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Information quantique et téléportation .
26/05/2011 10:34

http://www.dailymotion.com/video/xgrhe_voyages-interdimesionnel-part1_shortfilms
http://www.dailymotion.com/video/x58kya_la-teleportation_tech
l' information quantique pourra - t - elle être à l' origine du transfert de la matière à distance ??
400 millions d’appels téléphoniques en un seul laser
Le Karlsruhe Institute of Technology, en Allemagne, vient de battre le record de transmission de données à l’aide d’un seul laser : 26 terabits par seconde. Ou 26 000 gigabits par seconde. D’après un des chercheurs impliqués dans cet «exploit», Jurg Leuthold, c’est l’équivalent de 400 millions d’appels téléphoniques que l’on aurait pu transmettre grâce à un seul laser. Ou 700 DVD téléchargés chaque seconde sur ce petit filet de lumière…
Un article décrivant le procédé est paru hier dans Nature Photonics. Le gros du défi, explique M. Leuthold, fut moins de transmettre cette orgie de 0 et de 1 que de les coder et les décoder, puisque aucun procédé électronique n’est capable de traiter pareil débit. M. Leuthold et son équipe y sont parvenu en mettant au point une version optique d’algorithmes déjà utilisés dans la transmission de données, de manière à découper cette masse de Tb en «paquets» plus petits.
Alors je vous pose la question : si nous avons déjà l’internet «haute vitesse», le «très haute vitesse» et même le «haute vitesse extrême», et que tout cela se compte encore en megabits par seconde — encore qu’il s’agisse là du débit dans chaque maison, qui n’est qu’une fraction de ce qui passe dans les réseaux de fibre optique, mais quand même… —, à quels qualificatifs serons-nous rendus quand l’invention de M. Leuthold sera appliquée à grande échelle (si une telle chose se produit, bien sûr) ?
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un textile anti explosion pour les avions
24/05/2011 13:12
 Les soutes à bagages des avions pourraient être bientôt mieux protégées, grâce à l’utilisation d’un textile capable de contenir le souffle dû à une charge explosive.
Comment mieux protéger des attentats les passagers des avions ? Une équipe d’ingénieurs européens propose d’emballer les bagages en soute dans un textile anti-explosion, baptisé Fly-bag. Ce dernier montre une résistance inédite : il est capable de contenir l’explosion d’un pain de plastic équivalent à celui qui a provoqué la destruction d'un Boeing 747 le 21 décembre 1988.
450 grammes de plastic
A l’époque un pain de 450 grammes de plastic avait été caché dans un bagage placé dans la soute. Il avait provoqué la mort de 243 passagers, 16 membres d’équipage et 11 personnes au sol.
Pour prévenir la répétition de drames de cette ampleur, les procédures de sécurité dans les aéroports sont sans cesse affinées. Mais l’éventualité qu’un terroriste parvienne à déjouer cette surveillance ne peut pas être exclue.
Textile multi-couche
Une équipe d’ingénieurs de cinq pays européens vient de trouver une parade. Dans le cadre du programme de recherche européen FLY-BAG, qui sera bientôt mis à l’honneur à l’occasion du salon Techtextil, ils ont mis au point un revêtement constitué de couches superposées de textile. Au centre, une partie rigide garantit la robustesse du matériau. Autour, une partie souple s’étire sans se rompre en cas d’explosion d’ampleur moyenne. Il évite ainsi toute projection dans l’habitacle sous le souffle de l’explosion. Les fibres de chaque couche de textile sont orientées différemment, afin de garantir l’absorption de forces d’impact dans toutes les directions.
Les ingénieurs ont soumis leur container à de véritables déflagrations pour mesurer sa résistance. Bilan : la structure protège d’une explosion d’ampleur moyenne, comme celle de l’attentat de 1988.

Une compagnie aérienne impliquée
La compagnie aérienne italienne Meridiana, partenaire du projet, a par ailleurs vérifié que le fait de fixer ce container souple à l’intérieur de soutes à bagages d’Airbus A319 et A320 ne perturbait pas le travail de ses opérateurs avant le décollage. Ce dispositif pourrait séduire les industriels alors que les systèmes de coffrages rigides, plus lourds, plus coûteux et donc réservés aux appareils de grande taille, peinaient à s’imposer.
Il a récemment retenu l’attention des professionnels lors de sa présentation au salon Aerodays 2011, consacré à la recherche en aéronautique. Il sera également mis en avant le 23 mai prochain, à Frankfurt. À l’occasion du salon des textiles techniques Techtextil, il recevra le prix de l’innovation dans la catégorie protection et sécurité.

