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Science Futuriste

VIP-Blog de bm7
bnj.777@hotmail.fr

  • 130 articles publiés dans cette catégorie
  • 398 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 11/12/2010 11:43
    Modifié : 18/12/2021 17:29

    Garçon (50 ans)
    Origine : PARIS
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    Vers la conception de l' intelligence artificiel

    14/06/2012 06:45



    http://www.youtube.com/watch?v=OXLTM4t5TeM&feature=player_detailpage

    Au bout de deux ans de travaux, les chercheurs de Big Blue et de plusieurs universités américaines viennent de dévoiler des prototypes de puces dont le fonctionnement est inspiré de celui de notre cerveau.

     
     
    Il s'agit là des tout premiers fruits du projet Synapse, un programme fort ambitieux de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA, l’agence de recherche et développement de l’armée américaine), dont l'objectif est de repenser le fonctionnement des ordinateurs. Comme dans les PC classiques, ces puces de silicium sont conçues avec de bons vieux transistors. Mais ceux-ci sont disposés d'une façon très originale, qui imite la structure de notre matière grise : chaque puce intègre dans son cœur à la fois les modules de calcul – 256 « neurones » tournant à 10 MHz – et la mémoire, sous la forme de « synapses » (à l'image des zones de connexion des neurones dans notre cerveau).  
    Dix mégahertz, c'est une vitesse ridicule par rapport à celle de nos machines actuelles. Mais, contrairement aux processeurs de nos ordinateurs, les puces d’IBM sont capables de travailler de façon « massivement parallèle » et ainsi d’effectuer de nombreuses tâches simultanément, tout en consommant très peu d’énergie. Les « synapses », quant à elles, font office de mémoire. L’une des puces en contient 262 144 programmables, une autre 65 536, capables d'« apprendre ».

    Les puces retiennent la leçon

    L’apprentissage : voilà en effet l’autre particularité de cette conception innovante. Sur un des prototypes d’IBM (et comme dans notre cerveau), les « neurones » peuvent se connecter et se déconnecter dynamiquement à différentes synapses, en fonction des stimuli (autrement dit des données) qui lui sont envoyés. En pratique, ces puces sont donc capables de se souvenir, de mettre à profit leur expérience et de réagir à des changements dans leur environnement en tissant des liens toujours plus forts avec d’autres neurones et synapses, ou au contraire en affaiblissant leurs liens. IBM a indiqué qu'elles ont, dans ses expériences, appris à jouer à Pong par elles-mêmes, à conduire sur une piste simple et à reconnaître des images.
    Que l’on ne s'y trompe pas, cependant : HAL, l’ordinateur machiavélique de 2001 : L’Odyssée de l’espace, ne sortira sans doute pas du projet Synapse. La puce d’IBM contient 256 neurones, tandis que notre cerveau en compte 100 milliards. L’objectif à long terme d’IBM n’est pas de créer un cerveau humain numérique, mais un système déjà ambitieux contenant 10 milliards de neurones et une centaine de billions de synapses.

    Des machines qui interagiront avec leur environnement

    Le fabricant ne voit d’ailleurs pas dans ces puces « cognitives » des remplaçants de nos processeurs, mais plutôt un outil complémentaire. A moyen terme, à défaut de résoudre le paradoxe de Moravec, elles pourraient notamment permettre d’inventer des machines bien plus intelligentes et économes en énergie. IBM cite par exemple des feux de circulation qui « pourraient intégrer la vue, l’ouïe et l’odorat et prévenir un désastre. Ou des coprocesseurs cognitifs qui permettront aux serveurs, portables, tablettes et téléphones de mieux interagir avec leur environnement ».




     
     


     

    Un drone pour vous suivre à la trace

    09/06/2012 06:39



    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=zivyJ05VuAA

    Certaines personnes ont du mal à garder un rythme constant, en particulier lorsqu'ils courent seuls. C'est pour eux que des chercheurs australiens ont pensé qu'un drone hélicoptère (toujours la mode des « quad-rotors ») pouvait représenter une aide appréciable : Joggobot.


    Les chercheurs  ont utilisé un drone français (Parrot) et conçu un logiciel afin que le drone soit programmé pour suivre des couleurs orange et bleues sur le T-shirt du coureur. Le drone est censé léviter à un mètre du sol et avancer (s'il perd le « signal » du coureur, il se pose). Maintenant, on se demande si le drone doit être davantage un « coach » ou un « animal domestique », afin d'obtenir la meilleure efficacité. Bref, ce n'est encore qu'un concept ... un peu « gadget ».

