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Des cellules souches du nez qui redonnent la mémoire
25/06/2011 13:12
La greffe de cellules souches nasales a permis à des souris rendues amnésiques de retrouver la mémoire.
La couleur Rouge . Une longueur d' onde cicatrisante . (BM7)
Cellules souches olfactives humaines après migration du liquide céphalo -rachidien dans l'hippocampe lésé de souris. Les cellules humaines fluorescent en vert et les neurones en rouge. On observe qu'une partie des cellules humaines tendent vers le jaune-vert, ce qui signifie qu'elles se sont différenciées en neurones (le bleu marque le noyau des cellules). NICN, CNRS
Quatre équipes de recherche basées à Marseille et Montpellier (en association avec le CNRS) ont mené une étude préclinique originale : elles ont analysé les effets d'une transplantation de cellules souches olfactives humaines dans le cerveau ou le liquide céphalo-rachidien de souris rendues amnésiques. Quatre semaines après la greffe, des tests comportementaux ont montré que les souris transplantées avaient retrouvé leurs capacités à apprendre et à mémoriser l'emplacement d'un objet ou l'association d'une récompense avec une odeur.
Les animaux greffés ont réalisé des scores similaires à ceux observés chez les animaux non lésés tandis que les souris lésées et non greffées demeuraient incapables de réaliser ces tâches d'apprentissage et de mémorisation. Par ailleurs, ces résultats, publiés dans The Journal of Clinical Investigation, ont été confirmés par l'analyse des tissus : les cellules souches nasales humaines se sont implantées dans les zones lésées et se sont différenciées en neurones.
L'utilisation de cellules souches nasales présente de nombreux avantages : elles sont faciles à prélever et à cultiver. De plus, chaque individu peut être son propre donneur, ce qui élimine tout risque de rejet immunitaire tout en garantissant un accès immédiat à ces cellules.
A plus long terme, cette étude pourrait ouvrir la voie à un essai clinique basé sur la greffe de cellules souches nasales chez des patients souffrant d'une amnésie consécutives à un accident ou à une interruption de la circulation cérébrale. D’autres recherches sont également consacrées à l’utilisation des cellules souches nasales. Ainsi, récemment une équipe australienne avait réussi à rétablir l’audition de souris par une greffe similaire.
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SOIGNER AVEC DES BAINS DE COULEURS
25/06/2011 12:49
Des chercheurs ont découvert un moyen d'utiliser la lumière pour activer des gènes individuellement dans les cellules.
Souris sous une lumière bleue pour activer les gènes modifiés. Science/AAAS
Cette nouvelle méthode consiste à adapter la machinerie moléculaire qui permet à l'œil d'être sensible à la lumière sur un système d'expression génétique de la cellule. Elle pourrait servir à produire des quantités précises de protéines utilisées sous forme de médicament ou pour contrôler les dosages de l'activité de gènes ou de thérapies cellulaires.
La mélanopsine est un photopigment présent à la surface de certaines cellules de la rétine qui y déclenche une entrée d'ion calcium en réponse à la lumière bleue. Ces ions entraînent à leur tour une cascade de signalisation qui active un facteur de transcription appelé NFAT. En couplant ces deux processus, une équipe franco-suisse a introduit le gène de la mélanopsine dans des cellules en culture avec un autre gène cible, inséré de manière à pouvoir être activé par NFAT. Dans ces cellules, la lumière bleue activait la mélanopsine, ce qui déclenchait l'expression du gène cible.
En utilisant cette méthode, les auteurs ont réussi à faire produire aux cellules en culture la quantité exacte de protéine désirée, en l'occurrence la glycoprotéine SEAP. Les chercheurs ont aussi fait des expériences en implantant dans des souris de minuscules paquets de cellules conçues pour exprimer soit SEAP soit une autre protéine appelée shGLP1 qui permet de contrôler la glycémie.
Les cellules exprimant SEAP ont été injectées dans l'abdomen de souris avec une fibre optique donnant une lumière bleue tandis que les cellules exprimant shGLP-1 insérées sous la peau étaient éclairées par une lumière bleue proche.
Les chercheurs annoncent que l'éclairage répété des souris avec la lumière bleue pendant 48h a fait augmenter les taux d'expression des deux gènes.
En un mot les scientifiques viennent de redecouvrir , les vertus de ce que certains appellent la Chromotherapie . Chaque couleurs se composent en fait d' une vibration qui associé à la lumière favoriserait certains stimulis au niveau cellulaires et hormonales .
Certaines couleurs peuvent activer la fabrication d’hormones suffisante à l’harmonie du corps humain.
