La technologie qui utilise l' Antigravitation pour faire voler certains appareils existeraient depuis très longtemps . Par exemple certains vieux textes hindoux font souvent allusion à ses etranges structures volantes qu' ils appelaient VIMANA . Plus récement l' allemagne Nazie aurait tenter de reproduire le système de propulsion que nous décrivait ses vieux textes de l' inde ancienne . Et comme l' explique le texte ci - dessous , les allemands auraient réussi l' exploit de faire voler des engins avec une autre energie que le petrole .

Les soucoupes Allemandes et la recherche nazi pendant la guerre.
Le dernier modèle de moteur antigravitationnel conçu par les nazis et le plus évolué, fût élaboré en 1943-44. Il comprenait deux cylindres superposés et contrarotatifs, de un mètre de diamètre, en métal diamagnétique. Chaque cylindre contenait de la vapeur de mercure, sous vide, mise en rotation équatoriale par les cylindres. Des ondes radio, émises à l'intérieur des cylindres formant une cavité résonante, induisait un courant électrique intense dans la tornade de vapeur de mercure. Une fois ionisée, la vapeur de mercure devenait un puissant électro-aimant tournant. Chaque tornade de mercure tournait dans le sens de rotation mécanique de son cylindre respectif. A partir d'une vitesse de rotation relative entre les tornades, d'environ 8Km/seconde. Le système annulait totalement sa masse et son inertie. L'ajout d'un faisceau radio supplémentaire permettait alors de créer une force de propulsion dirigée dans le champ antigravitationnel. L'énergie électrique du vide quantique dans le vortex de mercure était récupérée par auto-induction, ce qui permettait d'alimenter éternellement la tornade.(3)
Le concepteur de l'original de ce type de moteur, était le Professeur Gerlach, qui avait travaillé sur les extensions de la relativité générale en relation avec Albert Einstein dans les années vingt. Son moteur n'était qu'une évolution moins "grossière" du moteur magnéto-électrostatique et électromécanique de Shumann développé à partir de 1934 et dont la première version opérationnelle fût installée sur le "RVZ-1", qui vola en 1936.
Les disques Antigravitationnel de John Searl
MagnetoSynergie - Précurseurs : John Searl
Quelques années après la fin de la deuxième guerre mondiale , un jeune britaniques de 14 Ans imagina un appareillage etrange . Son but concevoir un generateur électrique autonome qui ne dépendent pas de nos habituelles ressources d' energie ( hydraulique - nucleaire ) . Mais comble de l' ironie , son generateur au lieu de fournir de l' électricité comme il le pensait deviendra Antigravitationnel .
John Searl était un chercheur indépendant, qui découvrit son principe de l'antigravité, alors qu'il cherchait à concevoir un générateur pour produire de l'énergie, à partir du vide (6).
Poursuivant ces recherches, il construira près de quarante disques à antigravitation, tous contrôlé, qu'il appela des "IGV" ("Inverse Gravity Vehicle"). Voici l'un des appareils fabriqué, et qui vola effectivement en octobre 1967 (photos ci-dessous), malheureusement perdu par la suite. Ce n'était pas un petit modèle, mais un disque de plusieurs mètres de diamètre, élaboré en tant que prototype, pour pouvoir voler avec des passagers et qui pesait plusieurs centaines de kilos.




Ce modèle en vol (cliquez pour agrandir):

Les disques évoluaient grâce au système de production d'énergie "SEG" ("Searl Energy Generator"), qu'il avez conçu. Comme vous le voyez avec le schéma ci-dessous, d'un autre modèle de Searl, appelé le "Demo 1":


