|
[ Actualité ] [ therapie medicale ] [ Science ] [ OVNI ] [ Manipulation ] [ Paranormal ] [ Nanotechnologie ] [ Science Antiquité ] [ Robotiques ] [ Puces RFID ] [ Voyage dans le temp ] [ Religion ]
|
|
|
|
La Chitine . Antigravitation et invisibilité
16/07/2011 16:16

 
Chitine - Wikipédia
la chitine est l' exosquelette des insectes . Sa forme generait d' etranges ondes scalaires .
criticalbelievers.proboards.com/index.cgi?boa...
Comme je l' expliquais dans le précédent sujet , suite à une observation détaillé de certains insectes un chercheur autodidacte russe " Grebennikov " mettra au point un dispositif calqué sur la disposition de la chitine des insectes .
Il obtiendra une antigravitation prononcé . Mais les effets ne s' arreteraient pas qu' à cette lévitation . Un phénomène d' invisibilité envelopperait tous les objets soumis au champs de la chitine .
Autre point la Chitine emettrait des ondes scalaires qui pourraient favoriser l' ouverture de veritable trou de ver menant vers d' autre dimensions .

C’est en 1988 qu’il a découvert les effets antigravitationnels de l’enveloppe de chitine de certains insectes. Mais le phénomène le plus impressionnant découvert à cette occasion a été celui de l’invisibilité complète ou partielle ou la perception déformée des objets matériels entrant dans la zone de gravité compensée. En se basant sur cette découverte, l’auteur a utilisé des principes bioniques pour concevoir et fabriquer une plateforme antigravitationnelle destinée à des vols dirigés à la vitesse de 25 km/min. Depuis les années 1991, 1992, il a utilisé cet appareil pour des déplacements rapides.
Voilà comment Grebennikov fit sa découverte .
Au cours de l’été 1988, alors que j’étais en train d’examiner au microscope les enveloppes de chitine d’insectes avec leurs antennes en forme de plumes et la plus fine structure d’ailes de papillons. Mon intérêt se porta sur une microstructure au rythme surprenant d’un détail de gros insecte.
C’était une composition extrêmement bien ordonnée, comme si elle avait été imprimée sur une machine complexe selon des calculs et des plans détaillés spéciaux. Comme je le voyais, la structure spongieuse compliquée n’était manifestement pas nécessaire que ce soit pour la résistance du détail ou sa décoration. Je n’avais jamais observé quoi que ce soit dans la nature, dans la technologie ou dans l’art, qui ressemble à cet ornement microscopique.. Cette structure étant tridimensionnelle, je n’ai pas pu, jusqu’ici, la saisir ni en dessin, ni en photo.
Pourquoi un insecte a besoin de ça ? De plus, à part au moment du vol cette structure au bas du logement de l’aile n’est jamais visible. Etait-ce peut-être la balise d’onde avec « mon » effet de structures à cavité multiples ? Cet été où j’ai eu vraiment de la chance (je n’ai pas pu observer ces insectes, ni auparavant, ni plus tard), il y avait beaucoup d’insectes de cette espèce que je capturais la nuit.
J’ai placé le petit morceau de chitine concave sur la lame du microscope pour pouvoir encore examiner ses cellules aux étranges formes étoilées sous un grossissement supérieur. J’ai à nouveau admiré ce chef d’oeuvre de la nature. J’allais placer sur le premier morceau et à l’envers (sans y avoir vraiment réfléchi) un second morceau possédant la même structure cellulaire étrange. Et alors là ! Le petit morceau s’est dégagé de mes brucelles et est resté suspendu au dessus de l’autre morceau sur la lame du microscope pendant quelques secondes, puis il a fait une rotation vers la droite de quelques degrés, a glissé à droite, a tourné ensuite dans le sens antihoraire, s’est balancé et c’est seulement à ce moment là qu’il est tombé d’un seul coup sur le bureau.
