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Science Futuriste

VIP-Blog de bm7
bnj.777@hotmail.fr

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  • Créé le : 11/12/2010 11:43
    Modifié : 18/12/2021 17:29

    Garçon (50 ans)
    Origine : PARIS
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    Le controle du Cerveau par la lumière

    17/12/2010 10:11



     

    Comment booster son cerveau grâce à la lumière

    Exploiter  la  lumière  ,  pour  devenir  plus  intelligents  n' est  pas  de  la  science  fiction  .  Comme  nous  l' explique  le  lien  ci - dessus  la  lumière  jouerait  un  rôle  important  dans  le  monde  végétal  (la lumière transformant le gaz carbonique en sucre (mécanisme connu sous le nom de photosynthèse) pour nourrir la plante). Ce que nous savons moins, c'est qu'il en va de même pour nous, non pas en ce qui concerne la nourriture nécessaire au bon fonctionnement de notre corps mais plutôt pour celle concernant notre cerveau.

    En  1959  le  DR  Francis  Lefebure   fera  une  etrange  decouverte  qui  portera  plus  tard  le  nom  de  Phosphénisme  .  De  quoi  s' agit - il  ??

    Pour la définition, un phosphène, est une tâche lumineuse qui reste dans notre champ de vision après avoir fixé une source lumineuse trop intense.

    C'est en s'intéressant à ce phénomène qu'il découvrit que le mélange d'une pensée au phosphène transforme l'énergie lumineuse en énergie mentale .

    Et  c'  est  ainsi  qu' il explique  qu' en  visialisant  une  forte  lumière  pendant  quelques secondes  ,  vous  absorber  une  importante  quantité  lumineuse  qui   renforcera  l' activité  de certains  neuronnes  qui  vous  aideront  a  apprendre   plus  rapidement  .

    C' est  une  sorte  de  phase  d' hypnose  lumineuse  qui  stimule  certaines  régions du cerveau  .

    Dans  le  futur  ,  nous  pourrions  inserer  des programmes  dans  l'  esprit  des  gens  grace  à  un  jeu  lumineux   et  l' emploi  de  sons  binauraux  .  Voir lien  suivant

    Les sons binauraux - Forum Débats scientifiques

    La  lumière  et  le  Cerveau 

    Cerveau : les néo-neurones peuvent être stimulés par la lumière ...

    Depuis  quelques  années  ,  les  chercheurs  étudient  les  effets  de  la  lumière  sur  le  cerveau  .  Certains  d' entre eux exploitent  la  lumière  pour  accroitre  l' intelligence  d' autre  par contre  prèferent   l' utiliser  pour  activer  le  jeu  des  neuronnes  . Et  comme  le  montre  le  lien  suivant  ,  on  arrive  a  téleguider  des  souris  en  stimulant  les  hémipshères  .

    Optogénétique : le contrôle du cerveau par la lumière @ Guy DOYEN

    Une lumière bleue « allume » les neuronnes. Une lumière jaune « éteint » les neurones. Un câble en fibre optique est connecté sur une souris ou un rat vivant avec les gènes épissés permettant aux scientifiques d’exposer différents neurones à différentes lumières. Le résultat est étonnant. Stimuler l’hémisphère droit d’une souris la fait tourner en rond vers la gauche.



     

     

     
     
     
     




     
     


     

    Comment la France avait aidé Israel à fabriquer la bombe atomique

    17/12/2010 08:34



     


    Le réacteur de Dimona fournit aux israéliens du plutonium militaire.

    Dans les années 1950, Paris et Tel-Aviv, mus par une hostilité commune contre l'Égypte de Nasser, ont coopéré étroitement dans la recherche atomique.

