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Science Futuriste

VIP-Blog de bm7
bnj.777@hotmail.fr

  • 75 articles publiés dans cette catégorie
  • 398 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 11/12/2010 11:43
    Modifié : 18/12/2021 17:29

    Garçon (50 ans)
    Origine : PARIS
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    Le film Prédator aurait été réalisé à partir d' un fait divers réèl

    03/10/2015 08:41



     

    https://youtu.be/XZ-EOg38t1o

     

    Je pense qu'il n'y a pas de fumée sans feu, il y a 18 ans en Amérique du Sud, des indiens ont trouvés des hommes éventrés et pendus par les pieds en haut des plus hauts arbres de la forêt amazonienne. C'était a soulever le coeur, on aurait dit que c'était un médecin fou qui avait opérer parce que l'évicération a été faite très précisément sans déchirure donc au laser, sans scalpel ni couteau. Très vite on a eu l'armée qui est arriver sur les lieux, nous interdisant l'accès; c'était des soldats US. Ils pensaient que nous étions tous des abrutis et qu'on les comprenaient pas. Alors ils parlaient sans complexe devant nous. Par des dizaines de fois ils ont laisser échapper que les morceaux de métaux retrouver sur les lieux n'existaient pas ici ! Et qu'ils avaient détecter une présence invisible... D'autres meurtres ont eu lieu aussi atroces que les autres, sans explication. La population environnante a été déplacée par les soldats US, sur ordre de je ne sais quel gouvernement, par sécurité. En rentrant en France, mon père voulait aller voir le film Prédator au ciné a cause du fort Arnold qui joue dans ce film. Je m'attendais a un film de guerre, j'y est découvert du déjà vu !!! Souvent les fictions s'appuient sur des choses réelles mais là c'était trop! ( cette info est visible dans le commentaire de l'article : aux frontières de l'irréel. ) 





     
     


     

    Fake ou réalité . Une boule lumineuse enlève un hélicoptère

    03/10/2015 08:23



    https://youtu.be/KEQrZa5u3XQ

      Ne  pouvant  authentifié  une  tel  vidéo  ,  je  vous  la  post  quand même  .





     
     


     

    John Searl . L' Homme qui fabriqua l' Anti - Gravitation et fit voler certains disques ?

    03/10/2015 06:59



    En 1968, l’ingénieur britannique John Searl accomplissait devant les médias le premier vol d’une soucoupe volante civile, montrant ainsi aux yeux du monde que la surunité et l’antigravité ne relevaient pas de la science-fiction.
    Source: http://peswiki.com/index.php/Directory:Searl_Effect_Generator_(SEG)

    LevityDualPhotos
    IGVdemo617
    Le brevet international des russes Vladimir Roschin et Sergei Godin de l’Académie des Sciences de Moscou, rendu public le 26 mai 2006, apporte la démonstration scientifique qu’un système sur-unitaire est réalisable. Pour faire cela, ils se sont basés sur les travaux de John Searl, un scientifique britannique, qui dés 1968 mis au point un système capable de léviter.
    « Ce brevet présente un système magnétique composé d’aimants de terres rares capables de convertir diverses formes d’énergie, dés lors qu’un certain régime de fonctionnement critique est atteint. Lorsque le régime critique est atteint, l’installation expérimentale devient énergétiquement entièrement autonome. »
    (source: Morphéus N°23, Septembre/Octobre 2007, www.morpheus.fr)

     

    Searl prétend qu’entre 1946 et 1956 il a conçu et construit un objet connu sous le nom de Générateur à effet Searl (Searl Effect Generator-SEG) capable d’antigravité et de mouvement perpétuel, en violation de la première loi de la thermodynamique.

    source: wiki

    Citer

    John Roy Robert Searl est né le 2 mai 1932 dans une famille anglaise très pauvre. A l’âge de quatre ans, il a été séparé de son frère et de sa sœur et placé dans une famille d’accueil. Depuis l’âge de quatre ans et demi, jusqu’à dix ans il s’est mis à faire deux rêves par an dont l’un était la suite de l’autre. A dix ans, il a pensé que ces rêves avaient un sens et il a essayé de les interpréter.

    Searl est l’un des nombreux inventeurs qui découvrit un moyen de générer de l’énergie gratuite et sans limites ainsi qu’une force d’antigravité, simplement en montant des systèmes rotatifs.

