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Les armes scalaires . Voir à travers les objets
19/07/2011 08:12

http://youtu.be/ma4sG1Yf0-M
http://youtu.be/SHGA4IqNrLw
[PDF] les ondes scalaires
La masse d’un objet résulte d’une énergie du vide faisant pression sur l’atome. Une partie de cette énergie du vide nommée « ondes stationnaires » est, par reflet, renvoyée en partie par l’atome tandis que la partie absorbée par l’atome crée sa masse.
Si, par une technologie, l’on parvient à modifier cet équilibre, on modifie directement la masse de l’atome. On ouvre ainsi la voie à l’antigravitation, l’atome tombe alors vers le haut. On peut également, par voie de conséquence, augmenter sa masse, créant ce que l’on pourrait nommer une « surgravitation ».
Les ondes nommées ici ondes électromagnétiques scalaires peuvent donc, à gré, soit augmenter, soit diminuer la masse d’un objet. L’émetteur de ces ondes agit donc soit comme un émetteur d’énergie soit comme un extracteur d’énergie. Selon cette théorie, il existerait une empreinte ou modèle scalaire spécifique à chaque objet (courbures spatiales, fréquences, résonance, débit d’écoulement du temps)
Du point de vue scalaire, chaque objet a son « modèle scalaire » individuel lequel est une empreinte digitale et une empreinte spatio-temporelle unique. Si ce modèle est connu avec précision, il peut être « irradié » et mis en résonance par des ondes scalaires. On peut ainsi, à distance, générer de l’énergie à l’intérieur de l’objet ciblé ou en extraire, tout comme un diapason stimulé peut en exciter un autre à distance par résonance sympathique. Cependant, par ce processus, les effets sur l’objet ne traversent pas l’espace, ils émergent dans la masse de l’objet par syntonie non spatiale (phénomène non local de l’espace quantique du vide). L’espace est ainsi aboli.
Le « grand oeil » de Tesla pour la vision à distance
Nikola Tesla a conçu une utilisation très spéciale pour son interféromètre scalaire endothermique, il l’a conçue pour produire son « grand œil pour voir à distance ». Le système utilisé pour réaliser cela est juste légèrement endothermique, de manière que seule une petite quantité d’énergie est extraite de la cible distante, au fur et à mesure un receveur ouvert « scanne » les rayons, temporellement, d’un côté à l’autre et de haut en bas. En scannant un autre rayon traversant la zone d’intersection, ayant des pulsations en phases, une représentation encore meilleure peut être obtenue. Finalement le receveur génère une représentation de l’énergie qui a été extraite de différents endroits de la zone endothermique distante, en affichant les signaux reçus sur un écran de scanner approprié, une représentation de la scène distante peut être créée. C’est un genre particulier « d’interféromètre micro-ondes », et - avec les techniques modernes - les images obtenues peuvent être étonnamment bonnes. Avec le développement, cela pourrait même devenir aussi bon que les images obtenues par les radars d’acquisitions en vue de côté. Il est assez intéressant de noter que, puisque les rayons scalaires pénètreront assez facilement sous la surface de la terre et des océans, on peut aussi regarder sous la surface de la terre et des océans avec ce type de scanner par interférométrie scalaire.
L’importance de cette capacité de reconnaissance stratégique et tactique est évidente. Camouflage, couverture et dissimulation n’ont plus aucun effet face à un tel système. On peut facilement observer l’intérieur des bâtiments et dans les équipements souterrains. Avec un petit système comme celui-là, les fusiliers marins américains à Khe Sahn n’auraient pas eu de grandes difficultés à situer les tunnels qui étaient creusés en permanence sous le périmètre par le Viet Cong, et les cibles sous les cahutes de la jungle sont directement visibles.
