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Utopia . L' Hôtel flottant
09/10/2011 10:25
« Utopia n’est pas un moyen de transport, c’est un lieu à habiter. » C’est ainsi que commence la description de ce yacht signé Yacht Island Design, la société à l’origine de concepts aussi farfelus que le yacht île tropicale, ou le yacht Monaco. Utopia mesure 100 mètres de long et s’élève sur 11 niveaux. Il y a assez de place à l’intérieur pour accueillir une véritable micronation.
Chacun des pieds intègre des propulseurs pour déplacer Utopia où l’on veut. 4 héliports permettent d’accéder à Utopia et des cales permettent d’accueillir des petits bateaux et des jets skis. Bien sûr, il y a des bars, restaurants, casinos, boîtes de nuit. En haut, il y a un pont d’observation situé à 65mètres de haut. Il est recouvert d’une coupole en verre qui est escamotable si le temps le permet. Évidemment, c’est un concept. A l’instar du livre de Thomas More, Utopia restera encore longtemps le meilleur des lieux… qui n’existe pas.





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Des Rats Diabétiques soignés avec leurs propres cellules souches
09/10/2011 10:17
Des chercheurs japonais ont annoncé être parvenus à traiter le diabète de rats à l'aide de cellules souches neurales prélevées par le museau des animaux et transformées en cellules pancréatiques.
C'est une nouvelle piste dans la recherche de traitements pour soigner le diabète. Une maladie qui touche aujourd'hui plus de 200 millions de personnes à travers le monde et qui se manifeste par un dysfonctionnement du système de régulation de la glycémie. En vérité, il existe deux types de diabète : le type 1 et le type 2. Le premier découle d'une maladie auto-immune et survient lorsque l'organisme se met à détruire les cellules bêta du pancréas, celles qui produisent l'insuline. Le second, par contre, se manifeste lorsque ces mêmes cellules ne peuvent produire suffisamment de cette hormone pour réguler correctement le taux de sucre dans le sang. Si de multiples recherches ont été menées pour mettre au point un traitement permettant de guérir de cette maladie, à ce jour, aucune n'a réellement abouti.
Mais des chercheurs japonais viennent de faire une nouvelle tentative et ont obtenu des résultats prometteurs. Selon leurs travaux, la clé de ce traitement se trouverait en fait dans le cerveau même du malade. En effet, Tomoko Kuwabara du National Institute of Advanced Industrial Science and Technology de Tsukuba et ses collègues sont parvenus à guérir des rats diabétiques en utilisant des cellules souches neurales transformées en cellules pancréatiques fonctionnelles.
Pour réussir une telle prouesse, les scientifiques ont prélevé une petite quantité de tissus dans le bulbe olfactif des rats, la région cérébrale en charge des odeurs, ou dans l'hippocampe impliqué dans la mémoire. Deux aires accessibles par le nez chez ces animaux comme chez l'homme. Ensuite, les chercheurs ont extrait les cellules souches neurales des tissus et les ont exposées à de la Wnt3a, une protéine qui active la production d'insuline et à un anticorps qui bloque les inhibiteurs naturels de la cette production. Après avoir fait multiplier les cellules pendant deux semaines, ils les ont placées sur de fines feuilles de collagène servant d'échafaudage. Ceci a permis à l'équipe d'incorporer ces structures sur le pancréas des rats malades sans blesser l'organe lui-même.
Une glycémie revenue à la normale
Une semaine après, les scientifiques ont alors constaté que les concentrations d'insuline chez les animaux atteints de diabète de type 1 ou de type 2 qui avaient reçu le traitement, étaient similaires à celles observées chez les rats non diabétiques. De même, les taux de sucre dans le sang étaient également revenus à la normale. Des résultats maintenus durant 19 semaines avant que l'équipe de Tomoko Kuwabara ne retire les feuilles des pancréas des rats et que le diabète réapparaisse.
Si les conclusions se sont donc avérées prometteuses, la technique présente surtout plusieurs avantages. Comme le précise l'étude, l'utilisation des cellules n'a nécessité aucune manipulation génétique en dehors de l'organisme, contrairement aux procédés utilisant des cellules souches d'autres organes. De plus, parce que les cellules viennent ici du maladie lui-même, la technique supprime également le risque de rejet et le besoin d'immunosuppresseurs. Sans oublier qu'il est, selon les chercheurs, tout sauf exclu que le procédé puisse être utilisé chez l'humain.
