http://www.youtube.com/watch?v=kbytE_FAZuA&feature=player_embedded

Imaginée sous une forme d’oeuf, cette ‘voiture’ se déplace grâce à la force magnétique et se met littéralement à flotter. 

Si  je  laisse  la  phrase  ci - dessus  sans  préciser  que  c'  est  un  montage  ,  vous  y auriez  cru  ??

L’opération au cours de laquelle Oussama Ben Laden a été tué et qui s’est déroulée au Pakistan, le 1er mai, a mobilisé plusieurs hélicoptères à bord desquels avaient pris place le commando des Navy Seals du Joint Special Operation Command (JSOC).

Au moment de l’attaque du complexe qu’habitait le chef d’al-Qaïda, à Abbottabad, un des appareils a été endommagé au point qu’il n’a pas pu redécoller. La décision a alors été prise de le détruire sur place. Seulement, les débris photographiés par la suite ont éveillé la curiosité car ils semblaient provenir d’un hélicoptère inconnu.

Par ailleurs, les témoins de l’opération ont affirmé qu’ils n’avaient pas entendu et vu arriver les appareils du commando. D’où l’hypothèse de l’existence d’un programme secret (black program) d’hélicoptère furtif mené pour les besoins des forces spéciale américaines.

Les débris laissés par la destruction de l’hélicoptère endommagé à Abbottabad laissent penser que l’appareil devait avoir une cellule modifiée afin de réduire sa signature radar et disposer de systèmes permettant de réduire le bruit des pales et de ses moteurs.

« C’est une première. Vous ne savez pas ce qui est en train d’arriver sur vous. Et c’est ce qui est important. Car ces appareils arrivent vite et à très basse altitude et si le bruit ne vous permet pas de savoir qu’ils se dirigent vers vous, vous ne pouvez pas réagir avant qu’il soit trop tard… Cela a clairement été une part du succès de l’opération » a expliqué Dan Goure, un expert du Lexington Institute, interrogé par ABC News.

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=w6-fDK1Uvms

John Titor, c’est d’abord l'un des pseudonymes les plus connus sur le web : John Titor est en effet une véritable légende urbaine.

Pourtant, personne ne connaît sa véritable identité. Sur de nombreux forums, John Titor a posté des messages en 2000-2001, dans lesquels il prétend être un voyageur temporel en provenance de 2036.

Titor a motivé ses interventions, notamment par le souhait d’évaluer les réactions du public face à un voyageur temporel.

Son premier article date du 2 novembre 2000, posté sous le nom de « Timetravel_0 », quelques messages plus tard le visiteur utilisera le pseudo : « John Titor ». Le 21 Mars 2001, John Titor a posté son dernier message, indiquant à ses nombreux lecteurs qu’il retournait en 2036.

Depuis, la légende de John Titor n’a cessé d’engendrer des réactions et des créations : un livre, une pièce de théâtre, ainsi que de nombreuses pages web où l’on argumente pour ou contre la réalité de l’existence de John Titor. Hollywood planche sur des scénarios et des rumeurs circulent sur la sortie prochaine d’un film à gros budget.

Les spéculations et les investigations sur John Titor vont bon train.

Les affirmations de Titor sont marquantes, car elles sont bien écrites, élaborées et logiques ; certaines sont mêmes accompagnées de « preuves » photographiques. Quand ses détracteurs commencèrent à se faire plus insistants, l’une des premières choses qu'il fit fut de publier des photos de sa machine à voyager dans le temps et son manuel d'exploitation.

Titor a décrit son vecteur temporel comme une "machine de type C204 à distorsion de gravité construite par General Electrics en 2034 ".Elle pèserait environ 300 Kgs et a été installée dans un cabriolet Chevrolet Corvette de 1966.

Titor affirme être un soldat recruté par un projet gouvernemental de voyage temporel. Il aurait été envoyé en 1975, pour retrouver un IBM 5100 qu'il affirmait être nécessaire pour surmonter un bug prévu pour 2038. Après avoir accompli sa mission, John Titor dit s’être « dirigé » vers l'an 2000 afin de rendre visite à sa famille et de (re)vivre le passage du millénaire.

Alors qu’il retournait en 2036, il dit avoir profité d'une fenêtre favorable ouverte en 2001, pour voir sa famille en 2000…

Le voyage dans le temps

Selon Titor, la nature du voyage temporelle est possible et n’est pas incompatible avec la structure physique de l’univers. Il fait ainsi référence au modèle Everett-Wheeler, une interprétation de la physique quantique aujourd’hui validée.

Everett et Wheeler sont deux physiciens américains célèbres pour leur hypothèse des mondes multiples ou « multivers ». L’une des conséquences de leur modèle est cruciale : l'univers (ainsi que l'observateur lui-même) fourche à chaque superposition linéaire d'état quantique sans que les lois fondamentales en soient changées.

En clair, il n’existe pas de présent universel de l'Univers, celui-ci étant toujours relatif à un observateur donné. Tous les événements qui peuvent avoir plus d’un résultat se traduiront par la réalisation de chaque résultat possible, et chaque possibilité est le point d’origine d’un univers parallèle.