Il est aisé d’imaginer que ce système est facilement adaptable à l’utilisation sous-marine. Un type de radar « sous-marin ». Avec un tel dispositif, le problème posé par les sous-marins nucléaires en plongée est résolu. Par exemple, une zone entière peut être continuellement fouillée, exactement comme des systèmes de radars d’acquisitions le font maintenant. Un sous-marin peut être détecté et suivi à la trace alors qu’aucun de ses détecteurs ordinaires ne détectera quelque chose de particulier. En utilisant une paire séparée de rayons dans le mode exothermique, de puissantes pulsations scalaires peuvent être envoyées au sous-marin, s’inter-croisant au niveau du sous-marin dans un violent effet EMP partout dans le sous-marin et son armement. Ainsi le sous-marin et tous ses missiles sont détruits instantanément.
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Benoit XVI . Avant dernier Pape avant l' Apocalypse
19/07/2011 07:13

Voir lien ci - dessus . Vous y trouverez la liste des devises Papales prédites par Saint Malachie.
Simon, fils de Jonas, aussi appelé Kepha (en araméen) ou Simon-Pierre, est un disciple de Jésus de Nazareth. Né au début de l'ère chrétienne en Galilée et mort vers 65 à Rome selon la tradition, il est membre du groupe des Apôtres, parmi lesquels il semble avoir tenu une position privilégiée. Il est considéré comme saint par les Églises catholiques et orthodoxes, sous le nom de saint Pierre.
Dans la tradition du catholicisme romain , il est le premier évèque de Rome et fonde ainsi la primauté pontificale .
Donc pour mettre un terme à l' hégémonie de l' église romaine qui n' a pas sû accomplir sa mission comme elle le devait , le créateur des mondes chargera l' Anté - Christ d' une mission particulière . Revenir aux vrai sources du Christianisme en détruisant le siège de l' Eglise Romaine qui s' en était éloigner en falsifiant des ordres divins .
- Dans le premier Testament " , il était bien stipulé :
- " Tu ne mangeras pas de Porc " .
Et comme par enchantement , cette interdiction sera levé dans le nouveau Testament ???
Et ce n' est par hasard si on nous apprend que le dernier Pape avant l' Apocalypse sera Pierre le Romain . C' est une manière de faire revenir celui " Saint Pierre " qui fonda la souveraineté Pontificale .
La prophétie de saint Malachie annonce la fin du monde ? après le reigne du 111ème pape…Benoît XVI !!!
La prophétie de Saint-Malachie ou prophétie des papes est un texte mystérieux, qu’une tradition populaire attribue à saint Malachie, et qui aurait été découvert vers 1590. Ce document de 5 pages a été publié pour la première fois en 1595, dans un ouvrage d’un moine bénédictin de Venise, Arnold de Wyon.
Ce texte ésotérique n’est pas pris au sérieux par la plupart des chercheurs et n’est pas utilisé dans l’Église. Cependant il refait surface dans les médias lors de chaque conclave.

C’est une liste en latin qui énumère 111 devises, attribuées aux papes successeurs de Célestin II (1143-1144) et prétendant annoncer la fin du monde, celle-ci arrivant avec le dernier pape annoncé. Pour chaque pape, une devise latine est donnée qui a suscité des interprétations prophétiques. Le problème de la prise en compte ou non des antipapes se pose différemment suivant la date à laquelle ce document aurait été rédigé. L’énumération des devises se termine par un texte :
« In psecutione. extrema S.R.E. sedebit. / Petrus Romanus, qui pascet oues in multis tribulationibus : / quibus transactis ciuitas septicollis diruetur,/ & Iudex tremendus iudicabit populum suum. Finis.»
Dans les éditions ultérieures notamment celle de Messinghan de 1624, « psecutione extrema » est remplacé par le plus éloquent « persecutione extrema. » Mais les spécialistes de la langue latine admettent que lorsque la lettre « p » est accompagnée d’un signe « s » elle peut tout autant signifier l’abréviation du préfixe pro- ou per-.
