|
[ Actualité ] [ therapie medicale ] [ Science ] [ OVNI ] [ Manipulation ] [ Paranormal ] [ Nanotechnologie ] [ Science Antiquité ] [ Robotiques ] [ Puces RFID ] [ Voyage dans le temp ] [ Religion ]
|
|
|
|
Les missiles à guidage Laser
03/10/2015 10:31
Le guidage laser est très utilisé, lorsqu'il faut viser une cible avec grande précision et que les dommages collatéraux doivent être quasiment inexistant.
Ce guidage nécessite de déployer plus de moyen qu'un téléguidage direct . Car pour son bon fonctionnement la cible doit être ciblé par un laser, venant de troupes au sols :

Ce n' est pas la lumière du laser qui attire le missile mais la frequence de la lumière emise . Les missiles sont dotés d' un recepteur qui est calibré sur la dite frequence .
Qu’est-ce que la lumière laser ?
Commençons par définir la lumière blanche. Il s’agit d’une onde électromagnétique qui se propage dans l’air ou dans le vide à une vitesse constante (environ 3×108 m/s) ; elle est caractérisée par une fréquence et une longueur d’onde particulières. Le spectre de la lumière blanche comprend les ondes de longueurs d’onde comprises entre 400 et 800 nm. La lumière est composée de corpuscules, les photons qui se propagent dans n’importe quelle direction .
Contrairement à la lumière blanche, le laser est une lumière monochromatique, unidirectionnelle et cohérente. Les photons composant le laser sont identiques et se propagent tous dans la même direction et avec la même fréquence et la même direction : c’est ce qu’on appelle la cohérence.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Mais à quoi sert le Front Nazional ?
03/10/2015 09:02
Pour les médias pointer du doigt le Front national comme danger officiel permet de mieux masquer les réelles forces d’asservissement de la société française : oligarchie financière, Union européenne, société occultes, sous culture mercantile anglo-saxonne. Le rôle qui a été attribué au Front national dans la société française est similaire à celui qui a été attribué à Emmanuel Goldstein dans la société d’Oceania décrite dans 1984 (le livre culte de Georges Orwell, Ndlr). Voir liens suivants .
Emmanuel Goldstein - Wikipédia
http://www.youtube.com/watch?v=t4zYlOU7Fpk&feature=player_detailpage
Le Front national permet d’éviter que soient posées les bonnes questions. Ainsi, les candidats à la présidentielle de 2012 évoquent tous leur envie de lutter contre Marine Le Pen. En revanche, aucun n’a déclaré vouloir lutter contre l’oligarchie.
Il existe des gens au Front national pour se réclamer du statut de militants « antisystèmes ». Contrairement à ce que ces derniers peuvent penser, loin de vouloir marginaliser le Front national, le « système », pour reprendre leur mot, à besoin de lui en tant que qu’épouvantail officiel. Le FN a été l’instrument consentant d’une stratégie de diversion. Il est un élément clés du système. Sans lui, la mascarade libérale-libertaire ne tiendrait pas.
C’est pourquoi voter pour le Front national n’est pas un acte de dissidence. Ce n’est pas un bras d’honneur fait au « système ». C’est déverser sa colère là où le système a prévu et voulu qu’elle soit déversée. Le FN sert à neutraliser la colère du peuple.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Radars et Ethylotests . Un marché fructueux pour des entreprises privés ?
03/10/2015 08:54
Inutile de rédiger de moi-même, voici un courrier que je viens de recevoir par mail, texte intégral :
"Voilà un scandale qui, s'il était connu d'un grand nombre de Français, ferait sans doute une onde de choc à travers tout le pays...
Vous savez sans doute que le gouvernement a récemment publié un décret qui oblige chaque automobiliste à détenir dans sa voiture un éthylotest – enfin deux, l'un pour se tester en cas de doute, et l'autre à présenter aux gendarmes en cas de contrôle.
Officiellement, le but est de lutter contre l'alcoolisme au volant. Tout le monde aimerait voir moins de drames sur la route liés à l'alcool, c'est incontestable. Mais je vais vous montrer qu'il s'agit de bien autre chose ici...
L'affaire est tellement scandaleuse qu'il fallait absolument que je vous envoie un mail pour vous informer !
Alors, voilà ce qui se passe :
En juillet, une association, "I-Test" se crée pour militer en faveur d'éthylotests obligatoires dans toutes les voitures. Ils interpellent le Ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, et hop quelques mois plus tard le décret sort. La nouvelle infraction est créée, avec une amende de 17 euros à la clef.
