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Science Futuriste

VIP-Blog de bm7
bnj.777@hotmail.fr

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  • Créé le : 11/12/2010 11:43
    Modifié : 18/12/2021 17:29

    Garçon (50 ans)
    Origine : PARIS
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    Nikola tesla . La machine à communiquer dans le temps

    23/04/2011 18:55



    Le Surnatéum, ou Muséum d'histoire surnaturelle, magnifique site .Il n'est que la façade virtuelle d'une des plus étonnantes collections d'artefacts magiques authentiques et d'histoires étranges collectées de par le monde par les Collectionneurs et Conservateurs pendant plus d'un siècle.''

    il y a de quoi vous donner des frissons... On ne sait qui se cache derrière tout ça, se n'est pas grave d'ailleurs :

    la collection est effectivement impressionnante. Reliques sacrées, antiquités hantées, grimoires magiques, instruments divinatoires... Tout y est, avec textes, photos et dernières acquisitions (une boîte de médecine traditionnelle chamaniste de Mongolie). Une vraie mine pour les passionnés de surnaturel.

    et là voici l'histoire de La machine à communiquer dans le temps de Nikola Telsa. vous pourrez d'ailleurs découvrir un tas d'autre lecture touts plus interessantes les une que les autre.




     

    Description:

    Appareillage scientifique fabriqué en 1910 et restauré une première fois pendant les années '30 et une seconde fois en 1995-6.
    Comporte un clavier de communication, des capsules de cuivre/laiton, une valise réception, divers générateurs, piles et machines de Wimshurst. Divers documents, plans et une boîte scellée en 1910 accompagnent le lot.

    Dossier: Témoignages et Expérimentations simultanées du 14 août 1910/1997

    Timexperience 1

    Bureau du Duc d'Ursel à l'Exposition, aux environs du 15 juillet 1910

    Lorsque Nikola Tesla présenta son projet au duc d'Ursel et au professeur de Walque, il s'attendait à rencontrer une certaine incompréhension. Aussi avait-il prévu une démonstration fort sommaire mais impressionnante. Il emprunta une boite d'allumettes aux témoins et en retira quelques-unes unes. Il demanda ensuite au professeur d'en briser ou d'en faire brûler 3 ou 4. Le prototype de taille réduite, qu'il déposa sur le bureau du duc, pouvait envoyer un petit objet 10 minutes dans son propre passé et lui redonner la forme qui était la sienne à ce moment. Le professeur de Walque examina soigneusement la petite machine, puis introduisit les allumettes brûlées dans la capsule temporelle et ferma cette dernière hermétiquement. Tesla mis l'appareil en marche. En dehors d'un picotement léger, le témoin qui assistait à l'expérience ne ressentit rien.

    Mais quand il ouvrit le tube, les allumettes étaient à nouveau intactes.

    Le temporisoscope. Bureau du Duc d'Ursel à l'exposition ; le 14 août 1910

    Tesla qui parle couramment plusieurs langues, dont le français, a appelé son appareil le temporisoscope, c'est du moins ce que nous pensons, probablement pour faire plaisir à son ami français d'Arsonval, qui ne doit pas être totalement étranger à l'invention.

    Les découvertes de Planck en 1900 et d'Einstein en 1905 - 1906 permettent à Nikola Tesla d'imaginer la théorie qui suit. Si l'on rend porteuse d'une information une onde qui se déplace plus vite que la lumière (que nous nommons actuellement un tachyon), cette information voyagera dans le temps. A condition de disposer du récepteur adéquat on pourra donc recevoir un message du futur ou du passé. Aucun déplacement ou communication temporel ne pourra se faire avant la première date de mise en fonction de la machine. Hélas !