    A quatorze ans, il construisit son premier Space Energy Generator (SEG) grâce au financement d’un gentleman âgé, M. George Haines qui croyait en lui. Ce premier appareil monté au domicile de M. Haines se mettait à accélérer lorsque Searl plaçait les rouleaux sur les plaques. Quand le SEG accélérait, un champ se développait autour de lui, il perdait de sa gravité, décollait et percutait le plafond à la grande surprise de M. Haines qui, lui, comptait sur un générateur et non un objet volant.

    Le SEG restait collé au plafond jusqu’à ce qu’il sorte et disparaisse ; c’est ainsi que six modèles furent définitivement perdus . Searl ne savait pas comment contenir le champ produit. Pour M. Haines c’était de drôles de pétards à tirs uniques et ‘’ terriblement coûteux ! ’’ selon Searl.

    Un témoignage anonyme

    Searl, en 1949 travaillait pour la Compagnie des Midlands comme simple assembleur d’appareils électroniques. C’est en autodidacte qu’il étudia le mécanisme des génératrices et des moteurs électriques. Il constata rapidement que le mouvement rotatif des pièces de métal engendre une faible force électromotrice dont la polarité négative tendait à s’éloigner de l’axe de rotation tandis que la polarité positive tendait à s’en rapprocher.

    En 1950, il poursuivit ses recherches en se servant d’une dynamo rotative composée de bagues collectrices oudisc-rotorsegmenté, que l’on mettait en rotation à grande vitesse parmi des électroaimants situés dans sa périphérie. A l’aide d’un appareil de mesure classique, il enregistra la force électromotrice de faible intensité qu’elle générait. Ayant remarqué que ses cheveux avaient tendance à se hérisser lorsqu’il se tenait à proximité de la dynamo en mouvement, il en déduisit que des électrons libres de charge négative, produisaient un champ de force centrifuge alors que l’électricité statique du métal engendrait un champ de force centripète. Il décida alors de construire une génératrice sur ce principe.

    Il acheva dès 1952, sa première magnéto, d’un diamètre de un mètre. Le rotor était constitué d’un disque segmenté qui, en tournant, transmettait l’énergie à un stator périphérique formé d’électroaimants lesquels contribuaient à produire la force électromotrice. Avec l’aide d’un ami, Searl transporta son appareil dans un champ et le mit en route au moyen d’un petit moteur. Comme prévu, sa génératrice produisit de l’électricité mais à un taux qui dépassa largement ses attentes. A une vitesse relativement faible, elle était de l’ordre de 100.000 volts estimée d’après l’électrisation des objets environnants. Très vite, le million de volts fut dépassé, produisant un crépitement et une odeur d’ozone. Searl dit : ” Une fois que la machine a dépassé un certain seuil de potentiel, l’énergie à la sortie excédait celle d’entrée. A partir de ce moment, la production d’énergie semblait virtuellement sans limites. ”

    C’est alors que se produisit un phénomène totalement inattendu. Le rotor se mit à accélérer, puis l’appareil commença à s’élever de terre, rompit le cordon d’alimentation qui le rattachait au moteur et se mit à flotter dans l’air en tournant de plus en plus vite, et continua à grimper jusqu’à une altitude de quinze à vingt mètres à laquelle il se stabilisa quelques temps. Tout autour du générateur – effet corona – , l’air était devenu rose fluorescent tant l’ionisation qu’il produisait était importante. Dans les parages, des récepteurs radio se mirent à fonctionner spontanément à cause de l’induction électromagnétique

    Finalement, le rotor de la génératrice s’emballa à une vitesse fantastique et l’appareil ‘’tomba’’ dans l’espace comme si la gravitation terrestre était inversée et on ne l revit jamais.

    Aussitôt que la génératrice franchit un certain seuil d’énergie potentielle de l’ordre de milliards (sic) de volts, la puissance fournie se met à dépasser celle qui est absorbée et continue de monter vers un niveau virtuellement illimité. Les mesures prises la situaient à des milliards (sic) de watts. A ce niveau de puissance, la génératrice et toutes ses composantes paraissent s’affranchir de la force d’inertie ; mais en se libérant de l’attraction terrestre, elles semblent aussi attirer à elles des morceaux de matière puisqu’elles ont tendance, en s’élevant, à arracher des mottes de gazon. (Voir l’effet d’écran que M. David explique par suppression d’une certaine quantité de gravitons ce qui annule ainsi une partie de la poussée gravitationnelle en direction de la Terre).

