~~Installé dans son atelier aux Philippines, l’artiste James Doran Webb nous invite à l’évasion grâce à ses majestueuses sculptures entièrement réalisées à partir d’une multitude de pièces de bois flottés façonnée au gré des marées et collectée le long des plages. Solidifiées par des armatures d’acier afin qu’elles supportent leur propre poids, ces œuvres imposantes fascinent par leur réalisme. Découvrez ces animaux figés en mouvement qui nous invitent à la sérénité. Originaire du comté du Devon, James Doran Webb a passé son enfance dans les ateliers de restauration d’ antiquités de ses parents avec lesquels il voyage régulièrement à la recherche d’objets d’art. À la fin de l’adolescence, il était déjà un antiquaire accompli mais également un talentueux ébéniste. C’est lors d’un séjour prolongé aux Philippines que sa vie prend un véritable tournant. L’artiste tombe immédiatement sous le charme de l’archipel : les paysages, la faune, l’océan et surtout la population locale et son don naturel pour la création artistique. Il a l’opportunité d’y installer son atelier et crée une société dédiée à la conception et la fabrication d’objets en bois à destination du vieux continent et de l’Amérique.
Il développe rapidement son activité et se spécialise dans les articles composés de fibres biologiques dans le respect de la fabrication artisanale et traditionnelle des philippines. Et c’est en cherchant de nouveaux matériaux que James Doran Webb découvre le bois flotté. En manipulant les différents morceaux de bois, il est fasciné par leurs mouvements naturels et leurs formes singulières obtenus par l’usure naturelle des marées. Il expérimente alors ses premières sculptures animales.
Mais travailler le bois flotté et être sûr que chaque pièce correspondra à l’ensemble de la sculpture n’ est pas une tâche aisée : « En travaillant avec toute mon équipe d’artisans, confie-t-il, il faut compter de 1000 à 3000 heures pour une sculpture à taille réelle, ceci dépendant de la complexité de l’armature et de l’anatomie du modèle ». Pour se fournir en bois, l’artiste joint l’utile à la solidarité puisqu’il travaille avec les populations locales pour se fournir en bois. L’artiste bénéficie à la fois du soutien de gouverneurs des îles de Philippines qui voit dans cette exploitation du bois flotté une source de revenus pour les villages les plus pauvres mais aussi un soutien envers une ONG engagée dans la collecte du bois de plages.
La grande quantité de bois flotté ainsi récoltée permet à l’artiste de trouver les pièces qui se prêtent le plus à la forme recherchée afin de donner à ses animaux un mouvement naturel et réaliste. L’artiste cherche avant tout à retranscrire la liberté qu’évoquent des animaux en mouvement. Cet esprit de liberté, James a essayé de le capturer et de le transmettre au grand public dans sa série de chevaux sculptés : « J’ imagine que les gens regardant ces trois purs-sangs galopants pourraient penser inconsciemment à la liberté, à l’énergie et à l’espace et pourraient même éprouver une grande envie d’ un parc lors d’une journée d’été« , exprime-t-il.
Sensible à la nature qui nous entoure, James Doran Webb souhaite que son art puisse éveiller des consciences à l’environnement : « Si je peux rendre une personne plus à l’écoute de la nature et de son impact sur nos vies, j’ en serais heureux. Je suis un fervent partisan du besoin de pratiquer un mode de vie durable pour donner aux générations futures une meilleure chance de survie ».
Et après avoir sculpté différents animaux réalistes, James Doran Webb s’est attaqué aux légendaires dragons et nous propose de découvrir ses deux vouivres de bois flotté (ou wyvernes). L’une, haut perchée sur un arbre mort, se nomme la Vouivre des Baobabs. L’autre, La folie de la Vouivre, trône sur un belvédère composé d’acier récupéré et de bouteilles d’eau recyclées. Ces deux imposantes créatures semblent prêtes à s’envoler pour terroriser les villages avoisinants… voyez par vous mêmes.
De l'hélium et du dioxyde de carbone (CO2) s'échappent du manteau de la terre sous la zone de faille de Newport-Inglewood (près de Los Angeles), ce qui laisse croire aux scientifiques que le "Big One" risque d'être encore plus dévastateur
Les chercheurs ont constaté que la faille est beaucoup plus profonde et que la présence d'hélium et de CO2 montrent qu'il y a des anomalies du manteau terrestre à cet endroit. Cette étude démontre que le manteau fuit plus à la zone de faille de Newport-Inglewood qu'à la faille de San Andreas, ce qui est une nouvelle découverte.