    Cette théorie fut ré-énoncée sous le nom "d'antitéléphone tachyonique" par le professeur Benford et deux collègues de l'université d'Irvine. La machine combine différents champs magnétiques pour ouvrir une brèche dans le temps. (En fait, un trou noir de dimension réduite. La création d'énergie négative à partir du vide va empêcher le trou noir de s'effondrer sur lui-même.) Les capsules temporelles sont des cylindres en laiton, ce qui semble confirmer la théorie contemporaine de Michio Kaku (Hyperspace : Michio Kaku ; Anchor books) qui dit que la forme idéale d'une machine à remonter le temps serait un cylindre.

    Cette théorie unifiant la mécanique quantique et la théorie de la relativité est étudiée actuellement par Stephen Hawkings. (Nikola Tesla affirmera d'ailleurs qu'Albert Einstein se trompe en partie dans ses théories, et que la vitesse de la lumière n'est pas une limite infranchissable.) En février 1994, deux chercheurs de l'université de Yale ont réalisé la création d'énergie négative sans compensation positive (positrons), en tirant celle-ci du vide. Ce qui rend le voyage dans le temps possible matériellement. (Cette énergie permet d'empêcher l'effondrement du trou noir, et maintient ouverte la porte de passage d'une époque à l'autre. Principe de Casimir, énoncé en 1940.) Notre temporisoscope utilise un principe similaire... mais il fut conçu en 1910.

    En 1906, le professeur Korn envoya également la première photo par radio. Le temporisoscope allait-il être la prochaine étape ?

    Le protocole établi par le professeur de Walque proposait d'envoyer à cinq ans de là (en 1915) un code qu'il aurait choisi ainsi que deux ou trois petites choses inconnues en 1910.

    Après sa mise en fonction en 1910, ce qui fut sauvé dela machine fut soigneusement enfermé dans une caisse scellée et confié au professeur de Walque. Avec pour instruction de ne pas y toucher avant le 14 août 1915. Hélas, ils n'avaient à l'époque pas pu prévoir que la première guerre mondiale empêcherait l'expérience d'avoir lieu. Et qu'une partie de la machine serait détruite durant l'expérience, pour être partiellement reconstruite au début des années 30.
    Pour résoudre les problèmes d'espace-temps, le temporisoscope communique avec lui-même ; il est à la fois émetteur et récepteur.

    Lorsqu'ils mirent en marche l'appareil, quelle ne fut pas leur surprise de recevoir un message de 1997, avec mes coordonnées. Malheureusement, l'état dans lequel ils reçurent le message n'était pas suffisant pour confirmer, de manière absolue, le fonctionnement du temporisoscope. Aussi, le professeur de Walque pris la décision de me la faire parvenir par son futur descendant provoquant les troubles dont je souffre dans le présent. Liés à une modification du passé, dont je suis la première victime. (Il semblerait d'ailleurs que Tesla souffrait de troubles similaires.)


    La deuxieme équipe : le 14 août 1997. Rapport d'expérience.


    Si nous sommes réunis ici ce soir dans le laboratoire du Surnatéum, c'est parce que nous allons tenter de contacter l'équipe de 1910. Nous avons beaucoup hésité avant d'entreprendre cette expérience car elle n'est pas exempte de danger. Outre les paradoxes classiques liés au voyage temporel , et la science-fiction en est truffé, il nous a semblé que nous risquons de modifier la texture de notre passé, ou de sauter dans une autre dimension de l'Histoire. Mais au fond, si on pouvait prévenir l'humanité du danger que représentent des malades comme Hitler ou Staline, nous pourrions peut-être améliorer les choses durant ce siècle passé.
    Nous sommes certainement un peu naïfs, ou il est plus probable que nous ne faisons que chercher un prétexte pour jouer à l'apprenti-sorcier ; je penche plutôt pour la deuxième option.
    Après tout, si j'ai reçu cet engin, c'est que d'une manière ou d'une autre je l'ai remis en marche ; alors allons-y !