Imaginez un peu ce que j’ai ressenti à ce moment-là ! Quand j’ai repris mes esprits, j’ai lié quelques parties ensemble avec un fil – chose pas facile à faire et que je n’ai pu réussir qu’en les mettant en position verticale. J’obtins alors un bloc de chitine à plusieurs couches et je le plaçai sur le bureau. Même un objet relativement plus gros comme une punaise ne pouvait pas tomber dessus. Quelque chose l’a poussé vers le haut et de côté. C’est quand j’ai fixé la punaise sur le dessus du bloc, observant, des choses tellement impossibles et incroyables (la punaise devenant pendant quelques instants invisible) que j’ai réalisé que ce n’était pas une balise, mais quelque chose d’entièrement différent. Je devins encore plus excité lorsque tous les objets autour de moi devinrent flous et tremblants. Je fis en sorte de reprendre mes esprits, avec grand effort, en deux heures et je continuais à travailler. C’est ainsi que tout a commencé.
Certes, il reste encore beaucoup de choses à comprendre, vérifier, tester. Je parlerai certainement à mes lecteurs des plus petits détails de ma machine, des principes de sa propulsion, des distances, des hauteurs, des vitesses, de l’équipement et de tout le reste mais dans mon prochain livre.
J’ai fait mon premier essai de vol, plutôt raté et très dangereux, dans la nuit du 17 mars 1990. Je n’avais pas eu la patience d’attendre l’été, et j’ai négligé d’aller dans un endroit désert. Je savais déjà que cette nuit était le moment le plus dangereux pour ce genre de travail. Et j’avais eu de la malchance depuis le tout début. Les blocs du panneau du côté droit de la plateforme d’ascension se collaient sans cesse. J’aurais pu régler le problème convenablement et tout de suite, cependant, j’ai négligé de le faire. J’ai décollé tout juste au milieu du campus de l’Académie d’Agriculture, en supposant, à tort, que personne ne serait éveillé à une heure du matin et ne me verrait. Le décollage s’est bien passé, mais j’ai été pris de vertige en quelques secondes quand les fenêtres éclairées des bâtiments du campus se sont comme enfoncées en dessous de moi. J’aurais dû atterrir juste à ce moment là, cependant je suis resté en l’air ce qui était une erreur parce qu’une force puissante m’a arraché le contrôle de mon mouvement et de mon poids et m’a entraîné en direction de la ville…
Tiré par cette énergie incontrôlable, inattendue, je passais sur le second cercle des immeubles de neuf étages de la zone résidentielle de la ville (ils couvrent deux grands cercles avec des immeubles de cinq étages, dont les nôtres) ensuite je passais sur un champ voisin enneigé et la grande route de la citée académique …l’immensité sombre de Novosibirsk me cernait, très rapidement. J’approchais déjà d’un groupe de hautes cheminées d’usines.
Il fallait faire quelque chose et le faire vite. Et j’ai dominé la situation mais avec de grands efforts. Finalement, j’ai réussi à opérer un réglage d’urgence des blocs du panneau et mon mouvement horizontal s’est ralenti, mais alors je devins rapidement nauséeux. J’ai réussi à stopper ce mouvement horizontal au 4ème essai au moment où ma plateforme survolait Zatulinka, zone industrielle de la ville.
Ma vitesse de vol est assez élevée, mais je ne sens pas de vent sur les oreilles – le champ de force de la plateforme a « taillé » à partir de l’espace une colonne invisible s’évasant vers le haut et qui annule l’attraction de la gravité terrestre. Mais elle nous laisse, l’air à l’intérieur de la colonne et moi-même, intacts. Je pense que cet ensemble fend l’espace en vol et ensuite le referme derrière moi. C’est ce qui doit expliquer mon invisibilité, ou l’aspect visible mais déformé de l’appareil et de son conducteur – comme ça a été le cas dans mon vol au-dessus de la banlieue Zatulinka de Novosibirsk's. Comme je l’ai vu plus tard, les gens voient parfois quelque chose là où je suis dans le ciel.
