Window Socket est l’invention de deux designers Sud-Coréens, Boa Oh et Kyuho Song. Une invention comme on les aime ! Ce nouveau concept, qui n’est encore qu’un prototype, permet de coller cette prise électrique à une vitre ou tout autre support pour solutionner les problèmes de rechargement de batterie. Il s’agit en effet d’une prise électrique de poche que l’on peut emporter partout pour recharger nos gadgets favoris du quotidien ! Téléphone, ordinateur portable…

Window Socket est simple d’utilisation. C’est une prise électrique mobile fonctionnant de manière autonome car elle intègre des minis panneaux solaires. Cet objet permet donc de recharger des objets du quotidien grâce, et vous l’aurez compris, à l’énergie solaire. Une invention qui ne tardera pas à faire parler d’elle…

Cette idée de génie permet de nous faire consommer différemment l’électricité !

Window Socket se rapproche énormément des panneaux photovoltaïques que l’on connait bien. Cette société permet d’utiliser et de bénéficier de l’électricité gratuitement en collant tout simplement l’appareil sur une fenêtre. Grâce à ses cellules solaires intégrées et logées à l’arrière de l’appareil, la prise autonome va alors capturer l’énergie solaire afin de la transformer en électricité permettant par la suite de recharger n’importe quel objet !

D’après leur évaluation, il faudra 5 à 8 heures pour la batterie située à l’intérieur se charge jusqu’à atteindre les 1000 mAh. En effet, pour le moment, l’énergie du Windows Socket n’équivaut qu’à une demi-pile AA. Malgré cela, l’invention est plutôt intéressante et permettrait, même en l’état actuel, de dépanner en cas de manque d’énergie

Si l’on croit certaines études, la quantité de soleil que l’on reçoit sur terre est 3000 fois supérieure à nos besoins quotidiens. Des alternatives existent dans tous les domaines, il est plus que temps d’aider ce genre de projet à voir le jour. Avec le prix de l’électricité qui ne cesse d’augmenter chaque année, il grand temps que cette invention se concrétise !

Fruit du partenariat entre Google et la NASA, le D-Wave 2X est un ordinateur quantique qui vient d’accomplir un nouvel exploit en matière de vitesse de calcul. En effet, lors d'un test, la machine est parvenue à résoudre en une seconde un problème qui prendrait 10 000 années de calculs pour un ordinateur classique.

Le projet a pour but de développer des supercalculateurs capables de résoudre des problèmes complexes en quelques secondes. Le prototype testé par les deux firmes présente déjà une puissance de calcul phénoménale. Et pour cause, le D-Wave 2X est 100 millions de fois plus rapide qu’un ordinateur conventionnel. Pour ce faire, les concepteurs l’ont soumis à un problème d’optimisation avec un calcul qui comprend plus de 1000 variables binaires. L ordinateur quantique est parvenu à le résoudre en une seconde grâce à une puce de 1097 qubits. Quant à ses application, un tel système permettrait à la NASA de résoudre des problèmes d’optimisation ardus pour ses missions spatiales. De même, Google pourrait faire appel à cette technologie pour peaufiner l'intelligence artificielle de son moteur.

Si la recherche en est encore à ses débuts, le D-Wave 2X est le troisième ordinateur quantique (et le plus avancé) fabriqué par D-Wave Systems.

Parce que la vision de l’homme diffère de celle des animaux, une équipe de chercheurs a cherché et est parvenue à reproduire ce qu’un dauphin voit à travers son système d’écholocation. Pour la première fois, l’expérience permet de voir à travers les yeux du mammifère marin.

Ainsi, l’équipe dirigée par le Pr. Jack Kassewitz a réussi à reconstituer en 3D l’image d’un plongeur humain immergé dans l’eau selon le point de vue d’un dauphin. Celui-ci se base sur l’écholocation pour voir et se repérer dans son environnement avec précision. Pendant que l’animal utilisait ce système pour lui fournir une image acoustique du sujet, les scientifiques ont utilisé des équipements spécifiques afin d’enregistrer le signal. Une fois ce dernier analysé par un appareil dénommé Cymascope, il en résulte une silhouette bien distincte d’un homme.

Si le rendu permet d’avoir une idée de la vision d’un dauphin, les concepteurs estiment que l’expérience pourrait ouvrir la voie vers une communication inter-espèces. Selon les scientifiques, ces mammifères marins pourraient utiliser un langage sono-pictural pour communiquer entre eux.

https://youtu.be/FemYE5AkboI

https://youtu.be/6xbmVGFy1Ag

Les T-shirts à réalité augmentée marchent de mieux en mieux au Japon. Il suffit d'un smartphone pour que votre habit connaisse une seconde vie, virtuelle celle-ci!

Décidément pionniers dans le domaine des vêtements fantaisistes, les Japonais ont encore frappé fort. La tendance au Pays du Soleil levant est actuellement au « Absoberu-T », qu’on peut traduire par « T-shirt avec lequel on peut jouer ».

Ces T-shirts utilisent la technologie de la réalité augmentée, qui devrait largement s’implémenter  notre quotidien dans quelques années.  

Avec un smartphone, il suffit de cadrer le vêtement pour qu’il s’anime à l’écran. On peut alors voir surgir tout un tas d’animations kawaï en fonction du T-shirt. Il est même possible d’interagir avec l’aide de l’écran tactile pour influer sur les animations.

En attendant de trouver une solution pour remédier aux problèmes d’autonomie des batteries, des chercheurs ont mis au point un micro capteur capable de s’alimenter à partir d'un réseau sans fil à proximité. Une innovation qui pourrait révolutionner l’internet des objets.

On doit cette invention aux chercheurs de l’université de technologie d'Eindhoven, aux Pays-Bas. Il s’agit d’un capteur de température sans fil faisant à peu près la taille d’un grain de sable. Et pour cause, le prototype mesure 2 millimètres carrés pour 1.5 milligramme. Sa particularité réside dans sa capacité à tirer profit des ondes électromagnétiques générées autour de lui pour s’alimenter. Ce qui lui permet de se passer de câble et de batterie. En outre, sa taille minime lui permet d’être directement intégré dans le béton ou peint dans un mur pour surveiller le niveau de température, l’humidité ou encore la lumière.

Fonctionnant avec un routeur dédié, le prototype développé est pour l’heure limité dans ses capacités notamment en raison de sa portée réduite à 2,5 cm. Toutefois, les concepteurs envisagent de l’améliorer afin de donner naissance à des capteurs basse consommation capables de s’alimenter indéfiniment via les ondes radio