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Laïcité . Des régimes Arabes qui s' en orgueilles
06/03/2011 19:55

Contrairement à ce que pourrait croire beaucoup de personnes , A travers le spectre " Al Qaida " , ce ne sont pas les terroristes que ciblerait les nations dite démocratique ( Europe - USA ) , mais bien la religion islamique qui menacerait les régimes laics Arabes .
Des régimes qui ne cachent même plus leur Anti - religiosité , comme le montre l' interview suivant de KADHAFY . Al Qaida est devenu le dénominateur commun de tous ses dictateurs qui se réclamant de la laicité n' hésite pas à se presenter comme etant les seuls remparts contre l' islamisation de leur pays .
Et profitant du soutien européens et americains , ses même dictateurs pillent les richesses de leurs pays tout en reprimant leurs peuple lorsque ses derniers se révolte .
En se laïcisant , la grande majorité de ses dictateurs presidents , voulaient se donner une façade de moderniste afin d' attirer le regard europeen pour developper leurs affaires interieurs .
Aujourd' hui , de par leur discours , certains de ses dictateurs se dénoncent le plus bêtement du monde .
Interview de Kadhafy .
En exclusivité, le chef d'Etat libyen a reçu, samedi, deux envoyés spéciaux du JDD (Journal Du Dimanche) dans son QG de Tripoli. Retrouvez ici des extraits de cet entretien exceptionnel :
LA MENACE TERRORISTE
"Quand il y a eu la confusion en Tunisie et en Egypte (…) Al-Qaida a donné instruction à ses cellules dormantes en Libye de faire surface (…) Les jeunes ne connaissaient pas Al-Qaida ni l’idéologie de cette organisation. Mais les membres de ces cellules vont jusqu’à leur donner des pilules hallucinogènes. (…) Aujourd’hui, ces jeunes ont pris goût à ces pilules et pensent que les mitraillettes sont comme une sorte de feu d’artifice."
"Je m’étonne vraiment que l’on ne comprenne pas qu’il s’agit ici d’un combat contre le terrorisme (…) Nos services de renseignement coopèrent. Nous vous avons beaucoup aidé ces dernières années! Alors pourquoi lorsque nous sommes dans un combat contre le terrorisme ici en Libye on ne vient pas nous aider en retour!"
"Il y aura un Djihad islamique en face de vous, en Méditerranée (…) Les gens de Ben Laden viendront imposer des rançons sur terre, et sur mer. On reviendra au temps de Barberousse, des pirates, des Ottomans qui imposaient des rançons sur les bateaux. Ce sera vraiment une crise mondiale et une catastrophe pour tout le monde."
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Lettre ouverte aux Géneraux d' Algérie
06/03/2011 08:55

Lettre ouverte au général régnant de l’Algérie, Mohamed Médiène : « DRS, dégage ! »
par Habib Souaïdia, auteur de La Sale Guerre, Algeria-Watch, 5 mars 2011
Mon général, je veux vous signifier par la présente que votre règne mortifère est à bout de souffle. Que le monde a changé, que la situation politique et sociale de l’Algérie a changé, que les Algériens ont changé depuis 1992. Les Algériens n’ont plus peur de l’épouvantail islamiste que vous brandissez à chaque occasion pour soumettre le peuple. Au cours des vingt ans que vous avez passés à la tête du Département du renseignement et de la sécurité (DRS), l’Algérie a payé le prix fort du sang et des crimes économiques et sociaux. Vous êtes le principal responsable des maux de notre pays.
Votre régime de terreur doit prendre fin. Vos jours ont été déjà comptés et vous appartenez désormais au passé. C’est ce qui me permet de vous suggérer de vous rendre à l’évidence et de préparer en douceur votre départ pour éviter un autre bain de sang. Aujourd’hui, vous êtes vieux et malade, vous appartenez à un monde révolu qui n’est plus celui de l’Algérie réelle, celle d’une jeunesse majoritaire et en révolte. C’est pourquoi votre tentative actuelle d’opérer un ravalement de façade de votre système de pouvoir, avec l’aide de pseudo-démocrates, serait un autre crime contre le peuple algérien.