    Lorsque  les  militaires  s'  interresseront  à    se  genre  de  drone  alors   il  sera  amené  à  se  perfectionné  dans  les  années  avenir  avec   comme  options  suplémentaires  , l' integration  d' une camera , d' un appareil photo  et  probablement  d' une  arme  tueuse  ou  paralysante  .

    Ses  drones   fonctionneront  par  Antigravité  . 





     
     


     

    Mise en production du Drone marin Piranha

    31/05/2012 06:55



    http://www.youtube.com/watch?v=3dwPXkp1ues&feature=player_embedded

    La société américaine Zyvex Marine a mis en production son drone marin de surface Piranha.

    Comme son prototype, le Piranha est en Arovex, la fibre de carbone nano-augmentée brevetée par Zyvex. Ce matériau est plus léger que la fibre de verre ou l’aluminum. Le bateau, long de 16 mètres, a une consommation d’essence de 45,4 litres par heure en vitesse de croisière (44 km/h). Cela représenterait 75% d’économie par rapport à un bateau « traditionnel », qui consomme 189 litres de l’heure; son rayon d’action en est décuplé. En somme, ce bateau de 3 600 kg peut transporter 6 800 kg de charge utile à une distance de 4 000 km. L’équipage peut donc rester au sol, à n’importe quel point du globe, affirme la société.

    La société a annoncé deux nouvelles plateformes basées sur le Piranha : le LRV-11 et le LRV-17. Ces deux versions peuvent être habitées ou inhabitées.

    Dans un monde que Zyvex voit rempli de pirates et de terroristes des mers, son bateau réaliserait des missions d’escorte, mais aussi des frappes soudaines et furtives, rôdant silencieusement pendant des jours ou des semaines avant de lancer des missiles Hellfire ou des torpilles Mark 54. Ou encore, il pourrait servir à déminer.

    Si Zyvex reconnaît que de nombreuses missions nécessitent une présence humaine, l’envoi de plateformes inhabitées permet de gagner du temps avant l’arrivée d’hommes.





     
     


     

    Les USA developperaient de nouveaux drones nucleaires

    16/04/2012 19:34



    Des chercheurs américains ont élaboré des plans pour une nouvelle génération de drones à propulsion nucléaire, capables de survoler les régions éloignées du monde pendant des mois sans ravitaillement.

    Les plans pour le nouveau drone qui ont été mis au point par le Sandia National Laboratories, qui est l’agence principale de recherche et développement en nucléaire du gouvernement des États-Unis, ainsi que le contractant à la défense Northrop Grumman, ont été conçus pour augmenter le temps de vol « de quelques jours à quelques mois », tout en laissant plus de puissance disponible pour faire fonctionner le matériel, selon un résumé du projet publié par Sandia.

    « C’est une perspective assez terrifiante », a déclaré Chris Coles de Drone Wars au Royaume-Uni, qui milite contre l’utilisation croissante des drones à des fins militaires et civiles. « Les drones sont beaucoup moins sûrs que les autres aéronefs et ont tendance à se crasher beaucoup. Il y a un effort important de cette industrie pour accroître l’utilisation de drones alors que le public et les gouvernements ont du mal à comprendre les conséquences. »

    Les recherches hautement sensibles dans ce que l’on appelle les « technologies d’ultra-persistances» sont utilisées pour résoudre les trois problèmes liés aux drones : « hang time » insuffisant sur une cible potentielle, manque de puissance pour utiliser des systèmes d’armes et pour faire de la surveillance sophistiquée à cause du manque de capacités de communication.

    L’équipe de Sandia-Northrop Grumman a examiné de nombreux systèmes d’alimentation différents pour les drones de grandes et moyennes tailles avant de choisir une solution nucléaire. Northrop Grumman est connu pour avoir breveté un drone équipé d’un réacteur nucléaire refroidi à l’hélium dès 1986, et a déjà travaillé sur des projets nucléaires avec le laboratoire américain de l’Air Force Research. Des projets d’avion à propulsion nucléaire sont connus pour remonter aussi loin que les années 1950.

