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Huit soldats américains ont disparu alors qu?ils récupéraient une machine volante de 5000 ans dans une cave Afghane
10/08/2015 16:38
Huit soldats américains ont disparu alors qu’ils récupéraient une machine volante de 5000 ans dans une cave Afghane
Un Vimana a été découvert dans une cave en Afghanistan . Il a attiré l’attention des dirigeants mondiaux dont le président américain actuel Barack Obama. Un groupe de soldats ont fait une découverte alors qu’ils étaient en reconnaissance dans le désert Afghan. 8 soldats américains ont disparu après avoir fait la découverte. Le Vimana est une ancienne machine volante décrite dans les textes sanskrits indiens. Le Vimana a été découvert en Afghanistan et est supposé être vieux de 5000 ans. Il est dit qu’il est protégé par une barrière énergétique, qui a empêché les soldats de récupérer le vaisseau spatial.

D’après les anciens textes trouvés dans le Mahabharata, nous savons que le Vimana mesurait 12 coudées de circonférence, avec quatre roues très lourdes. A côté du fait qu’il était « flamboyant », le Mahabharata a fait les chroniques de ses autres armes mortelles qui utilisent un panneau réflecteur circulaire. Quand il est activé, un « tunnel de lumière » flambe tout sur son passage. N’importe quoi arrive au point de fusion quand il est dans le viseur de cette arme
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Découverte d?une machine vieille de 300 millions d?années en Russie
27/07/2015 13:41
La voix de la Russie et d’autres sources Russes rapportent qu’un morceau d’aluminium d’une machine vieille de 300 millions d’années a été trouvé à Vladivostok. Les experts disent qu’un « rail » apparait avoir été construit et n’est pas le résultat de forces naturelles.
D’après Yulia Zamanskaya, quand un résident de Vladivostok rajouta du bois dans son feu pendant une soirée froide en hiver, il trouva un morceau métallique en forme de rail détaillé qui était incrusté dans un des morceaux de charbon qu’un homme a utilisé pour alimenter sa cheminée. Hypnotisé par sa découverte, le citoyen responsable décida de solliciter l’aide des scientifiques de la région de Primorye. Après qu’un objet métallique ait été étudié par des experts renommés, l’homme fut choqué d’en apprendre plus sur l’âge présumé de sa découverte. Le détail métallique est supposé être vieux de 300 millions d’années et cependant les scientifiques suggèrent qu’il n’a pas été créé par la nature mais a été fabriqué par quelqu’un. La question de qui aurait pu avoir inventer un appareil en aluminium à l’aube des temps, reste un mystère.
La découverte ressemblait beaucoup à une dent de rail en métal, créée artificiellement.

De nos jours, découvrir un étrange artéfact dans du charbon est un évènement relativement fréquent. La première découverte de la sorte a été faites en 1851 quand des mineurs dans une mine du Massachusetts ont extrait un vase incrusté d’argent et de zinc d’un bloc de charbon brute, et qui remontait jusqu’à l’ère Cambrienne, avait plus de 500 millions d’années. Soixante ans plus tard, des scientifiques d’Oklahoma ont découvert une marmite métallique qui était incrustée dans un morceau de charbon âgé de 312 millions d’années. Puis, en 1974, un morceau en aluminium dont l’origine est inconnue a été trouvé carrière de grès en Roumanie; Donnant l’impression d’être un marteau ou d’un pieds de soutien du vaisseau spatial « Apollo », le morceau remonte jusqu’à l’ère Jurassique et n’aurait pas pu être fabriqué par des humains. Toutes ces découvertes ne sont pas seulement des puzzles pour les experts mais compromettent aussi les doctrines les plus fondamentales de la science moderne.
Le détail métallique qui a récemment été découvert par un résident de Vladivostok est donc une autre découverte qui rend les scientifiques perplexes. Le charbon dans lequel l’objet métallique a été pressé a été envoyé à Primorye depuis les mines de Chernogorodskiy dans la région de Khakasia. Sachant que les restes de charbon de cette région remontent jusqu’à 300 millions d’années en arrière, les experts Russes déclarèrent que le curieux détail qui a été découvert dans un de ces dépôts, doit forcément avoir le même âge que le charbon.

