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John Searl . L' homme qui construisit des soucoupes volantes
22/01/2012 16:39
En 1968, l’ingénieur britannique John Searl accomplissait devant les médias le premier vol d’une soucoupe volante civile, montrant ainsi aux yeux du monde que la surunité et l’antigravité ne relevaient pas de la science-fiction.
Source: http://peswiki.com/index.php/Directory:Searl_Effect_Generator_(SEG)


Le brevet international des russes Vladimir Roschin et Sergei Godin de l’Académie des Sciences de Moscou, rendu public le 26 mai 2006, apporte la démonstration scientifique qu’un système sur-unitaire est réalisable. Pour faire cela, ils se sont basés sur les travaux de John Searl, un scientifique britannique, qui dés 1968 mis au point un système capable de léviter. « Ce brevet présente un système magnétique composé d’aimants de terres rares capables de convertir diverses formes d’énergie, dés lors qu’un certain régime de fonctionnement critique est atteint. Lorsque le régime critique est atteint, l’installation expérimentale devient énergétiquement entièrement autonome. » (source: Morphéus N°23, Septembre/Octobre 2007, www.morpheus.fr)
Searl prétend qu'entre 1946 et 1956 il a conçu et construit un objet connu sous le nom de Générateur à effet Searl (Searl Effect Generator-SEG) capable d'antigravité et de mouvement perpétuel, en violation de la première loi de la thermodynamique.
source: wiki
John Roy Robert Searl est né le 2 mai 1932 dans une famille anglaise très pauvre. A l’âge de quatre ans, il a été séparé de son frère et de sa sœur et placé dans une famille d’accueil. Depuis l’âge de quatre ans et demi, jusqu’à dix ans il s’est mis à faire deux rêves par an dont l’un était la suite de l’autre. A dix ans, il a pensé que ces rêves avaient un sens et il a essayé de les interpréter.
Searl est l’un des nombreux inventeurs qui découvrit un moyen de générer de l’énergie gratuite et sans limites ainsi qu’une force d’antigravité, simplement en montant des systèmes rotatifs.
A quatorze ans, il construisit son premier Space Energy Generator (SEG) grâce au financement d’un gentleman âgé, M. George Haines qui croyait en lui. Ce premier appareil monté au domicile de M. Haines se mettait à accélérer lorsque Searl plaçait les rouleaux sur les plaques. Quand le SEG accélérait, un champ se développait autour de lui, il perdait de sa gravité, décollait et percutait le plafond à la grande surprise de M. Haines qui, lui, comptait sur un générateur et non un objet volant.
Le SEG restait collé au plafond jusqu’à ce qu’il sorte et disparaisse ; c’est ainsi que six modèles furent définitivement perdus . Searl ne savait pas comment contenir le champ produit. Pour M. Haines c’était de drôles de pétards à tirs uniques et ‘’ terriblement coûteux ! ’’ selon Searl.
Un témoignage anonyme
Searl, en 1949 travaillait pour la Compagnie des Midlands comme simple assembleur d’appareils électroniques. C’est en autodidacte qu’il étudia le mécanisme des génératrices et des moteurs électriques. Il constata rapidement que le mouvement rotatif des pièces de métal engendre une faible force électromotrice dont la polarité négative tendait à s’éloigner de l’axe de rotation tandis que la polarité positive tendait à s’en rapprocher.
En 1950, il poursuivit ses recherches en se servant d’une dynamo rotative composée de bagues collectrices oudisc-rotorsegmenté, que l’on mettait en rotation à grande vitesse parmi des électroaimants situés dans sa périphérie. A l’aide d’un appareil de mesure classique, il enregistra la force électromotrice de faible intensité qu’elle générait. Ayant remarqué que ses cheveux avaient tendance à se hérisser lorsqu’il se tenait à proximité de la dynamo en mouvement, il en déduisit que des électrons libres de charge négative, produisaient un champ de force centrifuge alors que l’électricité statique du métal engendrait un champ de force centripète. Il décida alors de construire une génératrice sur ce principe.