Une technique à tester sur des cellules humaines
"Il serait possible d'extraire les cellules souches adultes neurales du bulbe olfactif de manière chirurgicale en utilisant un endoscope", soulignent-ils. Mais "l'amélioration la plus importante offerte par cette étude est la genèse de cellules exprimant de l'insuline sans avoir recours à une manipulation génétique", confirme Onur Basak et Hans Clevers de l'Hubrecht Institute for Development Biology and Stem Cell Research de Utrecht aux Pays-Bas, dans un communiqué publié à côté de l'étude et cité par le New Scientist.
Néanmoins, "il sera essentiel de valider ces résultats sur des lignées disponibles de cellules souches neuronales humaines, tout comme sur des cellules souches neurales dérivées de bulbe olfactif de patients", rajoutent ces deux chercheurs.
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Dette Publique . Ce qu' il faut savoir
08/10/2011 17:57
http://www.dailymotion.com/video/xlev1n_la-dette-publique-pour-les-nuls_news
Depuis les années 70 , Les Pays ne fabriquent plus leurs monnaies . Donc pour payer ses fonctionnaires et toute l' activité de la société , l' Etat doit nécessairement emprunter de l' argent à des banques privés . Tous ses prêts se font avec des taux d' interêts qu' il faudra rembourser . Et pour rembouser ses taux d' interets , les Etats contracteront de nouveaux crédits qu' il faudra à nouveau remboursé .
Pour mettre un terme à l' endettement Etatique , il faudrait que les Pays se remettent à fabriquer à nouveau leurs propres monnaies . Mais comme l' explique le documentaire , les Etats ont tendance à fabriquer beaucoup plus d' argent à l' approche d' une élection . Ce qui inévitablement apportera l' inflation .
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Univers parallèles .
07/10/2011 08:46

http://youtu.be/7jdDRQ7Leug
Ci - dessus extrait du film " Contact " . Pour argumenter le sujet suivant .
Les 5 liens suivants parlent d' une idée qui ferait son chemin . D ' après le dire de certains scientifiques il exuisterait dans un univers parallèle , l' exact réplique de notre système solaire . Le même monde mais avec les mêmes personnages mais avec des scénarios differents .
http://youtu.be/j1op8-q3IRs
http://youtu.be/96ZMBhtCGeY
http://youtu.be/HqVlkcCthzA
http://youtu.be/33WopEqGkAQ
http://youtu.be/-nbcbdrIFMk
C' est difficile à croire , mais la théorie de l' inflation de l' univers expliquerait cette probable réalité .
Voir liens suivant pour mieux comprendre .
http://youtu.be/fwS3r060J2w
Notre Univers est-il... simulation...?
Notre Univers serait - il le fruit d' une simulation informatique gigantesque . En un mot issue d' une sorte d ordinateur celeste qui imaginerait la vie .
La vie sur la Terre et tout l'univers pourraient n'être qu'une simulation informatique gigantesque, un rêve de super-ordinateur, supputent dans leurs derniers écrits deux scientifiques britanniques renommés, le physicien Martin Rees et le mathématicien John Barrow. La question de l'existence réelle du monde, posée par les penseurs de toutes les époques, est abordée, selon eux, sous un angle nouveau par les progrès fantastiques et continuels de l'informatique. « Il y a quelques décennies, les ordinateurs n'étaient capables de reproduire que des schémas très simples, explique à l'AFP Martin Rees. Ils peuvent maintenant créer des mondes virtuels avec de nombreux détails. À terme, observe-t-il, on pourrait imaginer des ordinateurs qui seront capables de simuler des mondes peut-être aussi compliqués que celui dans lequel nous pensons vivre ». Ce n'est qu'une théorie, ajoute Sir Martin, cosmologue de l'université de Cambridge. Mais « elle doit nous conduire à nous demander si nous-mêmes pourrions nous trouver dans une telle simulation ». (voir l'article de Propanganda Matrix).0
L'univers, dans ce cas, ne serait pas un tout mais une partie d'un ensemble que Martin Rees et John Barrow appellent des « multivers ». Ce concept de Multivers s'appuie notamment sur les travaux d'Andrei Linde, un des plus grands cosmologistes de notre temps. Celui-ci a formulé en 1982 une nouvelle théorie de l'univers qui tente de dépasser les faiblesses du modèle du Big Bang. Linde critique la théorie du Big Bang pour les nombreux problèmes physiques et philosophiques qu'elle soulève. Il considère notamment que les équations physiques qui déterminent le Big Bang prédisent un univers beaucoup plus petit qu'il ne l'est en réalité et que le modèle théorique n'explique pas pourquoi les différentes régions de l'univers se ressemblent et les lointaines galaxies sont distribuées de façon aussi uniforme dans toutes les directions au sein de l'univers. Linde propose la théorie d'un univers auto-reproducteur et à très forte croissance (self-reproducing inflationary univers) qu'il a modélisé grâce à des simulations sur ordinateur.