Une autre question qui intéresse les scientifiques Russes est de savoir si l’alliage en aluminium est d’origine terrestre. Il est bien connu que selon l’étude des météorites qu’il existe de l’aluminium-26 extraterrestre qui, subséquemment, se brise en magnésium-26. La présence de 2 pour cent de magnésium dans l’alliage pourrait très bien pointer vers l’hypothèse de l’origine alien pour le détail métallique. Il pourrait être aussi une preuve d’une civilisation inconnue sur Terre, il y a très longtemps. Dans tous les cas, des tests supplémentaires sont nécessaires pour confirmer cette allégation.
C’est la première fois qu’une telle découverte est faites en Russie, d’après la chercheuse d’anomalie et de biologie Valery Brier, qui prit un des échantillons microscopiques de l’aluminium pour faire des tests. Valery Brier a fait une analyse aux rayons X de diffraction du métal. Elle a montré un aluminium très pur avec des micro impuretés de magnésium de seulement de 2 à 4 pour cent.
Une analyse a aussi été conduite par un membre sénior de l’Institut de Physique Nucléaire de Saint-Pétersbourg, Igor Okunev, qui confirma l’âge du matériel d’après Natalia Ostrovsky. La découverte ressemble fortement à une dent de rail métallique, créée artificiellement. C’est comme des morceaux qui sont souvent utilisés dans les microscopes, aussi bien que dans divers appareils électroniques et techniques.
Tout en explorant des échantillons de carottes (échantillons de roche) qui ont été ramené à la surface, d’une profondeur de 9 mètres pendant le forage des fonds marins pour soutenir le pont sur ??une île russe près de Cap Nazimova, des alliages métalliques étranges qui ont été « conservés » dans le grès préhistorique (âge – vieux de 240 millions d’années) ont été découverts. Les morceaux d’alliages spéciaux ont une composition inhabituelle et n’étaient manifestement pas utilisés dans les machines de forage. Les alliages, dit Brier, sont artificiels et ont été construits par des êtres intelligents.
Reconstruction de l’objet trouvé près de Cape Nazimova
Il n’y a pas si longtemps, en Russie, un appareil mécanique a été découvert dans de la roche volcanique qui remonte jusqu’à 400 millions d’années avant notre ère.
Il a été découvert dans la Péninsule éloignée de Kamchatka, a 200 kilomètres du village de Tigil, par des archéologues de l’Université de Saint-Pétersbourg, parmi d’étranges fossiles. La fiabilité des découvertes a été certifié. Selon l’archéologue Yuri Golubev la découverte étonna fortement les experts car c’était une sorte de machine.
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Découverte d?un pont conçu par l?homme vieux de 1,7 millions d?années dans des photos de la NASA
27/07/2015 13:36
Un mystérieux pont reliant l’Inde et le Sri Lanka a été observé dans des photos prises par la NASA. Le pont était encore accessible jusqu’en 1480 après JC quand un typhon a déplacé le sable tout autour de ce dernier.
Les scientifiques ont remarqué que ce pont récemment découvert est composé d’un banc de calcaires. Sa courbure et sa composition uniques révélées par son âge indiquent que c’est un pont qui a été construit par des humains. Le pont s’appelle actuellement le Pont d’Adam (connu aussi sous le nom de Ram Setu) et fait 30 kilomètres de long.
Le pont commence en tant que banc de calcaires depuis la pointe indienne de Dhanushkodi de l’île Pamban et se termine sur l’île Mannar au Sri Lanka . La profondeur de l’eau entre l’Inde et le Sri Lanka est entre 1 et 10 mètres. Grâce à ses eaux peu profondes, ce pont constitue une menace pour la navigation car les grands navires ne peuvent pas voyager dans les eaux peu profondes du canal Pamban.
Cette information représente un aspect crucial afin de comprendre le mythe hindou de Ramayana, qui a supposément pris place dans le Treta Yuga (il y a plus de 1,700,000 années). Plusieurs Âges en arrière avant que la civilisation moderne ne révolutionne cette partie du globe.
Dans cette épopée, il y a une référence à un pont, qui a été construit entre Rameshwaram (l’Inde) et la côte du Sri Lanka, le tout supervisé par une personnalité dynamique et invincible du nom de Rama, qui est supposée être l’incarnation du ‘suprême’.
