
Suite à une série de rêves , John Searl élaborera un generateur Antigravitationnel .
Qui lui insufla se genre de rêve ?????????????????????????????????
John Roy Robert Searl naquit le 2 mai 1932 dans une famille Anglaise très pauvre. A l'âge de quatre ans, il a été séparé de son frère et de sa sœur et placé dans une famille d'accueil. A partir de l'âge de quatre ans et demi, jusqu'à ses dix ans il se mis à faire deux rêves par an dont l'un était la suite de l'autre, un message en deux parties. A dix ans, il a pensé que ces rêves devaient avoir un sens et il a essayé de les interpréter.(1)
Une production d'énergie illimitée, combinant force antigravitationnelle et mouvement perpétuel.
A quatorze ans, avec un recoupement et une analyse de ses "messages" reçus, il construisit ce qu'il appela le "SEG", "Space Energy Generator", "générateur d'énergie à partir du vide", (mais on l'appel aussi le "Searl Effect Generator"). Et ce, simplement en montant des systèmes rotatifs composé d'une combinaison d'éléments en cuivre et d'aimants. Il pût démarrer ses recherches grâce au financement d'un mécène âgé, George Haines, qui croyait en lui. Ce premier appareil monté au domicile de Haines, se mit alors à accélérer lorsque Searl plaça les rouleaux sur les plaques. Quand le SEG accélérait, un champ magnétique se développait autour de lui, il perdait de sa masse, sa gravité se trouvait modifié, et il décollait et se mettait à percuter le plafond, à la grande surprise des deux témoins, qui comptaient sur la découverte d'un générateur d'énergie et non d'un engin volant.
Le SEG resta fiché dans le plafond jusqu'à ce qu'il le traverse, puis le toit, et disparaisse ensuite dans le ciel. Six modèles furent définitivement perdus de cette manière. Searl ne savait pas comment contenir et contrôler le champ produit, qui était d'une très forte puissance. Haines ne vît là-dedans que de "drôles de pétards" et qui surtout "commençaient à devenir chers", comme le dira Searl.
En 1949, Searl travaillait pour la Compagnie des Midlands comme ouvrier assembleur d'appareils électroniques. C'est là qu'il étudia, pût analyser et comprendre le mécanisme de fonctionnement des génératrices et des moteurs électriques. Il constata rapidement que le mouvement rotatif des pièces de métal engendraient une faible force électromotrice dont la polarité négative tendait à s'éloigner de l'axe de rotation, tandis que la polarité positive tendait à s'en rapprocher (comme les deux faces d'un aimant, il y a celle qui attire le métal et si vous le retournez, vous avez une face qui le repousse).
L'invention d'un modèle révolutionnaire de dynamo.
En 1950, il poursuivit ses recherches en se servant d'une dynamo rotative composée de bagues collectrices ou disc-rotor segmenté, que l'on pouvait mettre en rotation à grande vitesse parmi des électroaimants situés autour de lui, dans sa périphérie (photo ci-dessous). A l'aide d'un appareil de mesure classique, il enregistra la force électromotrice de faible intensité qu'elle générait. Ayant remarqué que ses cheveux avaient tendance à se hérisser quand il se tenait à proximité de la dynamo en mouvement, il en déduisit que des électrons libres de charge négative, produisaient un champ de force centrifuge, alors que l'électricité statique du métal engendrait un champ de force centripète. Il décida alors de construire une génératrice sur ce principe.
Le modèle de dynamo de Searl en fonctionnement, avec les segments en rotation. Les quatre diodes jaunes du boitier rouge carré (en bas), placé à proximité de la dynamo, s'allument. Montrant qu'il y a bien un champs électro-magnétique, donc production d'une force électromotrice (de faible intensité, avec un petit modèle comme celui-là), mais cela montre bien que le principe fonctionne. Comme vous pouvez le voir sur la vidéo suivante:
La réalisation d'un nouveau modèle de générateur, produisant de l'énergie électrique, à partir du vide.