Voir les trois liens suivants pour mieux comprendre .
Luminothérapie - Wikipédia
Chromothérapie, symbolique des couleurs
La couleur Rouge . Une longueur d' onde cicatrisante . (BM7)

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Mondes parallèles et villes Fantômes en Chine
24/06/2011 10:52

22 Juillet 2010 , le mirage de la ville de Jingxian .
http://youtu.be/WwLhXmnbtTM
Mondes Parallèles . La terre possèderait ses doubles (BM7)
Après de fortes pécipitations , un étrange phénomène se serait produit dans la province de l' Anhui . Là en plein milieu de la rivière Xin ' an serait apparu une ville complète , surgis de nulle part .
Est - ce la réemission d' une ville chinoise qui existe ailleurs dans le pays ou est - ce la manifestation d' une réalité alterné provenant d' une quatrième dimension qui nous restitue de temps à autre des images de mondes parallèles .
Mais si c' est un Fake , c' est très réussi !
Ville fantôme, mirage ou dimension alternative ?
Ce 15 Juin au crépuscule, un incroyable « mirage » est apparu dans la province de l'Anhui, sur la rivière Xin'an . Au-dessus des brumes, on a pu voir planer l’image d'une ville, avec d’immenses gratte-ciels, des rues larges, des voitures et même des personnes.
La ville de Penglai avait été trempée par deux jours de pluie avant que ce phénomène étrange ne se produise. Le phénomène a commencé à environ 17h00, heure locale, attirant un grand nombre de personnes.
En 2011, la Chine a été le théâtre de plusieurs phénomènes du même type. C’est ainsi que le 9 mai à Haikou un mirage similaire est apparu dans la baie de la ville durant plus d’'une heure : une ville fantôme planait au-dessus de la mer.
En 2010, à Sanya, de nombreux témoins ont également pu observer une ville mirage…
Si certains avancent l’hypothèse d’une Fata Morgana, phénomène optique résultant d’une combinaison de plusieurs mirages,si d’autres hypothèses ont émergé (réalité augmentée, expérience gouvernementale holographique), ces phénomènes restent en grande partie inexpliquée
Ci - dessous ville fantôme planant sur l ' eau .
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Spintronique . L' art de la miniaturisation
23/06/2011 11:28

Actualité > Une première en spintronique : un signal transféré par ...
Ci dessous , vous trouverez sur les deux liens une vidéo conference sur la spintronique présenté par Albert Fert membre de l’Académie des sciences, et prix Nobel de physique 2007
http://www.dailymotion.com/video/x4jpmp_la-spintronique-des-spins-dans-nos_tech
Canal-U - Le monde de la spintronique, électrons, spins ...
Découverte en 1988, la spintronique, ou spin des électrons, permet aux disques durs des ordinateurs de stocker plus d’informations tout en démultipliant leur rapidité de lecture. Cette technologie a permis la mise sur le marché des ordinateurs portables, des clés mp3 et des téléphones mobiles dernier cri. Albert Fert, membre de l’Académie des sciences, développe dans cette séance, les applications de cette technologie, qui lui ont valu avec Peter Grünberg, le prix Nobel de physique 2007.
NEC et l'Université du Tohoku ont annoncé avoir développé la première mémoire adressable par contenu (CAM) ne nécessitant pas d'électricité pour enregistrer des données , ce qui ouvre une porte importante vers la suppression totale du gaspillage d'électricité de nombreux appareils.
De nombreux appareils actuels reçoivent, en étant simplement branchés au circuit électrique, un flux désigne en général un ensemble d'éléments (informations / données, énergie, matière, ...) évoluant dans un sens commun....) constant d'électricité pour conserver des données ou des paramétrages. L'électricité utilisée par cette activité est estimée à environ 6% de l'électricité totale consommée dans les foyers. La mémoire développée par le professeur Ohno de l'Université de Tohoku et NEC est une mémoire adressable par contenu c'est-à-dire que, contrairement aux mémoires de types RAM, son contenu n'est pas accessible par une adresse C'est une mémoire extrêmement rapide.
La non-volatilité (la capacité à ne pas perdre d'information sans apport d'électricité) est directement due au système physique d'enregistrement des informations. En effet, la mémoire utilise ce qu'on appelle la spintronique: les spins des électrons sont capables de se comporter comme des petits aimants et, selon leur orientation . Ce type de mémoire pourrait être utilisé dans de nombreux appareils électroniques, notamment pour développer des appareils démarrant instantanément et ne consommant aucune eléctricité en veille.
