D' après le temoignages de nombres d' individu les faisceaux lumineux emis par les ovnis possèderaient differentes caractéristiques . L' une d' entre elle , arrêterait les moteurs de voitures lorsqu' elle les touche . Dans d' autres cas , ses rayons rendraient invisibles tous ce qu' ils toucheraient . Il existe d' autre situations ou ses faisceaux lumineux font léviter les objets qu' ils enveloppent .
Mais dans les deux cas suivant , les faisceaux lumineux qui sont émis par les OVNIS traverseraient les murs en pierre ou en bois des maisons . Je pense que cette spécificité technologique proviendrait en fait du système de propulsion Antigravitationnel de l' OVNI qui lorsqu' il est associé au rayons lumineux change de nature corpusculaire . A se stade , les photons qui composent le rayon lumineux acquièrent une energie gravitationnel suplementaire qui contractant l' espace - temps finissent par traverser toute les barrières physiques .
Le faisceau lumineux altère l' aspect dimensionnel .
TRANCAS (Tucuman) Argentine, 21-22 octobre 1963 : Dans la nuit du 21 au 22 plusieurs O.V.N.I. se sont immobilisés près de la voie ferrée de Trancas. De là, ils ont émis des faisceaux de lumière rouge, non dispersifs (du genre de ceux produit par nos lasers actuels), d’une très forte intensité. Les travailleurs d’une entreprise agricole, qui étaient sortis, ont du courir se réfugier dans leur logis, poursuivis par ces faisceaux calorifiques ; à l’intérieur des maisons, la température se mit à monter. Un témoin, Mme Kairus de Moreno, à donné une description de ces faisceaux cohérents au capitaine de frégate Omar R. Pagani, du service des informations navales de la marine militaire argentine. A la suite de son enquête, ce dernier a déclaré que cette « lumière » traversait les murs des maisons et pénétrait dans les pièces sans fenêtres en les illuminant comme en plein jour. Ces faits, extraordinaires, ont été révélés par le capitaine de frégate Omar R. Pagani au cours d’une conférence donnée à Buenos Aires, sur « Les O.V.N.I. en Argentine » et dont on trouve un compte rendu dans la Razon du 17 septembre 1966, p5
TORRENT (Posadas) Argentine, janvier 1965 : Dans la soirée (date non précisée) des promeneurs se sont brusquement trouvés en présence de petits êtres et ont été pris de frayeur ; ils ont couru vers leurs maisons et s’y sont enfermés. Mais alors selon ce que les témoins ont déclaré, "une lumière entra, à travers les murs de bois, illuminant tout l’intérieur ". M. Carlos Souriou, qui s’était barricadé avec plusieurs personnes dont son jeune frère cadet, à déclaré que se dernier était devenu « presque fou de peur », qu’il avait des crises nerveuses, et que les autres témoins l’entourèrent « de caisses et de tout ce qu’ils trouvèrent pour l’empêcher de voir la lumière ».
A trancas, il s’agissait de murs de pierre apparemment. A Torrent, il s’agit, plus d’un an après, de parois de boit mais, à cette différence près, on se trouve devant le même phénomène effarant (…)
Disons tout de suite qu’il nous parait que ce que les témoins ont appelé « lumière » n’est pas de la lumière au sens usuel du terme. Nous ne connaissons pas de lumière visible qui soit capable de traverser des murs, ni même des planches, avec une intensité suffisante pour illuminer l’espace situé derrière elles ! »