|
[ Actualité ] [ therapie medicale ] [ Science ] [ OVNI ] [ Manipulation ] [ Paranormal ] [ Nanotechnologie ] [ Science Antiquité ] [ Robotiques ] [ Puces RFID ] [ Voyage dans le temp ] [ Religion ]
|
|
|
|
Un ascenseur pour voyager dans le temps à Manhattan
18/10/2015 17:21
![La vue sur le Manhattan de 1916, dans les ascenseurs du World Trade Center. [Reuben Hernandez - New York Times] La vue sur le Manhattan de 1916, dans les ascenseurs du World Trade Center.](http://www.rts.ch/2015/04/21/16/29/6719766.image?w=900&h=506)
http://vp.nyt.com/video/2015/04/20/33240_1_wtc_wg_360p.webm
Une attraction spectaculaire installée dans les cinq ascenseurs du nouveau World Trade Center à New York projettera les visiteurs dans plus de 500 ans d'histoire de la presque-île de Manhattan.
515 ans d'histoire en 47 secondes
Durant les 47 secondes nécessaires aux ascenseurs pour gravir les 102 étages de la nouvelle tour new-yorkaise, 515 ans d'histoire se déploieront sur les murs des cabines, recouverts d'écrans géants à haute définition.
Depuis les rochers du sous-sol de Manhattan en 1500, en passant par la première colonie européenne de la Nouvelle Amsterdam au 17e siècle et la construction de la cathédrale Saint-Paul dans les années 1760, les visiteurs pourront voyager jusqu'à l'urbanisation du 19e et du 20e siècle.
Les 40 ans d'existence de l'ancien World Trade Center, détruit par les attentats du 11 septembre 2001, sont représentés par la silhouette de la deuxième tour.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Un simple Agenda électronique pour déjouer les radars routiers
17/10/2015 07:48
C'est simple. A la portée de tous. Mais il fallait y penser. Les initiés s'échangeaient le tuyau sous le manteau. En exclusivité, Caradisiac vous dévoile l'astuce au grand jour. Pour être quasiment certain d'éviter tous les radars, automatiques et mobiles, il suffit d'avoir dans sa voiture un certain type de PDA (petit agenda électronique). Mode d'emploi détaillé avec Caradisiac.
Même si l’emplacement des radars automatiques a été largement diffusé dans la presse, il n’est pas évident d’être attentif à chaque déplacement. Sachant que la possession d’un détecteur de radar est sévèrement punie (l’article R413-15 du Code de la Route prévoit 1500 € d’amende, une suspension du permis pouvant aller jusqu’à 3 ans, le retrait de 2 points et même la saisie du matériel et de la voiture), on pouvait penser qu’il n’y avait pas d’autre solution que de se montrer vigilant. Des petits malins ont réussi à transformer un "vulgaire" PDA (Personnal Data Assistant) en détecteur de radars. Caradisiac vous dévoile en exclusivité la technologie utilisée.
A l’origine, le PDA est un agenda électronique qui permet d’organiser ses journées ou de mémoriser des carnets d’adresses. La technologie aidant, certains sont capables aujourd’hui de prendre des photos numériques. On peut y télécharger un grand nombre de données, les adresses d’hôtels, de restaurants etc. Et dorénavant de radars.
Voilà quelques mois, un fou d’informatique doublé d’un automobiliste malheureux de s’être fait flasher a eu l’illumination. Simple à mettre en œuvre, il suffit de créer une base de données contenant la géo-localisation de tous les radars en France et à l’étranger, de télécharger le tout sur son ordinateur personnel et le tour est joué.
Techniquement, le GPS repère grâce à 12 satellites géostationnaires qui gravitent autour de la terre. Pour effectuer une triangulation efficace, il est nécessaire d’avoir au minimum 3 satellites. Une fois localisé, le GPS croise les données avec les informations concernant les radars et prévient l’automobiliste par des sonneries.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Le téléphone Taser
04/10/2015 00:15

https://youtu.be/3P8sHyA_3Vo
À Rennes, une femme de 23 ans a été violemment agressée par son ex-petit ami équipé d'un appareil à impulsion électrique dissimulé dans une coque d'iPhone. Un type d'arme régulièrement saisi par les douanes françaises.