    L’équipe de recherche a constaté que les drones nucléaires étaient en mesure de fournir une surveillance beaucoup plus longue en temps et de fournir beaucoup plus de renseignements par mission par rapport à d’autres technologies, ainsi que de réduire considérablement les coûts des systèmes de soutien – ce qui élimine la nécessité, par exemple pour des bases avancées, de fournir du carburant dans des zones reculées et potentiellement hostiles.

    Le  travail sur le sujet est pour l’instant en pause, en raison du fait que l’opinion publique n’acceptera pas l’idée d’une telle technologie potentiellement dangereuse, avec les dangers inhérents à un accident, soit – en transformant le drone en une bombe dite sale – ou dans le cas ou son système de propulsion nucléaire tomberait entre les mains de terroristes ou des pouvoirs hostiles.

    Sandia a confirmé que le projet avait été achevé : « Sandia est souvent sollicité pour examiner un large éventail de solutions aux défis techniques les plus difficiles. La recherche sur ce sujet est très théorique et très conceptuelle. Le travail a seulement abouti à une étude de faisabilité préliminaire et … aucun matériel n’a jamais été construit ou testé. Alors le projet a pris fin. »

    Selon un résumé de la recherche publié par la Fédération of American Scientists, un organisme de think tank indépendant, des projections sur ordinateur ont été utilisées pour tester les concepts. « Sur les exigences et les orientations fournies par Northrop Grumman, Sandia a effectué des études ciblées pour traduire les besoins exprimés via des études de conception et des processus qui pourraient être transférés facilement de Sandia à l’industrie de conception et au personnel de production, » dixit le document.

    Aussi sensible que soit la question, le résumé ne précise pas le fait qu’il se réfère à un drone à propulsion nucléaire, se référant à la place à des « technologies de propulsion à la puissance qui allaient bien au-delà des technologies existantes d’hydrocarbures ». De plus, l’investigateur principal du projet à Sandia, le Dr Steven Dron, est bien connu comme un spécialiste de la propulsion nucléaire, après avoir co-présidé une séance lors du Symposium 2008 sur la propulsion nucléaire et l’espace qui s’est tenu à l’Université du Nouveau-Mexique en 2008.

    Le résumé de la recherche a également déclaré que les résultats « devaient être utilisés dans la prochaine génération de véhicules aériens sans pilote utilisés pour des applications militaires et de renseignements », où ils « auraient fourni des performances système inégalées par d’autres technologies existantes ».

    Il a ajouté qu’« aucun des résultats ne seront utilisés à l’avenir à court terme ou à moyen terme », en raison de contraintes politiques.

    L’impact potentiel des drones à propulsion nucléaire peuvent être évalués en les comparants avec des avions existants tels que le MQ-9 Reaper, qui est largement utilisé en Afghanistan et au Pakistan dans les opérations contre les insurgés. Le Reaper porte actuellement près de deux tonnes de carburant en plus d’un poids similaire de munitions et autres équipements et peut rester en vol pendant environ 42 heures, ou seulement 14 heures à pleine charge avec des munitions.

    L’tilisation de l’énergie nucléaire permettrait au Reaper non seulement de rester en suspension pendant beaucoup plus longtemps, mais de transporter plus de missiles ou d’équipements de surveillance, et de renoncer à la nécessité d’équipes au sol dans les zones reculées et dangereuses.

    Coles croit que la sophistication croissante des drones fait planer de nombreuses menaces : «  Comme ils deviennent à faible coût et à faible risque comme alternatives à la guerre conventionnelle, le seuil de leur engagement va inévitablement tomber et les conséquences ne sont pas mûrement réfléchies. »





     
     


     

    Le robot qui saute comme une puce

    31/03/2012 08:56



    http://www.youtube.com/watch?v=6b4ZZQkcNEo&feature=player_embedded

    La « puce des sables » (Sand Flea) ne paie pas de mine à première vue. On dirait un jouet de voiture radiocommandé, style 4*4. Effectivement, cet engin de 5 kilos roule comme ces jouets. Sauf si un obstacle de taille se présente (ou une chute éventuelle)...


    La voiture comporte un système de stabilisation durant son « vol » afin d'atterrir correctement. Son nom de « puce » est bien trouvé : la voiture est ainsi capable de sauter de manière impressionnante (jusqu'à 10 mètres de haut). Rien ne l'arrête. C'est une section de la US Army (Rapid Equipping Force) qui finance cette recherche auprès de Boston Dynamics (oui ! Ce sont les mêmes qui fabriquent ces robots bipèdes ou quadrupèdes qui nous font froid dans le dos).





     
     

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