Mais la protection vis-à-vis de la gravité est régulée, même si elle est incomplète : si vous portez la tête vers l’avant, vous sentez déjà la turbulence du vent et les odeurs nettes qu’il porte, soit de trèfle sucré, de sarrasin, ou d’ herbes colorées des prairies sibériennes.
| |
|
|
|
|
|
|
|
La plateforme Antigravitationnel de Grebennikov
16/07/2011 06:58


Ci-contre:
Grebennikov sur sa plateforme enduite de chitine, avant et après le décollage
http://www.quanthomme.info/energieencore/grebennikov.htm
Viktor Stepannovitch Grebennikov (1927 - 2001 ) un naturaliste et entomologiste russe dont les recherches portaient sur les abeilles et autres insectes volants.
Il est principalement connu pour sa découverte de ce qu'il a appelé l’effet CSE (Cavity structure effect, effet des structures cavitaires), par lequel la forme, la taille, la quantité, la disposition et la composition des matériaux produisent une variété de réactions biologiques distinctes.
En 1988, il annonce une découverte qu'il aurait faite en étudiant la structure de la chitine des insectes et qui aurait amené à la construction d'une sorte de plateforme de lévitation. Il raconte qu'il a effectué des vols au-dessus de la campagne russe sur cette plateforme se déplaçant sans moteur.
Bien que populaire auprès des lecteurs rêvant de voir l'homme voler sans apport énergétique, Grebennikov fut très critiqué dans les milieux scientifiques. On lui reprocha notamment l'absence de démonstration concluante en public. Il affirma que le déclencheur de son appareil photo s'était bloqué pendant les vols en raison d'une distorsion du temps causée par le champ généré grâce au secret de la chitine.

Viktor Stepanovich Grebennikov (1927-2001) est un naturaliste russe, entomologiste de profession, qui prétend avoir découvert un effet engendré par les structures en cavités (CSE : Cavern Structures Effect) ; ainsi qu'un phénomène naturel d’antigravité et d’invisibilité chez les insectes. Ses hypothèses théoriques
Les travaux du naturaliste et entomologiste Viktor Grebennikov (récemment décédé en
2001) étaient connus de nombreux scientifiques de son pays, mais il est resté
virtuellement inconnu du reste du monde jusqu'à ce que, récemment, des traductions
de certains de ses écrits aient commencé à apparaître sur internet.
Il était bien connu pour sa découverte de l'effet CSE (Effet des Structures en Cavité) par lequel, la forme, la taille, la quantité, la disposition et la compositions des matériaux produit une variété de réactions bilogiques distinctes. En 1988, alors qu'il étudiait un certain insecte sibérien, il a fait aussi des découvertes stupéfiantes sur l'antigravité biologique, l'invisibilité et les sauts dans le Temps. Plus tard, il a construit une petite plateforme de vol qui utilisait l'énergie secrète de la chitine - sa géométrie- et a volé dans la campagne en expérimntant cette nouvelle et mystérieuse technologie. Il a réussi des vols jusqu'à 25 km par minute ( 1500 km / heure) et aurait pu aller beaucoup plus vite, si la construction de son appareil bionique n'avait pas été aussi légère.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Nos pensées imprègnent les murs de nos maisons
14/07/2011 22:47

Les pierres pourraient avoir une autre propriété intéressante qui mérite des recherches sérieuses. En 1982, Tafter, le propriétaire de la « Prince of Wales Inn » (Auberge du Prince de Galles) à Kenfig dans le Mid-Glamorgan, Pays de Galles, se plaignit d’une musique d’orgue et de voix qui le gardait éveillé la nuit. Pour étudier le problème, John Marke, ingénieur électricien, et Allan Jenkins, chimiste industriel, connectèrent un soir des électrodes aux murs du pub, après la fermeture. Ils envoyèrent 20.000 volts dans les électrodes et enfermèrent des enregistreurs dans la pièce pendant quatre heures. Lorsque les bandes furent analysées, il fut constaté qu’elles avaient enregistré des voix parlant en vieux gallois, de la musique d’orgue, et le tic-tac d’une horloge. Il se fait qu’il n’y avait pas d’horloge dans la salle à cette époque. Il a été suggéré que les pierres du mur contenaient des substances semblables à celles qui se trouvent dans les bandes d’enregistrement actuelles.