Il acheva dès 1952, sa première magnéto, d’un diamètre de un mètre. Le rotor était constitué d’un disque segmenté qui, en tournant, transmettait l’énergie à un stator périphérique formé d’électroaimants lesquels contribuaient à produire la force électromotrice. Avec l’aide d’un ami, Searl transporta son appareil dans un champ et le mit en route au moyen d’un petit moteur. Comme prévu, sa génératrice produisit de l’électricité mais à un taux qui dépassa largement ses attentes. A une vitesse relativement faible, elle était de l’ordre de 100.000 volts estimée d’après l’électrisation des objets environnants. Très vite, le million de volts fut dépassé, produisant un crépitement et une odeur d’ozone. Searl dit : '' Une fois que la machine a dépassé un certain seuil de potentiel, l’énergie à la sortie excédait celle d’entrée. A partir de ce moment, la production d’énergie semblait virtuellement sans limites. ''
C’est alors que se produisit un phénomène totalement inattendu. Le rotor se mit à accélérer, puis l’appareil commença à s’élever de terre, rompit le cordon d’alimentation qui le rattachait au moteur et se mit à flotter dans l’air en tournant de plus en plus vite, et continua à grimper jusqu’à une altitude de quinze à vingt mètres à laquelle il se stabilisa quelques temps. Tout autour du générateur - effet corona - , l’air était devenu rose fluorescent tant l’ionisation qu’il produisait était importante. Dans les parages, des récepteurs radio se mirent à fonctionner spontanément à cause de l’induction électromagnétique
Finalement, le rotor de la génératrice s’emballa à une vitesse fantastique et l’appareil ‘’tomba’’ dans l’espace comme si la gravitation terrestre était inversée et on ne l revit jamais.
Aussitôt que la génératrice franchit un certain seuil d’énergie potentielle de l'ordre de milliards (sic) de volts, la puissance fournie se met à dépasser celle qui est absorbée et continue de monter vers un niveau virtuellement illimité. Les mesures prises la situaient à des milliards (sic) de watts. A ce niveau de puissance, la génératrice et toutes ses composantes paraissent s’affranchir de la force d’inertie ; mais en se libérant de l’attraction terrestre, elles semblent aussi attirer à elles des morceaux de matière puisqu’elles ont tendance, en s’élevant, à arracher des mottes de gazon. (Voir l'effet d'écran que M. David explique par suppression d'une certaine quantité de gravitons ce qui annule ainsi une partie de la poussée gravitationnelle en direction de la Terre).
Il y a tout lieu de croire que la génératrice provoque une tension dans l’espace qui l’entoure. L’effort fourni pour abaisser cette tension se manifeste sous la forme d’un champ magnétique dont l’énergie est absorbée à nouveau par la génératrice qui, ainsi alimentée, fournit encore plus de tension à l’espace environnant, lequel réagit par un accroissement du champ magnétique qui, à son tour relance la génératrice dans une interaction sans fin, créant par le fait même une sorte de mouvement perpétuel. Ce processus démontre à l’évidence qu’il n’y a qu’une infime proportion de tissu spatial traversant l’appareil qui est convertie en énergie.
Au cours des expériences suivantes, Searl monta ses turbines dont deux de 10 mètres de diamètre, plus fermement dans le sol. Mais celles-ci s’arrachaient encore de la terre emportant avec elles leurs fondations. Elles semblaient produire une puissante force d’antigravité et d’après le cratère de forme hémisphérique laissé dans le sol, on déduisit que cette force opérait sur une sphère dont le générateur était le centre. Searl venait de ‘’tomber’’ sur d’extraordinaires phénomènes associés avec le mouvement de vortex.
Le Pr Searl a construit ensuite 40 disques à lévitation, contrôlés, que M Haines démontait ensuite pour protéger la technologie, les pièces étant utilisées pour la génération suivante. Le dernier appareil fabriqué était Demo 1, malheureusement perdu lui aussi. Ce n'était pas un petit modèle tenu par des fils mais un vaisseau de 6,40 mètres de diamètre, capable de voler et qui pesait des tonnes.
