|
[ Actualité ] [ therapie medicale ] [ Science ] [ OVNI ] [ Manipulation ] [ Paranormal ] [ Nanotechnologie ] [ Science Antiquité ] [ Robotiques ] [ Puces RFID ] [ Voyage dans le temp ] [ Religion ]
|
|
|
|
Figaro . La persécution des Chrétiens dans le monde
25/12/2010 21:26
Benoît XVI met en garde contre la "déchristianisation" de l'Europe ...
L' article suivant nous vient d' un journal ultra religieux " Le Figaro " , j' ironise bien entendu . Comment des médias ( télevisuel - radiophonique et ecrit ) se permettent - ils de s' attaquer à une multitudes de pays ( Irak - Algerie ) ou de systèmes idéologiques ( communisme ) , en sachant fort bien qu' eux mêmes encourage la déchristianisation de l' europe .
Ses médias qui dénoncent la repression que subissent les chrétiens dans le monde n' hésitent même plus à bafouer toute les lois religieuses dans l' europe même , en favorisant l' homsexualité - l' avortement - la pornographie - la zoophilie - etc etc ) . Et pour mieux ecraser le peu de religieux qui restent , ses mêmes médias exploitent médiatiquement parlant la pédophilie de certains pretres . Le but non avoué de cette médiatisation n' est pas de s' attaquer aux pretres pédophiles mais à l' eglise qu' ils servent . Une nuance qui explique beaucoup de chose .
Quand à l' article suivant que vous trouverez dans le figaro et qui nous explique que le christianisme est persécuter partout dans le monde , je répondrais au Figaro que je ne peux pas croire que vous ayiez une petite sympathie pour ses pauvres chrétiens persécuter dans le monde ,alors qu' en europe le reseau médiatique dont vous faite partie favorise la déchristianisation .
Quand au monde musulmans , je vous ferais savoir qu' une grande partie du monde arabe est gouverné par des régimes laic dont la politique repressive a l' egard de leurs islamistes n' est plus a presenter .
Par exemple certains pays arabes touristiques ( Tunisie - Maroc - Egypte ) n' hésitent même plus à emprisonner leurs opposants islamistes qui dénoncent la déterioration des conditions de vie de leur peuple .
Quand à l' IRAK , c' était un pays ultra laic . Donc , je ne vois pas trop comment des islamistes qui n' avaient pas le droit a la parole sous le règne de SADDAM pourrait aujourd' hui mener des operations guerriere pour repousser les americains . Les activistes irakiens qui mènent cette guerre sont des nationalistes Athées qui n' ont rien d' islamistes . Certes ils exploitent la religion à des fins strictement nationaliste . Lorsqu' un jour ses guerriers Atheés reprendront le pouvoir en IRAK , et bien vous verrez qu' ils n' auront que faire de la religion .
Voilà l' article qui m' a poussé a ecrire se texte .
De l'Irak à la Chine et de l'Algérie au Pakistan, le christianisme est aujourd'hui, dans l'indifférence quasi générale, la religion la plus constamment et la plus violemment persécutée. Pourtant, partout dans le monde, il est des catholiques, des orthodoxes et des protestants qui ne capitulent pas devant le fondamentalisme musulman, l'hindouisme sectaire ou le marxisme militant. Les reporters et les correspondants du Figaro Magazine sont allés à la rencontre de ces héros silencieux qui luttent pour défendre leurs droits - et leur foi.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Médiator . Gouvernement et laboratoire Pharmaceutique
23/12/2010 10:40
Mediator : Servier a fait pression sur des experts

Depuis quelques semaines , les médias s' interresses aux méfait de se médicament " Médiator " qui aurait tué plus de 500 personnes en france alors que plusieurs pays en avaient interdit la vente .
Il serait interressant de savoir qui à lancer le scoop , avec quelle arrière pensée ???
Certes c' est probablement un coup médiatique orienter contre le gouvernement de Sarkozy , car la personne qui divulgua l' information savait fort bien que Serviel PDG du laboratoire pharmaceutique qui commercialisa le MEDIATOR avait été décoré de la légion d' honneur par SARKOZY .
Donc d' après la logique de la médiatisation , le gouvernement de SARKOZY avait couvert le laboratoire pharmaceutique qui venda le produit au public .
Sachant que je n' ai aucune sympathie pour le gouvernement de SARKOZY , pourquoi donc dire que la divulgation de l' information sur le médiator etait destiner à le discréditer .
Pour que vous sachiez comment fonctionne certains laboratoires pharmaceutiques qui n' hésitent pas à financer les campagnes electorales de candidats de droites , afin de profiter de certains privilège .