Les tentatives de Searl, de révéler cette technologie aux dirigeants et aux autorités officielles.
Dans les années soixante-dix, Searl voulu offrir sa technologie au Royaume-Uni. Au couple royal, la Reine Elisabeth et le Prince Philip, il fit parvenir le message suivant: "Veuillez accepter ceci, je peux vous montrer comment construire cet appareil pour produire de l'énergie et pour fabriquer réellement un nouveau type de vaisseau aérien, ou simplement un appareil capable de remplacer l'avion." Dans leur réponse le couple le remercia vivement, mais en précisant bien qu'il ne désirait pas le voir.
Searl montra alors son invention aux autorités Américaines. Il se livra même à une démonstration à la Edwards Air Force Base. Au cours de la démonstration, à la télécommande, il fît faire un tournant à 25 "G", pour montrer les performances de son disque volant. Les militaires Américains lui dirent: "Bon, cela pourrait tuer tous les passagers à bord des avions, nous ne voulons pas voir cet appareil, trop dangereux, nous ne pouvons pas nous en servir."
Searl fit alors des essais pour déterminer la valeur des "G" à l'intérieur de son appareil. Dans un de ses essais, une ampoule était suspendue à l'intérieur de l'appareil. Elle était censée se casser sous la force minimale de 2 "G". Searl fit diverses évolutions avec l'engin, qui auraient dût détruire l'ampoule, mais après les essais, elle était intacte. Démontrant ainsi que l'attraction terrestre à l'intérieur de l'appareil n'était pas la même que dans un avion classique.(7)
Quand les autorités tentèrent de mettre fin aux recherches de Searl.
En fait, comme beaucoup d'autres, Searl gênait terriblement avec ses inventions innovantes.
En 1982, alors qu'il était dans sa maison de Mortimer dans le Berkshire en Angleterre, un groupe de soldats pénétra chez lui, confisqua son appareil prototype et arracha tout le câblage électrique de son atelier. Il fut accusé de vol d'électricité par la compagnie locale et condamné à payer une amende. Comme son appareil ne lui fut jamais rendu, il refusa de payer l'amende, et à la suite de ce refus, il se retrouva en prison.
Searl avait demandé à un ami d'aller chez lui pour reprendre ses papiers. Il s'y rendit, mais dira à Searl, qu'il y avait trop de choses en désordre et qu'il y retournerait plus tard. Et pendant son incarcération, son atelier de travail fut incendié par des militaires Britanniques. Tous ses papiers, les montages, les plans,...etc. Tout a était brûlé. Ils ne leur aura fallu que quatre jours pour détruire des années de travail.
Quelques années plus tard, Searl avait installé en Nouvelle Zélande, un atelier pour construire un nouveau prototype et le mettre au point (suite à ce qui c'était passé, il avait décidé pour la sécurité de ces travaux de s'éloigner du Royaume-Uni). Pendant un séjour dans son pays natal, il fût de nouveau arrêté sous un faux prétexte, mais suffisant pour l'envoyer une fois de plus en prison pendant un certain temps.
Son nouveau prototype resta donc sans surveillance, mais il le croyait être en sûreté. Quand il retourna en Nouvelle-Zélande après sa libération, les choses avez changées. L'homme qui lui avait permis d'utiliser son terrain était depuis décédé, et la femme de ce dernier avait alors tout vendu. Le terrain, l'atelier et la soucoupe. Le nouveau propriétaire, un policier, avait vendu l'appareil à un ferrailleur au prix du métal, pour le cuivre qu'il contenait. Et il s'était débarrassé du reste. La déception était grande pour Searl, car tout avait été détruit.
Par la suite, à partir de 1987, Searl, qui s'était séparé de sa femme, préféra pour sa tranquillité, vivre un moment dans la clandestinité sous un nom d'emprunt.(8)
Searl a malgré tout su rebondir. Il a depuis reprit ses activités de recherche, avec plus de moyens. La futur crise des énergies fossiles, comme le gaz et le pétrole, a sensiblement fait révisé le jugement qu'avait eu de nombreux scientifiques, sur son travail, en matière de production d'énergie libre.
Il y a une société crée par Searl, la "Searl Aerospace Corporation" (dans le but de protéger la technologie et les droits d'exploitation de ses disques "IGV", parce que certains essayèrent de s'approprier ses inventions). Cette société a même établit un contrat de licence, pour un partenariat d'exploitation avec des constructeurs Américains (The Boeing Compagny, Lockheed Martin Corporation, Northrop Gruman Corporation et la General Dynamic Space ont étaient approché) pour un éventuel développement des "IGV". Comme vous pouvez le voir sur le contrat de licence ci-dessous (cliquez pour agrandir):