Toute nos pensées imprègneraient les murs de nos maisons . Et cette mémoire qui serait restituée continuellement influencerait la venue des nouveaux locataires ou propriétaires .
Lorsque nous émettons une pensée, celle-ci se transforme en petit nuage au-dessus de nous, à l’image des bulles des bandes dessinées. Une fois créée par notre esprit, elle peut soit rester au-dessus de nous et nous maintenir dans l’énergie (souvent négative) qui lui a donné naissance, soit parcourir l’univers au gré des pensées voisines. Elle peut ainsi « vagabonder », survoler les lieux en quelque sorte, s’introduire dans nos maisons, nos bureaux attirée par une autre forme pensée de même vibration ou une personne présentant une façon de penser identique. Par exemple, une forme pensée de colère ou de jalousie rejoindra plutôt les rangs de ce type d’émotions qu’une pure pensée d’amour. Cela explique comment une forte colère peut facilement se propager parmi les membres d’un groupe qui émettront à leur tour cette énergie négative. Celle-ci encore plus forte, attirera à elle toutes les autres à proximité, et ainsi de suite.
Je suis d’ailleurs certain que nous avons tous au moins une fois dans notre vie connu un endroit, une maison, un bâtiment, qui nous donnait des frissons ou du moins qui nous mettait mal à l’aise ou à l’inverse, où nous nous sentions en paix, en harmonie, bien au-delà de l’habituel. Nous connaissons cette sensation. Il y a fort à penser que nous étions en liaison directe avec la mémoire du lieu.
Nos (fortes) pensées, nos émotions, nos formes pensées une fois émises laissent leur empreinte sur les murs ou plus globalement, à l’endroit où elles sont émises. Ainsi nul besoin d’être sur un lieu de crime ou de massacre pour avoir une désagréable sensation .
Il suffit comme nous le mentionnons dans l’exemple donné sur notre site d’être en contact avec des mémoires d’émotions fortes .
Dans le cas cité, la personne « hébergeait » dans sa salle de bain ainsi que dans sa propre chambre, des émotions de colère liées à un divorce difficile et dans une autre chambre, anciennement celle de l’enfant, une émotion d’infinie tristesse. Ces énergies, (une entité du mental pour la salle de bain), se nourrissaient de la mémoire des murs tout en l’entretenant elles aussi à son tour. La propriétaire nous avait expliqué que son divorce appartenait maintenant au passé et que tout avait été « digéré ». La présence de cette mémoire et l’énergie de colère révélaient en fait qu’il n’en était rien. Cette personne subissait leur influence négative mais l’entretenait elle aussi par sa propre colère refoulée.
Avant même de travailler en énergétique, j’ai souvent entendu parler de maisons « à divorce », de pertes d’emplois ou de problèmes financiers, de maladies récurrentes pour les habitants successifs. Les mêmes situations, les mêmes drames semblent s’y répéter sans cesse. Pas plus tard qu’à notre dernière conférence, une personne dans la salle nous expliquait qu’elle habitait avec son mari une maison où deux personnes successives avaient souffert de la maladie d’Alzheimer. Après plusieurs mois, son époux a lui aussi déclaré une maladie similaire. Il est évident que ce n’est pas la maison qui en est la cause, il n’y a pas eu de « contamination ». Malgré tout, la mémoire du lieu entretient la maladie en maintenant l’homme à un taux vibratoire bas correspondant à cette pathologie. En outre, depuis qu’elle connait l’histoire des habitants antérieurs, son épouse est maintenant persuadée qu’ils sont sous l’emprise de la fatalité, renforçant ainsi des formes pensée de maladie. La boucle est bouclée… Comme dans le cas de la personne divorcée qui a choisi inconsciemment d’habiter la maison d’un couple divorcé, ces deux dernières personnes ont choisi un lieu en résonance avec la maladie latente du mari. Ainsi la mémoire des murs peut nous révéler le passé énergétique du lieu et agir directement sur nous en faisant surgir nos propres problématiques. Plutôt que pour notre malheur, elle est là aussi pour montrer du doigt ce que souvent, nous refusons de voir. Par exemple Aline, la personne divorcée n’avait pas terminé son divorce. De même et selon la symbolique d’une maladie qui touche la mémoire (justement), nous pourrions (mais chaque cas est unique, attention aux conclusions hâtives) nous demander ce que l’homme veut oublier ou ne plus voir dans sa vie.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Tibet . La lévitation par le son
14/07/2011 19:47


http://www.dailymotion.com/video/xembej_levitation-grace-au-ultrasons_news
La lévitation par le son commence tout juste à être étudiée par nos scientifiques actuels . Cette science oubliée a très probablement été utilisé par les moines tibétains . Grace à l' emploi de sons appropriés ses derniers pouvaient faire léviter d' enorme blocs de rochers .