Et le financement de certaines campagnes électorale par de richissime industriels orientera automatiquement la politique qui sera conduite dans le pays par le futur président .
Autre point , comme le précise le lien ci - dessus , beaucoup de laboratoires pharmaceutiques n' hésitent pas à menacer les gens qui dénoncent certains de leurs médicaments .
La censure qui entoure certains remède ( Beljanski - Le Silicium organique - le plasma marin ) , l' ont été par le gouvernement sur recommandations de certains laboratoires pharmaceutique .
Donc on voit bien qu' il existe une certaine complaisance entre le gouvernement et les laboratoires pharmaceutiques .
Article suivant poster sur le POST ecrit par Richard trois
Le Mediator des laboratoires Servier aurait fait entre 500 et 1.000 morts, alors que le médicament, interdit aux Etats-Unis depuis 1997, a aussi été retiré du marché en Italie et en Espagne en 2005.
Tout au long de ces années, l'entreprise de Jacques Servier aura fait preuve d'un manque de transparence, d'une manipulation et d'une malhonnêté rare dans cette affaire extrêmement grave de santé publique.
“Très clairement, il y a un très gros problème de transparence du côté du laboratoire, notamment au niveau de l'information qu'il a donnée sur ce médicament", declarait la pneumologue Irène Frachon, citée par Les Inrocks.
Pourtant Jacques Servier, l'industriel, aujourd'hui âgé de 88 ans, se dédouane de toute responsabilité et va même jusqu'à imaginer un complot contre le gouvernement de Nicolas Sarkozy : "Il y a peut-être l'idée d'embêter le gouvernement."
500 à 1.000 morts en France ! Qu'à cela ne tienne, on ne va tout de même pas embêter pour si peu un grand donateur de l'UMP, membre du Premier Cercle de l'UMP, que Nicolas Sarkozy a décoré en janvier 2009 de la grand-croix de la Légion d'honneur...
| |
|
|
|
|
|
|
|
Comment la France avait aidé Israel à fabriquer la bombe atomique
17/12/2010 08:34
 Le réacteur de Dimona fournit aux israéliens du plutonium militaire.
Dans les années 1950, Paris et Tel-Aviv, mus par une hostilité commune contre l'Égypte de Nasser, ont coopéré étroitement dans la recherche atomique.
Dans le domaine de la dissuasion, cela s'appelle une politique d'ambiguïté nucléaire. Officiellement, l'État hébreu, qui fête ces jours-ci son soixantième anniversairen'a toujours pas la bombe atomique. Il n'a pas signé le traité de non-prolifération nucléaire (TNP) et n'est donc pas soumis au contrôle des inspecteurs de l'Agence internationale à l'énergie atomique (AIEA). Mais c'est un secret de Polichinelle, dans cette région troublée du Proche-Orient, qu'Israël dispose d'ogives atomiques, surtout depuis que le premier ministre Ehoud Olmert l'a implicitement reconnu, en décembre 2006. De fait, Israël a la bombe depuis 1967. Et c'est l'aide, décisive, de la France, qui lui a permis de devenir la sixième puissance nucléaire de la planète.
Lorsque naît l'État hébreu, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale qui a vu, pour la première fois, l'utilisation de l'arme suprême par les États-Unis contre le Japon, les responsables israéliens misent sur la bombe pour éviter qu'un second Holocauste puisse un jour être commis contre le peuple juif. L'arme nucléaire devra assurer la survie du nouveau pays sur le long terme. Plus tard, elle devra aussi le protéger des menaces représentées par l'Irak et l'Iran, soupçonnés d'avoir eux-mêmes des ambitions nucléaires militaires.
Le programme nucléaire israélien est lancé en 1949 par le premier ministre, David Ben Gourion. À l'époque, les États-Unis refusent d'y contribuer. Déjà, la perspective de voir un jour la Chine et la France rejoindre le club très fermé des puissances nucléaires ne plaît guère à Washington. Les dirigeants américains veulent à tout prix éviter la nucléarisation du Proche-Orient. Sous John F. Kennedy, l'Administration américaine n'aura de cesse d'essayer de convaincre Israël de renoncer à son programme atomique. En échange, le Pentagone offrait son parapluie nucléaire et des garanties sur la dissuasion. En vain.
En 1954, Ben Gourion se tourne vers Paris, à qui il propose une entraide mutuelle pour la mise au point de la bombe. La France possède un double avantage : elle a une longueur d'avance en matière de recherche nucléaire et veut laver la honte de la Collaboration en cajolant les victimes juives du nazisme. Le rapprochement franco-israélien se noue autour de la guerre de Suez. Les deux pays ont un ennemi commun : l'Égypte de Gamal Abdel Nasser, qui soutient d'un côté le Front de libération nationale (FLN) algérien contre la France et arme, de l'autre, les fedayins palestiniens contre Israël.