C’est pourquoi des exégètes modernes estiment que le mot psecutione ne doit pas être lu comme persecutione mais comme prosecutione (« dans la suite des temps… »), ce qui fait considérer à certains commentateurs que si Pierre le Romain doit être un successeur de Benoît XVI et être le dernier pape, il ne serait pas son successeur immédiat : d’autres papes pourraient s’intercaler entre ces deux pontifes.

L’interprétation en est controversée : faudrait-il y voir l’annonce du dernier pape « Pierre le Romain », durant le règne duquel Rome et la chrétienté seraient détruites, ou l’annonce d’un nouveau prophète ?
La fonction de prophétie s’attacherait évidemment aux papes postérieurs à 1595 dont la devise correspondrait plus ou moins à un caractère de leur pontificat ou de leur vie. La 78e devise, qui correspondrait au pape Léon XI élu en 1605, entame donc la partie prophétique du document. Le 110e pape de la liste correspondrait au pape Jean-Paul II et la devise correspondante est « De Labore Solis » (de l’éclipse du soleil, cf. Virgile, Géorgiques, 1, 478) tandis que la 111e devise est celle qui correspondont à son successeur Benoît XVI est « Gloria olivae » (la gloire de l’olivier/l’olive). Il s’agit de la dernière devise avant celle de Petrus Romanus qui clôt la liste.
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112. Petrus Romanus (Pierre le Romain). Cette dernière prophétie apparaît pour la fois dans l’édition princeps d’ du de 1595. Dans cette édition, elle est rédigée ainsi : fois dans l’édition princeps d’ du de 1595. Dans cette édition, elle est rédigée ainsi :
In psecutione. extrema S.R.E. sedebit. / Petrus Romanus, qui pascet oues in multis tribulationibus : / quibus transactis ciuitas septicollis diruetur,/ & Iudex tremendus iudicabit populum suum. Finis.
Traduction : « Dans la dernière persécution de l’Église Chrétienne siégera Pierre le Romain qui fera paître ses brebis à travers de nombreuses tribulations. Celles-ci terminées, la cité aux sept collines sera détruite, et un Juge redoutable jugera son peuple !!! ».

Le compte à rebours est commencé! Vous avez probablement dû voir cette prophétie dernièrement dans les différents journaux avec la nomination du Pape. Et selon celle-ci, il n’en reste plus qu’un dernier après le règne de Benoît XVI, alors l’Église Catholique Romaine ne sera plus.
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Poisson . Naissance d' une certaine intelligence
18/07/2011 22:45
les photographies inédites de Scott Gardner sur Maxisciences.
Un plongeur professionnel est parvenu à capturer des images inédites d’un poisson se servant d’un rocher pour ouvrir une palourde, et ainsi parvenir à manger ce qu’il y avait à l’intérieur. Certains scientifiques y voient là une preuve que les poissons peuvent eux aussi se servir d’outils au quotidien.
Scott Gardner, plongeur professionnel, explorait la Grande Barrière de Corail au large de la côte nord-est de l’Australie, quand un bruit de cognement a retenu son attention. Curieux, il décide alors de s’enfoncer encore plus vers le fond de l’océan pour savoir de quoi il s’agissait. Sous ses yeux ébahis, un poisson de la famille des Labridés (Choerodon schoenleinii) tenait une palourde dans sa bouche et était en train de la frapper contre un rocher pour pouvoir extraire ce qu’elle contenait de comestible. Chose que le poisson a réussi à faire avec de la persévérance : le coquillage a fini par céder et il a pu se régaler.
Pour le plus grand bonheur des scientifiques, Scott Gardner est parvenu à faire plusieurs photographies de cette scène étonnante et surtout inédite, publiées dans la revue Coral Reefs. Jamais aucune image sous-marine n’avait fait apparaître un tel comportement chez les poissons. L’expert en écologie du comportement Culum Brown, de l'Université Macquarie de Sydney, a confié à Science Now : "Les photographies fournissent une preuve fantastique que ces poissons intelligents utilisent des outils pour accéder à des proies dont ils ne pourraient pas se nourrir autrement". Il ajoute : "Il est clair que ce poisson là exerce cette activité régulièrement au vu des coquillages en morceaux dispersés" sur le site. La précision du cognement est également frappante pour ce chercheur.