Récemment , des scientifiques chinois ont montrés qu' ils pouvaient faire léviter des petits objets et de même manière des petits animaux vivants en les soumettant simplement à des sons .
La lévitation par le son était jadis utilisé par les moines Tibétains .
Henry Kjellson, un pionnier de l’Industrie aéronautique suédoise a laissé une description très précise sur la façon dont les moines tibétains bâtissaient les murs des temples ou ermitages au sommet de falaises rocheuses de quelques centaines de mètres de haut.
Les pierres de 1,5 mètres carrés de surface étaient amenées sur un plateau quelques centaines de mètres plus bas par des yacks et placées sur un trou creusé à cet effet en forme de bol de 1 m de diamètre et 15 cm de profondeur. Le trou se trouvait à 100 m du pied de la falaise, et à 63 m de ce trou (et de la pierre), espacés par des intervalles de 5 degrés jusqu’à former 1/4 de cercle, se trouvaient 19 musiciens en petits groupes. Derrière ces musiciens se trouvaient 200 prêtres ou lamas alignés par files de dix derrière chaque musicien. Les instruments utilisés par les musiciens consistaient en 13 tambours et 6 trompettes de tailles différentes.
Au commandement du chef lama, la "Musique" commencait avec un tambour géant latéral de 150 kg suspendu à une charpente qui le maintenait en l’air, qui donnait la "mesure". Chaque trompette avait deux moines qui se relayaient pour souffler deux fois par minute chacun. Les 6 trompettes étaient toutes pointées vers la pierre. Après environ quatre minutes de cette "Musique", la pierre commençait à quitter le sol. Le son des instruments accompagné par le "chant" des lamas s’amplifiait et la pierre lévitait dans une direction parabolique de 400 m jusqu’au sommet de la falaise. Le rythme de lévitation de ces pierres était de 5 à 6 par heure.
Le livre dont ce passage est extrait est intitulé "The cycles of Heaven". Les auteurs sont : Guy Lyon Playfair et Scott Hill. Il est publié par Souvenir Press à Londres.
"Le pouvoir du son, lévitation". On y mentionne l'histoire d'Henry Kjellson, industriel Suédois qui parti sur les hauts plateaux Tibétains pour une expédition au début des années 30. Il y découvrit une étrange cérémonie où des musiciens lamas Tibétains jouèrent en une sorte de demi-cercle avec 13 grands gongs de peaux, suspendus horizontalement à des chevalets de bois, orientés vers le centre, tout comme les trompes géantes et les trompettes qui les accompagnaient. Il y avait en plus de cela une place bien spécifique pour chacun, sans compter 200 moines derrière eux qui avaient pour rôle de tenir une sonorité avec leurs voix. Cet forme de demi-cercle était tourné vers une sorte de coupe polie dans le sol rocheux à une soixantaine de mètre des moines. Cette même coup se trouvant elle-même à environ 100 mètre d'une falaise. Cette cérémonie avait pour objectif d'amener de grosses pierres du sol à une hauteur de 400 mètres dans la falaise où des grottes étaient aménagées pour des retraites solitaires de moines. "En 1939, un ami de Kjellson, le Dr. Jarl qui travaillait pour la Société Scientifique d'Oxford, fut appelé au Tibet pour soigner le lama Rimpoché de ce monastère. Lors de son séjour auprès des moines, il put filmer à deux reprises cet étrange rituel de lévitation des pierres. Mais la Société d'Oxford s'appropria ces films car elle désirait les garder secrets jusqu'en 1990. Ils ne sont pas encore sortis des archives de cette auguste institution à ce jour, malgrès tous les efforts de nombreux chercheurs."
