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Des écrans anti - reflets ??
30/04/2015 07:55

Depuis des milliards d’années, la nature développe les stratégies les plus efficaces grâce auxquelles les organismes s’adaptent à leur environnement. Le biomimétisme consiste à étudier ces stratégies pour les transposer ensuite à une problématique technologique. Le potentiel dormant dans le vivant est immense. Les chercheurs et ingénieurs en prennent de plus en plus conscience. Une équipe allemande du Karlsruhe Institut für Technologie s’est intéressée récemment au Greta Oto, un papillon aux ailes transparentes que l’on trouve essentiellement en Amérique centrale. Celui-ci a développé une solution astucieuse pour échapper à ses prédateurs : ses ailes ne reflètent pas la lumière car elles possèdent une nanostructure de surface irrégulière.
En général, les matériaux transparents reflètent au moins une partie de la lumière incidente qu’ils reçoivent. Le verre, par exemple, reflète entre 8 et 100 % de cette lumière. Certains animaux semblent avoir trouvé une solution pour réduire au maximum ces réflexions. Il s'agit cependant d'une solution partielle car les reflets ne disparaissent souvent que lorsque l’on pose un regard perpendiculaire sur eux. Les ailes du Greta Oto, quant à elles, ne reflètent pas plus de 2 à 5 % de la lumière incidente… quel que soit l’angle sous lequel on les regarde. Un phénomène qui s’étend au-delà du spectre du visible puisqu’il est également valable dans l’infrarouge et dans l’ultraviolet.

L'aile du Greta Oto possède des nanostructures de différentes tailles, distribuées de manière irrégulière. Cette particularité permet une faible réflexion de la lumière, quel que soit l’angle sous lequel l'aile est regardée. © Hasan Radwanul Siddique, KIT
Une propriété due à des nanostructures désordonnées
Pour comprendre ce phénomène rare, les chercheurs du Karlsruhe Institut für Technologie ont observé les ailes du Greta Oto au microscope électronique à balayage . Ils y ont trouvé des nanostructures en forme de colonnes. Rien d’étonnant jusque-là puisque celles-ci avaient déjà été identifiées comme responsables du faible taux de réflexion sous un regard perpendiculaire. Mais, contrairement à ce qui avait pu être observé sur d’autres animaux, ces nanostructures sont de tailles variées (entre 400 et 600 nanomètres de haut) et disposées de manière totalement irrégulière (entre 100 et 140 nanomètres d’espace entre deux colonnes).
Les chercheurs allemands ont pu cartographier avec précision la répartition et la dimension des nanostructures à la surface des ailes du Greta Oto. De quoi vérifier par le biais d’un modèle mathématique que la quantité de lumière réfléchie observée peut bien être retrouvée par le calcul. Le Greta Oto semble donc être un animal fascinant, non seulement visuellement parlant, grâce à ses ailes transparentes, mais aussi scientifiquement parlant. Dans un domaine où, habituellement, l’ordre prime, c’est en effet le chaos qui a pris le dessus.
Cette particularité pourrait bien servir à développer des applications utiles à l’Homme, notamment dans le cadre du développement de surfaces antireflets. Qui, en effet, n’a jamais été agacé par l’affichage illisible de son téléphone portable en plein soleil ou dérangé par des reflets gênants dans ses lunettes de vue ? Les chercheurs du Karlsruhe Institut für Technologie travaillent d’ores et déjà à la conception d’écrans inspirés des ailes du Greta Oto. Ce type de surfaces a d'ailleurs d'autres avantages puisque ces nanostructures irrégulières s’avèrent également imperméables et autonettoyantes.
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Les canons à vortex ?
30/04/2015 07:45
https://youtu.be/pRbSyoMndGE
Detruire des cabanes en bois ou des murs en briques avec des canons qui envoient
de l' air sous pressions . Des ondes sonores pour etre plus précis ?