Cette information peut ne pas avoir de valeur pour les archéologues intéressés par la découverte des origines de l’humanité, mais la mythologie Indienne revête bien des mystères concernant les origines et la destinée de l’être humain, et sa spiritualité a balayé les esprits des humanistes cela même durant le siècle dernier.
Selon la mythologie hindoue, Rama avait construit ce pont dans le ‘Treta Yuga’ (qui remonte à 1,750,000 années) pour arriver au Sri Lanka, où sa reine incroyablement belle ‘Sita’ a été retenue prisonnière par le roi démoniaque, ‘Ravana’. Rama a demandé l’aide de ‘Hanuman’, une autre figure mythologique indienne très vénérée, considérée comme le dieu-singe indien, pour sauver Sita. Hanuman, le commandant en chef de l’opération de sauvetage, a ordonné à ses troupes, composé de milliers d’hommes singes, de mener à bien la tâche de construire un pont pour créer un passage, qui conduit à la nation de l’île du Sri Lanka.
Une source sur l’Internet, affirme que le pont a été construit après qu’Hanuman ait consulté le duo «Nal» et «Neel», qui appartenait à la « Vanar Sena » (L’armée des Singes), et étaient apparemment les meilleurs architectes du monde de l’époque. Nal et Neel étaient des maîtres et des experts dans la confection d’objets lourds qui flottaient facilement à la surface de l’eau.
Un chercheur indien éminent, M. S Kalyanaraman, a dit que la nature des pierres utilisées dans la construction du pont est mentionnée dans le texte mythologique hindou, du ‘Ramayana’. Il ajoute en outre que, d’un point de vue géologique, les pierres ont été formées après une accumulation de coraux sur une longue période de temps, tout comme pour les fossiles.
En 2001, le gouvernement Indien a approuvé la construction du « Projet de canal de Sethusamudram » pour faciliter la création d’un chenal de navigation à travers le plan d’eau entre les deux pays, par le dragage du fond marin océanique.
Cependant, les dirigeants politiques, appartenant à différents partis, ont par le passé vivement exprimé leur opposition quant à l’aboutissement de ce projet ambitieux du gouvernement central, en raison de tabous religieux. Selon eux, l’ouverture d’un tel projet blesserait les sentiments de milliers de croyants hindous.
Alors que beaucoup d’enthousiastes passionnés par la recherche à travers le monde ont congratulé les merveilles de la NASA pour leur succès remarquable, d’un autre côté , la découverte a également suscité des critiques exponentiellement croissantes de la part de nombreuses personnes, pour être un canular inutilement médiatisé.
Prabir Purkayastha, un écrivain indien, a déclaré dans son article, que toute l’histoire de la découverte provient d’un site ISKCON de nouvelles du nom de Vaishnava et a en outre été propagée par d’autres forums en ligne appartenant à des fondamentalistes hindous.
Il est dit que la compréhension mutuelle entre ISKCON et divers autres radicaux hindous, a conduit à la création de cette information frauduleuse pour prouver leurs allégations de l’existence du pont selon la mythologie antique. Purkayastha, estime également que les nouvelles ont été délibérément publiées en vu de recueillir l’accord de centaines de milliers d’Indiens modernes, bien éduqués, localisés partout dans le monde et qui ont rejeté ces groupes religieux fanatiques au fil des années.
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Lire les hiéroglyphes de l' Egypte des Pharaon
16/06/2015 08:00
La pierre de Rosette est un fragment de stèle gravée de l' Egypte antique portant trois versions d' un même texte qui a permis le dechiffrement des hieroglyphes au XIX èmes siècles . L' inscription qu' elle comporte est un décret promulgué à Memphis par le Pharaon Ptolémée V en 196 av JC . Le décret est ecrit en deux langues ( Egyptien ancien et Grec ancien ) .
La pierre a une dimension de 112,3 par 75,7 centimètres (par 28,4 cm d'épaisseur).
Les hiéroglyphes : Les égyptiens écrivaient à l´aide de caractères qui représentaient des plantes, des animaux, des dieux…. Ces caractères sont appelés hiéroglyphes.