Quand on sait qu'il faut des années d'habitude pour obtenir quoi que ce soit quand on est une association, nous avons été saisis par cette rapidité !
Vous le savez, ici à la Ligue de Défense des Conducteurs, nous enquêtons depuis plus de trois ans sur la répression routière – il ne nous a pas fallu longtemps pour découvrir le pot aux roses !
Qui sont les membres de cette "association" ? S'agit-il, comme on aurait pu le croire, d'un collectif de familles qui ont perdu un proche sur la route à cause d'un chauffard qui avait trop bu ?
Pas du tout : ce sont tout simplement... des fabricants d'ethylotests ! Le Président de "l'association" est chargé de mission chez Contralco, le plus grand fabricant d'éthylotests chimiques (les fameux "ballons").
Et là, il vient de réussir un coup de maître : assurer à sa boîte un marché 100 % garanti sur 38 millions de voitures !
Le calcul est vite fait : 38 millions de voitures x 2 éthylotests à 1€ pièce = 76 millions d'euros garantis dès l'application du décret en juillet prochain.
Mieux : le décret comporte une obligation de norme NF pour les éthylotests... norme que cette entreprise est la seule à avoir !
Voilà : un marché juteux, 100 % garanti, qui va rapporter des millions à une grosse entreprise...
... Et nous, on vient nous dire que c'est pour notre sécurité ? Et que si l'éthylotest venait à manquer dans notre boîte à gants, ce serait tellement grave qu'on devrait payer une amende ?
Franchement, de qui se moque-t-on ?
C'était déjà la même chose avec les radars : au départ ils sont venus nous dire que c'était pour notre sécurité, et il n'y avait pas de raison de ne pas y croire. Enfin, au début...
Car vu les bénéfices colossaux que raflent maintenant, chaque année, les grandes entreprises qui installent et entretiennent les radars (plus de 200 millions d'euros par an, directement issus de vos PV), qui peut encore venir nous parler de sécurité ??
Année après année, les pouvoirs publics tirent un peu plus sur la corde, en se disant que ça va passer, que les Français ne vont rien dire... Alors depuis 2003 et la mise en place des premiers radars vitesse, on a eu les radars feu rouge, les radars tronçon, les radars discriminants, les radars "zones de chantier", les radars mobiles embarqués dans des véhicules en mouvement, etc... L'Etat fait rentrer de plus en plus d'argent, et la cagnotte des entreprises productrices de radars gonfle, gonfle...
Ces entreprises sont devenues tellement puissantes que, désormais, elles ne se cachent même plus pour faire leurs magouilles : le fameux lobbyiste qui vient d'obtenir le marché du siècle, avant de se lancer dans le business de l'éthylotest, dirigeait une société de radars ! C'est même lui qui a vendu les premiers radars feu-rouge au gouvernement !
Quelques entreprises bien placées veulent grossir facilement leur chiffre d'affaire sans prendre de risque, ils sollicitent les pouvoirs publics, lesquels nous jouent la carte de la sécurité routière, et hop le tour est joué, le business est installé, et vous êtes ses clients forcés.
Comment en est-on arrivés là ? Tout simplement parce qu'à chaque fois qu'ils tiraient un peu plus sur la corde, aucune voix ne s'élevait assez fort pour que ça fasse scandale et que ça s'arrête.
Mais tout cela n'a que trop duré : quel autre business vont-ils réussir à implanter demain ? L'éthylotest anti-démarrage obligatoire dans toutes les voitures (coût : 1000 euros par véhicule) ? Des boîtes noires comme dans les avions, ou la géolocalisation obligatoire ?
Ne vous en faites pas pour eux : ils trouveront toujours un prétexte de sécurité routière pour donner mauvaise conscience à ceux qui voudraient contester.
| |
|
|
|
|
|
|
|
La première bombe atomique était Nazi ?
03/10/2015 08:50
Grand éclair. Feu, beaucoup de morts tout de suite. Avec grandes brûlures. Beaucoup aveugles... » Oleg agonise. Mais avant de mourir de ses brûlures, ce prisonnier de guerre soviétique du camp de concentration nazi d’Ohrdruf, dans le centre de l’Allemagne, se confie à un compatriote en cherchant ses mots.