Il acheva en 1952 sa première magnéto, d'un diamètre de un mètre. Le rotor était constitué d'un disque segmenté qui, en tournant, transmettait l'énergie à un stator périphérique formé d'électroaimants, ces derniers contribuant à produire la force électromotrice. Avec l'aide d'un ami, Searl transporta son appareil dans un champ et le mit en route au moyen d'un petit moteur (en fait un groupe électrogène, pour lui envoyer du courant électrique). Il avait besoin d'être "lancé", mais au bout de quelques minutes, produisant sa propre énergie, même quand le système de démarrage et le courant qu'il procure étaient arrêté, et bien le générateur lui, ne s'arrêtait pas et continuer de fonctionner (et bien sûr de produire du courant). Comme prévu, la génératrice produisait de l'électricité mais à un nivaux très largement supérieur à ce qui était attendu. Avec une vitesse relativement faible, la production était de l'ordre de près de 100000 volts, d'après l'électrisation des objets environnants. Très vite, le million de volts fut dépassé, produisant un crépitement et une odeur d'ozone. C'est là que Searl découvrit une chose très importante, non seulement l'appareil finissait par être autonome et à produire sa propre énergie électrique, mais en plus, une fois que la machine avait dépassé un certain seuil de potentiel, l'énergie produite à la sortie, excédait celle fournie en entrée (pour mettre en marche le système). A partir de ce moment, la production d'énergie est dès lors potentiellement illimitée!
Le rapport entre "électromagnétisme" et "antigravitation".
C'est à ce moment que lors de la poursuite de ces expérimentations, se produisit quelque chose d'inattendu. Le rotor se mit à accélérer, puis l’'appareil commença à s'élever de terre, rompant le cordon d'alimentation qui le rattachait au moteur et se mit à flotter dans l'air en tournant de plus en plus vite, et continua à grimper jusqu’à une altitude de quinze à vingt mètres à laquelle il se stabilisa quelques temps. Tout autour du générateur, l'air était devenu rose fluorescent tant la "ionisation" (de l'air dans lequel circule de l'électricité, c'est en fait un "plasma", qui est appelé "l'effet corona") qu'il produisait était importante. Dans les parages, des récepteurs radio se mirent à fonctionner spontanément à cause de l'induction électromagnétique.
Finalement, le rotor de la génératrice finit par s'emballer à une très grande vitesse et l'appareil se trouva propulser dans le ciel et l'espace et on ne le revit jamais.
Ce qui a dût se passer, c'est que, aussitôt que la génératrice a franchit un certain seuil d'énergie potentielle de l'ordre du milliard de volts, la puissance fournie par celle-ci se met à dépasser celle qui est absorbée et continue de monter vers un niveau devenant en théorie, illimité. Les mesures prises la situait à des milliards de watts. A cette puissance, la génératrice et tous ses composants paraissent alors s'affranchir de la force d'inertie (la gravité, le fait que n'importe quel corps qui tombe est attiré vers le sol). Mais en se libérant de l'attraction terrestre, elle semble aussi attirer à elle des morceaux de matière puisqu'elle avait tendance, en s'élevant, à arracher des mottes de gazon (appelé "l'effet d'écran" qui s'explique par la suppression d'une certaine quantité de gravitons, ce qui annule ainsi une partie de l'attraction Terrestre).
La génératrice devait provoquer une tension dans l'espace environnant. L'effort fourni pour abaisser cette tension se manifeste sous la forme d'un champ magnétique dont l'énergie est absorbée à nouveau par la génératrice qui, ainsi alimentée, fournit encore plus de tension à l'espace environnant, lequel réagit par un accroissement du champ magnétique qui, à son tour relance la génératrice dans une interaction sans fin, créant par cette réaction même, une sorte de mouvement perpétuel.
Le principe même utilisé dans le SEG, fait qu'une masse de métal en rotation projette les électrons sur le bord d'un accumulateur-récepteur. Il est alors possible de capter ces énergies électrostatiques à haute densité, (comme dans une machine de Wimshurst ou Testatika ou une machine de Hyde). Ou bien, la rotation peut aussi faire fonctionner un autre générateur. Et il est tout à fait possible d'augmenter la taille du générateur, en ajoutant des segments et des rouleaux de plus en plus grand. Dans le but d'avoir un générateur encore plus puissant, comme vous pouvez le voir sur cette illustration ci-dessous:
Où Searl découvre l'intérêt des "fréquences", pour le contrôle de ses disques à antigravité.
Un jour, Searl donna une interview filmée pour un journal. Il finissait à peine de dire que son appareil ne s'arrêtait pas, que celui-ci stoppa net. Searl n'en cru pas ses yeux. Il réalisa immédiatement que la clé devait se trouver dans la fréquence, la caméra vidéo s'étant au même moment, approcher sur le SEG pour faire un gros plan. L'harmonique ou la fréquence de résonance émise par la caméra vidéo résonnait sur la fréquence primaire du SEG et la neutralisait, ce qui faisait que les pôles arrivaient à l'unification et stoppaient (ce fût un véritable coup de chance, car Searl a grâce à cela, réussit à contrôler ses disques avec un circuit de télécommande mécanique ou électronique). (2)