Il est trop tard pour un « ravalement de façade » de votre régime
Pour accaparer à votre profit et à celui de vos obligés les richesses du pays, les revenus de son gaz et de son pétrole, vous avez utilisé votre police politique afin de maintenir notre peuple dans la misère et la hogra. Et vous avez fait torturer et tuer des dizaines de milliers d’hommes et de femmes. La gégène et le chiffon sont devenus vos instruments ordinaires de pouvoir, faisant de vos agents autant de criminels – souvent devenus des psychopathes et des névrosés.
Votre gestion du pays est devenue si désastreuse qu’on peut se demander s’il pourra retrouver un jour ses lettres de noblesse, le respect et sa place éminente dans la sphère des nations. Et si le sort que vous lui préparez n’est pas celui de la Somalie. Vous avez, paraît-il, déclaré à Bouteflika, à Saïd Sadi et à l’ex-Premier ministre Mouloud Hamrouche que « l’Algérie va mal », le DRS ayant fait un sondage auprès du peuple algérien pour mesurer le mécontentement de la rue. Mais les Algériens n’ont pas besoin de sondages du DRS ou de tout autre organe du pouvoir pour connaître leur désarroi. La misère sociale et le sentiment d’injustice s’étalent dans les rues depuis des années. C’est pourquoi les émeutes de janvier 2011 vous ont fait paniquer : plus violentes et massives que celles qui secouent presque quotidiennement le pays depuis dix ans, elles vous ont amené à tenter de « prendre les devants », parce que, en effet, vous risquez gros.
Il y a trois sortes de généraux dans le monde arabe, selon leur place dans l’appareil de pouvoir. Il y a la version des régimes de Ben Ali ou Moubarak, qui n’ont jamais eu affaire à une révolte de grande ampleur de la rue : pris de panique, ils ont multiplié les discours pour tenter de calmer le peuple et de négocier, avant de vouloir faire sortir l’armée dans la rue pour faire peur – mais ses chefs sont restés en retrait. Et il y a la version Nezzar ou Kadhafi, ceux qui ne parlent pas, mais qui tirent sur la foule à balles réelles quand elle les menace. Vous incarnez sans doute la troisième catégorie, variante perverse de la précédente : après avoir usé de la pire violence, avec votre coup d’État de 1992 et le « fleuve de sang » qui a suivi, vous avez instauré la manipulation et le mensonge pour « gérer le peuple ». Pour tenter de mater le peuple qui bouge, le peuple qui vibre, le peuple qui se révolte, le peuple qui hurle son besoin de démocratie, vous avez organisé le simulacre d’une opposition entre des partis clonés et un président cloné.
Depuis votre coup d’État de 1992, on ne voit plus le bout du tunnel. Chaque jour apporte son lot de désolations. Rien n’a changé. Pire, on assiste dix-neuf ans plus tard à un reformatage de la vie politique pour remettre en selle des barons qui ont violé l’intimité de ce pays à la place d’un autre déclinant. Mais tenter un ravalement de façade avec un Mouloud Hamrouche, un Saïd Sadi ou un autre, par des manœuvres déjà mille fois vues pendant les années noires ne changera rien à l’aspiration du peuple au changement radical de la République.
Le peuple algérien ne se contentera pas du départ de Bouteflika, il veut la fin de la police politique qui l’a amené au pouvoir. Et le prétendu bras de fer qui oppose la façade du « pouvoir » algérien incarné par ce dernier à la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNDC) n’est certainement pas la voie pour y parvenir. Certes, au sein de la coordination, il y a des hommes et des femmes qui méritent le respect de tous les Algériens. Mais on pourrait faire remarquer, au regard de sa faible capacité de mobilisation, que cette coordination comprend aussi des éléments visant clairement à tirer vers le bas le mouvement de révolte et qui se distinguent par leur complaisance avec vos desseins.
Car hélas, vos agents sont partout. Pour vous maintenir au pouvoir, vous avez choisi en effet de vous appuyer sur votre police politique, ciment principal d’une alliance rentière et prédatrice, qui a gangrené tout le système politique algérien. Preuve en est le vide politique créé par une décennie sanglante durant laquelle le DRS, par son entreprise de destruction, a privé le pays de toute expression démocratique.