    Dans le domaine de la dissuasion, cela s'appelle une politique d'ambiguïté nucléaire. Officiellement, l'État hébreu, qui fête ces jours-ci son soixantième anniversairen'a toujours pas la bombe atomique. Il n'a pas signé le traité de non-prolifération nucléaire (TNP) et n'est donc pas soumis au contrôle des inspecteurs de l'Agence internationale à l'énergie atomique (AIEA). Mais c'est un secret de Polichinelle, dans cette région troublée du Proche-Orient, qu'Israël dispose d'ogives atomiques, surtout depuis que le premier ministre Ehoud Olmert l'a implicitement reconnu, en décembre 2006. De fait, Israël a la bombe depuis 1967. Et c'est l'aide, décisive, de la France, qui lui a permis de devenir la sixième puissance nucléaire de la planète.

    Lorsque naît l'État hébreu, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale qui a vu, pour la première fois, l'utilisation de l'arme suprême par les États-Unis contre le Japon, les responsables israéliens misent sur la bombe pour éviter qu'un second Holocauste puisse un jour être commis contre le peuple juif. L'arme nucléaire devra assurer la survie du nouveau pays sur le long terme. Plus tard, elle devra aussi le protéger des menaces représentées par l'Irak et l'Iran, soupçonnés d'avoir eux-mêmes des ambitions nucléaires militaires.

    Le programme nucléaire israélien est lancé en 1949 par le premier ministre, David Ben Gourion. À l'époque, les États-Unis refusent d'y contribuer. Déjà, la perspective de voir un jour la Chine et la France rejoindre le club très fermé des puissances nucléaires ne plaît guère à Washington. Les dirigeants américains veulent à tout prix éviter la nucléarisation du Proche-Orient. Sous John F. Kennedy, l'Administration américaine n'aura de cesse d'essayer de convaincre Israël de renoncer à son programme atomique. En échange, le Pentagone offrait son parapluie nucléaire et des garanties sur la dissuasion. En vain.

    En 1954, Ben Gourion se tourne vers Paris, à qui il propose une entraide mutuelle pour la mise au point de la bombe. La France possède un double avantage : elle a une longueur d'avance en matière de recherche nucléaire et veut laver la honte de la Collaboration en cajolant les victimes juives du nazisme. Le rapprochement franco-israélien se noue autour de la guerre de Suez. Les deux pays ont un ennemi commun : l'Égypte de Gamal Abdel Nasser, qui soutient d'un côté le Front de libération nationale (FLN) algérien contre la France et arme, de l'autre, les fedayins palestiniens contre Israël.

    Programme clandestin

    Lorsque le président égyptien ferme le canal de Suez à la navigation israélienne avant de le nationaliser en 1956, Paris et Tel-Aviv font front commun et décident d'intervenir aux côtés de la Grande-Bretagne. Ce sera un fiasco, en raison de l'hostilité américano-soviétique à l'aventure. Mais l'amitié franco-israélienne se poursuit. En octobre 1957, Paris et Tel-Aviv passent des accords diplomatiques et techniques et lancent véritablement le programme nucléaire clandestin, supervisé par Shimon Pérès et financé par des fonds secrets prélevés sur le budget du ministère israélien de la Défense.

    La France avait promis de fournir la centrale nucléaire de Dimona, dans le désert du Néguev, avant la crise de Suez. Mais la coopération, qui doit permettre à Israël d'obtenir la maîtrise complète du cycle de combustible et de se hisser au rang de nouvelle puissance nucléaire, est renforcée après l'invasion du Sinaï égyptien par l'armée israélienne. Paris envoie plusieurs centaines de techniciens, livre un réacteur nucléaire de 24 mégawatts et entame les travaux à Dimona en 1958.

    Le contrat prévoit également la construction d'une usine souterraine de séparation isotopique. En échange de son soutien déterminant, la France, qui cherche elle aussi à se doter de l'arme atomique ce sera chose faite en 1960 espère «bénéficier de la technologie américaine, à laquelle les scientifiques israéliens sont supposés avoir accès», explique l'historien Pierre Razoux (*).