    Dans ce journal de l'Exposition Universelle de 1910, daté du 20 août, nous avons comme page centrale un plan de l'Exposition, ce qui nous permettra de situer l'endroit où a eu lieu l'expérience. Rien n'y est dit au sujet de la réussite ou de l'échec de notre expérience.
    Nous allons devoir suivre ce protocole établi par l'équipe de 1910.
    Communiquer avec des gens disparus depuis longtemps est une expérience étrange... Mais pour eux nous ne sommes pas encore nés ; et après tout ils s'attendent à communiquer avec eux-même. Nous savons qu'ils vont être surpris.

    Les appareils sont correctement branchés les uns aux autres, et tout est en parfait état de fonctionnement. Sauf la valise de réception qui montre quelques signes d'hésitation. C'est elle qui doit accueillir le "puits de lumière ", sortie du micro trou noir que nous allons créer.
    Sont présents : Outre moi-même, il y a Benoit Drager, notre technicien qui a restauré l'appareil, Antoine Salembier, le mathématicien de l'équipe, mon assistant Nicolas Stevens. et un observateur externe indépendant.
    Une dizaine d'invités, dont un historien spécialisé dans l'histoire des Expositions Universelles assistent, à une certaine distance, à l'expérience.
    L'expérience est bien entendu classée "Top Secret ".

    Timexperience 2

    Une autre curieuse expérience a eu lieu.
    Le Temporisoscope possède 2 capsules temporelles. Celle placée à la gauche de la machine permet de recevoir les envois du futur, celle de droite d'envoyer quelque chose vers le passé.
    Tout dépend également du type de capsules utilsées, il y a plusieurs modèles différents.
    En activant la machine à 15h précise, une vibration légère de la capsule de gauche (vide lors de la mise en tension) nous a signalé l'arrivée d'un objet. C'était une petite bille de verre coloré. Cinq minutes plus tard, et sans avoir interrompu le fonctionnement de l'engin, nous avons réintroduit la bille dans la capsule de droite et il a disparu.

    Rien ne se perd, rien ne se crée ?




    Rapport d'expérience (suite) : le 15 août 1997

    Maintenant que cela a été fait, et que nous avons survécu, je vais tenter de résumer notre tentative.

    Nous avons commencé par brancher les divers appareils contenus dans la malle après les avoir testés.

    Le protocole exigeait que nous transmettions d'abord mes coordonnées, la manière, la date et le lieu d'acquisition et enfin la date et le lieu de sa mise en fonction ainsi que deux événements historiques se passant en 1912 (soit deux ans après l'expérience).

    Nous avons signalé le naufrage du Titanic qui aura lieu le 14 Avr. 1912 et le fait que le 14 Oct. 1912 Schranke tirera sur le président Roosevelt.
    Nous leur avons également suggéré de supprimer un certain Adolf Hitler. Ils ne savent pas encore qui il est, mais on peut toujours essayer.

    Au moment ou nous émettions le document, celui ci se modifia en passant au travers de l'appareil. Et nous pûmes lire instantanément la réponse de l'équipe de 1910.
    C'est là que j'appris que dans un passé que nous appellerons 'Temps UN', j'ai acquis la machine en très mauvais état, et je l'ai restaurée ; mais le premier essai de transmission fut si mauvais qu'ils décidèrent de me faire parvenir l'engin par la descendance du professeur de Walque. Cette modification de mon propre passé, nous a fait rentrer dans un " Temps DEUX ". Provoquant cette impression de dédoublement, et ces curieuses visions et prémonitions qui apparurent à la réception de l'appareil.
    Curieusement, m. de Walque ne ressentait rien. Cela est probablement dû au fait qu'il vit à proximité de l'appareil depuis sa naissance.

    Le protocole exigeait ensuite confirmation de leur part qu'il ne s'agissait pas d'un canular.

    Ils nous ont donc envoyé un objet unique de 1910 qu'il aurait été impossible de dupliquer de nos jours.

    Apparu alors dans un éclair (sorte de puits de lumière), l'abonnement à l'exposition universelle du Comte d'Ursel, témoin 1910 de l'expérience. (Nous l'avons fait expertiser, elle est authentique.)