    Il y a tout lieu de croire que la génératrice provoque une tension dans l’espace qui l’entoure. L’effort fourni pour abaisser cette tension se manifeste sous la forme d’un champ magnétique dont l’énergie est absorbée à nouveau par la génératrice qui, ainsi alimentée, fournit encore plus de tension à l’espace environnant, lequel réagit par un accroissement du champ magnétique qui, à son tour relance la génératrice dans une interaction sans fin, créant par le fait même une sorte de mouvement perpétuel. Ce processus démontre à l’évidence qu’il n’y a qu’une infime proportion de tissu spatial traversant l’appareil qui est convertie en énergie.

    Au cours des expériences suivantes, Searl monta ses turbines dont deux de 10 mètres de diamètre, plus fermement dans le sol. Mais celles-ci s’arrachaient encore de la terre emportant avec elles leurs fondations. Elles semblaient produire une puissante force d’antigravité et d’après le cratère de forme hémisphérique laissé dans le sol, on déduisit que cette force opérait sur une sphère dont le générateur était le centre. Searl venait de ‘’tomber’’ sur d’extraordinaires phénomènes associés avec le mouvement de vortex.

    Le Pr Searl a construit ensuite 40 disques à lévitation, contrôlés, que M Haines démontait ensuite pour protéger la technologie, les pièces étant utilisées pour la génération suivante. Le dernier appareil fabriqué était Demo 1, malheureusement perdu lui aussi. Ce n’était pas un petit modèle tenu par des fils mais un vaisseau de 6,40 mètres de diamètre, capable de voler et qui pesait des tonnes.

    Des effets curatifs du SEG : Les appareils de Searl ont été détruits sauf deux donnés à des malades dont l’un d’eux avait une espérance de vie de quelques mois en raison d’une maladie des poumons. Le SEG a un avantage certain, il produit des décharges d’ions phénoménales aux effets curatifs. Searl avait été un jour brûlé par l’huile bouillante d’un récipient qu’il transportait dehors et qu’une malencontreuse ouverture de porte lui fit renverser. De plus, il était en sang. Deux semaines plus tard, il n’avait absolument plus aucune cicatrice.

    John Searl offre son invention : tout le monde fait la sourde oreille

    Dans les années 70, Searl qui était patriote offrit d’abord sa technologie à l’Angleterre. A la Reine et au Prince, il fit savoir ceci :

    ” Voudriez accepter ceci, je peux vous montrer comment construire cet appareil pour produire de l’énergie et pour fabriquer réellement un nouveau type de vaisseau aérien, ou simplement un appareil capable de remplacer l’avion.”

    Dans leurs réponses la Reine et le Prince le remercièrent vivement mais ne désirèrent pas le voir.

    Searl offrit alors son invention aux USA. Il fit une démonstration à la base de l’Air Force d’Edwards. Au cours de la démonstration, il fit, à la télécommande, faire un tournant à 25 g. Les hommes de la base lui ont dit : ‘’Bon, cela pourrait tuer tous les passagers à bord des avions, nous ne voulons pas voir cet appareil, trop dangereux, nous ne pouvons pas nous en servir .’’

    Searl, déconcerté fit ensuite un certain nombre d’essais pour déterminer la valeur des forces ” g ” internes de son appareil. Dans un de ces essais, un peu stupide, une ampoule contenant un élément radioactif était suspendue à l’appareil. Elle était censée se casser sous une force de 2 g. Searl fit subir à l’appareil diverses évolutions qui auraient pu le détruire, mais au retour, l’ampoule était intacte, démontrant ainsi que la relativité à l’intérieur de l’appareil n’était pas la même que dans un aéronef classique.

    En 1989, Searl offrit sa technologie à Munich, en Allemagne et à un groupe de scientifiques autorisés à travailler dessus, du moins en R&D pour fabriquer un SEG. Le contrat de fabrication n’est pas connu, ses termes en seront discutés quand les offres seront présentes et qu’il sera alors possible de parler aux investisseurs devant l’appareil en fonctionnement.