    Lorsque de Gaulle revient au pouvoir en 1958, il freine, puis ordonne l'arrêt de la coopération nucléaire avec Israël. Le général veut réorienter la politique étrangère de la France dans un sens plus favorable aux pays arabes, surtout après les accords d'Évian sur l'indépendance algérienne en 1962. Les essais nucléaires français ayant été concluants, de Gaulle estime qu'il n'a plus besoin des Israéliens pour faire progresser la recherche. «Mais surtout, il veut assurer le caractère français de la bombe, recentrer l'outil de dissuasion sur le territoire national», indique Pierre Razoux, qui occupe aujourd'hui des fonctions au Collège de défense de l'Otan à Rome.

    Après lui, Georges Pompidou, Valéry Giscard d'Estaing puis Jacques Chirac mèneront une politique nucléaire beaucoup plus proliférante. Paris ira même jusqu'à fournir un réacteur nucléaire, celui d'Osirak, à l'Irak de Saddam Hussein. «Mais sous de Gaulle, la politique nucléaire de la France est vraiment recadrée. Nous ne sommes plus dans l'amitié très forte qui liait la classe politique française et les travaillistes israéliens», explique Bruno Tertrais, spécialiste du nucléaire à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS) à Paris.

    Un gilet pare-balles

    L'aide française aura néanmoins été déterminante. Le programme israélien est suffisamment avancé pour pouvoir être mené jusqu'à son terme. Les principales étapes ont été franchies et l'usine de Dimona est terminée. Nasser s'en alarme, qui déclare en 1966 : «L'Égypte se lancerait dans une guerre préventive si Israël se mettait à fabriquer des armes nucléaires.» Le président égyptien multiplie les provocations envers l'État hébreu, envoie ses avions survoler Dimona. Mais il est trop tard. À la veille de la guerre des Six-Jours en 1967, les premières armes nucléaires sont quasi opérationnelles au sein de Tsahal.

    Pendant tout ce temps, le secret est conservé sur le programme nucléaire israélien. Pour en avoir révélé l'ampleur dans une interview au Sunday Times, en octobre 1986, l'ancien technicien Mordechai Vanunu a été condamné à dix-huit ans de prison.

    Après avoir longtemps servi de gilet pare-balles contre la menace irakienne, lorsque Saddam Hussein était au pouvoir, le programme nucléaire vise aujourd'hui en grande partie à protéger l'État hébreu de la menace iranienne. Les ambitions nucléaires de Téhéran et l'intransigeance de Mahmoud Ahmadinejad, qui estime qu'Israël devrait être «rayé de la carte», ont potentiellement rétabli la menace existentielle qui pesait contre l'État hébreu avant la guerre des Six-Jours de 1967 ou pendant la guerre de Kippour de 1973.

    Selon la publication britannique spécialisée Jane's Intelligence Review, la menace est plus sensible encore depuis la publication, en décembre 2007 à Washington, du rapport des agences de renseignements américaines, le NIE, qui, en relativisant la menace nucléaire iranienne, a rendu improbable une intervention militaire des États-Unis.

    La peur de se retrouver seul face à l'Iran nourrit les rumeurs d'une intervention militaire israélienne contre les installations iraniennes. Benyamin Ben Eliezer, le ministre israélien des Infrastructures, a prévenu le mois dernier qu'une «attaque iranienne contre Israël déclenchera une riposte dure qui provoquera la destruction de la nation iranienne».

    L'État hébreu disposerait aujourd'hui, selon les spécialistes, de 100 à 200 têtes nucléaires. Son armée détient toute la gamme des vecteurs pouvant délivrer une arme atomique, notamment des bombardiers de fabrication américaine F 15 ou F 16, ainsi que des missiles.

    La dissuasion israélienne s'appuierait aussi, depuis peu, sur une composante marine. Avec l'aide, non plus de la France, mais de l'Allemagne cette fois ! Au début des années 1990, Tel-Aviv a passé des accords de coopération avec Berlin, qui concernent notamment la livraison de trois sous-marins Dauphin, appartenant à la dernière génération. Selon Pierre Razoux, il est probable que des missiles nucléaires puissent être embarqués dans ces sous-marins dotés d'une technologie anaérobie. «Les Allemands sont antinucléaires chez eux, mais permettent à Israël de renforcer sa dissuasion nucléaire en lui livrant de nouveaux vecteurs», remarque le spécialiste.