Depuis le résultat de cette étude, la Commission géologique a averti que le risque de l'arrivée imminente du "Big One" s'est accru de façon spectaculaire. Les chercheurs ont analysé les données les plus récentes du système complexe de l'état de failles géologiques actives et ils ont trouvé de nouvelles méthodes pour traduire ces données en probabilités de tremblement de terre. L'estimation de la probabilité que la Californie va connaître un séisme de magnitude 8 et plus dans les 30 prochaines années a augmenté d'environ 4,7% à environ 7.0%, disent les scientifiques.
La « fourmi aztèque » de nom scientifique Lasius neglectus est une espèce invasive qui serait originaire des steppes d’Asie Mineure et qui vit en super-colonie. Elles sont très agressives avec les espèces locales et elles se propagent rapidement dans toute l’Europe exterminant sur leur passage tous les insectes et araignées autochtones. Ces fourmis ne se contentent pas de ravager les cerisiers en fleurs, elles s’attaquent aussi, en masse, aux systèmes électriques, dans lesquels elles meurent tels des kamikazes !
Le récit de la propagation de cette fourmi invasive !
Elle a été repérée pour la première fois à Budapest en 1974, elle s’est ensuite très rapidement établie en Grèce, Géorgie, Bulgarie, France, Turquie, Roumanie, Espagne, Allemagne, Italie, Pologne et enfin en Belgique dans deux localités éloignées. Selon les scientifiques, l’apparition de cette espèce invasive résulte probablement de son introduction par inadvertance par les humains. Mais de part leur potentiel invasif élevé, cette espèce s’est multipliée assez rapidement à partir de sites infestés au point d’avoir envahit une bonne partie du contient européen.
La plus grande colonie se trouve en Ardèche !
En France, la vallée du Rhône est particulièrement touchée par l’expansion territoriale de l’espèce. La plus grande colonie serait présente dans la commune ardéchoise de Saint-Désirat, plus de 20 hectares ont déjà été conquis. Le développement de cette colonie, qui progresse de 10 à 100 m par an, a pour autre effet néfaste d’éliminer les espèces locales concurrentes, fourmis indigènes et autres insectes, et d’entretenir une population importante de pucerons qui s’attaquent aux productions fruitières et agricoles voisines.
Mais ces milliers de fourmis ne se contentent pas de ravager les cerisiers en fleurs, elles s’attaquent aussi, en masse, aux systèmes électriques, dans lesquels elles meurent tels des kamikazes. En effet, selon Hervé Hours, le président de l’association Saint-Désirat sans fourmis : « Les fourmis créent des courts-circuits, les moteurs des portails automatiques et des pompes de piscine sont détruits, les tableaux électriques hors d’usage ». Un comportement encore non expliqué ! Cette fourmi possède tout l’attirail du parfait conquistador; agressive et capable de survivre à une température moyenne de -5°C, avec un potentiel destructeur très important.
Sans évoquer la destruction du World Trade Center qui n' est pas une démolition controlé comme l' affirme les complotistes , voilà une compilation de démolition controlé .
Concernant l' ecroulement du World - Trade - Center vue sur la vidéo ci - dessous on remarque très bien que le point d' impact avec l' avion avait detruit les piliers et mur porteurs de l' Etage . Lorsque l' etage s' est affaissé , les 10 etages se trouvant au - dessus se sont alors tour affaissé en s' ecroulant et en faisant s' écroulé tous l' immeuble .
Evryle 11 avril. Cette voiture française est munie d’un bras télescopique montant à 3,50 m de hauteur. Idéal pour surveiller ce qui se passe dans une foule, sur des parkings. (DR.)
A son passage les « Gogo gadgetaumobile », « Transformers » ou « Robocop » fusent. Pourtant, Ce tout nouveau véhicule, qui semble tout droit sorti d’un film de science-fiction, est 100 % français et disponible à la vente pour les services de sécurité privés ou publics.
Il vient d’être testé par la police d’Evry lors du carnaval d’Evry, le 11 avril dernier. A cette occasion, l’appareil a volé la vedette aux chars qui défilaient vu le nombre de photos qui tournent depuis sur les réseaux sociaux.
Sa principale originalité, unique au monde, un bras télescopique qui propulse la cabine du conducteur à 3,50 m de hauteur. Idéal pour surveiller ce qui se passe dans une foule, sur un parking de supermarché... 100 % électrique, l’engin, fabriqué dans le Nord-Pas-de-Calais, peut rouler sur 80 km à la vitesse de 25 km/h.
La police municipale d’Evry a été la première à la tester en conditions réelles à l’occasion du carnaval. « La police municipale d’Evry est renommée comme étant attentive aux innovations et prête à participer à des tests de nouveaux matériels, explique Fabrice Vivier, le directeur marketing d’Iris France. Nous leur avons donc proposé de tester l’Iris Viséo en situation. »