Du nouveau en spintronique, la discipline initiée par Albert Fert, Prix Nobel 2007 de Physique : à Grenoble des chercheurs du CNRS et de l'Université Joseph Fourier, de l'Institut Néel (CNRS) ont réussi pour la première fois à faire passer une molécule unique de fullerène(1) (C60) d'un état magnétique à un état non magnétique par l'application d'une tension électrique. Ces résultats, publiés le 29 mai 2008 sur le site de la revue Nature, pourraient permettre de concevoir une mémoire pour l'information quantique(2) et donner des capacités démultipliées (notamment aux disques durs) dans la course à la miniaturisation.
La spintronique(3), vise à réaliser une électronique utilisant les propriétés magnétiques des électrons. Ceux-ci se comportent comme de petits aimants élémentaires qui se déplacent selon un mouvement de rotation, comme une toupie autour d’un axe définissant ainsi leur spin(4). Les électrons peuvent par conséquent transporter de l’information par l’intermédiaire de leur orientation. Mais lors de leur déplacement, comme ils ne conservent l’orientation de leur spin que sur des distances très courtes, les composants utilisés pour la spintronique doivent être structurés à l’échelle nanométrique (de l’ordre du milliardième de mètre).
Ici, les physiciens ont réalisé un transistor(5) en insérant une molécule unique de fullerène entre deux électrodes de taille nanométrique. Deux électrons sont ensuite apportés à cette molécule. En fonction du champ électrique appliqué, les directions des aimants portés par ces électrons sont soit tête bêche (la molécule n’est alors pas magnétique), soit orientés dans la même direction (la molécule de fullerène devient alors magnétique).
Ce travail ouvre la voie à un nouveau domaine de recherche : la spintronique moléculaire, un domaine émergent et novateur combinant la spintronique à l’électronique moléculaire. Il pourrait permettre de réaliser une mémoire pour l’information quantique grâce à l’introduction d’un atome magnétique dans la molécule de fullerène, la lecture et l’écriture de la mémoire se faisant par exemple à l’aide des électrodes du transistor.
© Institut Néel, CNRS, UJF, N. Roch (cette image est disponible auprès de la photothèque du CNRS, phototheque@cnrs-bellevue.fr).
Photographie du transistor moléculaire
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La technique Hémisync pour le voyage astral
22/06/2011 13:44


Les ondes cérébrales
Dans les différentes zones du cerveau, l'influx nerveux fonctionne en relative cohérence et de façon rythmique : les neurones s'activent ensemble (plus ou moins), comme une pulsation, puis se calment, puis s'activent de nouveau. Grâce à de petites électrodes placées sur le cuir chevelu et reliées à un appareil appelé électroencéphalographe (EEG, inventé en 1929), le rythme de ces pulsations peut se traduire en forme d’ondes.
L'intensité de l'activité cérébrale se manifeste par la fréquence de ces ondes. On les calcule en hertz (Hz) - un hertz égalant une ondulation par seconde. Si le graphique enregistré par l'EEG est plat, c'est qu'il n'y a pas d'activité cérébrale. Quant aux ondes générées par un cerveau actif, on les divise en 4 ou 5 fourchettes, dont les appellations viennent du grec ancien :
- Ondes delta : de 0,5 à 4 Hz, celles du sommeil profond, sans rêves.
- Ondes thêta : de 4 à 7 Hz, celles de la relaxation profonde, en plein éveil, atteinte notamment par les méditants expérimentés.
- Ondes alpha : de 8 à 13 Hz, celles de la relaxation légère et de l'éveil calme.
- Ondes bêta : 14 Hz et plus, celles des activités courantes. Étrangement, les ondes cérébrales passent au bêta pendant les courtes périodes de sommeil avec rêve (sommeil paradoxal), comme si les activités du rêve étaient des activités « courantes ».
- Il arrive aussi qu'on parle d'ondes gamma qui se situeraient au-dessus de 30 ou 35 Hz et qui témoigneraient d'une grande activité cérébrale, comme pendant les processus créatifs ou de résolutions de problèmes. (Ne pas confondre avec les rayons gamma, émis par le noyau des atomes.)
Mentionnons par ailleurs que le cerveau est divisé en deux hémisphères, puis en plusieurs aires, chacune ayant une fonction importante : aires du langage, de la sensibilité corporelle, de l'émotion, etc. En ce qui concerne les hémisphères, on sait qu'ils fonctionnent le plus souvent dans une relative indépendance, et que le gauche, généralement dominant, est le siège de la logique et du rationnel, tandis que le droit est celui de la créativité.