    (*) Pierre Razoux est l'auteur de «Tsahal, Nouvelle histoire de l'armée israélienne», Perrin 2006.





     
     


     

    Roswell . Etude sur les fameuses feuilles à memoire de forme

    16/12/2010 10:22



     

    http://www.youtube.com/v/Yh5xZplf_5U&hl=fr_FR&feature=player_embedded&version=3"></param><param

    Une nouvelle piste a été ouverte en 2009 sur les études supposées de débris provenant du crash d’un ovni près de Roswell en 1947. Il s’agit des fameuses feuilles à mémoire de forme, dont l’étude, menée secrètement dans un important centre de recherche, le Battelle Memorial Institute vers la fin des années 40, aurait conduit à la création d’un alliage spécial de titane et de nickel possédant des propriétés analogues.

    Dans leur livre « Witness to Roswell », plus précisément dans la seconde édition, parue en juin 2009 (5), Tom Carey et Donald Schmitt ont donné la parole à un collègue enquêteur, Anthony Bragalia, qui dit avoir découvert des documents indiquant que des études auraient été menées secrètement, à partir de 1948, sur les fameuses feuilles métalliques à « mémoire de forme » que l’on aurait trouvées parmi les débris du crash de Roswell. Rappelons que, parmi les différents matériaux que plusieurs témoins disent avoir eu en main lors de l’incident de Roswell en 1947, l’un des plus remarquables consistait en des feuilles métalliques très minces, légères et lisses, que l’on ne pouvait ni couper ni percer, et qui reprenaient leur forme après avoir été froissées.

    Selon Anthony Bragalia des études auraient été menées secrètement au Battelle Memorial Institute dès la fin des années 40, qui auraient joué un rôle important dans la création d’un alliage aujourd’hui bien connu, le nitinol, composé de titane et de nickel et possédant des propriétés analogues à ces feuilles à mémoire de forme. Le Battelle Institute est un centre réputé de recherches techniques, notamment dans le domaine de la métallurgie, situé à Columbus dans l’Ohio, non loin de la fameuse base de Wright-Patterson où se trouvent les services techniques de l’armée de l’Air, et où il est à peu près certain qu’ont été menées des études secrètes sur les ovnis.

    Anthony Bragalia raconte qu’il a trouvé les premières pièces du puzzle sous la forme de références, citées dans des documents militaires déclassifiés, à deux études métallurgiques faites au Battelle Institute dès la fin des années 40, qui semblent bien être à l’origines des études faites ensuite pour créer le nitinol. Or, selon l’histoire « officielle », les études sur cet alliage n’auraient commencé qu’au début des années 60. Citons Bragalia :

    « Mes propres recherches ont confirmé que les études sur le nitinol avaient en réalité commencé chez Battelle juste après le crash de Roswell - et non au début des années 60. Et c'est la base de Wright-Patterson (où les débris du crash avaient été transférés) qui attribua le contrat de cette recherche secrète. Ce point est confirmé par une annotation que l'on trouve dans une étude réalisée par l'un des inventeurs "officiels" du nitinol à l'U. S. Naval Lab. Dans ce rapport militaire sur le nitinol, l'auteur se réfère à une étude de Battelle datée de 1949 où il est clairement question de la purification du titane et du nickel. La citation mentionne un "diagramme de phase" qui détaille le processus et explique comment réussir l'alliage des deux métaux. En suivant précisément ces directives on peut réaliser le nitinol à mémoire de forme. Il est possible mais pas certain que les co-inventeurs "officiels" du nitinol aient ignoré que les propriétés de l'alliage avaient été découvertes dans l'étude des débris de Roswell. On n'a trouvé que trois autres références sur cet alliage de titane et de nickel dans les rapports de Battelle. A chaque fois ce ne sont que des notes en bas de page - et seulement dans les études sur les métaux conduites sous les auspices de l'armée américaine ».