Les poissons, capables d’utiliser des "outils" ?
L’utilisation d’outils a longtemps été considérée comme propre à l’homme, doué d’intelligence. Mais il a été démontré qu’un nombre croissant d’animaux (chimpanzés, éléphants, oiseaux...) étaient capables d’en faire de même à l’aide d'objets divers. Cependant, les poissons, eux, n’avaient jamais fait parler d’eux dans ce domaine auparavant. En tout cas, pas avec de telles photographies à l'appui. Et si Culum Brown parle aisément d'"outil" dans ce cas précis, tous les scientifiques ne sont pas forcément de son avis.
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La Chitine . Des ondes scalaires pour creuser des tunnels
17/07/2011 20:04

Comme je le disais dans les précedent sujets , un chercheur russe autodidacte
" Grebennikov " aurait découvert bien malgre lui , le mystère de l' Antigravitation .
Tout avait commencé un jour d' été 1988 , alors qu' il manipulait deux enveloppes de chitine
prélevées au bas du logement de l'aile d'un « gros » insecte sibérien, dont l'identité est gardée secrète ,
Grebennikov aurait remarqué qu' en empilant deux morceaux , l' un des deux se mettait à
léviter .
Les enveloppes de chitine observées - caractérisées par l'auteur de microstructures spongieuses,
extrêmement bien ordonnées et tridimensionnelles aux formes étoilées – semblent donc avoir opposé
une force répulsive, générant un phénomène naturel d'antigravité. En liant solidement entre-elles
plusieurs couches de cette mystérieuse chitine, Grebennikov dit obtenir un agglomérat capable, non
seulement de faire léviter une punaise, mais en plus de la rendre quelques instants invisible.
Grâce à ces étonnantes observations, il explique avoir mis au point une plateforme volante capable
d'atteindre une altitude maximale de 300 mètres et de se déplacer à une vitesse moyenne de
25km/min. Le dispositif est décrit comme invisible, sans ombre projetée et silencieux, ne provocant
presque pas de friction d'air. Il est mut par la génération d'un champ qui est supposé l'englober. Celui-ci
est qualifié de « colonne invisible s’évasant vers le haut et qui annule l’attraction de la gravité
terrestre ».
Bien qu' elle vole dans les airs la plateforme antigravitationnel de Grebennikov possèderait
d' autres caractèristiques tel que l' invisibilité et le creusement de puits .
A se sujet , à l'occasion d'une chute libre accidentelle, la plateforme ne se serait pas écrasée au
sol.
Elle se serait contentée de creuser un puits profond dans la terre ; d’abord à la verticale puis à
l’horizontale. La particularité du tunnel ainsi créé est qu'il ne présente pas de déblais à l'entrée.
Grebennikov explique ainsi l'observation de trous similaires le 24 Octobre 1989 dans les champs du
district de Khvorostyansk dans la région de Samara. Ce fait divers est rapporté par le journal
Komsomol'skaya Pravda du 6 décembre 1989.
Donc les ondes de formes géneré par les motifs géométriques de la Chitine favoriserait
la création d' ondes scalaires qui contracterait le tissu spatio - temporelle en fabriquant de
l' energie antigravitationnel .
C' est cette energie qui permettrait de creuser des puits dans la terre sans laisser de
déblais . Cette science pourrait être assez efficace pour le creusement de tunnel dans les
montagnes . Mais l' appareillage devra être breaucoup plus grand .