Selon lui, la croissance de l'univers à son origine aurait obéi à un modèle d'« inflation chaotique ». Alors que la théorie classique du Big Bang décrit un univers semblable à une bulle de savon se gonflant graduellement, la théorie de Linde décrit un univers semblable à une bulle qui produirait des bulles identiques, et ainsi de suite. L'univers décrit par Linde enfanterait de nouveaux univers par autoreproduction et selon une arborescence empruntée aux mathématiques fractales découverte par Benoit Mandelbrot. Pour Linde, il faudrait imaginer l'univers comme un ensemble de bulles interreliées qui se développent de manière fractale (chaque partie du tout ressemble au tout). Il y aurait donc eu création d'un univers à partir duquel plusieurs bulles se seraient formées de façon indépendante. Ces nouvelles bulles seraient en fait des points de l'univers qui seraient entrés en expansion en eux-mêmes, sans affecter l'univers originel. Chacun de ces univers aurait ses propres lois de la physique et pourrait donner naissance à d'autres univers, et ainsi de suite. Ce mécanisme donnerait lieu à un univers auto-reproducteur éternel et infini dans le temps et dans l'espace.
« On sait depuis longtemps que des civilisations techniques à peine plus avancées que les nôtres auront la capacité de simuler des univers dans lesquels des entités conscientes pourront émerger et communiquer entre elles », rappelle pour sa part John Barrow, directeur d'études à Cambridge également, dans un récent article scientifique. Des sociétés disposant d'une « puissance informatique beaucoup plus élevée que la nôtre, poursuit-il, pourraient simuler non seulement le climat ou la formation des galaxies, comme nous le faisons, mais aussi l'apparition des étoiles et la formation des systèmes planétaires. Puis, imagine le chercheur, en intégrant les lois de la biochimie aux simulations astronomiques, elles seraient capables d'observer l'évolution de la vie et de la conscience ». Tout aussi simplement que nous « suivons le cycle des insectes sur un fruit », elles regarderaient « les civilisations croître et communiquer, se disputer sur le fait de savoir s'il existe un "Grand Programmateur" dans le Ciel », pouvant "« intervenir à volonté, au mépris des lois de la nature habituellement observées ».
D'autres scientifiques refusent d'envisager l'hypothèse d'un monde créé par les machines. Seth Lloyd, un physicien du Massachusetts Institute of Technology (MIT) cité par le Sunday Times du 14 novembre, avance comme principale objection qu'un ordinateur capable de simuler la vie terrestre devrait être « inimaginablement puissant ». Mais pour réfuter cette objection John Barrow ne s'appuie pas que sur l'informatique. Pour étayer sa thèse d'un univers simulé il souligne un fait extrêmement troublant : l'équilibre infiniment subtil des conditions naturelles rendant la vie possible sur Terre. Un équilibre, suggère le chercheur, qui pourrait même s'avérer trop délicat pour se perpétuer sans que « de légers changements » lui soient apportés de temps à autre.
Cette question fondamentale du « réglage » des grandes constantes de l'univers dans un sens qui permet l'apparition de la vie est développée de manière remarquable dans un passionnant article intitulé « L'ajustement fin des constantes de l'univers » et publié dans le dernier numéro hors série de la revue « Sciences&Avenir ». Dans cet article (non disponible en ligne), Dominique Lambert, Professeur à l'Université de Namur, souligne de manière pertinente que le processus qui produit le carbone dépend de manière très fine des valeurs des constantes de couplage de l'interaction forte et de l'interaction électromagnétique. Il suffirait que ces constantes de couplage soient très légèrement modifiées pour détruire toute possibilité de produire du carbone, élément indispensable à la vie. S'agissant de l'interaction faible (qui intervient dans les processus de désintégration), Dominique Lambert rappelle qu'une légère modification de la constante de couplage rendrait impossible la production d'hydrogène et donc d'eau, autre élément essentiel à l'apparition de la vie.