    Anthony Bragalia donne quelques précisions sur la création du nitinol. On considère habituellement qu’il a été découvert "par hasard" au début des années 60 dans les labos de l'U. S. Naval Ordonance, situés dans le Maryland, et que ses co-inventeurs sont les Drs. Wang et Buehler. Mais la véritable histoire du nitinol a été volontairement dénaturée et elle ne tient pas la route, soutient Bragalia. Dès la fin des années 40 c’est le Dr. Howard Cross, expert métallurgiste de l'Institut Battelle, qui avait fourni l'information nécessaire sur le titane à l'US Naval Lab. Et c'est ce laboratoire qui a officiellement mis au point le nitinol dix ans plus tard. L'un des problèmes qui apparaît tout de suite dans l'histoire "officielle" du nitinol est l'année précise de sa découverte qui est variable selon les sources, de 1959 à 1963. Même les co-inventeurs officiels, William Buehler et Frederick Wang, avaient évoqué différentes années alors qu'ils travaillaient au Naval Lab. Les revues scientifiques et les articles de la grande presse indiquent des années différentes. Bragalia raconte que, lorsqu’il a posé la question à Wang, celui-ci a ri de manière bizarre et a reconnu qu'il n'était pas très sûr de l'année, en ajoutant qu'il lui faudrait y réfléchir.

    Le témoignage de l’ingénieur Elroy John Center :

    Toujours selon Anthony Bragalia, un ingénieur du Battelle Institute, Elroy John Center, a reconnu qu'il avait analysé un métal provenant d'une épave d'ovni alors qu'il était employé par Battelle. Center avait travaillé comme expert chimiste pour Battelle pendant près de vingt ans, de 1939 à 1957. Ceci nous a été confirmé, dit Bragalia, à la fois par les registres de l'Université du Michigan et par les articles scientifiques qu'il avait publié du temps où il travaillait pour Battelle. Ingénieur chimiste diplômé, Center avait rédigé des articles publiés dans des revues de haut niveau. Il avait fait des analyses chimiques de métaux, des études sur la « micro-identification » des métaux dans des alliages, et sur l'analyse spectroscopique de matériaux particuliers. Center avait le profil idéal pour être impliqué dans les premières études sur les débris de Roswell. Il avait mis au point une technique d'analyse des métaux très innovante qui est signalée dans plusieurs études concernant "l'identification polygraphique du titane" dans des alliages. Or il faut du titane spécialement préparé pour fabriquer du nitinol semblable au "métal à mémoire" de Roswell.

    Notes :

    (1) Gildas Bourdais, « Le crash de Roswell. Enquête inédite » (JMG - éditions Le Temps Présent, 2009), et « Roswell. Enquêtes, secret et désinformation » (JMG, 2004). Voir également mon article dans la revue « Lumières dans la Nuit » (LDLN, numéro 348, avril 1998).

    (2) Les « révélations » de Jack Shulman ont été présentées notamment dans la revue américaine « UFO Magazine », Volume 13, No 2, de mars-avril 1998. Elles ont été démenties dès le mois de juillet de la même année.

    (3) Article « La pierre de Roswell », dans la revue « Monde Inconnu », février-mars 2009.

    (4) Kevin Randle, “The Truth about the UFO Crash at Roswell” (Evans and Company, New York, 1994), chapitre 9 : “The Wright Field Connection”. Voir aussi “The Roswell Encyclopedia”, Harper Collins, 2000.

    (5) Tom Carey et Donald Schmitt, “Witness to Roswell. Unmasking the Government Biggest Coverup”. Deuxième édition, 2009, Newpage Books, The Career Press, New Jersey.