Des effets curatifs du SEG : Les appareils de Searl ont été détruits sauf deux donnés à des malades dont l’un d’eux avait une espérance de vie de quelques mois en raison d’une maladie des poumons. Le SEG a un avantage certain, il produit des décharges d’ions phénoménales aux effets curatifs. Searl avait été un jour brûlé par l’huile bouillante d’un récipient qu’il transportait dehors et qu’une malencontreuse ouverture de porte lui fit renverser. De plus, il était en sang. Deux semaines plus tard, il n’avait absolument plus aucune cicatrice.
John Searl offre son invention : tout le monde fait la sourde oreille
Dans les années 70, Searl qui était patriote offrit d’abord sa technologie à l’Angleterre. A la Reine et au Prince, il fit savoir ceci :
" Voudriez accepter ceci, je peux vous montrer comment construire cet appareil pour produire de l’énergie et pour fabriquer réellement un nouveau type de vaisseau aérien, ou simplement un appareil capable de remplacer l’avion."
Dans leurs réponses la Reine et le Prince le remercièrent vivement mais ne désirèrent pas le voir.
Searl offrit alors son invention aux USA. Il fit une démonstration à la base de l’Air Force d’Edwards. Au cours de la démonstration, il fit, à la télécommande, faire un tournant à 25 g. Les hommes de la base lui ont dit : ‘’Bon, cela pourrait tuer tous les passagers à bord des avions, nous ne voulons pas voir cet appareil, trop dangereux, nous ne pouvons pas nous en servir .’’
Searl, déconcerté fit ensuite un certain nombre d’essais pour déterminer la valeur des forces " g " internes de son appareil. Dans un de ces essais, un peu stupide, une ampoule contenant un élément radioactif était suspendue à l’appareil. Elle était censée se casser sous une force de 2 g. Searl fit subir à l’appareil diverses évolutions qui auraient pu le détruire, mais au retour, l’ampoule était intacte, démontrant ainsi que la relativité à l’intérieur de l’appareil n’était pas la même que dans un aéronef classique.
En 1989, Searl offrit sa technologie à Munich, en Allemagne et à un groupe de scientifiques autorisés à travailler dessus, du moins en R&D pour fabriquer un SEG. Le contrat de fabrication n’est pas connu, ses termes en seront discutés quand les offres seront présentes et qu’il sera alors possible de parler aux investisseurs devant l’appareil en fonctionnement.
Les médias et le Pr Searl
Les quatre plus grandes chaînes de télévision anglaises ont des vidéos complètes sur les disques en vol, on peut les demander à BBC1 qui se propose de les vendre – cher : 32 livres pour les 30 premières minutes et 10 livres pour chaque image plus 17,5 % de taxes - au Pr Searl (qui est à la recherche de tous documents puisque les siens ont été détruits).
24/01/1976BBC.1Nationwide Prog ram
28/10/1988BBC.1 Daytime
May 1994Southern Oregon Public Television & Local Access Cable
16/07/1994Radio WCVE
08/09/1994Radio WCVE
29/05/1995KRO Ararat Radio Station,Hilversum.
La presse écrite a beaucoup parlé de Searl :
Daily Mirrorrdu 13/03/1968
Hants & Berks Gazettedu 04/07/1969
Sunday Mirrordu 28/11/1971
Parade Magazinedu 19/05/1973
Daily Expressdu 25/04/1978
The Chronicle Toowoombadu 19/07/1995, Queensland, Australia
Perth Paper,du 07/08/1995, Western Australia
Hendon Timesdu 02/11/1995
Raum & Zeitde Décembre 1984, avril-mai, Juin-Juillet, Octobre Novembre 1989, et Janvier-Février1990
MAG2000vers 1968, n° 4 Février-Mars 1995, et n°103 Août-Septembre 1996
Dansk Institut For koogisk TeknikNo 21 –2 05/10/1990
UFO NORGE1991
Extra Ordinary Science Symposium EditionVol.VI Issue 2,n°1 Mai 1994
SAFE NEWSn°1 oct / nov / déc 1989
A chaque conférence, Searl a l’appareil avec lui ce qui lui permet d’en faire la démonstration. Un générateur à effet Searl a été présenté au congrès de la DVS à Denver en 1994.