Il lui explique ce qui vient de se passer. La gigantesque explosion qui l’a aveuglé, avant de tout carboniser autour de lui. Sans le savoir, Oleg est l’une des premières victimes de l’ère atomique.
Comme plusieurs centaines d’autres cobayes, dont certains se sont littéralement volatilisés, il a été exposé à un test nucléaire organisé dans le plus grand secret par les nazis le 3 ou 4 mars 1945. Deux mois avant la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe.
A l’époque, les Allemands se replient de toutes parts. La défaite totale est proche. Reste un espoir pour les nazis : leurs « armes miracles » , ces avions, ces fusées ou ces sous-marins qui pourraient changer le cours de la guerre. Mais ce que Hitler attend avec le plus d’impatience, c’est un nouveau type d’explosif. Une bombe si puissante qu’elle « détruirait toute vie humaine dans un rayon de trois à quatre kilomètres du point d’impact » , explique le Führer en août 1944 à Ion Antonescu, chef de l’Etat roumain.
Une bombe tactique, d’une puissance moindre qu’à Hiroshima et Nagasaki
Les physiciens allemands y travaillent sans relâche depuis 1942. Depuis que l’état-major de la Wehrmacht et les SS ont libéré de gros budgets pour réaliser la bombe. Sans succès, prétendaient les alliés après la guerre, en ajoutant que les scientifiques nazis étaient très en retard sur leurs collègues américains et britanniques.
Faux, rétorque aujourd’hui Rainer Karlsch. Dans son livre “ La bombe de Hitler” , l’historien allemand prouve que les nazis ont testé plusieurs bombes nucléaires tactiques entre octobre 1944 et mars 1945. Soit bien avant les attaques américaines qui détruiront les villes japonaises d’Hiroshima et de Nagasaki en août 1945.
Mais, précise d’emblée le chercheur berlinois, le potentiel de destruction de la bombe nazie était bien inférieur à celui des deux bombes atomiques américaines. La raison en est simple : les Allemands n’avaient pas assez de matériaux fissibles, comme l’uranium enrichi par exemple, pour construire des bombes A.
Mais ce n’était qu’une question de temps. Si les nazis avaient pu prolonger la guerre d’une année, ils auraient très certainement disposé d’armes aussi dévastatrices que celles des Américains.
Un éclair très vif, rougeâtre à l’intérieur, jaunâtre à l’extérieur
Mais revenons à cet essai nucléaire dont Staline saura tout dès le 23 mars, grâce aux rapports de ses espions, qui décrivent avec précision l’onde de choc, les hautes températures, les bâtiments soufflés et les prisonniers de guerre anéantis. Cläre Werner, une habitante de la région d’Ohrdruf, raconte qu’elle a vu vers 21h30 un éclair très vif, rougeâtre à l’intérieur, jaunâtre à l’extérieur.
Il a illuminé le paysage de telle sorte qu’elle aurait pu lire le journal sans problème. Un autre témoin parle des habitants des environs qui, les jours suivants, souffrent de migraine et qui crachent du sang. Il décrit aussi les effets dévastateurs de la bombe, notamment sur les 700 ou 800 prisonniers de guerre sacrifiés à cette occasion.
“ Plus aucun cheveu, des cloques de brûlure, les chairs nues et à vif”
“ Tous ces gens n’avaient plus aucun cheveu. Certains avaient des cloques de brûlure sur la peau, les chairs nues et à vif...” D’autres témoins prétendent que des sentinelles SS ont été tuées lors de l’essai. Preuve que les nazis avaient été dépassés par la force de leur création, qu’ils appelaient “ bombe de la désagrégation” , comme l’a entendu le correspondant de guerre Luigi Romersa en octobre 1944.
Ce journaliste italien avait été envoyé par Mussolini pour constater de visu les avancées technologiques allemandes. Il se trouvait alors sur un autre site d’essai nucléaire, l’île de Rügen dans la mer Baltique. “ Nous avons ressenti un véritable tremblement de terre” , témoigne-t-il dans le livre de Rainer Karlsch. “ Nous avons vu très clairement un éclair, une lumière incandescente, puis une grande paroi de fumée s’est dressée devant nous.”