    (6) Anthony Bragalia, article « Roswell debris inspired memory metal Nitinol ; lab located, scientists named », in “Mufon UFO Journal”, No 495, juillet 2009.





     
     


     

    Nanotechnologie . Invention d' un Caoutchouc qui résisterait aux temperatures extrèmes

    16/12/2010 09:17



     

    Grace  à l' avènement des  Nanotechnologies  ( Nanotube de Carbones )  ,  les  chercheurs  mettront  aux  points  de  nouveaux materiaux  beaucoup plus resistant  que  nos  actuels materiaux ( Fer - Alluminium - plastique ect etc )  . La  science  des  Nanotechnologies  approchera  la dimension  atomique  du  materiau  .

    Et  dans  le  futur  ,  nous  fabriquerons  des  materiaux  plus  souple  mais d' une resistance  impressionnante  .

    Tous  le  monde  doit  connaitre  le  crash d' Ovni  qui  avait eu lieu à ROSWELL . Les  témoins  qui  avaient  approché  le lieu  disent  avoir  découvert  sur  place  , des  pièces  metalliques  ultra souple  mais d' une resistance  incroyable  .  Et  bien  ces  materiaux  devaient  integrer  dans  leurs  structures  atomiques  la  science  des  Nanotechnologies  .

    l' exemple  du  Caoutchouc  qui  resiste au fortes temperatures  n' est qu' un exemple  parmi tant d' autre  .

    Le caoutchouc a la particularité de reprendre sa forme initiale après avoir subi une déformation. C'est également le cas des boules Quiès par exemple qui s'adaptent à la forme des oreilles, et retrouvent leur forme quand on les enlève. Ces substances sont dites "visco-élastiques". Seulement ces matériaux ont un défaut: ils cassent lorsqu'ils sont exposés à une très basse température, et se décomposent lorsqu'ils sont exposés à une très haute température.

    Ce problème vient d'être résolu par des chercheurs japonais en science des matériaux. Ils viennent en effet de mettre au point un caoutchouc capable de résister à des températures extrèmes (entre -196 et 1 000°C) sans subir de modification. Cette découverte a été publiée dans la revue Science.

    Pour arriver à ce résultat, les chercheurs ont créé des nanotubes de carbone en déposant des catalyseurs métalliques sur du silicium. En règle générale, de tels nanotubes prennent une forme droite, mais la densité des tubes a ici été réduite afin de générer un enchevêtrement de tubes. Ces nanotubes à double et à triple parois sont ainsi interconnectés entre eux, de manière totalement aléatoire. Le réseau de nanotubes obtenu compose le matériau résultant, baptisé CNT.

    L'utilité d'un tel matériau peut être imaginé dans divers domaines, comme le textile ou l'aéronautique.





     
     


     

    Dépister la tuberculose en moins de deux heures .

    16/12/2010 08:49



    Tuberculose: Un test de détection moins coûteux et plus rapide!
     

    Santé – Tuberculose : Un test pratiquement instantané de dépistage de la tuberculose va venir aider toutes les organisations de santé !

     

    Dans  le  futur  et  grace  aux  developpements  des  Nanotechnologies  ,  nous  pourrons  détecter  nombres  de  maladies  instantanéments  .  Car  les  souches  microbiennes  et  virales  seront  numérisé   et  enregistrés  sous  formes  de  programmes  informatiques  .  L' appareil    qui  vous  auscultera  détectera  la  presence  de  votre  maladie  par l' analyse  d' une goutte de sang  ou par  faisceau laser  .  Une  fois  le microbe  ou le virus déceler  ,  il declenchera  l' ordinateur  qui  retrouvera  immédiatement  dans  sa  mémoire  vive  les  caracteristiques  qui  se  se  rapprocherait  le  plus  de  la  souche virale  détécter  . Comme  les  médicament  du  futur  seront  numerisé  ,  l' appareillage  comprenant l' ordinateur  et  l' inducteur electromagnetique  retrouveront l' antidote  qu' ils  inhiberont  dans  un  liquide ( Eau  )  .  La  charge  magnétique  transferant  le medicament   sous forme de flux magnetique  dans l' eau . Vous n' aurez qu' à boire l' eau dans lequel  sera  enregistré  la frequence  magnetique  du médicament .