    Dans le même temps, nous avons nous aussi envoyé deux objets : l'huissier a emprunté un billet de banque neuf de 200Fb dont nous avons relevé le numéro et une boucle d'oreille en plastique (le métal voyage mal dans le temps).

    Ces deux preuves physiques se sont désintégrées et brusquement la machine a explosé.

    Lorsque la fumée s'est dissipée le contenu d'un journal sur l'Exposition datant du 20 août 1910 avait changé. Nous l'avions utilisé pour montrer le plan de l'Exposition.

    Il expliquait maintenant que l'Exposition Universelle avait été détruite le 14 août 1910 au soir, par un mystérieux incendie qui avait ravagé le bureau du commissaire général, la section électricité, la section belge la section anglaise, et toute la kermesse. La ménagerie Boskop avait vu tous ces animaux périr, mais heureusement aucune perte humaine n'était à déplorer. Une fois de plus, notre passé s'était modifié. L'Histoire aussi.

    Qu'avions nous fait ?

    Conclusion

    Il restait une petite chose que nous ne pouvions accomplir qu'à la fin de l'expérience. Il se trouvait dans le coffre et parmi les objets reçus, une boîte en fer scellée qui ne devait être ouverte sous aucun prétexte avant la fin de l'expérience sous peine de courir de graves dangers ! Quand l'huissier la descella, il constata que cette boîte contenait le billet emprunté et la perle de plastique, vieillis de près de 90 ans.





     
     


     

    La Nano - cellule solaire

    23/04/2011 08:31



     

    Les scientifiques ont inventé une cellule solaire en plastique appelée « cellule photovoltaïque organique en polymère » qui peut transformer l’énergie du soleil en énergie électrique, même par temps nuageux. Cette nouvelle cellule solaire est une minuscule particule, une nano-structure d’oxyde de titane qui imite la photosynthèse des plantes.

    Cette cellule solaire en polymère a été crée grâce à la nanotechnologie et est capable d’exploiter les rayons invisibles du soleil, comme les rayons infrarouges. Cette révolution d’après les scientifiques pourrait permettre aux cellules solaires en plastique de devenir 5 fois plus efficaces que les cellules solaires actuelles.

    Ces nano-cellules solaires peuvent être introduite dans de la peinture, il est alors possible de les vaporiser sur d’autres matériaux qui ont besoin d’électricité.

    Cela permettrait d’alimenter un téléphone portable ou d’autres appareils sans fil. Une voiture fonctionnant à l’hydrogène peinte avec cette peinture solaire pourrait convertir assez d’énergie solaire en électricité pour recharger ses batteries en continue.Les chercheurs imaginent qu’il serait possible de disposer ces nano-cellules solaires dans le désert et ainsi générer suffisamment d’énergie pour alimenter la planète. Le soleil offre 10.000 fois plus d’énergie que nous consommons.





     
     


     

    e

    21/04/2011 20:04



    http://www.youtube.com/watch?v=Gj3qesTjOE8&



     
     


     

    Japon . La liquéfaction des sols

    21/04/2011 07:42



    Le 25 mars 2011: Accumulation de boue devant le poste de police d'Urayasu, suite à la liquéfaction des sols. (Masanobu Nakatsukasa/AP/SIPA)
    Le 25 mars 2011: Accumulation de boue devant le poste de police d'Urayasu, suite à la liquéfaction des sols. (Masanobu Nakatsukasa/AP/SIPA)
     

    En plus du tsunami, le séisme du 11 mars au Japon a provoqué dans certaines villes un autre phénomène géologique dangereux : la liquéfaction des sols. L'ampleur du phénomène serait inédite. Explications.

    Images spectaculaires de routes qui semblent se détacher du trottoir et glisser, d’eau boueuse qui sourd entre les pavés des trottoirs… Bien que surprenantes, ces images tournées au Japon le 11 mars au moment du séisme montrent un phénomène bien connu des géologues et des sismologues : la liquéfaction des sols.


