The Miracle Machine est un dispositif qui permet à n’importe qui de créer son propre vin à la maison en accéléré en seulement quelques jours. Tout ce dont vous avez besoin se résume à cette machine, de l’eau, quelques ingrédients et une application sur votre smartphone.
Pour se transformer en « artisan-producteur » de vin, il suffit d’installer l’application « The Miracle Machine » sur votre iPhone, de sélectionner le style de vin souhaité (Cabernet Sauvignon, Chardonnay, Pinot Noir, Sauvignon…) et son « caractère » et de suivre la recette. Connecté à la machine via Bluetooth, le smartphone va suivre la progression de la vinification.
En trois jours ou plus selon le type choisi, votre vin « fabriqué maison » sera prêt pour la consommation.
Côté ingrédients, les concepteurs de The miracle Machine ont tout prévu. Ils fourniront différents kits de vinification contenant le concentré de raisin, les levures et les autres ingrédients nécessaires à la fabrication du vin sélectionné.
The Miracle Machine se présente sous la forme d’une amphore high-tech. Ce système de vinification accélérée embarque un moteur pour mélanger les ingrédients, une chambre de fermentation, un dispositif de chauffage thermoélectrique et une unité de contrôle du processus et du taux de sucre.
Impossible pour le moment de tester le résultat mais j’avoue avoir un léger doute quant à la qualité du vin issu de ce système de vinification accélérée.
Selon Mashable, pour financer leur projet et lancer la commercialisation, les inventeurs de cette machine prévoient de lancer une campagne de crowdfunding. Le prix de vente public de The Miracle Machine devrait être fixé à 499 dollars hors ingrédients.
Chappie est un film Sud - Africain qui met en scène une société ou le robot prend de plus en plus d' importance . Une société à mis au point une série de robot dont elle vend les service à la police .
L' inventeur de toute cette machinerie souhaiterait testé un nouvel algorythme qui permettrait à un robot d' apprendre comme un enfant qui grandi ?
Et ce robot doté de ce nouvel algorythme developpe son intelligence en fonction de son environnement . Ce qui lui permit d' acquérir de plus en plus de connaissances qui le differentie des robots existants .
Dans le futur , un savant fou pourrait très bien concevoir un tel robot mais qui serait doté d' un vrai cerveau biologique animal ( Chien - Chat - Lion ) .
Des robots de plus en plus intelligents qui remplaceront progressivement l' homme dans plusieurs secteurs . Aujourd' hui ces robots sont encore à l' étude experimental . Mais dans le futur , ils acquièront beaucoup plus d' agilité grace au developpement d' un nouveau genre de muscle constituée de fibre en un aliage ferreux .
L' avènement de batterie solaire d' un nouveau genre leur permettront de fonctionné de jour comme de nuit grace à un système de rechargement .
C' est la vision que je me fait de la robotique .
la grande majorité de ces robots seront enveloppé d' une peau synthétique qui leur donnera une apparence humaine .
S’inspirant des techniques utilisées par les humains pour déplacer des objets volumineux ou lourds, une équipe de l’université de Tokyo (Japon) a appris au robot humanoïde HRP-2 comment se servir de son corps pour exercer une poussée plus efficace.
Les déménageurs professionnels maîtrisent des techniques qui leur permettent de déplacer des meubles très lourds et encombrants en ne se servant que de leur corps. Ils savent comment utiliser certaines postures grâce auxquelles ils pourront faire glisser l’objet sur le sol en jouant notamment sur la puissance des jambes et la cadence des pas.
Une équipe de chercheurs du JSK Laboratory de l’université de Tokyo a trouvé le moyen d’apprendre ces techniques empiriques à un robot humanoïde. La charge qu’un robot peut transporter ou déplacer est notamment conditionnée par la puissance de ses moteurs et la mobilité de ses articulations. Mais, comme les humains, il peut apprendre à compenser en utilisant son corps pour optimiser sa puissance de poussée.
Le robot sait compenser comme un humain
Il existe plusieurs façons de procéder pour déplacer une masse volumineuse ou pesante en la faisant rouler ou glisser sur le sol. Selon la taille et la forme de l’objet, on peut utiliser une épaule, les hanches ou bien plaquer son dos avec les jambes repliées dans la position de la chaise afin de pousser à reculons. Les chercheurs ont créé une base de données avec ces postures qui sont classées par ordre croissant en fonction de la puissance de poussée.
Lorsqu’il doit déplacer quelque chose, le robot procède comme un humain, en évaluant la difficulté de sa mission. Il commence par essayer de pousser avec ses bras et, si cela ne suffit pas, il adopte différentes postures jusqu’à trouver celle qui lui permet de faire glisser la charge. Cet HRP-2 sait aussi adapter la cadence de ses pas à la vitesse de déplacement de l’objet en mesurant l’inclinaison de son corps. Par exemple, si l’objet bouge lentement, le robot effectue de petits pas. Cette innovation n’a pour le moment pas vocation à être appliquée de façon concrète. Mais elle ouvre la perspective de voir un jour des robots polyvalents, capables d’effectuer des tâches pour lesquelles ils n’ont pas été spécifiquement conçus, en s’adaptant aux conditions qu’ils rencontrent.
Payer au moyen d'une empreinte digitale, c'est possible aujourd'hui déjà. Mais s'il n'en tient qu'à Mastercard, le contrôle des paiements par la voix, le doigt ou le selfie deviendra tout à fait normal dans quelques années.
L'entreprise de cartes de crédit déploiera la prochaine génération de solutions d'authentification biométriques à partir de 2016. A l'horizon 2020, elle s'attend à ce que ces solutions soient absolument entrées dans les moeurs pour le contrôle des paiements.
"Il s'agira d'une réelle avancée pour les clients. Un balayage du doigt est quand même plus agréable qu'un login sur un petit écran", déclare Chris Kangas, senior business leader Contactless Payment Solutions chez Mastercard Europe. Et d'évoquer dans un premier temps la reconnaissance vocale, celle des empreintes digitales et du visage, mais cela ne s'arrêtera probablement pas là.
"Les essais vont bon train pour l'instant", affirme Kangas à Data News. "Et ce, tant chez les services de paiement propriétaires tels Apple Pay et Samsung Pay que chez les institutions de paiement générales. "Avec Apple, nous avons par exemple des contacts bien avancés en vue de déterminer si les empreintes digitales sont suffisamment sûres pour le paiement. La dernière chose que l'on souhaite lire dans la presse, c'est qu'un tel système a été piraté et que des consommateurs ont ainsi été spoliés."
Dans la pratique, ce genre de confirmation biométrique sera rarement le seul moyen utilisé. En coulisses, les entreprises de paiement examineront également les habitudes des clients. Quiconque commande tous les mardis un café dans une gare, ne devra même peut-être pas devoir confirmer pour pouvoir payer. Mais si une transaction s'effectue sur votre compte de paiement à partir d'un autre appareil ou en cas d'un montant anormalement élevé, il se peut qu'un scan ou un code pin soit encore requis.
Et ce, même s'il est possible qu'en Europe, l'on doive toujours conserver sous la main un code pin ou un mot de passe, simplement parce que la loi sur les paiements l'exige. C'est ainsi que les banques centrales européennes planchent actuellement sur des directives d'authentification des achats en ligne et mobiles. Elles décideront donc si (et pour quels types de paiement) nous devrons utiliser un code pin, un mot de passe ou une partie de notre corps.