Enfin, à l'échelle cosmique, il est troublant de constater que la fameuse constante cosmologique possède exactement la valeur nécessaire à l'apparition des structures cosmiques telles que les galaxies, les étoiles et les planètes. Une valeur plus élevée rendrait impossible la formation de ces structures liées par la force de gravitation. Une valeur plus faible entraînerait une contraction trop rapide de l'univers, empêchant les étoiles de se former.
On voit donc que, sans céder aux explications métaphysiques ou religieuses, un nombre croissant de scientifiques tout à fait rigoureux et attachés à la rationalité, tentent d'éclairer d'une manière nouvelle le fait troublant que toutes les constantes et forces fondamentales de l'univers sont très exactement réglées de manière à permettre l'apparition de la vie. Face à un univers dont toutes les lois et les constantes permettent une organisation de plus en plus complexe de la matière, jusqu'à l'irruption du vivant puis de la conscience, cette hypothèse d'un univers simulé, qui serait voulu et conçu par une intelligence cosmique d'une puissance presque incommensurable, mérite d'être examinée et sera de plus en plus incontournable dans les décennies à venir.
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KDDI . Un télephone sans haut parleurs
07/10/2011 07:58
Si nous nous projetons dans le futur , les gens équipé d' une mini puce dans le corps pourront repondre automatiquement à un appel entrant .
Mais derrière le système présenté ci - dessous se cacherait en fait une arme . Cibler le corp humain par des ondes mortels . attention , Si les militaires s' emparent de se procédé . Cela deviendra une arme .
Au Ceatec, KDDI surprend avec un prototype de téléphone bien audible, alors qu'il est purement et simplement dépourvu de haut-parleur. Le son émis par l'appareil n'emprunte pas la voie des airs, mais votre corps, pour aller directement s'adresser à votre oreille interne, selon le principe de la transmission osseuse.
La démonstration a quelque chose de surréaliste : une jolie opératrice place sur ses oreilles un casque anti-bruit tel qu'on en trouve sur les chantiers, avant de s'emparer de son téléphone et de tranquillement faire la conversation à son correspondant. Pour ce faire, elle utilise un étonnant prototype sorti des laboratoires de recherche et de développement de l'opérateur KDDI. Nulle sorcellerie ici : le son sort bien du terminal, mais il ne passe pas par la voie des airs. Il emprunte en réalité le corps de l'utilisateur, via le mécanisme déjà bien connu de la conduction osseuse du son.

Pour en comprendre le fonctionnement, il convient de rappeler que le son est avant tout une vibration. Si vous pincez les cordes d'une guitare, c'est le déplacement de l'air généré par son mouvement qui portera les notes jusqu'à votre oreille. Le téléphone mis au point par KDDI émet également des vibrations, mais celles-ci ne sont pas conçues pour passer par les airs. Elles sont en réalité situées à une fréquence qui leur permet de se propager directement par le corps qui tient l'appareil. Quand elles parviennent à l'intérieur du crâne, elles font vibrer la partie de l'oreille située derrière le tympan, et le cerveau perçoit le son.
On trouve depuis plusieurs années sur le marché (notamment au Japon) des boitiers permettant de convertir le son normalement émis par un téléphone en vibrations susceptibles d'emprunter le corps pour circuler jusqu'à l'oreille interne. Certains se présentent par exemple sous la forme d'un bracelet qu'on porte au poignet. Plusieurs fabricants, comme le coréen Pantech, ont également entrepris de mettre au point des téléphones compatibles. Ici, KDDI intègre directement cette technologie au sein d'un smartphone Android, laissant entendre qu'elle pourrait aisément se démocratiser. Celui-ci permet alors d'entendre son interlocuteur quelle que soit la façon dont il est tenu, dès lors qu'un contact physique entre la tête et le téléphone est maintenu.

Testé par nos soins, le dispositif se révèle parfaitement fonctionnel. La voix de notre correspondant nous est parvenu claire et parfaitement audible, même si le volume de la transmission aurait gagné à être intensifié. Outre son casque anti-bruit, KDDI proposait d'expérimenter la conduction osseuse avec dans les oreilles un banal casque de baladeur. On entend alors aussi bien la musique de l'appareil que la voix émanant du téléphone, effet d'ailleurs un brin troublant.
Selon KDDI, l'intégration de la conduction osseuse au sein d'un téléphone permettrait donc d'utiliser celui-ci de façon confortable dans un environnement bruyant où le casque anti-bruit est requis. Le procédé pourrait également servir à tous ceux qui souffrent de problèmes d'audition. L'opérateur dit toutefois ne pas chercher à commercialiser cette technologie dans l'immédiat.
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