Programme clandestin
Lorsque le président égyptien ferme le canal de Suez à la navigation israélienne avant de le nationaliser en 1956, Paris et Tel-Aviv font front commun et décident d'intervenir aux côtés de la Grande-Bretagne. Ce sera un fiasco, en raison de l'hostilité américano-soviétique à l'aventure. Mais l'amitié franco-israélienne se poursuit. En octobre 1957, Paris et Tel-Aviv passent des accords diplomatiques et techniques et lancent véritablement le programme nucléaire clandestin, supervisé par Shimon Pérès et financé par des fonds secrets prélevés sur le budget du ministère israélien de la Défense.
La France avait promis de fournir la centrale nucléaire de Dimona, dans le désert du Néguev, avant la crise de Suez. Mais la coopération, qui doit permettre à Israël d'obtenir la maîtrise complète du cycle de combustible et de se hisser au rang de nouvelle puissance nucléaire, est renforcée après l'invasion du Sinaï égyptien par l'armée israélienne. Paris envoie plusieurs centaines de techniciens, livre un réacteur nucléaire de 24 mégawatts et entame les travaux à Dimona en 1958.
Le contrat prévoit également la construction d'une usine souterraine de séparation isotopique. En échange de son soutien déterminant, la France, qui cherche elle aussi à se doter de l'arme atomique ce sera chose faite en 1960 espère «bénéficier de la technologie américaine, à laquelle les scientifiques israéliens sont supposés avoir accès», explique l'historien Pierre Razoux (*).
Lorsque de Gaulle revient au pouvoir en 1958, il freine, puis ordonne l'arrêt de la coopération nucléaire avec Israël. Le général veut réorienter la politique étrangère de la France dans un sens plus favorable aux pays arabes, surtout après les accords d'Évian sur l'indépendance algérienne en 1962. Les essais nucléaires français ayant été concluants, de Gaulle estime qu'il n'a plus besoin des Israéliens pour faire progresser la recherche. «Mais surtout, il veut assurer le caractère français de la bombe, recentrer l'outil de dissuasion sur le territoire national», indique Pierre Razoux, qui occupe aujourd'hui des fonctions au Collège de défense de l'Otan à Rome.
Après lui, Georges Pompidou, Valéry Giscard d'Estaing puis Jacques Chirac mèneront une politique nucléaire beaucoup plus proliférante. Paris ira même jusqu'à fournir un réacteur nucléaire, celui d'Osirak, à l'Irak de Saddam Hussein. «Mais sous de Gaulle, la politique nucléaire de la France est vraiment recadrée. Nous ne sommes plus dans l'amitié très forte qui liait la classe politique française et les travaillistes israéliens», explique Bruno Tertrais, spécialiste du nucléaire à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS) à Paris.
Un gilet pare-balles
L'aide française aura néanmoins été déterminante. Le programme israélien est suffisamment avancé pour pouvoir être mené jusqu'à son terme. Les principales étapes ont été franchies et l'usine de Dimona est terminée. Nasser s'en alarme, qui déclare en 1966 : «L'Égypte se lancerait dans une guerre préventive si Israël se mettait à fabriquer des armes nucléaires.» Le président égyptien multiplie les provocations envers l'État hébreu, envoie ses avions survoler Dimona. Mais il est trop tard. À la veille de la guerre des Six-Jours en 1967, les premières armes nucléaires sont quasi opérationnelles au sein de Tsahal.
Pendant tout ce temps, le secret est conservé sur le programme nucléaire israélien. Pour en avoir révélé l'ampleur dans une interview au Sunday Times, en octobre 1986, l'ancien technicien Mordechai Vanunu a été condamné à dix-huit ans de prison.
Après avoir longtemps servi de gilet pare-balles contre la menace irakienne, lorsque Saddam Hussein était au pouvoir, le programme nucléaire vise aujourd'hui en grande partie à protéger l'État hébreu de la menace iranienne. Les ambitions nucléaires de Téhéran et l'intransigeance de Mahmoud Ahmadinejad, qui estime qu'Israël devrait être «rayé de la carte», ont potentiellement rétabli la menace existentielle qui pesait contre l'État hébreu avant la guerre des Six-Jours de 1967 ou pendant la guerre de Kippour de 1973.
Selon la publication britannique spécialisée Jane's Intelligence Review, la menace est plus sensible encore depuis la publication, en décembre 2007 à Washington, du rapport des agences de renseignements américaines, le NIE, qui, en relativisant la menace nucléaire iranienne, a rendu improbable une intervention militaire des États-Unis.
