Création du premier embryon hybride homme-animal - Le Figaro ...
La possibilité de recourir aux hybrides humains-animaux pour créer ...


Bien entendu , comme a son accoutumé , les scientifiques joueront la carte de la therapie pour réclamer une législation qui leur permettra de travailler sur de veritables chimères .
Et dans le plus grand secret , certains laboratoires de par le monde iront jusqu' à réintroduire chez les femmes de veritables ovocytes modifiés .
Quand aux voit ce qu' il advient des foetus ou embryons après les Avortements ( commerce d' organes ) en Corée , on ne peu que s' inquiété des futurs hybrides Humains / Animaux .
http://espanol.video.yahoo.com/watch/2910486/8340073">Avortement
Le gouvernement britannique a donné son autorisation à la création in vitro d'embryons hybrides humains-animaux (ou "chimères), à des fins de "recherches scientifiques". Des lignées de cellules souches pourraient être dérivées de ces structures embryonnaires.
Cette autorisation est assortie pour l'instant encore de quelques restrictions: les chimères ne devront pas avoir une durée de vie de plus de 14 jours et leur implantation dans un utérus est interdite.
Ce sont les chercheurs sur les cellules souches qui souhaitent disposer de telles chimères. En pratique, celles-ci seront créées en plaçant le noyau de cellules humaines (prélevées notamment chez des malades) au sein d'ovocytes animaux (lapins ou bovins, par exemple).
Des expériences préliminaires de ce type ont déjà été menées en Chine et aux Etats-Unis.
Les scientifiques cherchent depuis longtemps des façons de mieux comprendre certaines maladies comme l’Alzheimer ou le Parkinson afin de trouver de nouvelles méthodes de traitement. Pour y réussir, des chercheurs anglais ont demandé l’autorisation d’utiliser des cellules souches prélevées sur des embryons hybrides animal/humain. Ils ont prévu créer ces embyrons en insérant le noyau d’une cellule humaine dans un ovocyte de lapin ou de vache dont on aurait préalablement retiré le noyau. Les cellules humaines utilisées pour les fins de l’expérience contiendraient le défaut génétique responsable de la maladie faisant l’objet d’étude.
L’embryon ainsi formé ne serait pas complètement humain, parce qu’un petite partie de son d’ADN, moins de 0.5%, proviendrait de l’ADN mitochondrial de l’animal présent dans la cellule. Un tel embryon ne pourrait pas légalement être implanté dans l’utérus d’une femme. Et les chercheurs auraient l’obligation de le détruire après 14 jours d’existence, après avoir prélevé les cellules souches nécessaires à leur recherche.