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Propulsion MHD ( Magnétohydrodynamique )
12/09/2011 19:45

http://youtu.be/5FWFjFcW5Xs
- La propulsion "MHD", la "magnéto-hydro-dynamique":
Ce système de propulsion a recourt à un accélérateur MHD. C'est un convertisseur MHD qui met en mouvement un fluide conducteur, grâce à un champ électrique et un champ magnétique combinés. Le principe de base est en fait le même que celui d'un moteur électrique. Tous deux possèdent un inducteur (électro-aimant) générant un champ magnétique dans un induit. Dans le cas d'un moteur conventionnel, cet induit est solide: c'est une bobine constituée d'un enroulement de fil métallique. Dans le cas d'un accélérateur MHD, cet induit est fluide: liquide conducteur (eau salée, métal liquide) ou dans l'air par un gaz ionisé (appelé "plasma"). Les accélérateurs MHD n'utilisent donc pas de pièce mécanique mobile, contrairement aux moteurs électriques traditionnels, ils convertissent directement l'énergie électromagnétique en énergie cinétique. Un fluide est mis en mouvement dans un champ magnétique, par un champ électrique débitant un courant électrique aux bornes d'électrodes immergées dans le fluide.
Cette propulsion "MHD", en plus d'être une force de mouvement, à aussi l'avantage d'isoler le fuselage de l'avion, de l'air environnant. Donc de le protéger de la très forte chaleur dégagée, et aussi des vibrations, dût à la très grande vitesse. Et de supprimer ce qu'on appel le "mur de la chaleur" et "les ondes de choc" devant l'avion (plus l'avion va vite, plus la chaleur au nez de l'avion, devient une "barrière" naturel, à la pénétration dans l'air, donc empêche d'atteindre de très grandes vitesses). Il leur fallut découvrir un procédé totalement innovant, pour assurer la conduction de l'électricité, sur tout le fuselage de l'appareil, sans utiliser des câbles de cuivre normales (qui auraient fondus, à cause de la chaleur provoqué par la vitesse). La question était de trouver un matériau conducteur qui n'offrait aucune résistance à l'électricité. La solution a était trouvée en liquéfiant de l'hélium, en le refroidissant à moins 272°C. Avec cette technique, n'importe quel métal devient un conducteur qui laisse passer l'intégralité du courant qui le traverse. Il n'y a plus aucune perte. C'est ce que l'on appelle des "supra-conducteurs". Et il y avait aussi que, plus le courant électrique circule rapidement, plus l'avion peut aller vite. Et ce sont donc ces fils de cuivres "supra-conducteurs", qui recouvrent le fuselage du second avion "Aurora"
Des recherches sont actuellement menées sur la magnétohydrodynamique (M.H.D.). Cette nouvelle technologie permettrait de mouvoir les bâtiments maritimes (de surface ou sous-marins, civils ou militaires) dans le plus grand silence radar. Pour comprendre le phénomène, il faut se rappeler que l'eau de mer est conductrice. En créant des courants dans l'eau, une poussée est ainsi créée suite à l'interaction des ces derniers avec les champs inducteurs par les bobines embarquées sur le navire. C'est le principe de la M.H.D. a.c. (M.H.D. à induction). Une autre méthode (celle de la M.H.D. d.c. ou M.H.D. à conduction) repose sur le principe d'une interaction entre une induction magnétique et un courant continu imposé par une différence de potentiel créée entre deux électrodes plongées dans l'eau. Une force contre-électromotrice est ainsi créée, et le navire est propulsé.

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Bateau à propulsion MHD
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Ces deux méthodes posent cependant énormément de problèmes, mais les chercheurs (civils ou militaires) ne désespèrent pas de trouver un jour la propulsion miracle. Pour illustrer cet enjeu, les Japonais ont déjà testé un prototype grandeur nature, le Yamato I. Bien que ses performances ne soient pas à la hauteur des navires classiques, il prouve en tout cas la viabilité de cette méthode de propulsion. Comme pour les trains à lévitation magnétique, ce sont des problèmes de mise au point qui freinent leurs développements.
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Des bouteille en guise d' Ampoule . Et la lumière fut
11/09/2011 22:26

