Tiré du magazine NEXUS numéro 33 .
De nombreux témoignages historiques ou contemporains permettent d’être convaincus de la présence, sous le plateau de Gizeh et l’ancienne cité du Caire, d’un savant enchevêtrement de passages, conduits, salles, cavernes naturelles, de lacs, et d’une grande cité, renfermant des artefacts sophistiqués révélant un très haut niveau de technicité.
Un manuscrit, rédigé par l’écrivain arabe du nom Altelemsani et conservé au British Museum, relate l’existence d’un long passage souterrain, de section carrée, entre la Grande Pyramide et le Nil et cite une “étrange chose” bloquant l’entrée, côté fleuve.
Il rapporte l’épisode suivant :
A l’époque d’Ahmed Ben Touloun, un groupe entra dans la Grande Pyramide par le tunnel et découvrit dans une salle latérale une coupe de couleur et de texture rares. En s’en allant, ils semèrent un membre du groupe et, comme ils retournaient le chercher, celui-ci vint à eux nu et disait en riant : “Ne me suivez pas et ne me cherchez pas”, avant de se précipiter à nouveau dans la Pyramide. Ses amis comprirent qu’il avait été ensorcelé.
Apprenant que d’étranges événements se déroulaient sous la Pyramide, Ahmed Ben Touloun exprima le désir de voir la coupe de verre. Pendant l’examen, elle fut remplie d’eau et pesée, puis vidée et pesée de nouveau. L’historien écrivit : “elle avait le même poids à vide ou remplie d’eau”. Si l’histoire est exacte, ce manque de poids supplémentaire prouve de manière indirecte l’existence à Gizeh d’une science extraordinaire.
Selon Massoudy, au 10ème siècle, des statues mécaniques, dotées de propriétés stupéfiantes, gardaient les souterrains situés sous la Grande Pyramide. Anciennes de mille ans, on peut comparer leur description à celle des robots informatiques que l’on voit de nos jours dans les films du genre “La Guerre des Etoiles”.
Massoudy raconte que les automates étaient programmés pour être sensibles à l’intolérance, parce qu’ils détruisaient tout “sauf ceux dont la conduite leur valaient d’être admis”. Massoudy prétendait que “les manuscrits des Sages et les acquis dans divers arts et sciences étaient profondément cachés, qu’ils pouvaient ainsi constituer une mémoire réservé aux intérêts futurs de ceux qui pourraient un jour les comprendre”.
C’est une information phénoménale, dans la mesure où il est possible que, depuis l’époque de Massoudy, des personnes “dignes” aient vu les mystérieuses salles souterraines. Massoudy avoua : “J’ai vu des choses impossibles à décrire de crainte que l’on ne se mette à douter de ma santé mentale… mais cependant je les ai vues”.
Jamblique rend compte d’un fascinant récit tiré d’un très ancien papyrus égyptien issu d’une mosquée du Caire. Il s’agit d’un extrait, par un auteur inconnu du 1er siècle de notre ère, comptant l’exploration d’un groupe de personnes qui parvint à l’entrée d’une des salles souterraines autour de Gizeh.
Ils décrivirent leur expérience :
‘’ Nous arrivâmes à une salle. Quand nous entrâmes, elle s’éclaira de manière automatique grâce à la lumière d’un tube de la hauteur d’une main d’homme étendue (environ 15 cm), situé à la verticale dans un angle. Comme nous approchions du tube, il brillait davantage…
les esclaves furent effrayés et s’enfuirent en courant dans la direction d’où nous étions venus ! Quand nous le touchâmes, il s’éteignit. Nous fîmes notre possible pour que le tube brilla de nouveau, mais il ne donnait plus de lumière. Dans quelques salles les tubes lumineux fonctionnaient, dans d’autres, non.
Nous brisâmes l’un d’entre eux qui laissa s’écouler des perles d’un liquide argenté qui roulaient rapidement sur le sol jusqu’à disparaître dans les fentes (du mercure ?).
Au fil du temps, les tubes lumineux commençèrent progressivement à s’éteindre et les prêtres les enlevèrent pour les entreposer dans un caveau souterrain spécialement conçu à cet effet au sud-est du plateau.
Ils attribuaient la création de ces tubes lumineux à leur Imhotep bien-aimé, pensant qu’il reviendrait un jour les rallumer.’’