La destruction du travail de Searl
En 1982, alors qu’il était occupé à une de ses expériences, dans sa maison de Mortimer dans le Berkshire en Angleterre, un groupe d’officiers pénétra chez lui, confisqua son appareil et arracha le câblage électrique. Il fut jugé pour vol d’électricité à la compagnie locale et condamné à payer une amende. Comme son appareil ne lui fut jamais rendu, il refusa de payer l’amende, et ce refus l’amena en prison. Sa femme et ses enfants n'ont jamais rien su de plus sur le travail de Searl que ce qui s'est dit à la télévision ou dans les articles à son sujet.
Le Pr Searl avait demandé à Gunnar Sandberg d'aller chez lui et retrouver des papiers y compris le registre de tous ses témoins. Sandberg s'y est rendu mais a dit au Pr qu'il y avait trop de choses et qu'il y retournerait plus tard. Pendant qu’il était incarcéré, sa maison fut incendiée. les autorités ont brûlé tous ses papiers avec le consentement de sa femme.
Il a fallu quatre jours pour détruire des années de travail et l'équivalent de 5 millions de livres. Sa femme, seule à en connaître la raison, est responsable de son emprisonnement et de l'incendie. Cet épisode entraîna leur séparation et le Pr Searl ne veut plus rien savoir de sa famille. Selon un témoignage, Le Pr Searl aurait vécu à Birmingham après 1987 sous un nom d'emprunt.
Des manœuvres indélicates
D'après un récit de Searl datant de décembre 1996, certains ont cherché à s'approprier " L'effet Searl " - controversé - tout en cherchant à le copier et tout en disant ne jamais l'avoir observé…
Lors d'une conférence au Danemark, le Dr Andreas Heerfordt a vivement critiqué Searl au sujet de rapports écrits par d'autres personnes sur l'effet Searl (critiques reprises dansElectric Spacecraft Journal).
Le Dr Heerfordt affirmait que G. Sandberg ne pouvait témoigner avoir vu des faits inhabituels en rapport avec les aimants utilisés par Searl. Sandberg était par ailleurs lié par contrat avec Collins qui s'attribue la propriété de " l'appareil Collins " supérieur selon lui à celui de Searl, mais qui n'avait pas fait ses preuves auprsè du Dr Edwards de l'Université. Sandberg avait cherché à obtenir la signature de Searl car l'Université où Collins travaillait avait besoin de son expérience ( Sandberg ayant cassé pour l'étudier un aimant prêté par Searl).
Collins cherchait à négocier les droits de son appareil en Australie en omettant bien de mentionner le nom de Searl.
Le Pr Searl disposant de milliers d’articles de journaux et d’émissions de télévision sur son travail dit ne rien avoir à prouver à M. Heerfordt ni à Electric Spacecraft Journal. Searl recommande à M. Heerfordt de lire ses livres pour connaître son appareil (ce qu’il n’avait toujours pas fait en décembre 1996).
Searl ne donnera pas davantage d'informations ni ne fera de démonstrations pour M. Heerfordt qui selon lui est seulement intéressé pour ce qu'il pourrait vendre sans que J. Searl n'en bénéficie.
Le S.E.G. de Searl, le rêve perdu
Le travail de Searl avait attiré des visiteurs par centaines (dont des gens célèbres) qui signaient le livre d’or et y écrivaient leurs commentaires. Tout a été perdu dans l’incendie.
Searl voulait voler lui-même sur un de ses appareils car il avait été déçu des refus des pilotes d’essais craignant les facteurs G élevés et les hauts voltages. Il était quasiment prêt à le faire grâce à l’investissement d’amis de Nouvelle Zélande. Le terrain était prêt, les trois passagers choisis. Searl venait juste d’obtenir son diplôme pour voler avec passagers (ce qui est bien autre chose qu’une licence de Piper Club) lorsqu’il a été arrêté.