Peu avant la reddition nazie, une commission états-unienne est envoyée en Allemagne afin de mener une mission d’enquête sur le programme d’armes expérimentales du IIIème Reich. Le général Leslie E. Simon en publie les observations en 1947 sous le titre German Research in World War II2. Il y mentionne notamment que sous l’autorité d’Albert Speer, alors ministre des Armements, un pôle de recherche situé près de Lofer en Autriche a fabriqué un « canon à vortex » visant à « reproduire en miniature les effets des tornades » afin de « casser les ailes des avions ». Le vortex, un phénomène naturel, est un tourbillon où les particules d’air ou d’eau s’enroulent en spirale autour d’une zone de basse pression. « Un effet vortex considérable fut atteint », selon Simon, mais on n’entendit plus parler de l’arme. Un autre prototype est développé au centre d’essai d’Hillersleben : un « canon à vent » visant à envoyer des « bouchons d’air », toujours sur les avions. Son emploi dans la protection aérienne d’un pont sur l’Elbe est un échec.
Les armes à vortex et autres « générateurs de vent » ont fait l’objet d’une recherche importante au XXème siècle, non seulement en Allemagne mais en Russie soviétique ou aux États-Unis notamment. En 1997 ces derniers lancent, dans le cadre du développement des armes « non létales », un programme dédié, le « Vortex Ring Gun program » : « les applications devront inclure la possibilité de marquer un individu ou un objet avec un colorant fluorescent à distance ; d’expulser des agents incapacitants à distance ; d’expulser un aérosol à distance (…) ; de faire apparaître temporairement un écran de fumée ou un agent opacifiant. »3 Un point d’arrêt est cependant mis au programme dès 1998 en raison de « l’imprévisibilité des vortex et leur limitation en terme de portée »4. En 2006, quoique la recherche soit officiellement interrompue, le site de la société SARA vante toujours les mérites de son « lanceur de vortex » : « le vortex d’air supersonique frappe la cible à environ la moitié de la vitesse du son, avec une force suffisante pour faire tomber la cible. Le vortex donne l’impression de recevoir un seau d’eau glacée dans la poitrine. » Malgré ces qualités éminentes, l’arme ne semble pas avoir été employée et a depuis disparu du site du constructeur.
Il existe néanmoins un dispositif visuellement proche du « lanceur de vortex » et à l’effet comparable, quoique son principe de fonctionnement diffère : le canon à détonations, qui génère non pas un vortex, mais une explosion sans éclats, au moyen de gaz détonnants. L’arme a d’abord été développée pour contrôler les animaux : les « canons effaroucheurs » et autres « épouvantails automatiques » sont ainsi utilisés dans de nombreux pays pour éloigner les oiseaux et les petits rongeurs. On compte notamment , parmi les fabriquants, la société israélienne PDT Agro, qui a eu l’idée à la fin des années 2000 de transformer son « Thunder generator » (générateur de tonnerre) pour oiseaux en « Shockwave cannon » (canon à ondes de choc) pour humains5 C’est une autre société, Armytec, non agricole mais engagée dans la recherche et développement militaire, que le Ministère de la défense israélien a chargée d’en commercialiser les versions militaires et paramilitaires6.
Dans un article de la presse militaire états-unienne daté de janvier 2010, il est indiqué que « les détonations ont (...) une action doublement répulsive sur les émeutiers et les intrus potentiels, grâce à la pression atmosphérique très élevée et à l’effet de bang supersonique qui sont générés ». Les données disponibles se réduisent à celles fournies par le fabriquant, et sont donc à prendre avec une certaine précaution. La portée de l’arme serait donc de 50 mètres, et selon le président de PDT Agro, « toute personne se situant entre 30 et 50 mètres du canon aura l’impression de se tenir devant un peloton d’exécution ». À moins de 10 mètres, l’arme pourrait causer des blessures irréversibles ou être létale. La possibilité de tuer avec une onde de choc est réelle, mais nécessite une amplitude acoustique assez improbable. L’intensité du « Shockwave cannon » n’est pas mentionnée par le fabriquant, qui indique simplement qu’il est « adapté pour des opérations impliquant des populations ennemies ou amies. » Une arme très démocratique en somme.
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Big Brother . Des satellites qui localisent des implantés ??
29/04/2015 11:04
Comme je l' expliquais dans un précédent sujet , les employés d' une entreprises Suédoise ont accéptés de se faire implantés une puce qui leur permettra de présenter la main pour faire ouvrir les portes .
Ce genre d' implants se genéralisera dans le futur . Par exemple aux Etats - Unis , les puces " Digital Angel et Veripay " seraient le premier pas de la mise en place de Big Brother ?
Fabriquée par la société américaine Applied Digital Solutions, la puce "Digital Angel" permet l'identification et la localisation par satellite des individus. Il s'agit d'une puce électronique de la taille d'un grain de riz et qui est implantée sous la peau. Elle est aussi capable de renvoyer des informations biologiques sur son porteur (température du corps, rythme cardiaque, etc).
Une autre version de la puce appelée "Veripay" a été présentée en Novembre 2003 au salon ID World à Paris. Elle permet d'y inscrire des données personnelles en vue de servir de carte d'identité ou de carte de crédit.
Déjà, une troisième version de la puce, Verichip, est implantée sur le bétail pour en assurer la "traçabilité". Bientôt le bétail humain lui aussi sera parfaitement "traçable", dès qu'un nouveau "11 Septembre" fournira le prétexte pour rendre la puce obligatoire, au nom de la "sécurité".
Dans le film " Total Recall " , on se souvient tous de cette poursuite ou l' on voit Scharzeneger fuir ses ennemis . Mais ses derniers le suivent à la trace grace à un objet qu' on lui avait implanté pour mieux le localisé .
Certes dans le film l' implant parait assez grossier , mais dans le futur ces implants seront tellement miniaturisés qu' il vous sera impossible de les remarquéS .
Les satellites se contentera de capter le signalement electronique de la puce pour vous localisé ??
https://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=V1otJm8d_cY
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Crise cardiaque . Etrange découverte ?
29/04/2015 08:35
Une équipe de chercheurs a fait une intéressante découverte en étudiant l’activité cérébrale et cardiaque de rats. Juste avant la mort, les scientifiques ont observé que le cerveau envoyait une série de signaux au coeur qui l’endommagerait et l'entraînerait à s’arrêter. Ils ont également constaté que l’expérience de “mort imminente” serait causée par cette douzaine de composés neurochimiques envoyés par le cerveau, dont la dopamine et la noradrénaline.
Sur un autre groupe de rats, les chercheurs ont coupé la transmission chimique entre le cerveau et le cœur, empêchant ainsi les composés chimiques d’affluer vers le cœur. En coupant la communication, les rats auraient survécu trois fois plus longtemps que ceux du premier groupe. Une conclusion importante qui indique que rompre la transmission de signaux chimiques entre le coeur et le cerveau pourrait éventuellement permettre de survivre à une crise cardiaque
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