La fréquence des ondes cérébrales varie donc selon le type d'activités dans lequel on est engagé, mais les individus non entraînés ont relativement peu de contrôle sur celles-ci. Trop de stress, par exemple, et le système nerveux n'accepte pas de se détendre : les ondes cérébrales continuent alors de se maintenir dans la fourchette bêta et il est impossible de trouver le sommeil...
D'autre part, on avance que les meilleures ressources mentales pour la créativité et la résolution de problèmes se situeraient dans la fourchette des ondes thêta, auxquelles, malheureusement, on n'accède pas facilement.
Quand le cerveau prend le rythme
Plusieurs phénomènes extérieurs peuvent influencer le rythme des ondes cérébrales. La science a découvert que c'est généralement un effet de résonance qui est en cause, comme lorsqu’une note jouée au piano fait vibrer à l'unisson une corde de guitare. Le battement régulier des tambours de même que le chant grégorien ou des activités physiques rythmées comme la marche procurent, à la longue, cet effet. Désormais, la technologie moderne permet d'atteindre ces résultats en un rien de temps.
En effet, certains types de pulsations sonores émises directement dans les oreilles peuvent induire, accélérer ou ralentir la fréquence des ondes en fonction du résultat recherché. Pour améliorer la qualité de détente et favoriser le sommeil, par exemple, on « invite » le cerveau à ralentir le rythme de ses ondes, qui pourraient graduellement passer de 14 à 4 Hz. On peut aussi améliorer la cohérence de l'influx nerveux des neurones, ce qui se traduit sur l'EEG par des ondes d’une plus grande amplitude.
Toutes sortes de compagnies produisent des disques de musique jouant sur ce principe de résonance, généralement avec des fréquences de 3 à 8 Hz, pour favoriser l'apprentissage et surtout la détente. On y combine parfois des injonctions parlées capables d'induction hypnotique — pour arrêter de fumer, par exemple. Une compagnie a même donné le nom « d'audiocaments » (marque déposée) à des produits de ce genre1.
S'agit-il de messages subliminaux? En principe, non. D'ailleurs, les entreprises inscrivent généralement une note sur leurs produits pour déclarer que ceux-ci ne contiennent aucun message subliminal pouvant représenter un viol psychologique. Certaines personnes s'inquiètent quand même2.
Une technologie au service des deux hémisphères
Modifier le rythme des ondes cérébrales, c'est une chose, mais faire adopter le même rythme par les 2 hémisphères du cerveau, c'est un pas de plus, semble-t-il. La théorie veut que plus les hémisphères fonctionnent au même rythme, plus grand est le bien-être. On croit même qu’un fonctionnement « intégré » des 2 hémisphères favorise de meilleures performances mentales et intellectuelles, puisque la logique (cerveau gauche) et la créativité (cerveau droit) agissent alors en synergie.
Un moyen d'y arriver a été découvert en 1973 par le Dr Gerald Oster, à l'École de médecine du Mont Sinaï, à New York : cela s'appelle les « battements binauraux » (qui concernent les deux oreilles). Lorsque, avec des écouteurs, on fait entendre une fréquence différente à chaque oreille, le cerveau adopte le rythme de la différence entre les 2 fréquences : si l'oreille gauche reçoit une fréquence de 210 Hz et la droite, de 200 Hz, les neurones des 2 hémisphères du cerveau adopteront une activité de 10 Hz, la fréquence différentielle. On appelle ce mécanisme la « réponse d'adoption de la fréquence ».
Apparemment, on ne peut pas jouer ainsi avec n'importe quelles fréquences, mais les chercheurs de l'Institut Monroe3, l'entreprise la plus active dans le domaine de la technologie de la synchronisation cérébrale, disent avoir découvert une cinquantaine de combinaisons dont les effets sur le cerveau seraient particulièrement bénéfiques. Robert Monroe, aujourd'hui décédé, a fait breveter ce procédé en 1975 et a conçu une série d'outils connus sous le nom de Hemi-Sync. Les plus simples sont des enregistrements sonores dans lesquels les signaux hertziens sont camouflés sous divers sons plus ou moins musicaux. On retrouve également des appareils plus complexes combinant ondes sonores et impulsions visuelles.
Pour faciliter le sommeil, par exemple, la fréquence différentielle des battements binauraux évolue lentement de 8 Hz à 2 Hz, favorisant donc le passage, en 40 minutes, d'un état de relaxation léger (8 Hz) à un état de transe profonde (2 Hz).
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