La semaine dernière, les policiers rennais ont eu la surprise de découvrir un nouveau type d'arme: un appareil à impulsion électrique camouflé dans un iPhone factice. Cette arme de fabrication artisanale a été conçue pour envoyer de très fortes décharges électriques à bout touchant dans le but de paralyser un individu. Ce sont les urgences du CHU de Rennes qui ont donné l'alerte vendredi dernier après avoir admis une jeune femme de 23 ans présentant de multiples traces de violences, dont de sérieuses brûlures au niveau du cou. Interrogée par les policiers, la victime a expliqué avoir été agressée par son ex-petit ami qui a utilisé une sorte de «Taser» pour l'immobiliser avant de la séquestrer et d'abuser d'elle
| |
|
|
|
|
|
|
|
La première bombe atomique était Nazi ?
03/10/2015 08:50
Grand éclair. Feu, beaucoup de morts tout de suite. Avec grandes brûlures. Beaucoup aveugles... » Oleg agonise. Mais avant de mourir de ses brûlures, ce prisonnier de guerre soviétique du camp de concentration nazi d’Ohrdruf, dans le centre de l’Allemagne, se confie à un compatriote en cherchant ses mots.
Il lui explique ce qui vient de se passer. La gigantesque explosion qui l’a aveuglé, avant de tout carboniser autour de lui. Sans le savoir, Oleg est l’une des premières victimes de l’ère atomique.
Comme plusieurs centaines d’autres cobayes, dont certains se sont littéralement volatilisés, il a été exposé à un test nucléaire organisé dans le plus grand secret par les nazis le 3 ou 4 mars 1945. Deux mois avant la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe.
A l’époque, les Allemands se replient de toutes parts. La défaite totale est proche. Reste un espoir pour les nazis : leurs « armes miracles » , ces avions, ces fusées ou ces sous-marins qui pourraient changer le cours de la guerre. Mais ce que Hitler attend avec le plus d’impatience, c’est un nouveau type d’explosif. Une bombe si puissante qu’elle « détruirait toute vie humaine dans un rayon de trois à quatre kilomètres du point d’impact » , explique le Führer en août 1944 à Ion Antonescu, chef de l’Etat roumain.
Une bombe tactique, d’une puissance moindre qu’à Hiroshima et Nagasaki
Les physiciens allemands y travaillent sans relâche depuis 1942. Depuis que l’état-major de la Wehrmacht et les SS ont libéré de gros budgets pour réaliser la bombe. Sans succès, prétendaient les alliés après la guerre, en ajoutant que les scientifiques nazis étaient très en retard sur leurs collègues américains et britanniques.
Faux, rétorque aujourd’hui Rainer Karlsch. Dans son livre “ La bombe de Hitler” , l’historien allemand prouve que les nazis ont testé plusieurs bombes nucléaires tactiques entre octobre 1944 et mars 1945. Soit bien avant les attaques américaines qui détruiront les villes japonaises d’Hiroshima et de Nagasaki en août 1945.
Mais, précise d’emblée le chercheur berlinois, le potentiel de destruction de la bombe nazie était bien inférieur à celui des deux bombes atomiques américaines. La raison en est simple : les Allemands n’avaient pas assez de matériaux fissibles, comme l’uranium enrichi par exemple, pour construire des bombes A.
Mais ce n’était qu’une question de temps. Si les nazis avaient pu prolonger la guerre d’une année, ils auraient très certainement disposé d’armes aussi dévastatrices que celles des Américains.
Un éclair très vif, rougeâtre à l’intérieur, jaunâtre à l’extérieur
Mais revenons à cet essai nucléaire dont Staline saura tout dès le 23 mars, grâce aux rapports de ses espions, qui décrivent avec précision l’onde de choc, les hautes températures, les bâtiments soufflés et les prisonniers de guerre anéantis. Cläre Werner, une habitante de la région d’Ohrdruf, raconte qu’elle a vu vers 21h30 un éclair très vif, rougeâtre à l’intérieur, jaunâtre à l’extérieur.
Il a illuminé le paysage de telle sorte qu’elle aurait pu lire le journal sans problème. Un autre témoin parle des habitants des environs qui, les jours suivants, souffrent de migraine et qui crachent du sang. Il décrit aussi les effets dévastateurs de la bombe, notamment sur les 700 ou 800 prisonniers de guerre sacrifiés à cette occasion.
“ Plus aucun cheveu, des cloques de brûlure, les chairs nues et à vif”
“ Tous ces gens n’avaient plus aucun cheveu. Certains avaient des cloques de brûlure sur la peau, les chairs nues et à vif...” D’autres témoins prétendent que des sentinelles SS ont été tuées lors de l’essai. Preuve que les nazis avaient été dépassés par la force de leur création, qu’ils appelaient “ bombe de la désagrégation” , comme l’a entendu le correspondant de guerre Luigi Romersa en octobre 1944.