    Les médias et le Pr Searl

    Les quatre plus grandes chaînes de télévision anglaises ont des vidéos complètes sur les disques en vol, on peut les demander à BBC1 qui se propose de les vendre – cher : 32 livres pour les 30 premières minutes et 10 livres pour chaque image plus 17,5 % de taxes – au Pr Searl (qui est à la recherche de tous documents puisque les siens ont été détruits).

     

    A chaque conférence, Searl a l’appareil avec lui ce qui lui permet d’en faire la démonstration. Un générateur à effet Searl a été présenté au congrès de la DVS à Denver en 1994.

    La destruction du travail de Searl

    En 1982, alors qu’il était occupé à une de ses expériences, dans sa maison de Mortimer dans le Berkshire en Angleterre, un groupe d’officiers pénétra chez lui, confisqua son appareil et arracha le câblage électrique. Il fut jugé pour vol d’électricité à la compagnie locale et condamné à payer une amende. Comme son appareil ne lui fut jamais rendu, il refusa de payer l’amende, et ce refus l’amena en prison. Sa femme et ses enfants n’ont jamais rien su de plus sur le travail de Searl que ce qui s’est dit à la télévision ou dans les articles à son sujet.





     
     


     

    Ouvrir un vortex vers une autre dimension avec de la technologie Extraterrestre , c' est possible !

    03/10/2015 06:55



    https://youtu.be/FsiFD8dZoC4

     

    bob_lazar_soucoupe.jpg

    En 1936, Einstein et son collaborateur Nathan Rosen ont imaginé un raccourci dans l’espace-temps, appelé “pont d’Einstein-Rosen”, pour relier deux points très éloignés dans l’univers par une incursion dans une quatrième dimension spatiale. Dans les années cinquante, le physicien John Archibald Wheeler leur donnera le nom de “Trous de Ver”. Comme les Trous Noirs,  les trous de ver apparaissent dans des régions de l’univers où l’espace-temps est très courbé. Ces Trous de Ver constituent l’hyperespace, la quatrième dimension, l’au-delà, l’univers parallèle dans lequel se déplacerait celui qui voyage à une vitesse supérieure à celle de la lumière et le voyageur du temps. On peut voir sur la figure… du cahier central la représentation d’un Trou de Ver.

    En   1985, Kip Thorne montra que la seule manière de préserver la stabilité structurelle d’un trou noir serait de le tapisser d’une matière anti-gravitationelle…ce qui produirait un champ anti-gravitationel…

    voir lien suivant .

    Kip Thorne – Wikipédia

    Sachant   que  les  Ovnis  seraient  propulsés  par  une  energie  Anti – Gravitationnel  ,  il   faudrait  seulement  récuperer  les  generateurs  Anti gravitationnel  du  vaisseau  ,  les  fixés  solidement  sur  une  structure  bétonné   et   les  mettre  en  route  en  augmentant  progressivement  leurs  puissances  .

    Et  bien  au  bout  de  quelques  minutes  ,  vous  finirez  par  ouvrir  un  vortex  (  Trou  de  ver  )  qui  vous  connèctera  automatiquement  vers  une  autre  région  de  l’  espace – temps 





     
     


     

    Le pistolet marqueur d?ADN, future arme de la police anglaise

    16/09/2015 07:18



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    Une firme implantée en Angleterre a récemment dévoilé un pistolet d’un genre nouveau. Au lieu d’immobiliser quelqu’un, il permet de traquer son ADN pour une future identification.

    Destiné aux forces de l’ordre, le pistolet ressemble à une arme en plastique orange bien qu’il dispose d’une fonctionnalité futuriste et plutôt préoccupante. Développé par Selectmark, il tire des pastilles vertes en guise de projectiles. Le fait est que ces "balles" sont des marqueurs biologiques d’ADN. Pesant à peine un gramme, chaque pastille possède une portée de 40 mètres. Une fois la cible touchée, un procédé à codage unique dénommé SelectDNA déposera une trace d’ADN synthétique, ce qui permettra d’inculper ou de disculper une personne selon le résultat obtenu plus tard lors de l'enquête. Le but d’un tel système est de permettre une arrestation a posteriori du suspect et une identification plus précise lors des enquêtes. Ainsi, en utilisant le pistolet, il est possible de marquer ses objets de valeurs avec une sorte de tatouage unique très discret.

    Le prototype du pistolet marqueur d’ADN a été repéré durant le Shot Show 2013 de Las Vegas. La production à grande échelle n’est (heureusement) pas encore à l’ordre du jour.





     
     

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