L’intolérable impunité des généraux criminels à la tête de l’ANP
En janvier 1992, une partie du peuple algérien pensait renouer avec l’espoir après le retour du président Boudiaf, puis elle a assisté six mois plus tard à son assassinat en direct. Votre justice aux ordres a ensuite qualifié l’assassinat d’« acte isolé », mais les responsables des services de renseignement chargés de la protection du président ont été promus et mutés vers d’autres unités. Mohamed Boudiaf a payé de sa vie son refus de jouer le jeu de votre mentor, le général Larbi Belkheir. Boudiaf était l’une des figures de la révolution algérienne, mais son histoire ne l’a pas protégé contre vos ambitions : vous avez oublié ce qu’il a été avant, pendant et après la révolution. Puis fut le temps de Liamine Zéroual, un général que vous avez « bricolé » dans vos laboratoires pour en faire un président ; et, encore une fois, cela n’a pas marché. Son mandat s’est achevé avec les massacres de masse de 1997, instrumentalisés par vos services pour le déposer définitivement.
Mon général, sachez que l’intolérable impunité des « forces de l’ordre » a ébranlé le pays au plus profond de son âme. Car elle dit l’extrême violence, la corruption et le chaos qui règnent dans l’Algérie d’aujourd’hui. Pour mesurer l’ampleur du mal, il faut connaître le niveau d’implication de la nouvelle hiérarchie militaire dans les crimes contre l’humanité commis durent la « sale guerre » des années 1990. Toute la chaîne du commandement militaire actuel est composée de criminels, jusqu’au sommet. De surcroît, chacun « touche » à chaque étage, et chaque fois plus. C’est pourquoi un poste élevé au ministère de la Défense et à l’état-major se vend à celui qui à bien « bossé » dans les unités de « lutte antiterroriste ».
Cette lutte antiterroriste, qui a transformé progressivement chaque soldat en animal, a aussi transformé des sous-lieutenants et des lieutenants en lieutenants-colonels. Et elle a promu des chefs de section en commandants de régiment, des lieutenants-colonels en généraux-majors, commandants de région militaire ou commandant des forces terrestres. Et à chaque fête nationale, la presse algérienne nous a gavés des noms d’assassins promus à des grades supérieurs – des hommes que mes années de jeune officier en exercice dans les forces spéciales, de 1990 à 1995, m’ont parfois permis de connaître de près.
L’un de ces militaires, aujourd’hui général-major et commandant des forces terrestres – le second dans la pyramide après Gaïd Salah, chef d’état-major de l’armée – est le général-major Kadour Bendjemil. Cet artilleur, originaire d’Annaba, n’a cessé depuis son arrivée au commandement fin 1993, de se mouler dans le personnage militaire d’un homme qui ne recule devant rien. À l’époque, sa rage purificatrice n’a épargné personne dans son secteur d’intervention de Bouira (le « SOB »). Il a alors constitué une sorte de garde prétorienne composée de quelques officiers et sous-officiers de l’ANP et d’officiers du DRS, pour, d’après ses dires, « rétablir l’ordre » : au hasard des rafles qui avaient lieu, le jour dans les rues, la nuit dans les maisons, de jeunes Algériens étaient entassés dans des fourgons banalisés, enchaînés pour terroriser la foule et montrer comment l’armée traitait ses ennemis. Et beaucoup de soldats, de sous-officiers et d’officiers ont également perdu la vie à cause de la fameuse règle militaire selon laquelle le chef a toujours raison, même s’il a tort.
D’autres noms ? La liste est longue, mon général, de vos officiers criminels occupant aujourd’hui les plus hauts postes de notre ANP ! Je pourrais en citer, hélas, des dizaines… Comme le général Abdelkader Benzerkhoufa, ex-commandant du 11e RIM, régiment d’infanterie mécanisé stationné entre 1993 et 1997 à La Gare Omar (Bouira). Ou le général Noureddine Hambli, parachutiste commandant du 25e régiment de reconnaissance, l’un des responsables du massacre du 5 octobre 1988 à Alger. Ou encore le général-major Habib Chentouf, aujourd’hui commandant de la 1re région militaire ; le général-major Omar Tlemçani, commandant de la 2e région militaire, ex-commandant du 4e régiment de parachutiste (4e RAP) ; le général-major Amar Athamnia, 3e et 6e région militaire, ex-commandant du 12e régiment de para-commandos (12e RAP) ; le général Maamar Boukhenoufa, commandant du régiment d’infanterie mécanisé stationné à l’époque à Dar El-Beida ; le général Tirech, ex-capitaine à l’Académie militaire ; le général Rachid Guetaf, le général Abed Litim, commandant parachutiste, ex-capitaine aux 4e et 18e RAP, aujourd’hui commandant de l’École d’application des forces spéciales à Biskra ; le général-major Saïd Chengriha, ex-commandant de la 1re division blindée puis commandant de la 8e division blindée, aujourd’hui commandant de la 3e région militaire ; ou aussi les pires criminels que sont le général-major Mhenna Djebbar, ex-commandant du CTRI de Blida aujourd’hui chef de la DCSA, le général-major Bachir Tartag ou le général-major Abdelrazek Chérif, parachutiste commandant de la 4e région militaire.
