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Le Ski à moteur
05/02/2011 08:49
http://www.youtube.com/v/B2EmT3u4kuo&hl=en_US&feature=player_embedded&version=3
Il invente le ski à moteur
Ce Russe a mis au point une
Un russe du nom de Sergei Khvalin a amélioré sa vitesse en ski et facilité son déplacement sur la neige sur une surface unie se servant de son invention, le ski à moteur. Cet amateur a fabriqué un moteur amovible qui s'installe sur le dos et qui propulse la personne vers l'avant sans qu'elle ait à faire quelqu'effort que ce soit. Cet homme ingénieux a réussi à exécuter ainsi des promenades sur les trottoirs recouverts de neige dans la ville de Dzerzhinsk située à 400 kilomètres de Moscou.
Une hélice faite de bois montée sur un moteur de tondeuse à gazon de 200 cm³ auquel fut rajouté du matériel usagé de parapente, voilà de quoi est constitué cet appareil grâce auquel son inventeur devint la vedette de sa ville. Cette innovation lui permet de parcourir des kilomètres en réduisant la fatigue du déplacement. Il assure que les amateurs de ski peuvent s'imaginer la sensation que l'on peut ressentir en glissant sur la neige à cette vitesse.
Cet inventeur estime que l'utilisation de cette hélice mobile pourrait contribuer à l'entraînement de certains athlètes qui devront s'habituer à l'effet du vent à quarante kilomètres à l'heure. Le skieur devra au préalable s'assurer qu'il pourra supporter le poids de ce moteur à ski sur son dos, soit 15 kilos.
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Internet . La pénurie des adresses IP
05/02/2011 08:30
Texte puiser sur le site de 20 Minutes .
HIGH-TECH - Le dernier bloc d'adresses a officiellement été alloué, jeudi. La migration vers le nouveau protocole IPv6 est désormais incontournable, et la transition s'annonce laborieuse...
De notre correspondant à Los Angeles
La cérémonie avait des airs d'enterrement, jeudi. Plusieurs organismes chargés d'administrer le réseau Internet se sont réunis pour annoncer une nouvelle que l'on voyait venir depuis plus de dix ans: le dernier «gros bloc» d'adresses IPv4 (qui permet d'identifier un ordinateur sur un réseau et de diriger les paquets d'informations jusqu'à lui) a été attribué par l'IANA, filiale de l'ICANN. Traduction: la pénurie, c'est pour bientôt, et la migration vers un nouveau système d'adressage, IPv6, est plus que jamais urgente. Qu'est-ce que cela signifie pour Internet? Pour les utilisateurs? Pour Hadopi? 20minutes.fr fait le point avec Jeff Doyle, expert réseau, président de la société de Jeff Doyle and Associates, qui conseille de grands fournisseurs d'accès à Internet (FAI).
IPV4, IPV6, kezako? (si vous n'aimez pas les maths, passez au paragraphe suivant)
Une adresse IP (Internet Protocol), c'est un peu comme un numéro de téléphone ou une adresse postale: chaque machine sur un réseau doit en avoir une pour être identifiée. Sur Internet, de grosses tables d'aiguillage permettent aux paquets d'information d'arriver à destination, et des annuaires font le lien entre une adresse chiffrée (par exemple 95.138.174.1) et un nom de domaine en lettres (par exemple 20minutes.fr). Une adresse IPv4 est codée sur 32 bits (une succession de trente-deux 0 et de 1), traduits en système décimal par quatre nombres allant de 0 à 255, séparés par des points. Il peut donc exister 2 puissance 32 (environ 4,3 milliards) adresses différentes. Son successeur, IPv6, passe à 128 bits, ce qui donne 2 puissance 128, soit 340.282.366.920.938.463.463.374.607.431.768.211.456 adresses possibles. Pour briller en société, on dit 340 undécillions ou sextillions, selon les notations. Soit, pour le commun des mortels, une tripotée.
Qu'est-ce qui a été annoncé ce jeudi?
L'IANA, filiale de l'ICANN, une société californienne à but non lucratif, a attribué le dernier «gros bloc» (appelé /8) d'adresses IPv4 à ses partenaires. Ce dernier bloc contient 16 millions d'adresses. Si les adresses IP étaient des bouteilles d'eau, c'est comme si le gérant de la dernière source venait de donner sa dernière palette contenant 16 millions de bouteilles à des distributeurs locaux. Il n'y a donc pas encore techniquement de pénurie, mais cela ne saurait tarder, dans les prochains mois. «Nous avons atteint un point critique», déclare l'ICANN.
Comment en est-on arrivé là?