La peur de se retrouver seul face à l'Iran nourrit les rumeurs d'une intervention militaire israélienne contre les installations iraniennes. Benyamin Ben Eliezer, le ministre israélien des Infrastructures, a prévenu le mois dernier qu'une «attaque iranienne contre Israël déclenchera une riposte dure qui provoquera la destruction de la nation iranienne».
L'État hébreu disposerait aujourd'hui, selon les spécialistes, de 100 à 200 têtes nucléaires. Son armée détient toute la gamme des vecteurs pouvant délivrer une arme atomique, notamment des bombardiers de fabrication américaine F 15 ou F 16, ainsi que des missiles.
La dissuasion israélienne s'appuierait aussi, depuis peu, sur une composante marine. Avec l'aide, non plus de la France, mais de l'Allemagne cette fois ! Au début des années 1990, Tel-Aviv a passé des accords de coopération avec Berlin, qui concernent notamment la livraison de trois sous-marins Dauphin, appartenant à la dernière génération. Selon Pierre Razoux, il est probable que des missiles nucléaires puissent être embarqués dans ces sous-marins dotés d'une technologie anaérobie. «Les Allemands sont antinucléaires chez eux, mais permettent à Israël de renforcer sa dissuasion nucléaire en lui livrant de nouveaux vecteurs», remarque le spécialiste.
(*) Pierre Razoux est l'auteur de «Tsahal, Nouvelle histoire de l'armée israélienne», Perrin 2006.
| |
|
|
|
|
|
|
|
WIKILEAKS . Pourquoi les americains s' interressent a la minorité arabe qui habite les banlieus
15/12/2010 08:06
http://www.youtube.com/v/TZkRni0fdig&hl=fr_FR&feature=player_embedded&version=3"></param><param
Dans un document révélé par WIKILEAKS , on nous explique que l' administration américaine s' interresserait aux banlieues de Paris . Du moins aux minorités arabes qui y vivraient .
Sachant que les americains n' agissent jamais sans arrières pensées , que cacherait cette politique .
Les américains possèderaient - ils des informations qui leur permettraient de dire que le gouvernement français cacherait des choses à son peuple concernant l' activité Extraterrestre sur son sol .
Une activité qui serait probablement liés à certaines personnes issues de la minorité musulmane qui habiterait certaines de ses banlieus .
D' un point de vue stratégique , une tel eventualité mettrait le gouvernement français dans l' embarras .
Les américains qui s' intérèssent aux minorités arabes qui habitent les banlieus , j' en ris encore .
Comme le montre l' image suivante , donnez - nous la véritable raison de cette subite attirance pour les jeunes beurs des banlieus ???????????????????????????????????????????????????????????????????????????

| |
|
|
|
|
|
|
|
WIKILEAKS . Les médias français sévèrement critiqué par les americains
15/12/2010 07:30
Les américains ne sont pas les mieux placés pour donner des leçons concernant l' Etat médiatique de la france , car eux même sont atteint des mêmes maux quand on voit qui dirige leurs médias . Voir lien suivant .
Qui dirige les médias dirige le monde - Chris Saint James
Dans un câble diplomatique non classifié de l' ambassade américaine et révélé par le site WIKILEAKS les médias français sont critiqués, pour la déontologie de leurs journalistes les plus connus, les pressions des pouvoirs politiques et économiques ou pour le traitement médiatique des minorités.
Ainsi, elle juge que «les grands journalistes viennent le plus souvent des mêmes écoles élitistes que la plupart des leaders gouvernementaux. Ces journalistes ne considèrent pas forcément que leur premier rôle est de surveiller le pouvoir en place. Ils se considèrent comme des intellectuels préférant analyser les événements et influencer les lecteurs plutôt que de rapporter les faits».
L’ambassade américaine estime également, comme le souligne l' Express , que «le secteur privé des médias en France – journaux, TV et radios – continue d’être dominé par un petit groupe de conglomérats, et tous les médias français sont plus contrôlés et soumis à des pressions politiques et économiques que leurs homologues américains».
Du coup, elle explique que les minorités et les ONG utilisent énormément internet et les blogs, «incroyablement populaires» pour communiquer, car «ils estiment que leurs points de vue n’est pas suffisamment reflété par les médias traditionnels».
Le sujet principal de ce câble de l' année 2007 était la volonté des Américains d’organiser une stratégie pour séduire les communautés musulmanes et arabes françaises et, dans le même temps, améliorer leurs situations dans notre société, notamment leurs images dans les médias.
L’engagement pro-actif de l’ambassade américaine est connu. Elle s’est notamment tournée vers les jeunes de banlieue en général, à la recherche des talents de demain.
| |
|
|
|
|