Tous ces généraux ont été et sont toujours les acteurs d’une gigantesque entreprise de prise en otage d’un peuple entier. Avec demandes de rançons, chantage et détresse de dizaines de milliers de familles. De 1992 à 1999, ils ont conduit une « sale guerre » ciblant de manière délibérée des civils désarmés dans les zones sensibles, qui a fait 200 000 morts. Et en 2000 encore, ils ont lancé la terrible opération « Saïf El-Hadjaj » (« L’épée de El-Hadjaj »), dont le nom est le symbole même de la mort et de la terreur pour tous les musulmans. Avec vos pairs, vous avez ainsi mis en œuvre les principes de la « guerre psychologique » tels qu’ils ont déjà été appliqués pendant la guerre de libération par l’armée coloniale française, ou au Viêt-nam et en Amérique du Sud par les militaires américains et leurs alliés. Des méthodes qui incluent le bouclage physique des villes et des villages, la prise en otage de civils, les exécutions extrajudiciaires, l’enlèvement et la torture de toute personne soupçonnée d’appartenir à un groupe d’opposition.
D’où la fameuse question qui vous taraude aujourd’hui, avec vos complices : « Si nous lâchons le pouvoir, nous serons jugés pour crimes contre l’humanité ou crimes de guerre. » Vos généraux ont donc en permanence à l’esprit un kit de survie psychologique, et ils font tout pour respecter le pacte criminel qui les unit.
« DRS, dégage ! »
Aujourd’hui, mon général, en Algérie comme à l’étranger, vos émissaires sont sur tous les plateaux de télévision. Ces charlatans et pseudo-démocrates prétendent nous expliquer « comment devenir des opposants ». Ils veulent nous montrer la voie du « salut » par des discours démagogiques tout droit sortis de vos laboratoires de désinformation. Or que représentent-ils réellement dans la société algérienne ? Est-ce qu’un « démocrate » qui va manifester avec des gardes du corps de la police est crédible ?
Cette comédie peut peut-être abuser encore un temps des médias occidentaux – et français en particulier – qui ont depuis si longtemps renoncé à comprendre la perversité de votre système de pouvoir. Et vous avez su avec efficacité, à coups de prébendes et de désinformation, les encourager en ce sens pour vous soutenir. Mais vous ne pouvez plus abuser l’immense majorité du peuple algérien, qui est parfaitement lucide sur vos crimes et qui ne pense qu’une seule chose : « DRS, dégage ! »
Je sais comme tout le monde que votre souci principal est de ne pas se retrouver devant un tribunal pénal international, pour les crimes que vous avez commis depuis 1991. Chaque Algérien sait aussi que votre poulain Bouteflika est âgé et malade et qu’il a, tout au long de son mandat, abusé des circuits de corruption que vous lui avez laissés. L’affaire Sonatrach, devenue votre cheval de bataille pour brider celui qui prétend contester votre emprise sur ces circuits, est un révélateur de l’état de l’Algérie : de ses inégalités, de ses injustices sociales, de ses déséquilibres institutionnels, des abus d’un président sans contrôle comme de ceux de votre propre clan.
