COSTbot est un robot tueur d’étoile de mer dévoreuse de corail. Développé par des chercheurs australiens, sa mission consiste à rechercher puis anéantir l’acanthaster pourpre, l’espèce responsable de la disparition des récifs coralliens, notamment dans la grande barrière de corail.

On doit ce robot-chasseur aux scientifiques de l’Université de Technologie de Queensland. Il s’agit d’un submersible robotisé capable de naviguer de façon autonome pour traquer une étoile de mer dévastatrice : l’acanthaster pourpre, surnommée couronne du Christ ou couronne d’épines. Conçu pour partir à la rescousse de la grande barrière de corail, il est équipé de caméras stéréoscopiques. A cela s’ajoutent cinq propulseurs, un système de navigation GPS et une série de capteurs. Un logiciel embarqué lui permet d’analyser l’environnement marin et de repérer l’étoile de mer en question. Le robot utilise par la suite un bras pneumatique pour injecter une dose mortelle de sels biliaires à sa cible. Au final, il peut effectuer 200 injections durant une plongée de 8 heures.

Si les premiers essais ont été effectués dans la baie Moreton, le travail du prototype nécessite un suivi par des plongeurs afin d’éliminer les étoiles de mer nocives restantes. Une fois amélioré, le robot sera déployé dans grande barrière de Corail début 2016.

 Les températures exceptionnelles en Bretagne expliquent ces floraisons décalées

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En cette période, la plupart des gens sont plus préoccupés par les fêtes de fin d’année que par le jardinage. Et pourtant cette année, il se passe plein de choses dans les jardins... Presque partout, on voit apparaître dans les parcs et jardins des fleurs de printemps, comme les jonquilles, le mimosa et même les cerisiers du Japon.
Avec les températures exceptionnellement élevées en ce mois de décembre, des plantes qui devraient pousser au printemps sortent bien avant l’heure.
 

Des poiriers et des cerisiers en fleurs en décembre

Granny Nibua nous écrit sur Facebook que dans son jardin, "les hortensias boutonnent, les tulipes sortent de terre, les rosiers et capucines sont toujours en fleurs et le jasmin est plus beau que jamais". Anne-Marie Mazabraud parle de "ses jonquilles, primevères, azalées et mimosas qui ont deux mois d'avance dans le jardin!"
Et chez Gwenou LeGonidec LeGrand, ce sont les mimosas et les camélias roses qui sont en fleur, ainsi que les poiriers et les cerisiers , "ça craint pour les fruits 2016", dit cet internaute sur Facebook.

Apolline de Malherbe reçoit Monseigneur André Vingt-Trois, cardinal-archevêque de Paris, dans « Bourdin Direct » sur BFMTV et RMC, ce mercredi 23 décembre 2015. Il estime que le radicalisation n’a rien à voir avec la religion et a des racines avant tout sociales. Il ne souhaite pas que le catholicisme ait un rang particulier en France.

On a fait une erreur d’analyse qui est de croire que c’est la religion qui est la cause de la radicalisation. […] La cause de la radicalisation c’est le sentiment de ne pas être intégré dans la société d’être marginalisé.

Ca ne vient pas de l’extérieur. C’est tous des Français. D’où ils sortent ? Ils sortent de nos écoles françaises. Ils sont nés en France. […] Ils étaient des Français comme tout le monde. (11:55)

A  cette  question  poser  par l' animatrice de  l' interview  :

 

- "Pourquoi il n’y pas en France de jeunes juifs, de jeunes chrétiens qui se radicalisent "?

L'  archevèque  André  23  répondra 

-  " Peut-être que leur religion ne se prête pas à la radicalisation ".

Une  très  mauvaise  réponse  .

Me  concernant  j'  aurais  répondu  en  disant  que  les  Jeunes  Chrétiens  ne subissent pas la  discrimination  raciale vécu par   les  musulmans   .

Ils sont désormais en place. Bien vissés et en évidence à l’avant des quais 7-8 et 9-10 de la gare du Nord, à Paris. A partir de dimanche 20 décembre, ces portiques de sécurité permettront de filtrer l’ensemble des voyageurs empruntant le Thalys vers le nord de l’Europe à partir de cette gare, mais également de la gare Lille-Europe, dans la capitale du Nord.

Ségolène Royal, la ministre du développement durable, s’est d’ailleurs rendue gare du Nord jeudi 17 décembre au matin pour les inspecter. Quatre portiques sont installés sur chaque quai, accompagnés de quatre caissons scanner afin de vérifier le contenu des sacs et bagages. Quelques marquages au sol complètent l’installation. « Entre Paris et Lille, c’est une centaine de personnes qui travailleront pour faire fonctionner ces portiques », indique Patrick Ropert, le directeur de Gares et connexions. Jusqu’à 700 personnes devront passer via ces portiques pour accéder à leur train. Chaque jour, Thalys fait partir 25 trains de Paris.

Lire aussi : Portiques, brigades canines : les futures mesures dans les transports

Pour pouvoir emprunter un Thalys, il faudra désormais arriver avec vingt à trente minutes d’avance, soit presque autant que pour l’Eurostar, dont le filtrage est installé au premier étage de la gare. En revanche, le passage du portique devrait être rapide. Il ne faudra pas vider ses poches ou sortir son ordinateur ou les liquides que l’on transporte, comme dans un aéroport. « Les portiques et les scanners sont prévus pour identifier des explosifs et des armes », indique-t-on à la SNCF. Quand on traverse les portiques avec des caméras ou des micros, ces équipements sifflent cependant à n’en plus finir

Faire voler un drone dans son jardin ou dans son quartier ne sera bientôt plus considéré comme une activité triviale aux États-Unis. La Federal Aviation Administration (FAA) vient en effet d’annoncer que les propriétaires de drones vont être obligés d’enregistrer leur appareil auprès de ses services avant février 2016.

Pour être soumis à cette obligation, les drones doivent peser entre 250 grammes et 25 kilos, et le propriétaire doit avoir au moins 13 ans. Les inscriptions commenceront dès le 21 décembre sur son site, mais l’obligation entrera en vigueur à partir du 19 février prochain, date à partir de laquelle chaque drone devra porter un numéro d’immatriculation. Les frais d’enregistrement seront de 5 dollars, mais la FAA indique qu’ils seront gratuits lors des 30 premiers jours afin d’inciter les utilisateurs de drones à faire la démarche. Quoi qu'il en soit, il vaudra mieux s’acquitter de cette somme, les utilisateurs de drones faisant voler un appareil non immatriculé à partir du 19 février 2016 s’exposant à une amende de 27 500 dollars.

Cette décision de la FAA démontre une décision d’appliquer une régulation plus stricte concernant les drones civils et leur utilisation dans l’espace aérien américain. Il reste encore du chemin à parcourir, car le formulaire en ligne à l’heure actuelle ne concerne que les drones civils, et pas encore les usages commerciaux. Amazon et autres Google vont donc devoir attendre l’ouverture d’un service les concernant, d’ici le printemps 2016 selon la FAA.