Pendant qu’on le persécutait, il dut laisser pendant longtemps sa plus grande maquette sans surveillance, mais il la croyait en sûreté. Récemment, (1996 sans doute) il voulut la récupérer. Malheureusement, pendant ce temps, la personne qui lui avait permis d’utiliser son terrain était décédée, et sa femme avait tout vendu. Le nouveau propriétaire, un policier, avait vendu l’appareil pour le cuivre - cinq tonnes environ.
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Le Vaucluse sort de l' Euro
22/01/2012 14:40
Vous avez toujours entendu dire que l’inflation c’est pas bon, n’est-ce pas ? Oui mais on vous explique aussi que certains mécanismes obscurs font que la dette fond grâce à elle, l’inflation. Vous suivez ? En parlant de dette, allez comprendre alors pourquoi le continent européen dont on dit que ses dettes le rendent faible, souffre d’avoir une monnaie trop forte... Ça y est, vous êtes perdu ? Comme tout le monde. Et pourtant, la monnaie, vous savez ce que c’est. C’est rond et métallique ou en papier rectangulaire, ça se trouve dans un porte-monnaie et ça sert à acheter son pain, payer ses courses et son journal. Et parfois on en glisse un peu dans la main de ceux qui n’en ont pas ou pas beaucoup.
Pour redonner du sens à ce qui en a perdu et remettre l’argent à sa juste place, ils sont quelques-uns à avoir imaginé de lancer, à Avignon et dans le département, une nouvelle monnaie. Une monnaie alternative et locale qui ne servirait pas à jouer au casino boursier mais simplement à acheter des choses et à faire travailler des gens qui, à leur tour, en feraient travailler d’autres. L’essentiel quoi. Cette nouvelle devise a été fondée par les mêmes que ceux à qui l’on doit la Maison alternative et solidaire d’Avignon, au travers d’une asssociation baptisée "Seve" (pour Système d’échange pour vitaliser l’économie). Elle s’appellera la "roue" et son principe a beau être simple, il fallait l’inventer.
Concrètement, chacun pourra échanger ses euros contre des roues qui se présentent sous forme de billets de 1, 2, 5, 10, 20 et 50 tout juste sortis de deux imprimeries de Pernes (lire ci-dessous). 1€ = 1 roue. Muni de vos roues, vous pourrez ensuite les dépenser auprès des producteurs, artisans et commerçants qui les acceptent (ils ne sont qu’une poignée pour le lancement mais de nombreuses négociations sont en cours).
Ce système n’est pas nouveau. Il serait né en Argentine au début des années 2000 lorsque le pays était frappé par une violente crise monétaire. Plutôt que de continuer à utiliser une devise dépréciée qui ne valait même plus le papier sur lequel elle était imprimée, certains ont eu l’idée de mettre en place une monnaie alternative, qui n’avait pas cours sur les marchés internationaux des changes. Une monnaie qui redonnait aux choses leur véritable valeur et a permis de faire redémarrer les économies locales.
La roue d’Avignon et du Vaucluse nourrit quelque part les mêmes objectifs. D’abord, elle favorise les circuits courts et promeut ainsi un développement durable. Ensuite, elle sera une monnaie "fondante". Mais dans la main, pas dans la bouche. La nouvelle devise perdra progressivement de sa valeur si elle n’est pas dépensée. Alors rien ne sert de l’amasser, la roue doit tourner. Ainsi, elle favorisera les échanges et la production, de manière à remettre l’économie au service de l’homme. Bref, elle est une monnaie comme on en rêvait, frappée au coin de la solidarité. Et demain, elle sera réalité.
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La police autorisée à tirer au pistolet mitrailleur en France
22/01/2012 13:27
La police autorisée à tirer au pistolet mitrailleur sur la foule… EN FRANCE !
Deux informations promulguées à trois semaines d'intervalles, l'une prévoyant la totale disponibilité des réservistes et l'autre l'utilisation possible d'armes feu pour le maintien de l'ordre. Pas vu à la télé, pas lu dans la presse.
Vous avez bien lu l'objet de ce message... C'est incroyable mais je viens de le vérifier sur le site du journal officiel et je vous le transmets en pdf.
Peut être est il de revoir en profondeur notre mode de vie.