Dans votre régime en fin de règne, ces querelles misérables ne révèlent rien d’autre que la complicité conflictuelle qui vous lie, vous et votre président de façade, pour piller notre peuple. Ainsi, le DRS enquête et met à nu des réalités qui dévoilent les impostures et les mensonges d’un tout petit monde, qui par la faveur de votre pouvoir s’approprie la richesse nationale. On se souvient de ces grands titres de la presse dite « libre », mais très manipulée, qui révèlent telle ou telle affaire et de la fébrilité puis de la panique qui se sont emparées du cercle de votre président… Autant de faux-semblants d’une prétendue « lutte anticorruption » dont le seul objet est de préserver les pires pratiques de corruption.
Voyez par vous-même, mon général : ce qui était impensable il y a encore quelques semaines en Tunisie et en Égypte, peut bientôt se reproduire en Algérie. Des dictateurs ont plié bagage devant la colère de la rue. Mais soyez-en sûr, l’intifada fondatrice ne sera pas organisée par les faux opposants.
J’ignore ce qui va se passer maintenant. Nous avons des jours difficiles devant nous. Tout ce que je sais, c’est que l’Algérie a plus que jamais besoin d’hommes et de femmes profondément loyaux et intègres, et non pas de ceux qu’on achète et qui se vendent. Des hommes et de femmes qui défendraient la justice et la vérité même si l’univers s’écroulait. Qu’il ne soit jamais dit que les Algériens n’ont rien dit, n’ont rien fait contre la bête immonde qui détruit notre nation. Les événements de ce début d’année 2011 dessinent une trajectoire fatale qu’il faut identifier et contrer pour préserver notre pays. Y a-t-il encore quelqu’un pour écouter la voix d’un Algérien ? Avons-nous peur de nos responsabilités ? Que deviennent-ils, les fils et les filles de l’indépendance ? De la guerre de libération ? L’Algérie est notre mère patrie, elle souffre d’un interminable cancer. C’est pour cela que je propose un congrès de la vraie opposition, une sorte de nouveau Sant’Egidio, parce que nous arrivons à un moment critique de notre histoire, à une époque d’incroyables défis à relever.
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La France serait impliqué dans la repression des insurrections Arabes
04/03/2011 11:04

En totale contradiction avec ses déclarations publiques, la France de Nicolas Sarkozy est impliquée dans la répression des insurrections arabes, a indiqué Thierry Meyssan dans un entretien à une chaîne de télévision arabe.
• C’est un conseiller de l’Elysée, Alain Bauer, qui avait négocié l’exportation avortée de matériels de sécurité en Tunisie, le jour même de la fuite du président Ben Ali.
• C’est Défense Conseil International (DCI) —une société détenue par le ministère de la Défense— qui encadre les pilotes loyaux au colonel Khadafi qui bombardent les insurgés libyens et transforment l’insurrection en guerre civile, en vue de justifier une intervention de l’OTAN.
• C’est à nouveau Défense Conseil International (DCI) et le conseiller de l’Elysée Alain Bauer qui forment depuis deux ans la police de Bahreïn et ont organisé la répression de la Révolution dans l’émirat.
Conseiller de sécurité du président de la République, Alain Bauer est l’ancien numéro 2 pour l’Europe de la branche externalisée de la National Security Agency états-unienne. Il se rend une fois par mois à Manama.
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2012 . Le programme électorale se SARKOZY
04/03/2011 10:18
Mélenchon: "Qu'on fiche la paix aux musulmans" - FullHdReady sur
En un mot , toute la campagne electorale reposera sur l' islamophobie . Et bien entendu les médias relaieront cette politique .
Cette loi concernera - t - elle les Soeurs Chrétiennes qui sont toute aussi voilè ??
Ou Alors les lois Anti - Voile et Burka ne ciblent que la minorité Musulmane.
Une campagne d'information commence vendredi dans les lieux publics pour préparer le terrain.

Source AFP
Près d'un mois avant l'application de la loi contre le voile intégral, dont la circulaire d'application paraît jeudi au Journal officiel, le gouvernement a annoncé une campagne d'information et de sensibilisation, notamment par voie d'affiches. Dans cette circulaire, adressée aux ministres et préfets, le Premier ministre François Fillon témoigne d'un souci de fermeté et de sérénité, après le débat houleux qui a précédé la loi du 12 octobre 2010, qui prendra effet le 11 avril.