«IPv4 a été inventé dans les années 70 dans le cadre d'un petit réseau académique», rappelle Jeff Doyle. «Personne n'avait prévu qu'il évoluerait dans ce qui est devenu Internet». Aujourd'hui, on compte près de 2 milliards d'internautes, répartis sur quelques centaines de millions d'ordinateurs connectés tout au plus. Pourquoi parle-on de pénurie alors qu'il existe 4,3 milliards d'adresses (en fait 3,7 milliards) utilisables? Car nos PC ne sont pas les seuls à avoir besoin d'adresses IP: smartphones, serveurs, distributeurs de billets, système de vidéosurveillance... De nombreux terminaux sont branchés sur le réseau. Sans compter qu'aux débuts d'Internet, certaines grandes entreprises ou universités ont reçu des millions d'adresses et sont loin de toutes les utiliser. «L'ICANN tente de mettre en place des mesures pour empêcher un marché noir de la revente d'adresses, mais le phénomène pourrait se développer malgré tout», note l'expert.
Pourquoi la migration vers IPv6 n'est-elle pas intervenue plus tôt?
En France, quand on a approché de la saturation pour les numéros de téléphone en 1996, l'Etat a changé le système pour passer à dix chiffres et cinq zones géographiques. Pour Internet, non seulement le réseau est plus complexe et planétaire, mais il n'existe pas une autorité capable de forcer tous les acteurs à effectuer les coûteux changement nécessaires. IPv6 existe depuis 1998 et de nombreuses Cassandre ont sonné l'alarme. Avec le même manque de résultats que dans la cité troyenne. Certains s'inquiètent également des solutions de sécurité pour IPv6, pas encore vraiment éprouvées.
Qu'est-ce que l'utilisateur doit faire?
Rien. Les systèmes d'exploitation modernes (depuis Windows XP SP1 et Mac OSX 10.2) et les smartphones supportent l'adressage IPv6. Mais beaucoup de modems et de «box» n'y sont pas encore passés. «Le gros challenge est du côté des fournisseurs d'accès à Internet, qui doivent déployer de nouveaux équipements réseau», explique Jeff Doyle. Le problème, c'est que IPv4 et IPv6 ne peuvent pas directement dialoguer. En clair, si un utilisateur parle une langue, et un site Internet utilise l'autre, il n'est pas accessible. Il existe de nombreux programmes de transition pour permettre aux deux systèmes de cohabiter un temps, mais cela est coûteux et souvent complexe.
Et en attendant?
Les FAI ne jurent que par trois lettres: NAT et LSN. Quand les acteurs du Net se sont rendus compte qu'on fonçait dans le mur, la «Network Address Translation» (traduction d'adresse réseau) a été mise en place comme solution de court terme. Cela permet à plusieurs machines de partager une ou quelques adresses IP. Le LSN (Large scale NAT), «c'est du NAT à large échelle», explique Doyle. «Plusieurs milliers d'utilisateurs peuvent se trouver derrière une seule adresse IP. Selon certains experts, avoir recourt massivement à du LSN pourrait ralentir et scléroser l'Internet. «On n'a pas assez d'expérience avec le LSN pour être sûr, mais de nombreux problèmes sur la performance et la sécurité sont attendus. Avoir un goulot d'étranglement peut par exemple faciliter des attaques en déni de service», comme les hackers de Anonymous contre les sites de Visa, par exemple, estime Doyle.
Plusieurs milliers d'utilisateurs partageant une adresse, quid d'Hadopi?
«C'est l'un des soucis avec le LSN. Qu'il s'agisse de blacklister un utilisateur ou d'attraper un pirate, les méthodes employées ne fonctionnent plus si plusieurs milliers partagent la même adresse», détaille Jeff Doyle. Plus exactement, cela devient très compliqué. «Les autorités pourraient toujours trouver le point d'origine en théorie, mais elles devraient pour cela saisir les archives de routage et de redirection de ports des FAI». Ce qui n'est pas fondamentalement différent de la procédure existant déjà pour Hadopi. «Mais cela obligerait les FAI à garder des archives massives et détaillées et serait une charge bien plus lourde.» En clair, ils traineraient sans doute encore un peu plus des pieds.
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Israël . Une démocratie bien étrange
04/02/2011 12:16
http://www.dailymotion.com/swf/video/x6ip5f_une-realite-a-accepter-y-en-tant-qu_news?additionalInfos=0
Depuis plusieurs jours , les leadeurs politiques s' inquiètent des evènements Egyptiens . Ils craignent que l' islamisme gagne l' Egypte . Quand je dis ils craignent , je suis poli ,
Car en fait , ils brandissent la menace islamiste dans le but de ne pas voir de regimes democratiques Arabes s' installer dans la region .
Mais qu' en est - il de la Démocratie en Israël ?????