EXTRAIT DU JOURNAL OFFICIEL N° 0151 DU 1/7/11 voir plus bas
LE GOUVERNEMENT FRANÇAIS PRÉVOIT–IL VRAIMENT UNE GUERRE CIVILE PROCHAINE ?
Depuis le 1er juillet, en France, les forces de l’ordre (police, gendarmerie, militaires...), sont autorisées à tirer à balles réelles avec des armes de guerre sur les attroupements de rues pour le maintien de l’ordre public. Il est notamment précisé l’utilisation du fusil à répétition de précision de calibre 7,62× 51 mm et ses munitions.(ce sont des fusils d'assaut !)
Cette info n’est parue dans aucun journal et sur aucune chaine télé. Pourtant le projet a été entériné par les trois ministres concernés dans le Décret n° 2011-795 du 30 juin 2011 qui est passé sur le JO du 01-07-2011 avec une entrée en vigueur immédiate !.Maintenant si vous allez sur une manif, on peut vous tirer dessus à balles réelles. ça refroidit au sens propre et figuré.Des questions se posent : - Pourquoi le gouvernement se donne-t-il aujourd’hui le droit de tirer à balles réelles sur les citoyens qui manifestent fortement ?- Pourquoi un tel arrêté maintenant ? La Nation est-elle en péril ?- Ou bien les gouvernants et autres «dilapideurs» prévoient-ils après d’autres pays d’Europe, la «faillite» de la France, et craignent-ils des révoltes ?- Ne voient-ils pas trop de pays où les citoyens se révoltent contre un pouvoir abusif ?
- Ne voient-ils pas, en France même, trop de citoyens en rupture avec un système qu’ils cherchent à maintenir coûte que coûte et qui est en train de s’effondrer ?
JORF n°0151 du 1 juillet 2011 page 11269 texte n° 17 DÉCRET Décret n° 2011-795 du 30 juin 2011 relatif aux armes à feu susceptibles d'être utilisées pour le maintien de l'ordre public Publics concernés : représentants de l’État, militaires et fonctionnaires en charge des missions de maintien de l'ordre public.Objet : liste des armes à feu susceptibles d'être utilisées, en fonction des situations, pour le maintien de l'ordre public.Entrée en vigueur : immédiate.
Notice : le présent décret définit avec précision les caractéristiques techniques des armes à feu qui peuvent être utilisées par les forces de l'ordre pour le maintien de l'ordre public : en règle générale, seules les grenades lacrymogènes et leurs lanceurs sont autorisés. Le décret définit également les caractéristiques des armes à feu qui peuvent être utilisées dans les situations prévues au quatrième alinéa de l'article 431-3 du code pénal (lorsque des violences ou voies de fait sont exercées contre la force publique ou lorsque cette dernière est dans l'impossibilité de défendre autrement le terrain qu'elle occupe).
Références : le décret peut être consulté sur le site Légifrance (http://www.legifrance.gouv.fr
). Le Premier ministre,Sur le rapport du ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration,Vu le code pénal, notamment ses articles 431-3, R. 431-1 à R. 431-5 ;Vu le code de la défense, notamment son article R. 3225-6 et ses articles D. 1321-6 à D. 1321-10 ;Vu le décret n° 95-589 du 6 mai 1995 modifié relatif à l'application du décret du 18 avril 1939 fixant le régime des matériels de guerre, armes et munitions ;Vu l'arrêté du 30 avril 2001 relatif au classement de certaines armes et munitions en application du B de l'article 2 et de l'article 5 (a) du décret n° 95-589du 6 mai 1995 modifié relatif à l'application du décret du 18 avril 1939 fixant le régime des matériels de guerre, armes et munitions,Décrète :
Les armes à feu susceptibles d'être utilisées par les représentants de la force publique pour le maintien de l'ordre public en application du IV de l'article R. 431-3 du code pénal sont les suivantes : Grenade GLI F4 - Grenade lacrymogène instantanée - Grenade OF F1 - Lanceurs de grenades de 56 mm et leurs munitions - Grenade à main de désencerclement - Lanceurs de grenades et de balles de défense de 40 × 46 mm et leurs munitions - Lanceurs de balles de défense de 44 mm et leurs munitions.