- Lors de ses vols, Grebennikov affirme avoir observé un fonctionnement anormal de sa montre. Ce qui lui fait dire que l’appareil ne voyage peut-être pas uniquement dans l’espace. Il appuie ses dires en expliquant qu'il n'est jamais parvenu à ramener de ses escapades un seul insecte. Soit le tube à essai dans lequel il les capturait s'écrasait, soit il était troué, soit l'insecte était redevenu chrysalide.
- Les trous relevés sur les tubes à essai, de 3 à 5mm, ressembleraient à ceux présents dans les vitres d'habitations sibériennes. Les bords de ces trous semblent avoir fondus et sont colorés de brun. L'explication avancée officiellement fait référence à des microplasmoïdes à vie courte. Grebennikov affirme quant à lui qu'il s'agit là de petits grains tombés par inadvertance de machines volantes similaires à la sienne.
- En outre, Grebennikov ajoute que les ruptures temporelles engendrées par son système peuvent provoquer un effet « poltergeist ».
[...] avec des mouvements inexpliqués d’objets domestiques, des commutateurs d’appareils électriques qui s’allument et s’éteignent et même mettent le feu.
''Viktor Stepanovich Grebennikov, « Mon monde », chapitre cinq « Vol »''
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Adenovirus . Des singes contaminent des humains
17/07/2011 18:08

Ce virus serait responsable de la mort de 19 singes et aurait affecté deux humains dans un centre de recherche sur les primates en Californie.
Saut d’espèce surprenant
Pour la première fois, un virus à ADN qui se propage dans une colonie de singes du Nouveau Monde Titi, Callicebu Cupreus, a également infecté deux humains : un chercheur et un membre de sa famille. C’est le seul exemple documenté d’un adénovirus ayant franchi la barrière d’espèce et qui reste contagieux après.
Les adénovirus sont connus pour causer un large éventail de maladies cliniques chez les humains, du simple « coup de froid » à la pneumonie. Contrairement à la grippe (myxovirus) ou aux coronavirus, les adénovirus qui sont composés d’une capside et d’ADN, ne sont pas connus pour être capables de sauter d’une espèce à l’autre. « Maintenant, les adénovirus peuvent être ajoutés à la liste des agents pathogènes qui ont la capacité de traverser les espèces », a déclaré Charles Chiu, directeur du centre de diagnostic viral de l’Université de Californie.
Le virus, que les chercheurs ont nommé adénovirus du singe Titi (TMAdV), a été responsable d’une épidémie chez des singes titi du California National Primate Research Center (CNPRC) en 2009. Durant cette épidémie, un chercheur qui soignait les singes a contracté une infection respiratoire fébrile ainsi qu’un des membres de sa famille qui n’était pas en contact avec les animaux. Les analyses ont confirmé que le virus était le même chez les singes et les humains, et qu’il est très inhabituel dans les deux populations. Les résultats sont publiés dans la revue PLoS Pathogens.
Une origine encore inconnue
« Il s'agit clairement d'une nouvelle espèce d'adénovirus et il est assez différent de tout ce que nous avons vu précédemment », a déclaré Charles Chiu. «Étant donné le taux de mortalité anormalement élevé de TMAdV chez les singes titi, ils ne sont pas susceptibles d'être l'espèce hôte native pour ce virus. Nous ne savons toujours pas quelle espèce est l'hôte naturel. » Il ne s’agit pas non plus du chercheur, car le virus est également inconnu chez l’Homme.
En testant d'autres singes au centre des primates, l'équipe a trouvé un singe rhésus avec des anticorps à TMAdV, ce qui indiquerait que le virus provient des singes de l’Ancien Monde (originaires d’Asie et d’Afrique), et qu’il s’est propagé chez les singes du Nouveau Monde dépourvus d’anticorps dirigés contre lui. Les chercheurs sont en train de mener des tests sur des singes sauvages au Brésil afin de savoir si ces animaux (ainsi que les populations voisines) ont déjà été en contact avec TMAdV.
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