Dès sa promulgation, l'intitulé y appelait. Il ne s'agissait plus de loi contre le voile intégral, mais de "loi interdisant la dissimulation du visage dans l'espace public". Même si elle concerne surtout les femmes portant niqab ou burqa qui seraient moins de 3 000 en France. "Il y a eu une césure entre le moment où le projet de loi a été débattu et celui où la loi prendra effet" (le 11 avril 2011), indique-t-on dans l'entourage du Premier ministre. Nous sommes au temps de l'apaisement". La "sérénité" mise en avant est d'autant bienvenue que le débat sur la laïcité et l'islam, prévu pour le 5 avril, fait l'objet d'une controverse, certains craignant qu'il n'apporte de l'eau au moulin du Front national.
Dépliants et site web
Parallèlement à la circulaire ministérielle, une campagne d'information commence vendredi dans les lieux publics, sous forme d'affiches, format papier, portant le slogan "La République se vit à visage découvert".
Sur un fond bleuté se détache l'effigie d'une Marianne, moulée sous la troisième République, visage ouvert, front serein, mais décolleté nettement plus pudique que celui d'une Brigitte Bardot qui trôna dans les mairies. Des dépliants en français et un site internet (www.visage-decouvert.gouv.fr) seront aussi mis à la disposition des personnes intéressées. Une version en anglais et en arabe sera disponible dans les postes consulaires français à l'étranger, pour les voyageurs souhaitant se rendre en France.
Exceptions prévues par la loi
La loi ne concerne pas uniquement les femmes intégralement voilées, mais tous ceux qui les y contraignent, et tous ceux - masqués ou cagoulés - dont le visage dissimulé rendrait impossible leur identification. Quelques exceptions sont prévues : port du casque pour les conducteurs de deux roues, tenues exigées en raison de risques encourus dans certains métiers, activités sportives, fêtes traditionnelles, manifestations artistiques. La loi prévaudra pour tous les lieux publics : voies publiques, transports en commun, commerces, centres commerciaux, établissements scolaires, bureaux de poste, hôpitaux, tribunaux, administrations... Sans parler des plages, jardins publics, promenades publiques et tous autres lieux dont l'accès est libre.
La dissimulation du visage par une personne se trouvant à bord d'une voiture particulière n'est pas constitutive de la contravention prévue par la loi, mais elle peut tomber sous le coup des dispositions du Code de la route. La loi prévoit une amende allant jusqu'à 150 euros et/ou un "stage de citoyenneté" pour les personnes qui l'enfreindront. Par ailleurs, toute personne obligeant une femme à se voiler sera passible d'un an de prison et de 30 000 euros d'amende. La peine sera doublée (deux ans de prison, 60 000 euros d'amende) si la personne contrainte est mineure. Mais, précise la circulaire, "la loi ne confère en aucun cas à un agent le pouvoir de contraindre une personne à se découvrir ou à sortir. En face d'un refus d'obtempérer, l'agent ou son chef de service doit faire appel aux forces de la police ou de la gendarmerie nationales, qui peuvent, seules, constater l'infraction et en dresser procès-verbal".
Pas de voile a la sortie des ecoles .
C'est la surenchère qui va s'installée, ça sera celui parmi les ministres et les politiques de l'UMP qui fera la proposition la plus islamophobe:
Le ministre de l'Education nationale, Luc Chatel, a apporté jeudi son soutien à une directrice d'école qui avait interdit à une mère voilée d'accompagner son fils lors d'une sortie scolaire. Pour le ministre, le principe de laïcité doit aussi s'appliquer aux parents d'élèves.
"Je décide de soutenir cette directrice d'école", a-t-il déclaré à Marseille. "La laïcité est au coeur du Pacte républicain, nous n'avons pas à déroger à ses principes. Il s'agit d'un sujet pédagogique. Les parents d'élèves doivent respecter les principes de neutralité et de laïcité", a souligné Luc Chatel. "L'école de la République est testée régulièrement, nous nous devons d'être intelligents pour répondre à cela", a ajouté le ministre de l'Education. Selon le récit du Parisien de jeudi, Luc Chatel a écrit aux parents d'élèves d'une école de Pantin (Seine-Saint-Denis), qui ont protesté contre la décision de la directrice d'interdire à une mère voilée d'accompagner son fils de CP lors d'une sortie scolaire, en novembre dernier. Cet événement intervient alors que le texte de la loi sur l'interdiction du voile intégral est publié ce jeudi au Journal officiel. Cette loi interdisant "la dissimulation du visage dans l'espace public" sert officiellement à réaffirmer les valeurs de la République et vise clairement les adeptes du voile intégral islamique - burqa ou niqab.