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Accéder à l' invisibilité grace à un Cristal
04/02/2011 12:14

Des chercheurs anglais, en quête d'un procédé menant à l'invisibilité, parvinrent à faire disparaître un trombone, à l'aide d'un minéral naturel dont les propriétés s'avèrent extraordinaires. L'utilisation d'un cristal de calcite les mena à cette découverte. Ces scientifiques attachés à l'université de Birmingham réussirent à rendre invisible à l'oeil nu un objet de petite taille après de nombreuses années de recherches. Les résultats de cette étonnante étude paraissent dans la revue Nature Communications.
Le docteur Shuang Zhang, dont on parle dans le Telegraph, fut chargé des recherches. Il estime aujourd'hui qu'un pas de géant vient d'être franchi par la connaissance d'un processus menant à l'invisibilité, en faisant disparaître des objets précédemment visibles par des observateurs. Jusqu'à ce jour, des chercheurs avaient réussi, à l 'aide de matériaux qui étaient artificiels, à dissimuler des objets visibles uniquement au microscope et leur technique s'avérait plutôt complexe.
La méthode des scientifiques anglais fut totalement différente. Ils employèrent le calcite, un minéral naturel à base de calcium. Ils découvrirent l'étonnante propriété du calcite qui agit en faisant rebondir la lumière autour de lui. En plaçant un objet près du cristal, il devient complètement invisible. La dimension du cristal doit être la même que celle de l'objet.
Cette technique récemment employée offre plus d'avantages que l'ancienne méthode et moins de limites. Il existe des cristaux mesurant plus de 6 mètres, ce qui laisse entrevoir la possibilité d'appliquer ce procédé à des pièces de plus grande taille.
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Les additifs alimentaires . Le danger de l' Aspartame
04/02/2011 09:24


http://www.dailymotion.com/swf/video/x5j3xn_aspartame-alerte-rouge-1_news?additionalInfos=0
http://www.dailymotion.com/swf/video/x5j4a5_aspartame-alerte-rouge-2_news?additionalInfos=0
http://www.dailymotion.com/swf/video/x5j40t_aspartame-alerte-rouge-3_news?additionalInfos=0
Les additifs alimentaires sont présents en grande quantité dans les produits alimentaires que l’on consomme au quotidien mais ne sont pas considérés et reconnus comme dangereux pour la plupart alors que nombre d’études devraient inciter à leur interdiction au moins par précaution, car ce n’est pas parce qu’un produit n’est pas interdit ou qu’aucune étude n’a démontré sa dangerosité qu’il ne l’est pas, sans compter sur les études qui montrent la dangerosité extrême de certains comme l’Aspartame mais qui est toujours autorisée !  Ce livre permet de voir un état des lieux des dangerosités connues des additifs les plus répandus dans notre alimentation quotidienne.
Le livre de Corinne Gouget "Additifs Alimentaires" en est à sa 10ème édition et malheureusement ni les pouvoirs publics, ni les médias n’ont décidé de dénoncer ces produits autorisés pourtant connus comme étant très dangereux pour certains comme l’aspartame qui remplace le sucre dans les produits dits "lights" par exemple.
Ce livre est une liste d’additifs avec leur effets nocifs indiqués, classés en trois groupes, verts, oranges et rouges. Mais vert ne veut pas dire que c’est sans danger, seulement qu’aucune étude à ce jour n’a montré la dangerosité du produit, les oranges sont ceux où les avis divergent et les rouges sont ceux où les études ont démontré au 3/4 d’entre elles au moins la dangerosité du produit.
Mais comme vous vous en doutez, la plupart des produits oranges ou rouges de ce livre ne sont pas interdits dans l’alimentation industrielle, ni même déconseillés, il n’existe pas non plus de campagne informant des dangers de ces produits, les pouvoirs publics considèrent comme les industriels que du moment qu’ils sont autorisés, c’est qu’ils sont sans dangers (!), et bien entendu, ces mêmes industriels oublieront de vous citer les études indépendantes qui montrent la dangerosité de tel ou tel produit. On peut consulter par exemple ce document racontant comment l’aspartame a été autorisée aux USA malgré les études défavorables démontrant sa dangerosité :
"L’aspartame n’a été autorisé qu’en 1981, pour les aliments solides. Pendant plus de 8 ans, la FDA refusa son autorisation à cause des crises d’épilepsie et des tumeurs cancéreuses du cerveau provoquées par ce produit sur des animaux de laboratoire. La FDA continua à refuser cette autorisation jusqu’à l’arrivée de Ronald Reagan à la Maison Blanche (un ami de Searl) qui démit de ses fonctions le Commissaire de la FDA responsable de cet état de fait. Le Dr. Arthur Hull Hayes fut alors nommé Commissaire. Cependant, il y avait alors tellement d’opposants à l’autorisation qu’un Commission d’Enquête fut créée. La commission statua : "Il ne faut pas autoriser l’aspartame." Le Docteur Hayes REJETA les conclusions de sa propre Commission d’Enquête."
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