http://youtu.be/8SsGjjMEEDw
Avec des si, on mettrait Paris en bouteille mais avec la récente prouesse des chercheurs de MIT, on mettrait le soleil en bouteille. D’ailleurs, l’utilisation du conditionnel est inappropriée car ceci est déjà chose faite aux Philippines, ou presque.
Les chercheurs de MIT ont présenté un projet dénommé Solar Bottle Lamps qui consiste en l’exploitation de la lumière du jour avec des bouteilles. Aux Philippines où l’on ne compte plus le nombre de villages isolés dépourvus de source d’électricité, la MIT a trouvé une solution peu banale pour éclairer le quotidien des habitants. À défaut d’ampoules électriques, les villageois pourront éclairer leurs maisons avec de simples bouteilles en plastique installées au niveau de leurs toits. En effet, les chercheurs ont découvert que des bouteilles remplies d’eau de javel sur un toit métallique réfractent la lumière dans toutes les directions. Pour le projet Solar Bottle Lamps, il faut tout simplement perforer les toits en tôle pour y placer des bouteilles. La partie supérieure de la bouteille capte la lumière du jour et la partie inférieure la diffuse à l’intérieur. Il est conseillé de peindre le plafond en noir pour une meilleure conservation de la lumière.
Des essais concluants ont été réalisés à Manille. La MIT affirme que la lumière produite par une seule bouteille d’un litre équivaut à celle d’une ampoule 60 Watt. Il fallait y penser.