Une “ arme miracle” ... que la Wehrmacht a finalement renoncé à utiliser
Alors pourquoi les Allemands n’ont-ils pas utilisé leur “ arme miracle” ? Selon l’historien allemand, la bombe nucléaire nazie n’était pas prête pour une application militaire. Il lui manquait notamment un vecteur, un avion ou une fusée, pour bombarder les villes ennemies. En outre, les pontes nazis, à la différence de Hitler, ont compris, dès la fin du mois de mars 1945, que les quelques armes atomiques qu’ils pourraient fabriquer n’arrêteraient pas l’avancée des Soviétiques, des Américains et des Britanniques.
Et, surtout, leur utilisation sur le front aurait provoqué la vengeance des alliés, qui auraient eu beau jeu de détruire l’Allemagne sous un tapis de bombes... traditionnelles. La guerre était perdue. Il fallait arrêter les frais et éviter, si possible, le peloton d’exécution pour crime de guerre.
Une longue enquête, qui aboutit grâce à des fonds d’archives inexploités
L’historien Rainer Karlsch reçoit en 2001 une lettre qui l’énerve. Dans ce courrier, le journaliste Heiko Petermann, qui enquête sur d’éventuelles expérimentations de bombes atomiques dans le Reich, lui demande s’il sait de combien de tonnes d’uranium disposaient les nazis durant la guerre.
“ J’eus l’impression qu’il se moquait de moi” , résume le chercheur allemand qui, comme la majorité des spécialistes de la période, estimait impossible qu’Hitler ait pu développer une arme nucléaire. Et pourtant Petermann présente à Karlsch des témoins certifiant qu’ils ont vu un brillant éclair de lumière et une colonne de fumée en mars 1945.
Dans un premier temps, Karlsch doute de ces informations. Les physiciens allemands n’avaient-ils pas fait tout leur possible pour torpiller le projet de bombe atomique nazie ? Ils l’avaient d’ailleurs juré sur l’honneur aux alliés qui les avaient fait prisonniers après la guerre.
Devant le manque de preuves, l’historien doute, mais se prend tout de même au jeu. Avec succès. Après plusieurs années de recherche dans des fonds d’archives inexploités en Allemagne, mais aussi en Russie et en Angleterre, il découvre des documents inédits démontrant que les scientifiques nazis savaient ce qu’était une bombe au plutonium.
Une activité nucléaire détectée sur les sites concernés
Il se rend aussi compte que de nombreuses preuves ont été détruites par ces mêmes scientifiques. Histoire de conserver leur place dans la communauté scientifique internationale. Mais c’est sur le terrain, là où les bombes auraient explosé, que Karlsch trouve la preuve d’une activité nucléaire. Des scientifiques analysent les sols et confirment la présence, entre autres, de césium 137 et de cobalt 60.
La boucle est bouclée, même s’il manque encore la preuve visuelle des essais, regrette l’historien, en ajoutant qu’un film au moins a été tourné lors d’une des explosions et qu’il est tombé dans les mains de Staline en 1945. Mais voilà, il s’est perdu dans les archives russes. Officiellement du moins.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Le film Prédator aurait été réalisé à partir d' un fait divers réèl
03/10/2015 08:41

https://youtu.be/XZ-EOg38t1o
Je pense qu'il n'y a pas de fumée sans feu, il y a 18 ans en Amérique du Sud, des indiens ont trouvés des hommes éventrés et pendus par les pieds en haut des plus hauts arbres de la forêt amazonienne. C'était a soulever le coeur, on aurait dit que c'était un médecin fou qui avait opérer parce que l'évicération a été faite très précisément sans déchirure donc au laser, sans scalpel ni couteau. Très vite on a eu l'armée qui est arriver sur les lieux, nous interdisant l'accès; c'était des soldats US. Ils pensaient que nous étions tous des abrutis et qu'on les comprenaient pas. Alors ils parlaient sans complexe devant nous. Par des dizaines de fois ils ont laisser échapper que les morceaux de métaux retrouver sur les lieux n'existaient pas ici ! Et qu'ils avaient détecter une présence invisible... D'autres meurtres ont eu lieu aussi atroces que les autres, sans explication. La population environnante a été déplacée par les soldats US, sur ordre de je ne sais quel gouvernement, par sécurité. En rentrant en France, mon père voulait aller voir le film Prédator au ciné a cause du fort Arnold qui joue dans ce film. Je m'attendais a un film de guerre, j'y est découvert du déjà vu !!! Souvent les fictions s'appuient sur des choses réelles mais là c'était trop! ( cette info est visible dans le commentaire de l'article : aux frontières de l'irréel. )
| |
|
|
|
|