Avec l'alphabet des hiéroglyphes réponds aux questions :
Comment s’appelle la reine la plus connue d’Égypte ?

Amuse-toi et écris ton prénom et ton nom en hiéroglyphes.
En parlant de hieroglyphe que represente cette plaquette découverte dans le temple d' Abydos ?
Comment s’appelle la reine la plus connue d’Égypte ?

C L E O P A T R E
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Une sculture de dinosaure sur le temple Angkor au Cambodge
09/06/2015 08:10
Bien que les dinosaures aient disparu il y a à peu près 70 Millions d' années , il existe ça et là d' etranges scultures montrant des dinosaures .
Comme par exemple celles du temple Angkor au cambodge ou l' on voit une sculture de Stégosaure . Dinosaure censé avoir disparu il y a 70 Millions d' années .
par Laurent Glauzy

Le temple d’Ankor, au Cambodge, constitue une véritable énigme pour les évolutionnistes : une pierre montre le dessin d’un stégosaure. Ainsi, ces vestiges de l’ancienne capitale de l’empire Khmer qui existât du IXe au XVe siècle apporterait crédit aux récits de la Bible . Dans Job 40, 10, les saintes Écritures relatent que les hommes auraient côtoyé les dinosaures.
Pour ne pas perdre la face, les athéistes affirment que cette œuvre fut conçue à partir de fossiles. Les sculpteurs du temple auraient ainsi imaginé et dessiné un stégosaure. Une telle reproduction aurait nécessité sans aucun doute un grand savoir-faire permettant de recomposer à partir de fossiles et avec précision, une sculpture ressemblant à un dinosaure. Alors, cette reproduction de dinosaure précéderait les reconstructions modernes de fossiles ! De plus, à ce jour, aucun fossile de stégosaure n’a été répertorié au Cambodge. Ce schéma semble donc très improbable. Le temple d’Angkor démontre que les dinosaures n’ont pas été reconstitués à partir de fossiles et d’ossements, mais en se fondant sur une expérience réelle, véritable source inspiratrice de la sculpture.
Les évolutionnistes affirment que les plaques supposées sur le dos du stégosaure ne sont que des symboles décoratifs. La sculpture ne serait qu’une sorte d’animal, mais ressemblant tout de même à une espèce disparue. Les plaques disposées sur le dos de l’animal suivent précisément sa ligne courbée, et leur forme est similaire aux plaques des stégosaures que l’on connait.
Des observateurs pensent que la sculpture ne représente pas un stégosaure typique. Pourtant, lors de conférences organisées dans le monde entier, l’auditoire répond dans sa grande majorité que le dessin d’Angkor montre uniquement un stégosaure.

(vision d'artiste : Les humains auraient-ils rencontré des dinosaures ? - Les émanants)
Le sculpteur a pris soin de tailler le stégosaure se tenant sur le bout de ses pates. Ce détail très pointu est d’autant plus frappant que les paléontologistes attestent aujourd’hui que ce dinosaure se déplaçait de cette manière, et non avec les doigts écartés comme les musées d’histoire naturelle l’exposaient de manière erronée.
Le temple d’Angkor ne présente en outre que des animaux réels. Cela signifie que dans le cas du stégosaure, l’artiste aurait fait exception en sculptant un animal imaginaire dont la précision sur le mode de déplacement a devancé nos connaissances pendant plusieurs siècles.
Une autre question se pose : les paléontologistes ont constaté que des épines manquaient sur la queue de l’animal. Il existe plusieurs variations de stégosaures différenciés par leur taille et le nombre de pointes sur la queue. De plus, la tête figurant sur la reproduction du temple d’Angkor est différente des reconstructions opérées maintenant à partir de fossiles de stégosaures. Le fait que la créature ne corresponde pas exactement aux contrefaçons contemporaines, signifierait que la reproduction du temple d’Angkor serait celle d’un fossile que les paléontologues n’auraient ni découvert et encore moins répertorié. Cette sculpture serait donc une découverte à part entière, en avance sur nos connaissances de la faune de la prétendue préhistoire.
La vérité est que les dinosaures n’ont pas disparu, il y a 70 millions d’années. Le site de Glen Rose au Texas, entre autres, sur de mêmes plaques, montre des empreintes de pied de dinosaures et d’hommes. Car la Terre n’a pas 4 milliards d’années mais bien 6000 ans comme l’atteste les Écritures et l’accrédite le temple d’Angkor.
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