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Détecter un cancer par une simple analyse de sang ou d' urine
24/05/2011 12:45
Dr. Albert Abrams, M.A., M.D., LL.D. Heidelberg University.
Albert Abrams . Maladies et Longueurs d' ondes (BM7)
la technique qui permettait de diagnostiqué differentes maladies à partir de l' analyse d' une goutte de sang avait déjà été développé par le Dr Albert Abrams .
Certe elle diffère de celle découverte par le CNRS , mais elle était tout aussi efficace .
Des biologistes du CNRS, de l’Inserm et des universités Paris Descartes et de Strasbourg viennent de mettre au point une technique capable de déceler les infimes traces d’ADN tumoral présentes dans les fluides biologiques de patients atteints d’un cancer. Une technique qui pourrait devenir une aide majeure pour les oncologues dans l’établissement du diagnostic comme dans l’élaboration du traitement.
La méthode consiste à réaliser des analyses moléculaires ultra-sensibles dans des gouttelettes microscopiques. Testée avec succès sur des gènes impliqués dans différents cancers dont le cancer du côlon ou la leucémie, Lorsque les cellules tumorales meurent, elles déversent leur contenu dans le milieu extracellulaire. Ce contenu, en particulier l’ADN des cellules, se retrouve ensuite dans les liquides biologiques du patient : le sang, la lymphe, l’urine… Comme le développement de la plupart des cancers fait intervenir des facteurs génétiques, une simple analyse de sang ou d’urine pourrait en théorie révéler la présence d’ADN tumoral et donc d’un cancer. Et ce, dès la mort des premières cellules cancéreuses, donc à un stade très précoce.
Malgré ces belles promesses, il y a un hic qui explique pourquoi les médecins ne peuvent encore traquer les cancers dans les fluides biologiques : l’ADN tumoral n’y est présent qu’à l’état de traces. Dans le sang, par exemple, il représente moins de 0,01% de tout l’ADN qui s’y trouve sous forme diluée. Or les méthodes d’analyse classiques d’ADN ne sont pas assez sensibles pour détecter de si faibles quantités. C’est tout l’intérêt de la technique qu’ont développée des chercheurs du CNRS, de l’Inserm, de l’université de Strasbourg et de l’université Paris Descartes, en collaboration avec une équipe allemande du Max Planck institute (Göttingen) et une société américaine (Raindance Technologies). Déceler des seuils d’ADN 20 000 fois inférieurs à ce qui se faisait avant en clinique, telle est la prouesse réalisée par cette technique.
Comment fonctionne-t-elle ? Une première étape consiste à répartir l’ADN extrait d’un échantillon biologique dans des millions de gouttelettes suffisamment petites pour que chacune ne contienne qu’un seul gène cible. Puis, cet ADN est amplifié grâce à des méthodes de multiplication moléculaires modernes. Simultanément, des molécules fluorescentes spécifiques à chaque gène viennent interagir avec l’ADN. Cette phase importante fournira une sorte de code couleur des gènes. Les gouttelettes sont ensuite guidées, une par une, à l’intérieur de sillons de taille microscopique où elles sont analysées par laser : la couleur des molécules fluorescentes révèle alors quel gène se trouve dans la gouttelette. Si cette dernière émet du rouge, par exemple, l’ADN est sain. Si elle est verte, il est tumoral. Si la gouttelette n’émet pas de fluorescence, elle ne contient pas le gène ciblé. Un simple comptage des taches colorées permet alors de connaître la concentration en ADN tumoral.
Les chercheurs ont appliqué avec succès leur méthode sur un oncogène (gène ayant le potentiel de provoquer un cancer) appelé KRAS (associé à des leucémies et à divers cancers, comme ceux du côlon, du pancréas ou du poumon). L’ADN qui portait ce gène était issu de lignées cellulaires de laboratoire. Reste maintenant à tester le nouvel outil d’analyse dans un cadre thérapeutique. Une étude clinique est d’ores et déjà prévue. Si elle réussit, les médecins disposeront d’une « arme anticancer » efficace, non seulement pour détecter la présence de tumeurs mais également pour proposer des traitements. L’agressivité du cancer, sa sensibilité aux traitements existants et son risque de récidive après un traitement local : toutes ces informations sont en partie écrites dans l’ADN tumoral. En les lisant avec la technique des microgouttelettes, l’oncologue pourrait bénéficier d’un outil d’aide au diagnostic efficace, pour prévoir l’évolution de la maladie comme pour élaborer une stratégie thérapeutique.
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Des hélicoptères presqu' invisibles ??????
23/05/2011 23:15
L' armée américaine aurait - elle adapté le camouflage optique sur certains de ses hélicoptères .
L' avènement des métamateriaux favoriserait cette invisibilité . Il existerait en fait deux types
d' invisibilités . Celles qui utiliseraient la technologie des métamateriaux comme la vidéo
ci - dessus le montre et celles de la retro - projection utilisé dans l' exemple du chars invisible .
La plus prometteuse est celle des métamateriaux que l' on appliqueraient sur les surfaces
d' un hélicoptere .