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Assurances . Les dérives d' une politique spéculatrice
11/09/2011 22:14
Vous le savez sans doute, une compagnie d’assurance dispose de fortes sommes d’argent. Plus la compagnie d’assurance est grosse et plus elle signe des contrats d’assurances avec des assurés et donc plus elle collecte de l’argent qui provient des primes d’assurances.
Mais l’argent collecté ne peut pas être pris en compte dans le bénéfice net d’une compagnie d’assurance car il doit être redistribué pour rembourser les assurés qui ont été victime d’un sinistre. Tout au plus cela rentre dans le chiffre d’affaire des assurances mais en termes de bénéfice c’est l’utilisation et le placement des sommes collectés qui sera déterminant. En gros, plus une compagnie d’assurance fera fructifier au mieux l’argent de ses assurés plus elle pourra espérer faire des bénéfices.
Et c' est ainsi que certaines assurances investissent dans l' immobilier en achetant certains complexe hoteliers ou complexe residentiels . Dans d' autres cas , ils contribuent au financements de certaines constructions ( routes - ponts - gratte - ciel - complexe hotelier touristiques etc etc ) .
Mais le plus inquiétant , c' est qu' ils spéculeraient votre argent en bourse .
Donc si les cours chutent , ils perdront d' importantes sommes . Si un sinistre vous arrivaient pendant une crise , je ne sais pas si votre assureurs pourrait couvrir le remboursement de vos dégats .
Avec les importantes sommes qu' ils engrengeraient les assurances agissent exactement comme le ferait une banque .
Ce qui arrive aux pays emergent ( Russie - Chine - Dubai ) , se passerait déjà en europe .
C’est dans les pays émergents que l’on retrouve le plus de dérive de l’assurance. Le contrôle de l’Etat presque absent et la faible législation favorisent des pratiques frauduleuses de l’assurance. A cause de ce manque de contrôle évident, les compagnies d’assurances des pays émergents utilisent parfois le montant des cotisations des assurés mais aussi les provisions pour se lancer dans les affaires. Le problème c’est qu’ils ont pris des engagements auprès des assurés et que si les affaires ne marchent pas comment vont-il faire pour rembourser les sommes que certains de leur assurés vont leur réclamer un jour ou l’autre ?
Dans les pays en développement pas mal d’entrepreneurs se lance dans l’assurance dans le seul but de récolter des fonds pour se lancer dans un business plus ou moins douteux. Coté face, l’assureur se fait passer pour une société d’assurance tout ce qu’il y a de plus légale et récolte à ce titre des masses d’argent en proposant des bonnes garanties à ses clients. Coté pile, l’assurer est aussi un promoteur immobilier qui va utiliser l’argent de ses assurés pour financer la construction d’un complexe immobilier. Dans le cas ou le projet se déroule bien et que notre promoteur en tire des bénéfices l’assuré n’a pas de quoi se faire de soucis. Mais en cas de faillite, si le promoteur perd une bonne part de son investissement, il ne pourra plus respecter ses engagements auprès de ses assurés. En cas de sinistre, les assurés ne pourront pas être remboursés et si on se met à la place d’un de ses assurés, on peut comprendre que cela peut-être dramatique. L’assuré, pensant être couvert, ne paniquera pas si par exemple il a assuré sa maison et que celle-ci est brulée par un incendie. Le jour où il contactera son assureur pour un remboursera et qu’on lui dira que son assureur a fait faillite et qu’il s’est évaporer dans la nature vers qui va-t-il se retourner ? Ces pratiques quasi criminelles sont notamment présentes dans des pays comme la Russie ou des réseaux mafieux se font passer pour des assureurs dans le seul but de financer des activités souvent crapuleuses.
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Assurances . Les dérives de la finance spéculatrice
11/09/2011 22:10
Vous le savez sans doute, une compagnie d’assurance dispose de fortes sommes d’argent. Plus la compagnie d’assurance est grosse et plus elle signe des contrats d’assurances avec des assurés et donc plus elle collecte de l’argent qui provient des primes d’assurances.
Mais l’argent collecté ne peut pas être pris en compte dans le bénéfice net d’une compagnie d’assurance car il doit être redistribué pour rembourser les assurés qui ont été victime d’un sinistre. Tout au plus cela rentre dans le chiffre d’affaire des assurances mais en termes de bénéfice c’est l’utilisation et le placement des sommes collectés qui sera déterminant. En gros, plus une compagnie d’assurance fera fructifier au mieux l’argent de ses assurés plus elle pourra espérer faire des bénéfices.
Et c' est ainsi que certaines assurances investissent dans l' immobilier en achetant certains complexe hoteliers ou complexe residentiels . Dans d' autres cas , ils contribuent au financements de certaines constructions ( routes - ponts - gratte - ciel - complexe hotelier touristiques etc etc ) .
Mais le plus inquiétant , c' est qu' ils spéculeraient votre argent en bourse .
Donc si les cours chutent , ils perdront d' importantes sommes . Si un sinistre vous arrivaient pendant une crise , je ne sais pas si votre assureurs pourrait couvrir le remboursement de vos dégats .
Avec les importantes sommes qu' ils engrengeraient les assurances agissent exactement comme le ferait une banque .
Ce qui arrive aux pays emergent ( Russie - Chine - Dubai ) , se passerait déjà en europe .
C’est dans les pays émergents que l’on retrouve le plus de dérive de l’assurance. Le contrôle de l’Etat presque absent et la faible législation favorisent des pratiques frauduleuses de l’assurance. A cause de ce manque de contrôle évident, les compagnies d’assurances des pays émergents utilisent parfois le montant des cotisations des assurés mais aussi les provisions pour se lancer dans les affaires. Le problème c’est qu’ils ont pris des engagements auprès des assurés et que si les affaires ne marchent pas comment vont-il faire pour rembourser les sommes que certains de leur assurés vont leur réclamer un jour ou l’autre ?
Dans les pays en développement pas mal d’entrepreneurs se lance dans l’assurance dans le seul but de récolter des fonds pour se lancer dans un business plus ou moins douteux. Coté face, l’assureur se fait passer pour une société d’assurance tout ce qu’il y a de plus légale et récolte à ce titre des masses d’argent en proposant des bonnes garanties à ses clients. Coté pile, l’assurer est aussi un promoteur immobilier qui va utiliser l’argent de ses assurés pour financer la construction d’un complexe immobilier. Dans le cas ou le projet se déroule bien et que notre promoteur en tire des bénéfices l’assuré n’a pas de quoi se faire de soucis. Mais en cas de faillite, si le promoteur perd une bonne part de son investissement, il ne pourra plus respecter ses engagements auprès de ses assurés. En cas de sinistre, les assurés ne pourront pas être remboursés et si on se met à la place d’un de ses assurés, on peut comprendre que cela peut-être dramatique. L’assuré, pensant être couvert, ne paniquera pas si par exemple il a assuré sa maison et que celle-ci est brulée par un incendie. Le jour où il contactera son assureur pour un remboursera et qu’on lui dira que son assureur a fait faillite et qu’il s’est évaporer dans la nature vers qui va-t-il se retourner ? Ces pratiques quasi criminelles sont notamment présentes dans des pays comme la Russie ou des réseaux mafieux se font passer pour des assureurs dans le seul but de financer des activités souvent crapuleuses.
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Un Gant qui interprète le langage des signes
11/09/2011 20:33

Des chercheurs japonais viennent de mettre au point un gant capable d’interpréter les gestes de la main en textes numériques. Ce sont des chercheurs de l’Université de Shinshu, à Osaka, qui sont derrière cette invention. Pour ce faire, ils ont installé des circuits sur une partie du gant, ce dernier fonctionne suivant le principe du champ magnétique. En effet, les extrémités du gant intègrent des aimants créant le champ magnétique. Chaque fois que les doigts de son porteur sont en mouvement, le champ magnétique change de forme. Ces changements de forme sont ensuite calculés par des capteurs qui les interprètent en lettres. Avant, le gant doit être configuré par ordinateur et chaque geste doit être, au préalable, assigné à une lettre bien précise. Ce gant a été réalisé principalement pour les personnes utilisant le langage des signes. Actuellement, la précision du gant est estimée à 90%.

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