ont créé des souris transgéniques (modifiées génétiquement, dites INK-Attac), dont les cellules sénescentes contiennent une enzyme, la caspase 8, activée uniquement en présence d'un médicament et sans effet sur les cellules normales. Une fois les souris exposées au médicament, l'enzyme induit spécifiquement la mort des cellules sénescentes. Les chercheurs ont pu observer que l'élimination des seules cellules sénescentes durant la vie des rongeurs retardait des troubles liés à l'âge, comme la cataracte, la fonte musculaire ou l'amincissement de la peau, des phénomènes caractéristiques du vieillissement normal. Ils ont également pu voir que la destruction de ces cellules y compris plus tardivement dans la vie pouvait aussi ralentir la progression de désordres déjà présents. «En attaquant ces cellules et leurs produits, nous pourrons peut-être un jour briser le lien entre les processus du vieillissement et la prédisposition à des maladies, comme les maladies cardiaques, les attaques cérébrales, les cancers ou les démences », prophétise James Kirkland, coauteur de l'étude.
Cette semaine également, des scientifiques suédois, cette fois, de l'université de Göteborg, qui travaillent sur le fait que la restriction calorique prolonge la durée de vie dans de nombreuses espèces, ont réussi à démontrer, chez la levure, que l'effet de cette restriction agissait par le biais d'une enzyme, la peroxiredoxine 1 (Prx1). Et que l'on pouvait allonger la durée de vie sans restriction calorique avec de la Prx1 chez la levure, ou la réduire, en retirant cette fameuse enzyme.
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Antidepresseur et effet placebo .
09/11/2011 19:36
Le Prozac, un effet placebo?
http://www.dailymotion.com/video/xm6ysq_antidepresseurs-et-placebos_webcam
Les antidépresseurs pointés du doigt. Une étude conduite par des chercheurs de l'université britannique de Hull démontre que le Prozac et le Seroxat, deux stimulateurs du cerveau parmi les plus prescrits pour traiter la dépression, n'auraient pas plus d'effet qu'un placebo. Des conclusions que contestent les fabricants de ces produits perçus jusqu'à lors comme révolutionnaires.
Inefficaces, le Prozac, le Seroxat et autre Exefor? C'est ce que semble conclure l'équipe du professeur Irvin Kirsch, de l'université de Hull (Grande-Bretagne). Dans une étude publiée par la revue médicale PLoS, les chercheurs britanniques assurent que les antidépresseurs les plus prescrits n'auraient guère plus d'effet que des placebos. L'étude, qui a porté sur 47 cas publiés et non-publiés - les chercheurs ayant accès à des données qui ne sont pas mises au jour par les firmes pharmaceutiques - révèle ainsi que les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) sont peu efficaces.
Chez les patients qui souffrent de dépression légère, les chercheurs ont fait état d'un impact de la médication plutôt due à "l'illusion" d'un traitement. Grossièrement, le patient penserait qu'il va mieux parce qu'il suit un traitement, et non parce que celui-ci agit. Quant aux personnes souffrant d'une dépression grave, les bénéfices qu'elles tirent de leur traitement seraient davantage imputés à l'absence d'effet des placebos qu'à l'efficacité des ISRS. Pour Irvin Kirsch, les conclusions de l'étude sont évidentes. "Cela montre que les personnes atteintes de dépression peuvent se soigner sans traitements médicaux", a-t-il dit à la BBC. "Vu ces résultats, il n'est pas justifié de prescrire des antidépresseurs à un patient, sauf ceux atteints de dépression grave, dès lors que les traitements alternatifs n'ont pas échoué", a-t-il poursuivi.
Plus de 16 millions de prescriptions
La nouvelle pourrait faire l'effet d'une bombe, parce que ces ISRS - fluoxetine, paroxetine et venlafaxine, qui stimulent l'activité des neurones - représentaient, depuis leur arrivée sur le marché, un espoir conséquent pour traiter la dépression. Ils étaient voués à remplacer notamment les antidépresseurs tricycliques, avec les mêmes effets mais en étant moins toxiques, et ont même été autorisés au niveau européen pour le traitement des enfants et des adolescents début février. Et de ce fait, ils sont aujourd'hui les antidépresseurs les plus prescrits. Sur quelque 31 millions de prescriptions en 2006 en Grande-Bretagne, un record absolu, 16,2 millions concernaient l'un des trois médicaments précités.