La pertinence de ce voyage dans le temps selon Titor s’explique donc par le fait que le voyageur n’entre pas dans son propre passé. En revanche, le voyageur temporel circule sur les lignes d’univers étroitement liés donc accessibles, mais qui ne s’interpénètrent

Deux équipes du CNRS et de l'Université de Strasbourg, menées par Nicolas Giuseppone 1 et Bernard Doudin2, ont réussi à fabriquer des fibres plastiques fortement conductrices, de quelques nanomètres d'épaisseur. Ces nano-fils, qui font l'objet d'un brevet déposé par le CNRS, se construisent « tout seuls » sous la seule action d'un flash lumineux ! Peu coûteux à obtenir et faciles à manipuler contrairement aux nanotubes de carbone3, ils allient les avantages des deux matériaux utilisés à ce jour pour conduire le courant électrique : les métaux et les polymères organiques plastiques4. En effet, leurs remarquables propriétés électriques sont proches de celles des métaux.

De plus, ils sont légers et souples comme les plastiques. De quoi relever l'un des plus importants défis de l'électronique du 21e siècle : miniaturiser ses composants jusqu'à l'échelle nanométrique. Ces travaux sont publiés le 22 avril 2012 dans l'édition en ligne avancée de la revue Nature Chemistry. Prochaine étape : démontrer que ces fibres peuvent être intégrées industriellement dans des appareils électroniques comme les écrans souples, les cellules solaires, etc.

Lors de précédents travaux publiés en 20105, Nicolas Giuseppone et ses collègues étaient parvenus à obtenir pour la première fois des nano-fils. Pour ce faire, ils avaient modifié chimiquement des molécules de synthèse utilisées depuis plusieurs dizaines d'années dans l'industrie pour le processus de photocopie Xerox® : les « triarylamines ». A leur grande surprise, ils avaient observé qu'à la lumière et en solution, leurs nouvelles molécules s'empilaient spontanément de manière régulière pour former des fibres miniatures. Ces fils longs de quelques centaines de nanomètres (1 nm = 10-9 m, soit un milliardième de mètre), sont constitués par l'assemblage dit «supramoléculaire » de plusieurs milliers de molécules.

Les chercheurs ont ensuite étudié en détail, en collaboration avec l'équipe de Bernard Doudin, les propriétés électriques de leurs nano-fibres. Cette fois-ci, ils ont mis leurs molécules en contact avec un microcircuit électronique comportant des électrodes en or séparées de 100 nm. Puis ils ont appliqué un champ électrique entre celles-ci.

Premier résultat important : sous l'action d'un flash lumineux, les fibres se construisent uniquement entre les électrodes. Seconde donnée surprenante : ces structures aussi légères et flexibles que les plastiques se sont révélées capables de transporter des densités de courant extraordinaires, supérieures à 2.106 Ampère par centimètre carré (A.cm-2), approchant celles des fils de cuivre. Cela, avec des résistances d'interfaces avec les métaux6 très faibles : 10 000 fois inférieures à celle des meilleurs polymères organiques actuels.

Désormais, l'objectif des chercheurs est de démontrer que leurs fibres peuvent être intégrées industriellement dans des appareils électroniques miniaturisés tels que les écrans souples, cellules solaires, transistors, nano-circuits imprimés, etc.


© M. Maaloum, ICS (CNRS).

http://www.youtube.com/watch?v=V0NiD9ZBq3s&feature=player_embedded

Des impulsions électriques contre la migraine

Le nouveau système, baptisé Cefaly, est un appareil qui veut soigner par électrothérapie, c'est-à-dire en se servant du courant électrique. Dans le cadre de la lutte contre la migraine, il s'agit de créer un influx d'électricité dans les nerfs, qui ne peuvent alors plus transmettre le signal de la douleur. La sensation de douleur disparaît alors, de facon plus ou moins durable. Pour les créateurs de l'appareil, son utilisation permet de maîtriser une crise dès les premiers symptômes, mais aussi de diminuer la fréquence des crises si l'on utilise régulièrement l'appareil, qui a aussi une action de fond, et une action anti stress.

A quoi ressemble cet appareil contre la migraine?

Il s'agit d'une sorte de serre-tête. Une électrode est collée sur le front, l'appareil est posé dessus, et les impulsions électriques sont ainsi transmises à travers la peau. Le prix élevé de l'appareil (un peu moins de 300 €) comprend des électrodes, un étui et un manuel d'utilisation en plus de l'appareil lui-même. A partir de son achat, vous aurez toute liberté pour utiliser l'appareil; les séances de lutte contre la migraine durent 20 minutes et les stimulations électriques vont en augmentant jusqu'à la fin (l'appareil s'arrête de lui-même). Il existe trois programmes différents (traitement de crise, traitement de fond et anti-stress) que vous pouvez sélectionner; et si la stimulation devient trop forte vous pouvez en diminuer l'intensité - ou mettre directement fin à la séance.

Une caution scientifique pour ce type de traitement?

L'électrothérapie est utilisée depuis assez longtemps, et avec succès, pour lutter contre la migraine. Le Cefaly lui-même vient précédé d'une étude scientifique - mais les études organisées par des fabricants sont évidemment toujours sujettes à caution. Nous avons cependant interrogé une neurologue  spécialiste de la douleur, qui nous a dit penser la technique prometteuse. La seule chose qui manque, c'est une preuve que l'électrothérapie délivrée par ce petit appareil à domicile a aussi l'efficacité de celle qui est utilisée à l'hôpital. Le Cefaly, lancé en mars 2008, n'a en tout cas pas encore pu faire ses preuves sur un nombre suffisant de personnes pour être considéré comme une méthode scientifiquement prouvée. Mais c'est une alternative de plus dans la lutte contre la migraine