En application du V de l'article R. 431-3 du code pénal, outre les armes à feu prévues à l'article précédent, est susceptible d'être utilisée pour le maintien de l'ordre public, à titre de riposte en cas d'ouverture du feu sur les représentants de la force publique, celle mentionnée ci-après : Fusil à répétition de précision de calibre 7,62 × 51 mm et ses munitions . (ce sont des fusils d'assaut !)
Le ministre de la défense et des anciens combattants et le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 30 juin 2011.François Fillon - Le ministre de la défense - Le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration.
Réserves militaires et civiles : vers une mobilisation facilitée en cas de crise majeure Publié le 8.08.2011
La loi tendant à faciliter l’utilisation des réserves militaires et civiles en cas de crise majeure a été publiée au Journal officiel du vendredi 29 juillet 2011.
Ce texte prévoit de mettre en place un dispositif particulier de mobilisation des réserves appelé "réserve de sécurité nationale" devant permettre de faire face à des événements majeurs. En cas de crise de ce type, le Premier ministre pourra recourir à ce dispositif de réserve en convoquant par décret les réservistes qui seront alors dans l’obligation de rejoindre leur affectation. Les réservistes employés dans une entreprise d’importance vitale pour le fonctionnement du pays pourront cependant déroger à cette obligation.
Des dispositions sont également prévues pour inciter les entreprises à employer des réservistes.
Loi tendant à faciliter l’utilisation des réserves militaires et civiles en cas de crise majeure
http://legauloisdechaine.blog.lemonde.fr/2011/11/10/la-police-autorisee-a-
tirer-au-pistolet-mitrailleur-sur-la-foule-en-france/
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Le voyage dans le temps passe par le trou de ver ?
21/01/2012 09:23
http://youtu.be/WtUuCMgYB9w
http://www.dailymotion.com/video/xbjwm0_l-univers-les-trous-cosmiques-1_tech
En relativité générale, une singularité gravitationnelle est une région de l’espace-temps au voisinage de laquelle certaines quantités décrivant le champ gravitationnel deviennent infinies. La description de telles régions n’est pas possible dans le cadre de la relativité générale, ce qui n’empêche pas cette dernière d’être en mesure de prédire que de telles configurations peuvent se former dans l’univers. Par exemple, la formation d’un trou noir va de paire avec l’apparition d’une singularité gravitationnelle en son sein. L’univers observable est issu d’une phase dense et chaude, le Big Bang. Cette phase dense et chaude pourrait elle aussi être issue d’une singularité gravitationnelle .
Le trou de ver ?
http://youtu.be/OLB81L3951M
http://youtu.be/7jdDRQ7Leug
http://youtu.be/scBY3cVyeyA
En 1936, Einstein et son collaborateur Nathan Rosen ont imaginé un raccourci dans l'espace-temps, appelé "pont d'Einstein-Rosen", pour relier deux points très éloignés dans l'univers par une incursion dans une quatrième dimension spatiale. Dans les années cinquante, le physicien John Archibald Wheeler leur donnera le nom de "Trous de Ver". Comme les Trous Noirs, les trous de ver apparaissent dans des régions de l'univers où l'espace-temps est très courbé. Ces Trous de Ver constituent l'hyperespace, la quatrième dimension, l'au-delà, l'univers parallèle dans lequel se déplacerait celui qui voyage à une vitesse supérieure à celle de la lumière et le voyageur du temps. On peut voir sur la figure... du cahier central la représentation d'un Trou de Ver.
La création du trou de ver conduirait vers d' autres dimensions du temps . Une sequence de l' un des films de Charlie Chaplin nous indiquera que certaines personnes voyageraient réèllement dans le temps . Par exemple la femme en noir qui apparait dans la vidéo de 1928 et qui semble parlé avec un telephone mobile , cacherait son visage dans cette autre photo .
Pourquoi donc cette personne habillé de noir ne souhaite pas qu' on la reconnaisse ?????
http://youtu.be/Lodi61U0-To
http://youtu.be/a8TEhTJJS80
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