Une pratique courante des Egyptiens de l’antiquité consistait à sceller des lampes allumées dans les sépultures de leurs défunts comme offrandes à leur divinité ou pour accompagner les décédés sur la voie les menant à “l’autre rive”.
Parmi les tombes proches de Memphis (ainsi que dans les temples de l’Inde brahmanique) , on découvrit des lampes en fonctionnement dans des salles ou des récipients hermétiquement scellés, que la soudaine exposition à l’air libre éteignit ou provoqua l’évaporation du combustible.
Un mur autour des pyramides …
En 2002, de manière presque inaperçue par le public mondial, un vaste mur de béton, surmonté d'une grille, a été érigé autour du terrain de Gizeh. Dès le début, Armin Risi a observé la construction. Voici son premier rapport de la situation.
En mars 2002, j'ai entendu pour la première fois parler qu'un mur serait construit autour du plateau des pyramides et le terrain environnant. Des amis de retour d'Egypte, avaient vu les fondations ainsi que les premières parties du mur. Quand le petit groupe privé de touristes voulait suivre la ligne des fondations qui conduit jusqu'au désert, il en a été empêché par des gardiens armés.
On leur a interdit de faire d'autres photos, ce qui nous a tous rendus encore plus curieux. Qu'est-ce qui se passait ici ?
Un mur mystérieux, une cadence élevée de travail…
Apparemment, tout d'abord ce sont les fondations qui ont été érigées environ ½ mètre dans le sol, entremêlées d'une suite d'une double rangée de tiges en acier (avec tous les 10 cm deux des tiges en face). Pourquoi ce mur en béton doit-il être tellement renforcé ? Et pourquoi sur une longueur de plusieurs kilomètres ?
Et pourquoi les premières parties du mur, ont-elles été érigées à des angles très éloignés du plateau ou ni des touristes ni même les gens du pays se rendent ? Est-ce que l'on voulait cacher le plus longtemps possible ce que l’on recherche par ici ?
La visite suivante en juillet 2002 montrait que le mur grandissait à une cadence alarmante. Ici, on travaillait 24 heures par jour ! Et au sommet du mur d'une hauteur d'environ 4 mètres, se dressaient des tiges en fer de 3 mètres.
Lors des visites en décembre 2002 et février 2003, on pouvait constater ce que cette construction signifiait : entre-temps le mur avait atteint le plateau des pyramides et sur les tiges en fer des grilles avaient été fixées.
En avril 2002 j'avais informé le chercheur bien connu, le professeur Jim Hurtak, de cette construction. A cette époque, il n'en avait pas encore entendu parler, mais il envoya un collaborateur qui confirma la chose et ramena de nombreuses photos. Sur son site web, le professeur Hurtak publia l'estimation que le terrain emmuré aurait une superficie d'environ 8 km2.
De plus, il relata que "l'installation du mur est tellement gigantesque que dans ce but quelques bâtiments et logements de village ont certainement dû être démolis et enlevés. De ce fait, il faut supposer que ce n'est pas seulement l'intérêt des touristes qui est en jeu.
Ce que nous avons ici est un plan plus grand, bien réfléchi qui inclut également les sites environnants et doit sécuriser probablement des tombes souterraines, tunnels et couloirs…etc
Le financement de ce mur viendrait des USA, il est question, entre autre, de „Stanford University“
Quelles sont les motivations ? On sait que pendant les dernières années, de nombreuses fouilles ont eu lieu sur le plateau de Gizeh. Ainsi, le sol a été "radiographié" par sonde acoustique et les pyramides étaient plusieurs fois fermées quelques mois. En février 2003, les trois pyramides étaient fermées aux touristes. Pour des travaux de rénovation !
Serait-on en train de faire des recherches à l'intérieur ? Ou les rumeurs concernant des souterrains et espaces sous le plateau sont-elles fondées ? Des fouilles sont-elles programmées dont le public ne doit rien savoir ?
Ce ne sont que des spéculations, mais en tout cas cela vaut la peine de garder sous surveillance cette région dans un proche avenir surtout par des chercheurs indépendants.
Armin Risi
Il parraitrait, selon plusieurs témoins, que depuis la construction de ce mur, les excavations en sous-sol vont bon train sur le site fermé et isolé des curieux, des bruits de grosses machineries sont également entendu, mais nul ne sait de quoi il s’agit réellement !