    La ville d’Urayasu, dans la préfecture de Chiba, frontalière de la métropole de Tokyo, a été la plus touchée par la liquéfaction des sols à cause des très fortes secousses du 11 mars. 85% des sols s’y sont « liquéfiés », selon le journal nippon Yomiuri Shimbun. D’autres villes, elles aussi situées dans la baie de Tokyo, ont subi ce phénomène. Paraissant anecdotiques en comparaison des destructions provoquées par le tsunami plus au nord sur la côte, les dégâts liés à la liquéfaction des sols sont un peu passés inaperçus. Sur internet, la popularité des ces vidéos est cependant grandissante, sans que le phénomène soit forcément explicité.

    D’après les experts japonais interrogés par le Yomiuri Shimbun, la liquéfaction des sols ne s’était jamais produite sur une aussi grande échelle dans l’histoire du pays. C’est également la conclusion d’une équipe de chercheurs américains de l’Université de l’Oregon (OSU) qui a mené un premier bilan sur le terrain et qui a été surprise par l’ampleur et la sévérité du phénomène lors du séisme d’Honshu.

    Le cas de Niigata, en 1964

    C’est pourtant au Japon, avec le tremblement de terre de Niigata en juin 1964, que le phénomène a acquis une plus grande visibilité et que le risque a été intégré dans les normes de construction japonaises. Suite à ce séisme de 7,5, le port a été détruit par un tsunami, tandis qu’en ville, près d’une rivière, de grands immeubles se sont affaissés. Le sol sur lequel ils reposaient ne pouvait plus les porter, à cause de la liquéfaction (cf photo ci-dessous).

    niigata
    Les dégâts de la liquéfaction à Niigata en 1964.

    Lorsque des secousses sismiques fortes affectent un sol sableux, saturé en eau, ce sol peut en effet perdre sa résistance et ne plus pouvoir supporter le poids des bâtiments qui reposent sur lui. Il s’agit de sols d’une faible densité : il y a donc de l’espace entre les particules et tout cet espace est occupé par l’eau. Lorsque la pression de l’eau est faible, les forces de contact qui s’exercent entre les particules sont suffisamment fortes pour tenir les particules en place et donner à l’ensemble une bonne portance.

    Le sol bouillonne

    En revanche, lorsque la pression de l’eau augmente, notamment sous l’effet de secousses sismiques, les particules sont de moins en moins en contact les unes avec les autres, affaiblissant la résistance du sol. Dans certains cas, les particules se réorganisent mais lors d’un séisme le changement est trop brutal, l’élévation de la pression de l’eau trop forte pour que la réorganisation puisse avoir lieu.

    Conséquences : des bâtiments penchent ou s’enfoncent. Parfois on peut voir le sol bouillonner (à cause de la perte de contacts entre particules) et l’eau jaillir. Ce phénomène peut également entraîner des glissements de terrain.

    Un risque élevé dans la baie de Tokyo

    A part à Niigata en 1964, la liquéfaction des sols a été observée de nombreuses fois au Japon, notamment lors du séisme de Kobe, qui fit plus de 5.500 morts. Elle s’est également produite en Alaska, toujours en 1964, lors du grand séisme qui a été suivi d’un tsunami ; ou encore en 1989 à San Francisco, dans le quartier de Marina, construit sur des sols remblayés après le grand séisme de 1906, mélangeant sable et débris… Plus récemment, c’est lors du séisme qui a touché Christchurch, en Nouvelle-Zélande, au début de cette année, que la liquéfaction a laissé des quartiers sous la boue.

    D’après un ingénieur en génie civil d‘une université de Tokyo, interrogé par un reporter du Washington Post, la ville d’Urayasu a été construite après la seconde guerre mondiale sur des terrains remblayés, composés de sables, de cendres volcaniques et de débris. Un sol qui présente un risque de liquéfaction élevé.