www.cyberpresse.ca/sciences/en-vrac/200901/16…

C’est en Grande-Bretagne que des scientifiques ont indiqué avoir mis au point un nouveau matériau, dont la capacité à déformer la lumière serait exceptionnelle. Alors que ce qu’on appelle des métamatériaux ont déjà vu le jour, permettant de rendre des objets invisibles, la longueur d’onde de la lumière obligeait ses créateurs à se limiter à des surfaces plus ou moins planes. Utiliser le même type de matériau pour fabriquer un vêtement paraissait donc impensable.
Mais c’était sans compter sur les scientifiques d’une université écossaise, à St Andrews, qui sont parvenus à mettre au point un métamatériau qui serait assez flexible pour constituer un tissu. Fonctionnant sur une longueur d’onde de 620nm, il pourrait donc permettre de rendre un vêtement invisible à l’œil nu, en empilant plusieurs couches de ce métamatériau baptisé Metaflex. L’une des applications les plus passionnantes du Metaflex est sans doute la fabrication d’un tissu tridimensionnel en métamatériau, indique ses créateurs.

Patton aurait tué pour un bataillon de ces jouets chenillés. L’Armée britannique teste un char « invisible » qui fonctionne comme la veste d’invisibilité de Susumu Tachi. Un système de caméra/projecteur projette des images de l’environnement du tank, ce qui vous permet de voir au travers.
Le système est certes moins futuriste que celui sur lequel travaille la DARPA, mais ses concepteurs croient en son potentiel, et prévoient de l’améliorer encore. Metal Gears n’est pas loin
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Nano - Technologie . La maladie de Morgellon
23/05/2011 21:48
http://www.youtube.com/v/0HwGgQ5IZNc&hl=fr_FR&feature=player_embedded&version=3
http://youtu.be/Jm8IElaHeZw
Touraine Insolite :: La maladie de Morgellon
MORGELLONS-CHEMTRAILS-SUPERBUG. À gauche la Chimère - à base de Silicone I.A. Bio-Systèmes dans un système nerveux près de chez vous. Elle est invisible à l'oeil nu. Microscopique. La Dr. Hildegard et Dr. Mike Castle discutent au téléphone dans une entrevue la découverte de cette première de filaments qui possèdent des caractéristiques étranges voire bizarres qui proviennent des retombées de "chemtrails". Vous vous souvenez de ces fibres sur la page de chemtrails ? Ce monstre, presqu' extraterrestre a été créé en laboratoire. Un scientifique démontre comment cette super vermine a été assemblé en laboratoire comme arme biologique.
Les fils de la vierges sont semblables à des toiles d’araignées tombant du ciel un peu partout sur le planète. Certains soupçonnent les Chemtrails laisssées par les avions au dessus de nos têtes d’être à l’origine du phénomène.
La vidéo ci-dessous montre une culture amateur de fibres de fils de la vierge tombés dans la région Midi-Pyrénées.
Les conclusions laissent penser à une sorte de nano-technologie plus ou moins vivante, qui seraient entre autre responsable d’une nouvelle maladie : la Morgellose.
 Autofluorescent (Self-glowing) Fibers
 Morgellon Fibers, taken from the lip of a patient
 Another closeup of the microscopic morgellon fibers
 Pictures of lesions on the legs of a patient
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