Par TF1 News (D'après agence) le 03 mars 2011 à 11:42
LE DABAT SUR LA LAICITE ABORDERA LES CANTINES ET PISCINES .
PARIS (AFP) - Le secrétaire général de l'UMP Jean-François Copé a déclaré que le débat sur la laïcité aborderait des "questions concrètes" telles que la compatibilité des cantines publiques avec les prescriptions religieuses ou les créneaux horaires dans les piscines.
"Nous travaillons sur des propositions concrètes", a assuré M. Copé au Figaro.fr jeudi, à propos du débat controversé sur la laïcité que l'UMP doit organiser le 5 avril.
"Je pense par exemple à la compatibilité des cantines publiques avec des prescriptions religieuses. Je souhaite que l'on parle aussi de la formation et de la rémunération des imams, du prêche en français", a-t-il poursuivi.
Il a ajouté que la question des "piscines" allait aussi être abordée.
"J'ai été profondément choqué que Martine Aubry, maire (PS) de Lille, ose +faire un détour par rapport aux principes de la République+, selon ses mots, pour réserver des créneaux aux femmes musulmanes en exigeant, pire encore, de n'employer à ces heures que du personnel féminin", a-t-il dit, en référence à une décision de la dirigeante socialiste sur une piscine au début des années 2000.
"Autre sujet, pour les mamans qui encadrent les sorties scolaires, je soutiens totalement la position du ministre de l'Éducation, Luc Chatel. Elles ne doivent pas porter le voile", déclare-t-il encore.
M. Copé a cependant réaffirmé qu'il n'était pas question d'un débat sur l'islam, et jugé "absurde" le reproche selon lequel les musulmans seraient stigmatisés.
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Et les américains débarquèrent en Libye .
04/03/2011 10:02
Les américains risquent de débarquer certaines de leurs troupes à partir du 7 MARS 2011 .
Ils interdiront l' espace aérien aux avions Libyens .
Kadhafy , comme beaucoup de dictateurs de pays Arabes exploitent la religion islamique , dans le but d' en faire une base constituante qui empêchera toute révolte . Car tous soulèvement serait ainsi perçu comme Anti - Religieux . Et ainsi toute l' activité social d' un pays repose entièrement sur le livre saint .
Lorsque l' un de ses pays voit surgir une misère social , il l' occultera sans trop s' inquiété du sort de la population qui ne pouvant se révolté contre la constitution du pays ( coran ) se résignera jusqu' au jours ou une revolte surgira .
Et si vous regardez les révolutions des pays arabes , elles ont commencé par des pays laic ( Tunisie - Egypte ) , ou la religion tenait une place moindre dans les institutions . Mais ses mêmes régimes dit laïc profitaient tous de même du socle religieux pour conditionner leur peuples et lui enlever toute envie de se revolter .
Quand à Kadhafy , lui il s' identifie à un Prophète missionné par DIEU , c' est encore plus grave .
Le plan anti-Kadhafi des pays occidentaux est passé à la vitesse supérieure. Au 14eme jour d’une révolte sans précédent contre le régime du leader libyen, la communauté internationale emmenée par les Etats-Unis a engagé des sanctions financières et étudie l’option militaire. Les Etats-Unis, première armée du monde, sont en train de mobiliser spectaculairement leurs ressources contre le leader libyen. Les forces navales et aériennes américaines sont en plein déploiement autour de la Libye. La chef de la diplomatie Hillary Clinton a toutefois précisé qu’aucune action militaire impliquant des navires américains n’était prévue dans le pays. Ce déploiement militaire est donc officiellement engagé dans des visées humanitaires, mais à Washington, on assure que toutes les options étaient sur la table.
Interdiction de survol
Pour mettre fin à l’instabilité dans le pays, une interdiction de l’espace aérien été envisagée par plusieurs pays, notamment les Etats-Unis. En France, le Premier ministre François Fillon a indiqué que toutes les options étaient à l’étude, dont celle de l’interdiction du survol du territoire libyen qui nécessiterait toutefois l’implication de l’Otan et l’approbation de l’ONU.
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