    Ampleur inédite

    D’après Scott Ashford (OSU) et ses collègues, l’étendue de la liquéfaction lors du séisme du 11 mars, sur des centaines de kilomètres, est sans commune mesure avec ce qui avait déjà été observé auparavant, y compris au Chili et en Nouvelle-Zélande. Des structures restées intactes se sont enfoncées dans le sol, relèvent les chercheurs. Les réseaux d’eau ou de gaz ont beaucoup souffert. La durée du séisme du 11 mars, 5 longues minutes, pourrait expliquer l’ampleur de la liquéfaction des sols. les sédiments récents, particulièrement les zones remblayées, sont les plus exposées à ce risques, confirment le rapport américain.



    Cécile Dumas
    Sciences et Avenir.com
    18/04/11






     
     


     

    Vasimir . Le Moteur qui prépare la conquète du système solaire

    17/04/2011 17:44



    Schéma d'un moteur Vasimr. Sources : NASA

     

    http://www.youtube.com/v/Lrc-fP_EqF8&rel=0&hl=fr_FR&feature=player_embedded&version=3

    Le moteur Plasma VASIMR, repose sur l’énergie électrique collectée par des panneaux solaires ou produite par un réacteur nucléaire embarqué. Cette électricité est ensuite utilisée pour ioniser un mélange d’hydrogène et d’hélium. Une fois chauffée à très haute température, cette solution va se transformer en plasma. Des champs magnétiques vont ensuite diriger et accélérer le plasma dans les tuyères du moteur VASIMR qui va propulser en continu le vaisseau à très grande vitesse – 198 000 Km/heure soit 55 Km/seconde.

     

    En 1970, Franklin Chang-Diaz, astronaute et physicien des plasmas, développe le concept d’un nouveau type de propulsion basé sur les propriétés des plasmas. Contrairement aux moteurs conventionnels de fusée qui brûlent de la poudre ou des mélanges de carburant liquide, le moteur Vasimr utilise une source électrique – solaire ou nucléaire – pour ioniser de l’hydrogène, de l’hélium ou du deutérium, ainsi portés à l’état de plasma chauffé à de très hautes températures (11 millions de degrés Celsius). Ce plasma est ensuite accéléré par un champ magnétique induit et expulsé dans des tuyères pour créer une propulsion ionique. Ce moteur a la caractéristique d’accélérer en continu. Ainsi, après une première étape de voyage vers une planète, il faudrait inverser la position des turbines afin de décélérer et de permettre au vaisseau d’être capturé par la force gravitationnelle de la planète.

    Chang-Diaz a quitté la NASA en 2005 pour fonder sa propre société, Ad Astra Rocket Company (AARC), afin de développer la technologie Vasimr grâce à des financements mixtes privés et publics. Récemment, ses ingénieurs ont pu développer un prototype d’une puissance de 200 kWatts, le VX-200, testé avec succès en septembre 2009. La NASA s’est déjà montrée intéressée par ce modèle expérimental, et travaille actuellement avec l’AARC sur un modèle de moteur spatial, le VF-200, qui devrait être testé sur la station spatiale ISS en 2014. L’objectif, outre le fait de démontrer l’efficacité de la technologie Vasimr en aérospatiale, serait de donner la poussée nécessaire pour corriger l’orbite de l’ISS et éviter sa lente chute vers la Terre.

    Mais l’objectif de Chang-Diaz va plus loin. Selon l’ancien astronaute, un moteur Vasimr de 200 mégawatts de puissance permettrait d’effectuer le trajet de la Terre à Mars en 39 jours, soit près de 5 fois plus vite qu’un moteur conventionnel d’engin spatial. Mis à part le gain de temps, réduire la durée du trajet permettrait de minimiser le temps d’exposition des astronautes aux radiations spatiales, dont les effets sur l’organisme sont encore mal connus en médecine.





     
     

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