    Il existe maintenant un simple test de dépistage qui permet de détecter la tuberculose en moins de deux heures. Jusqu’à maintenant, il était seulement possible de détecter la tuberculose par des tests de laboratoire et cela pouvait prendre jusqu’à trois mois avant d'obtenir les résultats.

    Toutefois, l’Organisation mondiale de la santé vient de mettre au point un nouveau test simple et rapide qui permet de dépister la maladie en 100 minutes (1h40).

     

    De plus, il s’agit d’un appareil semblable à un gros ordinateur qui se transporte facilement. Il permet également de dépister les formes les plus compliquées de tuberculose, dont les souches résistantes aux traitements et celles liées au sida.

     

    Dépister rapidement la tuberculose permet d’améliorer le pronostic de guérison et limite également la contagion. En effet, la tuberculose est une maladie contagieuse qui affecte les poumons. Elle peut aussi toucher les reins et le cerveau.

     Mycobacterium tuberculosis, agent de la tuberculose, en microscopie électronique à balayage. Image colorisée. © Institut Pasteur
    Rapide et très simple à utiliser, un nouveau test pour diagnostiquer la tuberculose semble prometteur.

    Questions à Brigitte Gicquel, spécialiste de la tuberculose à l'Institut Pasteur, à Paris.

    Comment fonctionne ce nouveau test ?
    B.G. Nommé Xpert MTB/RIF, il fournit un résultat sur place en moins de deux heures, préparation et analyse comprises. Il suffit de mélanger un crachat avec un produit qui inactive le bacille de la tuberculose, de le déposer dans une cartouche plastique, puis introduire le tout dans un appareil qui effectue une analyse génétique par PCR (acronyme anglais d'amplification en chaîne de polymérase). Cette technique permet de détecter la présence du bacille, et des mutations conférant une résistance à la rifampicine, l'un des principaux antibiotiques utilisés. Les souches porteuses de ces mutations résistent généralement à plusieurs autres antibiotiques. Codéveloppé par la fondation FIND, l'université de médecine du New Jersey et la société Cepheid, ce test vient d'être évalué avec succès [1]. 

    Quels résultats a-t-il obtenus ?
    B.G. Son efficacité a été mesurée sur 1730 patients répartis sur cinq laboratoires de référence au Pérou, en Azerbaïdjan, en Afrique du Sud et en Inde. Le Xpert a permis d'identifier 98,2 % des malades, 97,6 % de ceux porteurs d'une souche résistante à la rifampicine, et 98,1 % de ceux infectés par une souche sensible à cet antibiotique. Pour les crachats dont l'examen de base par microscopie avait donné un résultat négatif par manque de sensibilité, le test a détecté plus de 70 % des cas dès la première analyse, 85 % au bout de deux et 90 % au bout de trois. Ces résultats sont très encourageants.

    Qu'apporte-t-il de plus que les méthodes actuelles ?
    B.G.  L'examen par microscopie est pratiquement la seule technique utilisée dans les pays en développement, qui sont les plus touchés. Mais on estime qu'il ne permet de détecter qu'environ 50 % des cas car les bacilles sont souvent trop peu nombreux dans le crachat ; c'est généralement le cas pour les malades co-infectés par le virus du sida. La culture in vitro des échantillons de crachats est beaucoup plus sensible. Mais elle nécessite davantage d'infrastructures, du personnel entraîné, et plusieurs semaines pour fournir le résultat. Enfin, le Xpert est plus rapide, plus sensible et plus simple d'utilisation que tous les tests PCR développés jusqu'ici. Il sera évalué en conditions réelles de terrain dans les prochains mois.

    Propos recueillis par Jean-Philippe Braly





     
     

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