| |
|
|
|
|
|
|
|
On aurait rajeuni des souris en laboratoire
14/07/2011 08:52

Des scientifiques ont réussi à rajeunir des souris, se rapprochant ainsi du jour où l'on sera capable d'inverser le processus de vieillissement, rapporte le Guardian. Le traitement expérimental développé par l'institut contre le cancer à l'école de médecine d'Harvard a transformé des souris âgées et faibles en animaux tout ce qu'il y a de plus sain.
Outre l'impression que la science-fiction est en train de rejoindre la science, cette découverte aurait un effet considérable sur les politiques de santé publique si elle pouvait être appliquée aux humains: moins de problèmes médicaux liés au vieillissement, et une qualité de vie prolongée pour une population de plus en plus âgée.
Les scientifiques ne s'attendaient pas à des résultats aussi impressionnants:
«Ce que nous avons vu chez ces animaux n'était pas un ralentissement ou une stabilisation du processus de vieillissement. Nous avons vu une inversion spectaculaire –et c'était inattendu [...] Cela pourrait nous amener à des stratégies qui améliorent le potentiel régénératif d'organes quand des individus vieillissent, et donc augmentent leur qualité de vie. Est-ce que ça peut servir à augmenter la longévité? C'est une question à laquelle nous ne pouvons pas encore répondre.»
Les chercheurs ont utilisé des souris génétiquement modifiées: les bouts de chacun de nos chromosomes sont protégés par un télomère. A chaque fois qu'une cellule se divise, les télomères sont raccourcis, jusqu'à ce qu'ils ne fonctionnent plus et que la cellule meurt. C'est ce procédé qui est en grande partie derrière les symptômes qui viennent avec l'âge.
Les souris utilisées ne possédaient pas l'enzyme qui empêche les télomères de se raccourcir, les faisant vieillir de façon prématurée. Les médecins leur ont alors injecté l'enzyme, qui a réparé les cellules endommagées et inversé les signes du vieillissement. Après un mois de traitement, de nouveaux neurones s'étaient notamment créés dans leur cerveau.
Pourrait-on obtenir les mêmes résultats chez l'homme? Cela risque d'être plus compliqué, notamment parce que la télomérase (le nom de l'enzyme) devient inactif à l'âge adulte pour empêcher nos cellules de grandir de façon incontrôlable et de devenir cancéreuses. Augmenter nos niveaux de télomérase contiendrait donc des risques, mais les chercheurs estiment que le traitement pourrait être sans danger s'il était donné de façon périodique et seulement à des jeunes, qui n'ont généralement pas encore de cellules cancéreuses inaperçues.
Sans compter que l'érosion des télomères n'est pas la seule cause du vieillissement, «ni même la plus dominante, puisqu'elle apparaît comme telle dans des souris modifiées pour manquer de télomérase», affirme le directeur de l'Institut du vieillissement et de la santé à l'université de Newcastle, qui n'a pas participé à l'étude.
Pour l'instant, l'équipe cherche à savoir si l'injection de l'enzyme étend la durée de vie des souris ou leur permet de vivre leur vieillesse en meilleur santé.
Les 4 Liens ci - dessous vous expliquent ce que sont les télomères . Leurs longueurs agiraient le vieillissement .
Le vieillissement à l'échelle des organes Les Télomères
Les télomères : la clé de la longévité des femmes ? - Actualité ...
Découverte de deux « gardes du corps » des télomères - Communiqués ...
Du sport pour lutter contre le vieillissement - rtflash.fr ...
| |
|
|
|
|