Le procédé est simple. Un robot soudeur vient déposer un point de soudure à l’arc sur une plaque métallique et le laisse refroidir, puis il dépose un deuxième point sur le premier et le laisse refroidir, puis un troisième sur le deuxième et ainsi de suite en suivant une trajectoire programmée. Il construit ainsi point après point une ‘‘ligne’’ dans l’espace suivant une trajectoire définie.
Bien que ce procédé soit anodin , il inaugure ce que pourrait être la colonisation de la planète MARS . Une multitude de robots dont la programmation consistera à assembler les élemants d' une infrastructure qui servira de base aux premiers arrivants .
Bien entendu , des hommes devront accompagné toute cette robotique l' a programmé puis revenir sur terre . Les robots equipés de camera seraient suivi depuis la terre .
L' evolution des imprimante 3D , permettra la conception de toute sortes d' edifice a distance .
La société autrichienne IAT21, spécialisée dans les technologies innovantes d’aérodynamisme, présente D-DALUS, un nouveau genre d’appareil volant sans ailes ni rotor.
IAT21 et l’Université de Cranfield au Royaume-Uni travaillent actuellement main dans la main pour faire certifier cet engin en vol. Actuellement au stade de prototype, D-DALUS propose une innovation majeure : son système de propulsion sans ailes ni rotor. Ce n’est pas un avion et ce n’est pas un hélicoptère. L’engin se compose de plusieurs inventions brevetées comme un système de propulsion maintenant un équilibre dynamique et permettant au système de guidage de rétablir rapidement la stabilité en vol.
D-DALUS vole grâce à 4 groupes de disques contre-rotatifs tournant à 2 200 tours par minute. Entraînés par un moteur d’avion conventionnel, les 4 turbines fonctionnent à la même vitesse. Les lames entourant les disques peuvent avoir un angle d’attaque différent en désaxant les disques rotatifs par rapport à l’axe principal. La force de propulsion peut ainsi être orientée à 360°. D-DALUS peut donc décoller / atterrir à la verticale, faire du vol stationnaire ou encore voler dans toutes les directions et ce dans n’importe quel sens. Ce système ressemble, de loin, à celui d’un ventilateur de type « tour » qui fonctionne sans pales.
Grâce à cette technologie novatrice de propulsion, D-DALUS sera adapté à des missions telles que la surveillance aérienne, la recherche et le sauvetage en mer ou sur terre et les interventions sur les sites de catastrophes naturelles ou industrielles. Ce nouvel appareil offre de nombreux avantages par rapport aux drones actuels. Il n’a pas besoin d’une piste de décollage et d’atterrissage, peut soulever des charges à moindres coûts, supporter des conditions climatiques difficiles et ne présente pas les dangers liés aux pales extérieures des hélicoptères.
D-DALUS fonctionne comme un drone mais dans le futur, les ingénieurs développeront peut-être une version avec passagers pour un usage dans les transports en commun.
SpaceX est une société américaine privée spécialisée dans la conception et la construction de lanceurs et de modules spatiaux. La firme dispose d’un contrat avec la NASA pour le transport de fret vers ISS, la station spatiale internationale.
Le principal objectif de SpaceX est de réduire drastiquement les coûts de transport des hommes et du matériel vers l’espace. Comment ? Tout simplement en concevant des fusées et des modules réutilisables qui reviennent sur Terre intactes, quand la plupart des fusées actuelles sont construites pour brûler dans l’atmosphère.
Grasshopper est une technologie qui permet à une fusée de décoller, de s’orienter, d’effectuer un vol stationnaire et de se reposer à la verticale de manière précise sur sa zone de lancement.
Le 7 octobre dernier, Grasshopper a réalisé avec succès son plus haut vol d’essai. La fusée a atteint 744 mètres d’altitude avant de redescendre et d’atterrir parfaitement à la verticale.
Chez Mercedes les voitures iront se garer toute seules
13/06/2015 21:28
Daimler, lui aussi, veut proposer des véhicules capables de trouver seuls une place pour se garer. Le système étudié avec l'équipementier Bosch impose d'équiper des parcs de stationnement et de passer par une application tournant sur un smartphone. Les passagers descendent et ce « voiturier automatique » s'occupe du reste.
Comme d'autres constructeurs automobiles, la maison mère de Mercedes-Benz, à savoir Daimler, estime que la voiture du futur, avant d'être complètement autonome, apprendra d'abord à se garer toute seule. L'entreprise va bientôt commencer à travailler en partenariat avec Bosch en vue de développer un nouveau système commandé par smartphone qui permettra aux véhicules de se localiser de façon autonome (sans conducteur ni passager) et de manœuvrer pour se garer seuls dans des places de parking. Pour que ce système fonctionne, il faudra que des caméras et des capteurs aient été préalablement installés dans les parkings concernés.
Les premiers véhicules qui embarqueront ce système sont ceux de la flotte Car2go du constructeur. Le service d'autopartage Car2go de Daimler rappelle le système Autolib de Paris. Il n'est actuellement proposé qu'en Amérique du Nord (notamment à Montréal, New York, Vancouver et Seattle) et dépend beaucoup de la connectivité et des applis sur smartphone pour réserver et payer son véhicule, un environnement idéal pour tester ce nouveau système. « En collaboration avec notre partenaire Bosch et notre service de mobilité Car2go, nous sommes en train de développer et de tester une solution fondée sur les infrastructures pour proposer un service de voiturier entièrement automatisé. C'est un nouveau pas vers la conduite autonome, ou plutôt dans ce cas : vers le stationnement autonome », explique le professeur Thomas Weber, en charge de Mercedes-Benz Cars Development.
Le stationnement autonome serait dans l'air du temps
Les technologies d'assistance au stationnement, de régulation de vitesse et de freinage autonome qui sont déjà proposées dans bon nombre de berlines premium, notamment la Mercedes-Benz Classe S, facilitent grandement la vie des conducteurs, mais ce système ira encore plus loin. Avec l'aide de Bosch, la voiture pourra repérer à distance une place de parking, puis, même si celui-ci s'étend sur plusieurs étages, elle se conduira automatiquement jusqu'à cette place et manœuvrera en toute sécurité avec l'aide d'infrastructures intelligentes.
Lorsque le partenariat entre Daimler et Bosch entrera définitivement en application, à savoir le 8 juillet, Bosch sera chargé de développer des composants d'infrastructures – capteurs et caméras intégrés aux places – nécessaires pour qu'à l'avenir on ne voit plus l'ombre d'un conducteur dans les parkings. Lorsque ce projet sera terminé, les clients Car2go pourront par exemple demander au véhicule de se rendre automatiquement au point de retrait à l'extérieur du parking.
Samsung vient de présenter deux écrans Oled de près de 1,40 m de diagonale. L'un est transparent et l'autre est (aussi) un miroir. Ces propriétés ne sont pas nouvelles mais le constructeur coréen affirme détenir le record de taille. Applications ? La réalité augmentée et l'essayage virtuel grâce au système de numérisation en 3D
L’écran miroir développé par Samsung en technologie Oled. Il incorpore la technologie de numérisation en 3D RealSense d’Intel pour montrer une application de réalité augmentée. Une personne peut ainsi essayer virtuellement des bijoux, des vêtements ou d’autres accessoires qui viennent se superposer à son image dans le miroir.