Aussi les fabricants s'alarment des révélations d'Irvin Kirsch. "Des expériences scientifiques et médicales exhaustives ont démontré que [le Prozac] est un antidépresseur efficace", rétorque ainsi Eli Lily, fabricant du Prozac. Chez GlaxoSmithKline, qui a conçu le Seroxat, on estime que l'étude n'a porté que "sur une faible frange des données disponibles". Quant au docteur Richard Tiner, de l'association de l'industrie pharmaceutique britannique, il relève que "le considérable effet placebo" de ces traitements n'a jamais été contesté, mais qu'ils ont obtenu leur licence parce qu'ils avaient prouvé leur efficacité. Des arguments battus en brèche par le docteur Tim Kendall, directeur adjoint de l'unité de recherche psychiatrique du Royal College, auteur d'une étude selon laquelle les firmes ne publient que les résultats à leur avantage, et qui appelle les industriels à publier tous leurs résultats de tests. Au regard des résultats de l'université de Hull, les autorités britanniques vont lancer une grande campagne pour inciter les praticiens à emmener leurs patients vers les divans plutôt que la médication.
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Cyborg . Cybernétique organique
08/11/2011 12:20
http://youtu.be/-eu4t2Xvink
Le cyborg de l'avènement de l'homme-machine
Voir liens ci - dessus pour comprendre ce que seront les Cyborg dans le futur ???
Le Cyborg est un concept imaginé par le cinéma de Science - Fiction .
Dans se genre de film , on y voit souvent des humains robotisés . Mais le Citoyen Lambda croit toujours voir ce que l' on appelle des Androïdes . Le Cyborg n' a rien à voir avec l' Androïde . C' est avant tout un être humain sur lequel furent gréffé des membres mécanisés ( Bras - Jambes - Oreille - Oeil - Coeur - main - pied ) . Bien que le Cyborg ait perdu plusieurs de ses membres biologiques , ils seront remplacés par des prothèses ultra perfectionnés qui resteront tout de même connécté au cerveau .
Certaines recherches effectués ses dernières années par plusieurs équipes paraissent nous orientés progressivement vers la conception du Cyborg que nous presentait jadis le cinéma de Science Fiction . Un être humain dont le cerveau biologique envoit des impulsions aux differentes prothèses qui composent désormais son corps .
Certains de ses dits Cyborg , possèderont des cerveaux sur lesquels auront été gréffés toute une serie de micro - puces électroniques . Des circuits electroniques de plus en plus complexe leurs permettront de se connécté directement aux machines . Voir liens suivant .
Kevin Warwick : Où commence la machine ? Où finit l'homme ...
Des singes cobayes .
Pour qu’une prothèse de main permette vraiment à une personne amputée de retrouver l’usage de ses cinq doigts, deux conditions majeures doivent être remplies : que la personne puisse transmettre ses ‘ordres’ au membre artificiel, et qu’elle puisse en retour sentir ce que font les doigts. Impossible, sans la sensation du toucher, de prendre un verre sans risquer de le lâcher ou à l’inverse de l’écraser ! Mais redonner cette sensation est difficile : il faut une matière sensible pour la prothèse (lire Un toucher artificiel ultrasensible) et un circuit pour transmettre l’information !
C’est ce circuit que l’équipe de Miguel Nicolelis (Duke University, Durham, Etats-Unis), spécialiste des interfaces cerveau-machine, a réussi à faire fonctionner avec des singes. Les résultats sont publiés aujourd’hui dans la revue Nature.
Nicolelis et ses collègues avaient déjà habitué des singes macaques à contrôler par la seule pensée un jeu sur un ordinateur (lire Directement du cerveau à la machine). Ils les ont ensuite entraînés à utiliser un bras virtuel sur l’écran. Pour cela, les signaux nerveux envoyés par les neurones moteurs sont enregistrés par des électrodes placées dans le cortex moteur et relayé à l’ordinateur.
Cette main virtuelle touche des objets dont la surface est rugueuse ou lisse. Pour indiquer au singe la nature de l’objet, des signaux électriques sont envoyés dans une autre partie de son cortex, celle qui traite l’information sensorielle. En envoyant des signaux avec des fréquences différentes selon la surface touchée, les chercheurs ont réussi à apprendre aux singes à distinguer les deux. Quatre sessions d’entraînements ont suffi pour habituer les macaques et créer ainsi un ‘toucher virtuel’.
En Europe, le projet SmartHand s’attache à créer une prothèse de main sensible (lire L’illusion du toucher). L’équipe de Nicolelis participe elle à un vaste projet international, le Walk Again Project, qui veut redonner de la mobilité aux personnes paralysées, notamment à l’aide d’un exosquelette contrôlable par la pensée.
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