Ce journaliste italien avait été envoyé par Mussolini pour constater de visu les avancées technologiques allemandes. Il se trouvait alors sur un autre site d’essai nucléaire, l’île de Rügen dans la mer Baltique. “ Nous avons ressenti un véritable tremblement de terre” , témoigne-t-il dans le livre de Rainer Karlsch. “ Nous avons vu très clairement un éclair, une lumière incandescente, puis une grande paroi de fumée s’est dressée devant nous.”
Une “ arme miracle” ... que la Wehrmacht a finalement renoncé à utiliser
Alors pourquoi les Allemands n’ont-ils pas utilisé leur “ arme miracle” ? Selon l’historien allemand, la bombe nucléaire nazie n’était pas prête pour une application militaire. Il lui manquait notamment un vecteur, un avion ou une fusée, pour bombarder les villes ennemies. En outre, les pontes nazis, à la différence de Hitler, ont compris, dès la fin du mois de mars 1945, que les quelques armes atomiques qu’ils pourraient fabriquer n’arrêteraient pas l’avancée des Soviétiques, des Américains et des Britanniques.
Et, surtout, leur utilisation sur le front aurait provoqué la vengeance des alliés, qui auraient eu beau jeu de détruire l’Allemagne sous un tapis de bombes... traditionnelles. La guerre était perdue. Il fallait arrêter les frais et éviter, si possible, le peloton d’exécution pour crime de guerre.
Une longue enquête, qui aboutit grâce à des fonds d’archives inexploités
L’historien Rainer Karlsch reçoit en 2001 une lettre qui l’énerve. Dans ce courrier, le journaliste Heiko Petermann, qui enquête sur d’éventuelles expérimentations de bombes atomiques dans le Reich, lui demande s’il sait de combien de tonnes d’uranium disposaient les nazis durant la guerre.
“ J’eus l’impression qu’il se moquait de moi” , résume le chercheur allemand qui, comme la majorité des spécialistes de la période, estimait impossible qu’Hitler ait pu développer une arme nucléaire. Et pourtant Petermann présente à Karlsch des témoins certifiant qu’ils ont vu un brillant éclair de lumière et une colonne de fumée en mars 1945.
Dans un premier temps, Karlsch doute de ces informations. Les physiciens allemands n’avaient-ils pas fait tout leur possible pour torpiller le projet de bombe atomique nazie ? Ils l’avaient d’ailleurs juré sur l’honneur aux alliés qui les avaient fait prisonniers après la guerre.
Devant le manque de preuves, l’historien doute, mais se prend tout de même au jeu. Avec succès. Après plusieurs années de recherche dans des fonds d’archives inexploités en Allemagne, mais aussi en Russie et en Angleterre, il découvre des documents inédits démontrant que les scientifiques nazis savaient ce qu’était une bombe au plutonium.
Une activité nucléaire détectée sur les sites concernés
Il se rend aussi compte que de nombreuses preuves ont été détruites par ces mêmes scientifiques. Histoire de conserver leur place dans la communauté scientifique internationale. Mais c’est sur le terrain, là où les bombes auraient explosé, que Karlsch trouve la preuve d’une activité nucléaire. Des scientifiques analysent les sols et confirment la présence, entre autres, de césium 137 et de cobalt 60.
La boucle est bouclée, même s’il manque encore la preuve visuelle des essais, regrette l’historien, en ajoutant qu’un film au moins a été tourné lors d’une des explosions et qu’il est tombé dans les mains de Staline en 1945. Mais voilà, il s’est perdu dans les archives russes. Officiellement du moins.
| |
|
|
|
|
|
|
|
UNGOVERNED : PLUS QU'UN SKATE, UN VÉRITABLE TANK À CHENILLES !
26/09/2015 09:34

https://youtu.be/V2khX4r3A44
https://youtu.be/vAIG8cygZ_c
Un véritable 4X4 qui s'appelle "UNGOVERNED" crée par Dan Baldwin dont le concept plutôt original est d'être monté sur des chenilles. Un véritable char d'assaut compact et robuste alimenté pour le moment par un moteur à essence mais qui sera bientôt électrique nous dit son concepteur.
Que vous soyez dans la neige, sur la sable ou sur des rochers, vous continuerez d'avancer avec cette board révolutionnaire. Pour le moment, le projet de l'australien n'a pas encore dépassé le stade de prototype mais l'idée plait beaucoup et c'est en bonne voie de développement.
Ce skateboard de forêt mesure 1,390 m de long pour un poids de 49 kg, moins lourd qu'un tank et moins encombrant également.
| |
|
|
|
|